Bonjour,
J’ai hésité la blague des cousins Ulé mais elle me fait bien rire. N’hésite pas à m’indiquer les plus grosses fautes que tu as trouvé (on peut améliorer son orthographe à tout âge).
« encore faut il trouver l acheteur intéressé par la propriété collective ».
En fait je part de l’expérience que j’ai dans un pays où il y a un marché de immobilier de la coop d’habitation aussi actif que celui de la propriété classique.
Evidement en France ce type de marché est une niche et comme tous les marchés de niche il peut y avoir des blocages fautes d’information et de connaissance de la coop.
Par ailleurs il n’y a pas « sur-valorisation » mais une valorisation avec des paramètres différents (dont un effet de levier). Je précise bien que la forte volatilité peu aller dans un sens et dans l’autre.
Sinon c’est vrai que comme on doit habiter le logement qu’on acquière c’est pas de la spéculation « professionnelle » mais juste une volatilité induite.