Je me suis beaucoup amusée pendant toute la lecture de ce récit.
D’autant qu’au départ, il rejoint presque ma propre croyance, à savoir que nous ne nous éteignons pas définitivement, selon le principe d’Antoine Lavoisier : « Rien ne meurt, rien ne se crée, tout se transforme ».
Ainsi, je suis persuadée ne pas disparaître mais ne m’imagine dans les limbes que de façon transitoire, le temps de me transformer en végétal, animal, ...
Mais, ce récit, qui n’est pas si « puéril » que l’auteur veut le faire croire, non seulement amuse mais il amène à réfléchir.
« Ah bon ! À quoi ? » Demanderont des sceptiques. Eh, bien, selon l’auberge espagnole, peut-être déjà à ce que l’on veut y trouver et, pour les plus curieux et désireux d’apprendre, ils y trouveront d’infinies possibilités de cogiter.
Bonjour Fergus,
et merci pour vos interventions.
J’ai copié le lien de votre publication et j’en prendrai connaissance un peu plus tard. Dans l’immédiat j’ai du travail qui m’attend et va me demander du temps.
Mais j’aime travailler et j’y prends toujours grand plaisir.
Je suis contente de constater que mon petit conte sans prétention a suscité autant d’échanges. De fait, je souhaitais alerter sur ce débat qui va avoir lieu demain à l’Assemblée (lors de la niche parlementaire de La France insoumise à l’Assemblée nationale, le député de Paris Aymeric Caron soumettra au vote un texte visant à abolir la corrida), celles et ceux qui souhaitent se prononcer contre la corrida et n’ont pas encore signé ce manifeste : https://lp.la-spa.fr/stopcorrida/
Toujours très cordialement,
@bouffon(s) du roi
Bien sûr, vous ne pensez pas un seul instant qu’un avocat puisse être vénal et qu’il profite de ce fait sordide pour se faire de la publicité et, par voie de conséquence, s’attirer beaucoup de client ?
Bien sûr, vous pensez, comme toute personne normalement constituée, que l’avocat est satisfait de seulement avoir le pouvoir de faire acquitter de pauvres individus victimes de leur tradition.
@alinea
Tiens, voilà revenu le moralisateur.
Vous m’auriez manqué si vous n’étiez pas intervenu.
Et d’un, j’ai trop d’amour et de respect pour les animaux pour les comparer aux humains. Je ne connais pas d’animaux qui violent d’autres animaux, qui torturent d’autres animaux (et ne m’opposez pas les chats ; il n’a jamais été prouvé qu’ils s’amusaient avec leurs proies pour le plaisir de les faire souffrir).
Ah, oui, que je vous dise, je ne mange pas d’animaux. Je m’amuse seulement à arracher les ailes des marmottes et à couper les pattes des escargots.
Bonjour à vous et merci pour cet article
Je le dis de suite, je suis anti-corrida
comme je suis anti tout ce qui apporte souffrance autant aux humains qu’aux animaux.
Par contre, je crois que l’argument d’Aymeric Caron, quant au fait que l’on ne peut parler de tradition s’agissant de corrida français, ne convaincra jamais les aficionados.
Ce, d’autant plus que, la première corrida française s’est déroulée à Bayonne en 1853 ce qui, jusqu’à nos jours, représente grosso modo 5 générations d’individus et, qu’à ma connaissance, il n’existe pas de date pour comptabiliser le début d’une tradition.
Par ailleurs, l’article 521-1 ne concerne en aucun cas les taureaux. Il est prévu pour protéger les animaux domestiques et les animaux de cirque. Il ne concerne même pas les coqs qui sont pourtant des animaux domestiques que les humains font se combattre.
Je crois donc qu’il faut donner une autre dimension à la défense des animaux - mais, j’avoue que, personnellement, ça ne m’ennuiera jamais qu’on tue les moustiques.
Cordialement.
Bonjour,
Je suis effarée par le nombre de commentateurs jouissant d’une culture historique incontestable. J’aurai grand plaisir à lire leurs prochains articles publiés sur AgoraVox.
S’agissant du présent article, je le trouve infiniment enrichissant pour qui s’intéresse à l’histoire russe si passionnante
@lecoindubonsens
Merci pour votre commentaire
qui est à l’image très exacte de votre pseudo.
Je n’ai donc rien à y ajouter sinon vous remercier d’avoir pris le temps de le lire et surtout d’avoir si bien su l’interpréter.
Cordialement,
@Decouz
merci pour votre commentaire,
Il est fort possible que certaines régions chinoises se soient nourries de chien mais le plat le plus apprécié (et le plus onéreux et donc servis aux riches chinois) était la cervelle de singe mangée dans le crâne d’un singe vivant.
Il est exact (et vous en avez apporté la preuve) que des boucheries canines ont existé en France. Et vous auriez pu ajouter que les animaux vivant aux zoo du Jardin des Plantes de Paris ont été mangé en 1870. Parce que la viande manquait, bien sûr, mais aussi parce que, culinairement, les rats étaient trop difficiles à préparer.
Mais qui sommes nous pour juger ces gens qui étaient affamés alors que nous prenons plaisir à manger des huîtres et en particulier pendant les repas de fêtes.
Cordialement,
@Gégène
et merci pour votre commentaire
Alors on fait quoi quand la tradition permet toutes les exactions ?
C’est bien la question que je pose à chacun en usant d’une histoire facile à lire par le biais de ce petit conte volontairement naïf.
Cordialement,
@bouffon(s) du roi
Bonjour et merci pour votre commentaire,
Par contre, je m’interroge, qui, selon vous, obtient le plus de bonheur dans ce conte ?
Au plaisir,
@Clark Kent
bonjour
Rassurez-vous, il y en a au moins une qui connaît la signification de litote et je conteste votre définition : « figure de style qui consiste à renforcer une affirmation par la négation de son contraire ».
Que pensez-vous d’énantiosémie ?
Parce que, litote, c’est une atténuation. À savoir en dire moins que ce que l’on pense. Exemple, « Je le trouve impertinent » au lieu de « Je le trouve outrecuidant ».
Cordialement
@Aristide
1 !
Pour ma part, j’ai l’impression qu’il y en a d’autres que JL. Et celui-là, je le verrais plutôt comme un Néron des temps modernes.
@Aristide
Bonjour,
Reconnaissez quand même que c’était dit sans cruauté.
Cordialement
@mursili
Rassurez-vous, je suis née sous le signe du crabe.
N’en déduisez pas que j’en pince pour Emmanuel Macron , c’est seulement que je suis dotée d’une carapace à toute épreuve.
Je suis ravie, par ailleurs, de lire votre commentaire, cette fois plein de bon sens. Même lorsque nous sommes en désaccord, je respecte toujours les personnes intelligentes.
Cordialement,
@pemile
Bonjour,
C’est tout simplement une question de définition du verbe juger. Le vocabulaire français est très piégeux.
Je l’utilise ici dans le sens de porter une appréciation.
« En espérant qu’il ne se rêve pas roi ou empereur ? ».
Pour se faire décapiter ou envoyer en exil sur une île hostile ? Le président de la république a trop de bon sens pour aspirer à ce destin.
Cordialement,
@samy Levrai
Bonjour,
Je suis tellement navrée que vous pensiez être très en dessous le la moyenne.
Je ne vous connais pas mais je veux croire que vous vous dévalorisez sans fondement.
Bon après-midi.
@Octave Lebel
Très intéressant. Mais il m’aurait paru plus logique que vous me taxiez de naïveté plutôt que me considérer auteur de conte, ce qui demande quand même une bonne dose d’imagination.
Quant à savourer les discussions qui s’ensuivent, je ne pense pas que l’Agora soit le meilleur endroit pour savourer les commentaires publiés.
Voyez un peu comme nos opinions diffèrent. Moi, ce qui m’apparaît comme un conte, c’est justement ceci :
« ... une véritable démocratie qui imposera une répartition équitable des richesses et un droit de regard et d’évaluation sur le pilotage de l’économie et ses choix structurels ainsi que sur les traités internationaux. »
Cordialement,
@Buzzcocks
Bonjour,
Je sais que publier ce genre d’article peut paraître courageux mais, en fait, il ne s’agit pas de courage.
J’ai publié pas mal d’articles sur l’Agora, dont beaucoup sous un autre pseudo, de 2007 à 2017. Date à laquelle je me suis arrêtée suite à des problèmes de santé.
J’avoue que les commentaires qui ont accueilli mes premiers articles m’ont blessée (pourquoi tant de haine ?). Mais finalement, j’ai estimé que c’était une bonne école pour apprendre à relativiser, à se « carapacer », et j’ai persisté sans jamais renoncer à mes convictions. Et parce que j’ai persisté, je me suis vite rendu compte que la plupart des commentateurs n’étaient là que pour déverser leur fiel.
Depuis, je me fiche éperdument des déjections de cette catégorie de frustrés et je ne m’intéresse qu’aux commentaires de rédacteurs ou lecteurs toujours intéressants à lire et qui, parfois m’apprennent quelque chose, toujours me font réfléchir.
Merci pour le vôtre dont j’ai pris connaissance avec beaucoup d’intérêt.
Cordialement,
@mursili
Bonjour,
« ... cet article volontairement extrêmement médiocre ».
Non, non, croyez-moi, ce n’était pas volontaire, ce qui est encore pire
Et c’est tellement gentil à vous de me reconnaître un talent. Croyez bien que je suis éperdue de reconnaissance pour ce compliment que vous m’accordez si généreusement.
Bonne digestion
@leypanou
Bonjour,
« ... quelqu’un qui a besoin d’une dose de rappel. »
Ce n’est pas un commentaire ; c’est une énigme.
Bon après-midi
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