@olivier cabanel
Ce serait bien de trouver un rapport récent de la mission SWARM puisque celle-ci est explicitement dédiée à l’étude précise du champ magnétique terrestre. Parcours rapide du portail web de la mission SWARM :
... mais point de données quantitatives sur l’évolution de ce champ. Si d’autres trouvent, svp partager
Quelques points jetés pèle-mêle pour compléter :
@olivier cabanel
Oui, c’est un gros problème dans le discours de Ben Davidson / Suspicious Observers : il ne cite pas systématiquement les documents-sources. Autant je peux comprendre qu’il ne re-précise pas toutes les sources dans chacune de ses vidéos, autant cette absence de source est gênante dans le cas d’un document écrit récapitulatif.
Concernant la baisse du champ magnétique terrestre, Ben Davidson écrit dans The Next End of the World (2021) : (ma traduction)
Le champ magnétique de la Terre a perdu quelques points durant les quelques milliers d’années séparant le maximum jusqu’à la moitié des années 1800. Cependant, en 2000, une équipe internationale incluant des membres de la NASA et du Centre Mondial du Géomagnétisme concluait que la Terre avait perdu environ 10% de son champ depuis le milieu du 19ème.(1) Ce nombre a été ré-évalué à 15% en 2010 par la mission SWARM de l’ESA (European Space Agency) chargée de contrôler le champ magnétique terrestre.(2)
En 2014, le responsable de SWARM a annoncé que ces tendance se poursuivait (même si de nouveaux chiffres n’ont pas été apportés alors depuis à ce jour (2020)) et que nous étions passés d’une situation de perte de “5% du champ par siècle” (période 19 et 20è siècles) à “5% par décennie” dans les années 2000.(3)
Documents trouvés qui relatent ces données :
(1) : article de National Geographic paru en 2004 qui évoque le chiffre d’une chute de 10% depuis 1845 : https://www.nationalgeographic.com/science/article/earths-magnetic-field-is-fading
L’article n’indique pas la source de ce chiffre.
(2) : rien !
(3) : article de LiveScience paru en 2014 : Earth’s Magnetic Field Is Weakening 10 Times Faster Now
Autrement dit : pas grand chose avant 2014 et depuis plus rien... Il paraît que le responsable ESA en question aurait été limogé peu après sa déclaration sur le chiffre de « 5% par décennie ».
Certains arguent que les aurores boréales de plus en plus fréquentes à basses latitudes ne s’expliquent pas tant par l’augmentation de l’activité solaire que par l’affaiblissement du bouclier magnétique terrestre.
Ainsi, il y a quelques jours une éruption classée X3 (3.10-4 W/m2) a provoqué des aurores boréales visibles à Puerto Rico. La dernière fois que cela a été observé, c’était en 1921 avec une éruption de classe estimée X50 (1. W/m2).
Depuis, plusieurs tempêtes provoquées par des éruptions bien plus intenses que celles de la semaine dernière n’ont pourtant pas provoqué d’aurores boréales à de telles latitudes (par exemple l’éruption X20 d’avril 2001 ou celle X17 de novembre 2003).
Cependant, le bouclier magnétique s’est fortement affaibli depuis 20 ans. Ceci est la conséquence d’un phénomène appelé excursion géomagnétique : il ne s’agit pas d’une « inversion » des pôles magnétiques, mais d’un déplacement de ceux-ci vers des positions très différentes (vers les tropiques).
La chaîne YT américaine Suspicious Observers propose de nombreuses vidéos qui étayent ces thèses :
Voilà les dernières nouvelles :
J’ai procédé à un certains nombre d’observations à l’aide d’un logiciel d’analyse des signaux BT (Wireshark, open-source).
Je me suis placé sur une portion de la Petite Ceinture (à Paris), ce qui a permis d’être suffisamment bien isolé des signaux environnants et de cerner les signaux liés aux promeneurs. En semaine, ceux-ci sont peu nombreux et passent « au compte-goutte ».
Conclusions :
Plus de détails :
Voilà les dernières nouvelles :
J’ai procédé à un certains nombre d’observations à l’aide d’un logiciel d’analyse des signaux BT (Wireshark, open-source).
Je me suis placé sur une portion de la Petite Ceinture (à Paris), ce qui a permis d’être suffisamment bien isolé des signaux environnants et de cerner les signaux liés aux promeneurs. En semaine, ceux-ci sont peu nombreux et passent « au compte-goutte ».
Conclusions :
Plus de détails :
Au détour d’un calcul à partir du « tracker européen » des injections je m’aperçois que, pour chaque classe d’âges, pour chaque dose, le cumul du nombre d’injections hebdo est supérieur à l’effectif de la population de cette tranche d’âge.
( https://www.ecdc.europa.eu/en/publications-data/covid-19-vaccine-tracker )
24 — 49 ans
Effectif au 01/01/2021 : 20 551 437
Nb de 1ere dose : 38 059 422
Nb de 2ème dose : 34 897 012
Nb de « rappel » : 20 123 698
50 — 59 ans
Effectif au 01/01/2021 : 8 814 162
Nb de 1ere dose : 16 585 342
Nb de 2ème dose : 15 718 604
Nb de « rappel » : 11 841 326
@Décoder l’éco
Whaou ! J’avais zappé cet impressionnant article-pavé. C’est une mine de renseignements et d’analyses. Merci à vous,
@Décoder l’éco
Voilà, j’ai sorti quelques graphiques pour la France avec pour référence 2015-2018 (tranches 15 — 24, 25 — 49, 50 — 64 et 65 — 74 ans).
Ils confirment votre étude.
J’ai mis en évidence les périodes pour lesquelles l’écart est positif pour au-moins 4 semaines consécutives, avec au-moins une où il est supérieur à 4 sigma*
Ce critère fait aussi ressortir un dernier trimestre 2020 assez exceptionnel pour les 50 à 74 ans. Il faudrait peut-être s’intéresser aussi au vaccin contre la grippe édition 2020 ?.
Et sinon, je songe à regarder du côté des naissances...
Bien à vous,
*(sigma = racine de la moyenne des carrés des écarts à la tendance sur 2015 — 2018)
@Décoder l’éco
Aaaah !... je crois avoir (enfin) compris : dans votre étude, les « décès attendus » ne sont pas calculés à partir d’un taux de mortalité moyen sur une période de référence (qui fait intervenir un effectif de population peu précis) mais à partir d’une tendance du nombre de décès (qui lui est précis).
Hé, hé... je vais encore retourner mouliner tout ça.
Je vous rejoins d’ores et déjà quant au fait qu’il ne faut pas s’illusionner sur un éventuel scandale avec procès et tout et tout... du moins pas à court terme.
Simplement, être lucide sur un n-ième « crime parfait » en cours. ;-/
@Décoder l’éco
Bonjour,
J’ai affiné mes graphiques qui représentent l’écart relatif du nombre de décès par rapport à la moyenne 2015-2018.Ce faisant, vous devriez voir que pendant cet été 2021, la courbe des jeunes quitte sa tendance.
Pour les classes d’âges sous 65 ans (0 — 14, 15 — 24, 25 — 49 et 50 — 64), il apparaît en effet une inversion de la tendance en S2 2021, c’est très net chez les 15 — 24 ans.
@Décoder l’éco
Merci pour votre réponse détaillée. Je vais creuser cela.
@Pemile : Merci pour votre retour enthousiaste à ma présentation.
Cependant, je confirme que, lors de mes précédentes objections à des articles de Pierre, il avait pris le temps de m’apporter des réponses tout à fait instructives et convaincantes.
J’avoue également m’interroger quant à l’existence d’un virus qui se transmettrait par contagion. Sur cet aspect je n’ai aucune certitude, ni envers la croyance dominante ni envers les dissidentes. Je suis sceptique et j’essaye d’y voir plus clair !
Pour compléter, je propose une représentation de l’écart entre le nombre de décès constatés et le nombre de décès « attendus » sur la base de 2015-2018 (en pourcentage du nombre de décès constatés).
Voilà, je remis l’ouvrage sur le métier, cette fois en n’utilisant que les registres de décès nominatifs de l’INSEE. Me voilà sur le bon chemin de la recommandation de l’auteur « fait des statistiques au lieu de dormir ! »
Je me suis aperçu qu’une erreur d’agrégation des données s’étaient glissée dans un de mes tableaux. J’obtiens maintenant pour 2019 un taux de mortalité qui évolue dans la moyenne 2015 — 2018.
À propos des décès qui seraient enregistrés plusieurs fois (valeurs identiques pour les champs Nom_Prénom, Date_Naissance et Date_Décès) : il y en a effectivement quelques uns, mais ils sont très peu nombreux.
Pour les tranches « 25 - 49 ans » et « 50 - 64 ans » en 2017 et 2018, les décès comptés en trop représentent moins de 0,5 pour mille.
En 2019, je n’ai trouvé que 4 décès comptés 2 fois, tous concernant des femmes au-delà de 75 ans.
En conclusion, rien dans les courbes d’évolution du taux de mortalité sur l’année en comparaison des années précédentes n’indique de sur-mortalité à partir de mi-2021. ( courbes et des modalités de calculs )
Cela me chagrine de ne pas pouvoir mettre en évidence en France quelque chose qui recouperait ce que signale l’auteur (ainsi que les auteurs de la pétition au Sénat).
On peut questionner la fiabilité des données de l’INSEE... mais alors comment pouvoir espérer argumenter solidement avec une autre personne si le phénomène annoncé ne se voit pas sur les statistiques nationales disponibles ?
@pemile
Merci pour ces indications précieuses.
Je vais donc remouliner la tambouille en n’utilisant que les fichiers nominatifs individuels en prenant soin d’éliminer les doublons autant que possible.
PS :
Je partage ici mes difficultés à faire apparaître une éventuelle sur-mortalité des derniers mois à partir des données de l’INSEE mais je précise que je suis un amateur en la matière !
Je comprendrais que l’auteur ou les lecteurs ne consacrent pas de temps à explorer mes quelques études tant je n’exclue pas d’y avoir fait de grossières erreurs.
Sur les courbes que j’ai générées pour les tranches sous 65 ans (0 — 24, 25 — 49 et 50 — 64), je m’aperçois que les taux de mortalités pour les années 2015 à 2018 sont globalement supérieurs à ceux pour 2019 — 2022.
Or, pour 2019 — 2022, j’ai utilisé des fichiers INSEE de décès quotidiens par jour et par classe d’âge.
Par contre, pour 2015 à 2018, j’ai utilisé les fichiers INSEE de décès individuels, à partir desquels j’ai établi un nombre de décès par jour et par classe d’âge.
Peut-être que ces deux types de fichiers ne sont en fait pas cohérents (pour des raisons qui m’échappent).
Bonsoir et merci pour votre réponse rapide.
De mon côté j’ai ressorti mes fichiers élaborés à l’automne, j’ai complété avec les données de décès fournies par le dernier fichier de l’INSEE (au 24 mars).
J’ai calculé, pour chaque tranche d’âges, le taux de mortalité quotidien (selon méthode déjà discutée).
Ensuite, j’ai sorti la représentation sur 12 mois de ce taux pour 2015 à février 2022.
J’ai encore dû me gourrer quelque part car il n’apparaît aucun excès de mortalité sous 65 ans ces derniers mois.
heureusement que ce n’est pas noté !
Les graphiques sont ici : https://md.roflcopter.fr/Jec2vSQ4SoGDz39zVob0VQ#
Bonjour et grand merci à l’auteur pour ce travail fourni et précis.
J’aimerais avoir un ordre de grandeur du nombre de décès en excès dans cette tranche d’âge (15 — 44) en France sur, disons août — janvier inclus.
Quelqu’un aurait-il fait le calcul (en utilisant l’une ou l’autre méthode de projection expliquée par l’auteur — voire les deux !) ?
Pas trouvé dans le fil des commentaires...
Dans cette vidéo du 6 novembre (5’), l’avocat Maître Carlo Brusa évoque une expérience menée le jeudi 4 novembre constatée par un huissier de justice.
Cette expérience a mis en évidence le phénomène présenté dans cet article, à savoir que certaines personnes ayant reçu les injections “anti-covid” émettent un signal Bluetooth. (Maître Brusa parle de “codes alphanumériques” pour désigner les codes MAC).
Il note que cette observation rejoint celle constatée quelques jours auparavant par un huissier à Nouméa.
Il insiste sur le fait qu’un huissier n’établit pas un constat à la légère ...
(Le constat d’huissier ainsi que la vidéo de l’expérience ne sont pas
rendus publiques car une procédure judiciaire est en cours.)
Après essais complémentaires, il s’avère que l’appli de « contact tracing » TousAntiCovid (TAC) ne permet pas d’expliquer ce qui a été observé.
En effet, l’activation de la fonction « traçage » implique la mise en route du BT et le smartphone devient identifié. Il n’y a pas moyen pour l’utilisateur d’empêcher que l’étiquette du smartphone ne soit diffusée.
Ainsi, si l’appli TAC était la source des codes mystérieux, on devrait voir s’afficher au-moins autant d’étiquettes de smartphone, ce qui n’est pas le cas.
@eau-pression
J’ai testé l’adresse mél, test réussi. Et rien dans les indésirables. Bizarre. Pas de confusion « _ » et « - » ?
Certes, ce sujet n’est pas anodin, pas plus que celui de la prétendue dangerosité et inefficacité de l’hydroxycholoroquine, de la prétendue contagiosité des asymptomatiques, de la prétendue validité des tests PCR,...
Sur tous ces aspects, mais aussi plein d’autres qui ont façonnés les comportements des individus ces dernières décennies, les preuves d’abus de confiance sont pléthoriques...dès lors qu’on les voit !
Vous êtes peut-être particulièrement sensible aux preuves dans le domaine statistique, comme j’ai été particulièrement sensible à celles dans le domaine de la métallurgie et des structures.
Quoiqu’il en soit, notre situation est un peu celle de quelqu’un (A) qui voudrait convaincre son(sa) meilleur(e) ami(e) (B) qu’il/elle est honteusement « trompé-e » par son/sa conjoint-e (C). Tant que la personne B est sous emprise, elle persiste à éluder tout ce qui pourrait la sortir de son emprise et s’en réfère à C, précisément la personne qui abuse de sa confiance !!
Chacun peut imaginer la scène : B à C : « A m’a dit que blabla... Il m’a même montré une photo,... » . C à B : « mais comment tu peux croire A, oui cette photo... mais c’est pas du tout ce qu’il t’a dit, et blabla »... (éventuellement jouer sur la colère et/ou la culpabilité)... et ça marche, tout au moins pour une masse suffisamment importante de personnes !
C’est une chose que de découvrir les (énôooormes) failles des discours dont nous sommes abreuvés, s’en est une autre de comprendre les ressorts psychiques qui permettent ces mensonges à grande échelle, une autre encore de cerner s’il y a une intention et, si oui, de qui...
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