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Les commentaires de RBEYEUR



  • RBEYEUR 13 février 2014 13:54

    « …Alors que les milieux d’affaires font savoir haut et fort que seule une réduction du SMIC de 20 % est susceptible de relancer et sauver l’économie française, faisant ainsi peser sur les épaules des plus fragiles et des plus démunis le poids de la responsabilité collective, …. ».

    Déjà habitués aux inépuisables sornettes de l’auteur, ce boniment supplémentaire ne pourrait que faire sourire.

    Toutefois, ces larmes versées sur les plus fragiles et les plus démunis procèdent  d’un cynisme particulièrement puant, en regard des tous nouveaux contribuables qui furent « élus » en mai 2012 avec l’élection de  « moi-président-pour-le-changement-maintenant  ».

    En effet, ces malheureux, qui n’avaient jamais subi le gangstérisme fiscal direct de leur vie, sont impitoyablement, systématiquement et scientifiquement rackettés par la fiscalité directe depuis l’exercice 2012.

    Est-ce vraiment comparable à une hypothétique réduction du SMIG ?

    Ne serait-il pas plus intelligent d’éradiquer, d’abord, le collectivisme rampant dont l’inéluctable progression ruine rédhibitoirement notre pays depuis mai 2012 ?   



  • RBEYEUR 4 février 2014 12:40

    De vialesnouvelles, le 4 février à 0h55 :

    « ….j’ai comme l’impression que le mot « fascisme » est désormais dans toutes les bouches sans exception , même chez ceux d’extrème droite qui s’en servent désormais comme d’une insulte envers les gens de gauche, c’est dire. et donc vomi par tout le monde…. ».

    Le « fascisme » fut inventé par Benito MUSSOLINI, petit instituteur ayant amorcé la politique comme cadre du parti socialiste italien

    Ensuite, comment qualifier un parti politique qui impose autoritairement une loi bouleversant et désorganisant la société dans ses structures intimes les plus fondamentales, ceci en ne s’appuyant que sur 24,68% de l’expression de la souveraineté du peuple ?    

    Si ce n’est pas du « fascisme » c’est quoi ?



  • RBEYEUR 3 février 2014 23:40

    « …dès l’instant que la loi est adoptée, elle s’applique pour tous, précisément. Là est un des principes fondamentaux de notre démocratie et de son équilibre. Dès lors, manifester n’est plus un droit mais bel et bien un délit d’insoumission…. »

    Insoumission ?

    Il s’agit tout simplement de dire que la loi sur le mariage libre se nie d’elle-même dès lors qu’elle :

    — - Sacralise la sodomie dans le code civil.

    — - Sublimise la sodomie dans l’état civil de la famille.

    — - Conchie l’anthropologie.

    — - Conchie l’œcuménisme religieux de l’homme et de la femme.

    — - Conchie les fondements de toute confession.

    — - Conchie le droit naturel.

    Mais comment dire que cette loi scélérate, adoptée dans la plus pure tradition de l’imposture socialiste (veuillez pardonner le pléonasme) s’impose à tous ?

    En effet, elle fut votée par une assemblée nationale comportant une majorité de gauche détenue par 314 sièges sur 577, alors même que cette majorité ne fut  obtenue que par une base électorale de 10.668.159 voix sur  43.234.000 électeurs inscrits.

    Soit une loi incontestablement fasciste puisqu’imposée au pays par la seule volonté de 24,68% de ses citoyens !



  • RBEYEUR 2 février 2014 17:17

    « moi-président  » vient d’exploiter, jusqu’à la trame,  l’une des nombreuses turpitudes lui ayant permis de s’installer dix-huit mois au plus haut des ors de la république, il s’agit de la mystification selon laquelle il eut été possible d’inverser la courbe du chômage en dix-huit mois…

    Cette duperie est telle que même un bambin eut été capable de la dénoncer …  

    Bien évidemment, « moi-président  »  ne songe nullement à réparer cet abus de confiance en démissionnant puisqu’il a pris goût à cette panacée monarchique lui ayant été offert par la profonde imbécilité de ceux qui l’ont élu…

    Cramponné à cet os présidentiel inespéré, il extrait de sa musette l’une des nombreuses turpitudes qui s’y trouvent : la croissance

    Aberration encore plus inepte que l’inversion de la courbe du chômage, sottise sur laquelle sautent à pieds joints nombre de thuriféraires du système, notamment l’auteur de l’article objet du présent fil…

    LA CROISSANCE ?   

    Où ? Comment ? Par quoi ? Jusqu’où ?

    1° hypothèse :
    On achète une deuxième, une troisième, un nième voiture en détruisant, le cas échéant, les plus anciennes…
    On détruit cycliquement tous nos équipements pour les remplacer.
    Ce faisant, on multiplie les unités de fabrication nécessaires à la fourniture de ces rééquipements en les doublant par des unités de défabrication des produits remplacés.
    On crée ainsi un cycle : fabrication/défabrication, dont on peut régler la fréquence pour obtenir le taux de croissance voulu…
    Voilà !

    2° hypothèse :
    On provoque la croissance de la pauvreté en reconstituant la population de démunis telle qu’elle figurait dans les années 1950/1960.
    Ce faisant, on crée de toutes pièces le taux de croissance à deux chiffres qui y existait en promouvant les rééquipements des pauvres par la dominance bancaire.
    Voilà !

    3° Etc.

    Mais que penser d’un objectif sociétal !?

    Au lieu, par exemple, de prioriser la sacralisation de la sodomie par monsieur le maire, l’IVG intégrale totalement prise en charge par la collectivité, l’emploi des jeunes rémunérés par les contribuables, etc., ne serait-il pas mieux d’envisager, tout d’abord, une CROISSANCE SOCIALEMENT ET PROSPECTIVEMENT RÉFLÉCHIE, quitte à concevoir des  décroissances conjoncturelles permettant,  à moyen terme, une croissance pondérée, harmonieuse et pérenne au bénéfice de l’ensemble de la société…



  • RBEYEUR 2 février 2014 12:13

    Guérir le malade en le tuant ?



  • RBEYEUR 17 janvier 2014 18:36

    De ROBERT GIL, le 17 janvier à 13h16 :

    «  et pendant ce temps, LES ACTIONNAIRES DU CAC 40 NE CONNAISSENT PAS LA CRISE dans l’indifference generale ! Mais que fait Dieudonné ! ».

    Qu’est-ce que ces salauds d’actionnaires du CAC 40 qui attirent et accumulent des richesses illimitées sans être le moins du monde inquiétés par la loi ?

    Qu’est-ce que ce salaud de Dieudonné dont les châtiments, infligés par la sainte inquisition du strictement correct  et de la pensée immaculée,  lui apportent des millions de fans supplémentaires  ?

    Mais que peut-on donc faire contre le succès insolent de ces charognes qui osent oublier d’être cons ?

    Au secours ROBERT GIL !



  • RBEYEUR 14 janvier 2014 19:09

    AFFAIRE PUBLIQUE / AFFAIRE PRIVÉE

    La sécurité personnelle du président procédant de notre sécurité institutionnelle, ses « escapades » sentimentales procèdent donc, au premier chef, d’affaires publiques, confidentielles certes, mais d’affaires publiques quand même liées à l’intégrité de notre gouvernance…

    Mais les « escapades » sentimentales du président procèdent, au deuxième chef, d’une affaire publique liée aux règles d’état civil spéciales applicables au président.

    En effet, les titulaires précédents de la fonction étaient tous mariés, signifiant ainsi que l’épouse du président devient ipso facto la « présidente d’état civil », dotée de l’environnement protocolaire et institutionnel qui s’y attache.

    Il en découle que les comportements « privés » du président n’ont, dans ce cadre, aucune incidence sur les institutions.

    Mais nous sommes aujourd’hui dans une situation où le président, tout en étant célibataire, a installé la concubine de son choix dans une situation de « pseudo présidente d’état civil », laquelle est dotée, en conséquence, de  l’environnement protocolaire et institutionnel normalement alloué à l’épouse en titre du président...

    Ceci étant posé, le dernier comportement « privé » du président fait apparaître, au vu et au su de tous, une deuxième concubine !?

    Y aura-t-il donc une deuxième « pseudo présidente d’état civil » dotée d’un deuxième environnement protocolaire et institutionnel ?

    Ce faisant, serions-nous alors dans une situation virtuelle de polygamie présidentielle ?  



  • RBEYEUR 14 janvier 2014 10:23

    @mortelune : Bien dit !



  • RBEYEUR 13 janvier 2014 18:59

    De « Fifi brind acier », le 13 janvier à 18h52 :

    « Dieudonné sert à tout. Il sert à Vals et à Filipetti à justifier les dérives de l’ Europe sécuritaire sur le modèle du Patriot Act . Et il sert au FN à justifier l’organisation d’une manifestation « sous fausse bannière », appelée Jour de Colère« , le 26 janvier.  » L’ UPR refuse de se joindre à la manifestation Jour de colère" Il est possible aussi que cela serve de paravent à une alliance entre le FN et la Droite de l’ UMP, comme le souhaite Marion Maréchal Le Pen. Tout cela ne concerne en rien les Républicains de ce pays. Ne vous laissez pas enfumer par l’extrême-droite, dont Dieudonné et Soral sont la branche islamique chiite. Centre Zahra. ».

    Et si « Fifi brind acier » était l’un des pseudonymes de François ASSELINEAU ? 

    Soit le CV succinct de ce dernier repris sur son site : http://www.upr.fr/francois-asselineau :
    — Bachelier scientifique mention très bien (mazette !), HEC, ENA et inspection générale des finances.
    — Énarque, il est au plus haut de l’État français sur le tripode indicible  : conseil d’État, cour des comptes et inspection générale des finances. 

    — Il a été collaborateur de Gérard LONGUET, ce dernier ayant été membre des mouvements d’extrême droite « OCCIDENT » et du « GUD », ayant rédigé le programme économique du FN à la fondation de celui-ci, ayant été constamment trempé dans de multiples turpitudes judiciaires dont Google regorge…

    — Il a été collaborateur de Charles PASQUA

    — Etc…



  • RBEYEUR 13 janvier 2014 18:50

    De « Fifi brind acier », le 13 janvier à 18h33 :

    « Quelques infos pour ceux qui n’ont pas encore compris qui étaient Dieudonné et Soral : Ils se sont présentés à des élections sous la bannière « Parti anti-sioniste » , issu d’une organisation musulmane chiite, proche du régime iranien et du Hezbollah libanais, le Centre Zahra. Ce qui est parfaitement leur droit, mais qui n’apparaît dans aucun commentaire sur Agoravox, depuis le début de cette affaire. Centre Zahra Ce sont donc des hommes politiques engagés dans un mouvement chiite, pro palestinien, pro iranien et pro Assad, mais liés à la mouvance de la droite extrême.« L’extrême droite est une nébuleuse » « Liste des groupes d’extrême droite depuis 1945 » ».

    Et si « Fifi brind acier » était l’un des pseudonymes de François ASSELINEAU ? 

    Soit le CV succinct de ce dernier repris sur son site : http://www.upr.fr/francois-asselineau :
    — Bachelier scientifique mention très bien (mazette !), HEC, ENA et inspection générale des finances.
    — Énarque, il est au plus haut de l’État français sur le tripode indicible  : conseil d’État, cour des comptes et inspection générale des finances. 

    — Il a été collaborateur de Gérard LONGUET, ce dernier ayant été membre des mouvements d’extrême droite « OCCIDENT » et du « GUD », ayant rédigé le programme économique du FN à la fondation de celui-ci, ayant été constamment trempé dans de multiples turpitudes judiciaires dont Google regorge…

    — Il a été collaborateur de Charles PASQUA

    — Etc….




  • RBEYEUR 13 janvier 2014 01:11

    De « Fifi brind acier », le 12 janvier à 19h10 :

    « …R. BEYEUR, Vous prenez vos désirs pour des réalités..........Les incultes, ça ose tout, c’est même à ça qu’on les reconnaît......Relisez la charte des commentaires d’ Agoravox : ‘ Vérifier la véracité de vos affirmations et citez vos sources ‘….. ».

    Le texte ci-dessus s’ajoute à beaucoup d’autres du même auteur démontrant, à l’évidence, un analphabétisme social, civil et culturel relativement courant.

    Quant à mes sources relatives au fait que les chaumières françaises ont toujours suinté l’antisémitisme, elles  sont aveuglantes dans tous les abécédaires de notre histoire.

    Maintenant, s’il faut apprendre l’alphabet, la lecture puis les explications de textes à « Fifi brind acier », dans ce domaine comme dans certains autres, alors…



  • RBEYEUR 12 janvier 2014 18:41

    DE QUOI ACCUSE-T-ON DIEUDONNÉ ?

    D’antisémitisme !?

    Ce n’est vraiment pas rédhibitoire puisque, depuis des millénaires, les chaumières françaises ont toujours suinté l’antisémitisme…

    Mais au-delà, ce qui est rédhibitoire c’est que Dieudonné est suivi par le peuple, non pas par quelques quidams mais par le peuple ! Le fonds du peuple ! Celui qui, se sentant profondément meurtri dans ses fondamentaux, se moque éperdument de l’antisémitisme et de n’importe quelle autre considération dès lors qu’il y a  aggravation de l’insatisfaction des nécessités vitales…

    L’angoisse saisit alors les bras cassés et les canards boiteux qui nous gouvernent en les plongeant dans  leurs glapissements habituels de rosières et de vierges outragées, conformes à l’idéologie socialiste (La négation des résultats appelle l’imprécation contre ceux qui en sont démunis  !).

    Il y eu les sodomites, il y a  les juifs, et demain ? Et après-demain ?



  • RBEYEUR 10 janvier 2014 12:56

    COMMENT POUVOIR ACCUSER DIEUDONNÉ ?

    Que représente la négation humoristique présumée de la shoah par Dieudonné comparée à la négation de l’hécatombe routière.

    Au nom même de l’état de droit, il est intéressant d’associer les processus de ces deux négations dans leurs conséquences respectives.

    Concernant les conséquences de la négation de l’hécatombe routière, il s’agit :

    — - De quatre mille morts par an, soit une ville comme FORCALQUIER disparaissant chaque année !

    — - De cent mille blessés par an, soit une ville comme NANCY devenant grabataire chaque année, dont une partie non négligeable se trouve condamnée à circuler en chaise roulante jusqu’à la fin de son existence !

    Si nul ne peut nier le génocide juif d’il y a soixante-dix an, qui peut nier le génocide routier s’imposant quotidiennement  aujourd’hui ?

    Il s’agit d’une incompressible tuerie, inéluctablement entretenue par l’impéritie et l’impotence endémique du pouvoir politique qui, sans la moindre démarche de recherche d’une solution réelle, sérieuse et pérenne, se réfugie derechef dans une coercition policière systématique

    Mon article : "CEUX QUI VONT MOURIR TE SALUENT" traite exhaustivement de cette question en renvoyant à des références juridiques  précises et incontestables et, surtout, proposant une sécurité routière qui, utilisant les actuelles technologies, est conforme à la sauvegarde collective et au respect de l’état de droit.

    Mais agoravox refusait de le publier en évoquant le refus majoritaire du tabernacle des « modérateurs », c’est-à-dire, la censure de ceux qui, ayant réussi à entrer dans le sérail par la publication d’un article, sont admis à faire barrage à toute publication qui ne va pas bien avec le sentiment général...

    Comme quoi la circulaire de Manuel VALLS a des émules au sein même des « médias citoyens »…

    Mais cet article est néanmoins consultable sous le lien :
    http://blogs.mediapart.fr/blog/rbeyeur.

    Concernant la négation de la shoah incriminant Dieudonné, mon article relate certaines similitudes entre les dispositions pétainistes visant les juifs et les dispositions actuelles visant les automobilistes.

    Concernant la négation de l’hécatombe routière il s’agit, notamment, de l’article L121-3 du code de la route :
    http://www.legifrance.gouv.fr/affichCode.do ;jsessionid=D2097FFE5BD9D473CD01EE170CDDF32D.tpdjo16v_2?idSectionTA=LEGISCTA000006159506&cidTexte=LEGITEXT000006074228&dateTexte=20131020.
    « Par dérogation aux dispositions de l’article L. 121-1, le titulaire du certificat d’immatriculation du véhicule est redevable pécuniairement de l’amende encourue pour des contraventions à la réglementation sur les vitesses maximales autorisées, sur le respect des distances de sécurité entre les véhicules, sur l’usage de voies et chaussées réservées à certaines catégories de véhicules et sur les signalisations imposant l’arrêt des véhicules, à moins qu’il n’établisse l’existence d’un vol ou de tout autre événement de force majeure ou qu’il n’apporte tous éléments permettant d’établir qu’il n’est pas l’auteur véritable de l’infraction.
    La personne déclarée redevable en application des dispositions du présent article n’est pas responsable pénalement de l’infraction. Lorsque le tribunal de police ou la juridiction de proximité, y compris par ordonnance pénale, fait application des dispositions du présent article, sa décision ne donne pas lieu à inscription au casier judiciaire, ne peut être prise en compte pour la récidive et n’entraîne pas retrait des points affectés au permis de conduire. Les règles sur la contrainte judiciaire ne sont pas applicables au paiement de l’amende
    . ».

    Qui appelle les considérations qui suivent.

    Il n’y a contravention routière que lorsque le contrevenant est interpelé et identifié, au moment même de l’infraction, par le fonctionnaire de police judiciaire l’ayant relevée.

    Mais ce n’est absolument pas possible dans le cas d’une contravention relevée par les « radars routiers ».

    En effet, ceux-ci, qui fonctionnent en avatars de la fonction de police judiciaire, ne sont absolument pas en mesure d’interpeller et d’identifier le contrevenant au moment de l’infraction.

    Dans ce cas d’absence d’identification de ce contrevenant, ce texte permet alors d’impliquer directement le propriétaire du véhicule par neutralisation de l’article 121-1 du code pénal (« Nul n’est responsable pénalement que de son propre fait. »), grâce à un habile dispositif de délation.  

    En effet, il enjoint le propriétaire du véhicule à moucharder un conducteur fautif en menaçant ce propriétaire d’être déclaré « redevable pécuniairement de l’amende encourue pour la contravention devant échoir au conducteur qu’il est mis en demeure de dénoncer. ».

    En clair : « tu nous dénonces  un conducteur pour que l’on puisse  punir quelqu’un, sinon c’est toi qui sera puni  ».

    Il en découle que son refus de moucharder condamne le propriétaire à payer une « redevance » pour refus de délation.

    Curieusement, cette « redevance » est définie comme n’étant pas une sanction pénale alors même qu’elle ne peut pas non plus être une sanction civile puisqu’elle est prescrite par un texte pénal !?

    Il se trouve que cette sanction hors le droit est quand même appliquée par les juridictions pénales, malgré quelques scrupules comme le prouve, notamment, l’arrêt 07/00543 de la cour d’appel d’ORLÉANS rendu le 31 mars 2008, 

    (
    http://www.legifrance.gouv.fr/affichJuriJudi.do?oldAction=rechJuriJudi&idTexte=JURITEXT000018631667&fastReqId=971882077&fastPos=34),

    Soit un extrait de ses motivations :

    « Dès lors que la possibilité a été offerte à M. Pierre X... de donner le nom de la personne à laquelle le véhicule avait été confié le jour où l’infraction a été commise, identité qu’il ne peut ignorer dans sa position de chef d’entreprise, mais qu’il ne communique pas pour des raisons qui lui sont propres et dont la loi ne lui demande aucun compte, il ne peut soutenir, ainsi qu’il le fait que l’application des dispositions précitées le placent dans une situation où sa culpabilité est présumée en contradiction avec les dispositions de la Convention européenne des droits de l’homme.
    En effet, il n’existe pas d’incompatibilité entre les articles précités qui instituent une responsabilité pécuniaire, laquelle n’a pas de caractère pénal ainsi qu’en dispose explicitement l’article L. 121-3, et la Convention européenne des droits de l’homme, alors par ailleurs que le responsable pécuniaire fait présentement le choix de taire le nom de l’auteur de l’infraction pour lui éviter des poursuites.
    Dans ces conditions, le jugement sera intégralement confirmé dès lors que l’infraction a été constatée par un procès-verbal régulier dont la force probante est entière et que le premier juge a prononcé une juste sanction,
    sauf à dire que l’amende, prévue par un texte pénal à titre de sanction d’une infraction, n’a pas un caractère civil. ».

    Cette juridiction, bien évidemment contrainte à la stricte interprétation des textes, relève quand même :

    — - Que le prévenu, chef d’entreprise, ne communique pas le nom du conducteur du véhicule incriminé pour des raisons qui lui sont propres et dont la loi ne lui demande aucun compte  
    La cour souligne ainsi que le temps des lois des suspects, du cafardage institué et de la pénalisation du refus de délation, est révolu !

    — - Que l’article L. 123-3 du code de la route est compatible avec la convention européenne des droits de l’homme…. s
    auf à dire que l’amende, prévue par un texte pénal à titre de sanction d’une infraction, n’a pas un caractère civil.

    Nonobstant, cet article L121-3 du code de la route n’a d’ubuesque que les apparences.

    En effet, la sanction hors le droit qu’il met en œuvre permet de contourner l’absence du délit de refus de délation dans le code pénal pour condamner quand même le propriétaire du véhicule.

    Il s’agit d’un mécanisme particulièrement scélérat permettant de punir n’importe qui au titre de n’importe quoi, sans qu’il y ait le  moindre motif dans le code pénal, ceci, par une sanction qui ressemble à une sanction pénale, qui a les effets d’une sanction pénale, mais qui n’est pas une sanction pénale…

    Répugnant procédé ne trouvant son explication que dans la pratique d’un pouvoir sans contrôle, donc sans limite, usant en l’espèce d’un intégriste punitif excluant toute retenue, toute morale et toute valeur humaine.

    Mais il convient de se souvenir que le « refus de délation » fut pénalisé dans notre histoire, y compris dans un passé récent, à savoir :

    — - La loi des suspects du 17 septembre 1793 (
    http://fr.wikisource.org/wiki/D%C3%A9cret_du_17_septembre_1793_relatif_aux_gens_suspects)

    — - La loi des suspects du 19 février 1858 (promulguée sous la période totalitaire du 2° empire).

    — - L’ordonnance du 10 décembre 1941 faisant obligation de dénoncer les juifs (
    http://d-d.natanson.pagesperso-orange.fr/autres_lois_antisemites.htm).

    Il se trouve que cet article L121-3 du code de la route adhère parfaitement aux dispositions des articles 5 et 8 de l’ordonnance du 10 décembre 1941 :

    — - Article 5 : « Les personnes juives ou non juives qui hébergeront des juifs, à quelque titre que ce soit, et même gracieusement, ou leur loueront des locaux garnis ou nus, devront faire au commissariat de police une déclaration spéciale, indiquant les nom, prénoms et état civil complet des intéressés, ainsi que le numéro, la date et le lieu de délivrance de la carte d’identité présentée. Cette déclaration devra être faite dans les vingt-quatre heures de l’arrivée du juif ou de la location. ». 

    — - Article 8 : « Les personnes qui ne se conformeront pas aux prescriptions ci-dessus seront passibles des peines de droit sans préjudices des sanctions administratives. Les juifs, notamment, pourront faire l’objet d’une mesure d’internement. ».

    En considérant la prospérité judiciaire de ce nauséabond article L121-3 du code de la route, où en est aujourd’hui la « patrie des droits de l’homme » ? 

    Si ce texte est d’origine règlementaire, à quoi sert le conseil d’État (qui vient d’annuler, en dernier ressort,  le spectacle de Dieudonné à NANTES) ?

    S’il est d’origine législative, à quoi sert le conseil constitutionnel ?



  • RBEYEUR 10 janvier 2014 12:32

    De « passtavie », le 9 janvier à 22h52 :

    « Toujours du dénigrement. Des grands mots, des auteurs... Mais le néant des arguments ………… ………….…. chez les chimpanzés le mâle alpha domine, mais quand celui-ci se montre trop despotique alors les dominés se révoltent et le tuent. Nous sommes proche génétiquement des chimpanzés, non ? ».

    Á propos du « néant des arguments », si nous sommes génétiquement proche des chimpanzés, l’actuelle ministre de la justice est alors légitimement assimilable à une guenon (« passtavie » dixit) !?



  • RBEYEUR 10 janvier 2014 00:56

    De « passtavie », le 9 janvier à 22h52 :

    « Toujours du dénigrement. Des grands mots, des auteurs... Mais le néant des arguments.
    Peut être la dernière phrase. Auquel je répondrais ceci : chez les chimpanzés le mâle alpha domine, mais quand celui-ci se montre trop despotique alors les dominés se révoltent et le tuent. Nous sommes proche génétiquement des chimpanzés, non ?
     ».

    Évoquerait-il le « néant des arguments » par imprégnation de ses propres écrits ?

    Aurai-je donc eu raison en disant : « total analphabétisme social, culturel et intellectuel »… 

    Serait-ce la cause fondamentale de la discrimination sociale ?

    Mais quoi faire en censurant les
    grands mots et, les auteurs pour se replier sur la sémantique « passtavie » (« caca boudin », « caca binet », caca crotte », etc..) ?

    C’est, selon moi, un des éléments sérieux d’explication de la discrimination sociale persistante depuis des millénaires…



  • RBEYEUR 9 janvier 2014 19:03

    De « sam turlupine », le 9 janvier à 18h02 :

    « Mais keski raconte ? ».

    Pour savoir il faut  d’abord apprendre l’alphabet puis, s’il reste miraculeusement un ou deux neurones, tenter d’apprendre à lire !

    Le mieux c’est quand même d’embaucher un précepteur.



  • RBEYEUR 9 janvier 2014 17:35

    COMMENT POUVOIR ACCUSER DIEUDONNÉ ?

    Que représente la négation humoristique présumée de la shoah par Dieudonné comparée à la négation institutionnelle de l’incompressible hécatombe routière.

    Il s’agit :

    — - De quatre mille morts par an, soit une ville comme FORCALQUIER  disparaissant chaque année !

    — - De cent mille blessés par an, soit une ville comme NANCY devenant grabataire chaque année, dont une partie non négligeable se trouve condamnée à circuler en chaise roulante jusqu’à la fin de son existence !

    Si nul ne peut nier le génocide juif d’il y a soixante-dix an, qui peut nier le génocide routier s’imposant au compte goute aujourd’hui ?
    Notamment :

    — - Les disparitions et atteintes physiques touchant irréductiblement notre famille, nos relations et notre environnement ?

    — - La crainte irrépressible qu’en empruntant notre voiture le matin nous ne sommes vraiment pas certains de revenir indemne le soir ?

    — - etc.

    Il s’agit d’une incompressible tuerie, inéluctablement entretenue par l’impéritie et l’impotence endémique du pouvoir politique qui, sans la moindre démarche de recherche d’une solution réelle, sérieuse  et pérenne, se réfugie derechef dans la coercition policière.

    Mon article : "CEUX QUI VONT MOURIR TE SALUENT" traite exhaustivement de cette question en renvoyant à des références circonstanciées, précises et incontestables et, surtout, proposant une sécurité routière qui, utilisant les actuelles technologies, est conforme à la sauvegarde collective et au respect de l’état de droit.
    Mais agoravox refusait de le publier en évoquant le refus majoritaire du tabernacle des « modérateurs », c’est-à-dire, la censure de ceux qui, ayant réussi à entrer dans le sérail par la publication d’un article, sont admis à faire barrage à toute publication qui ne va pas bien avec le sentiment général...
    Comme quoi la circulaire de Manuel VALLS a des émules au sein même des « médias citoyens »…
    Mais bon, cet article est néanmoins consultable sous le lien : http://blogs.mediapart.fr/blog/rbeyeur.

    Mais s’agissant de l’environnement ayant conduit à la shoah, mon article relate certaines similitudes entre les dispositions pétainistes visant les juifs et les dispositions mises en vigueur par l’actuel État policier visant les automobilistes.

    Soit l’article L121-3 du code de la route :
    http://www.legifrance.gouv.fr/affichCode.do ;jsessionid=D2097FFE5BD9D473CD01EE170CDDF32D.tpdjo16v_2?idSectionTA=LEGISCTA000006159506&cidTexte=LEGITEXT000006074228&dateTexte=20131020.
    « Par dérogation aux dispositions de l’article L. 121-1, le titulaire du certificat d’immatriculation du véhicule est redevable pécuniairement de l’amende encourue pour des contraventions à la réglementation sur les vitesses maximales autorisées, sur le respect des distances de sécurité entre les véhicules, sur l’usage de voies et chaussées réservées à certaines catégories de véhicules et sur les signalisations imposant l’arrêt des véhicules, à moins qu’il n’établisse l’existence d’un vol ou de tout autre événement de force majeure ou qu’il n’apporte tous éléments permettant d’établir qu’il n’est pas l’auteur véritable de l’infraction.
    La personne déclarée redevable en application des dispositions du présent article n’est pas responsable pénalement de l’infraction. Lorsque le tribunal de police ou la juridiction de proximité, y compris par ordonnance pénale, fait application des dispositions du présent article, sa décision ne donne pas lieu à inscription au casier judiciaire, ne peut être prise en compte pour la récidive et n’entraîne pas retrait des points affectés au permis de conduire. Les règles sur la contrainte judiciaire ne sont pas applicables au paiement de l’amende
    . ».

    Qui appelle les considérations qui suivent.

    Il n’y a contravention routière que lorsque le contrevenant est interpelé et identifié, au moment même de l’infraction, par le fonctionnaire de police judiciaire l’ayant relevée.

    Mais ce n’est absolument pas possible dans le cas d’une contravention relevée par les « radars routiers ».

    En effet, ceux-ci, qui fonctionnent en avatars de la fonction de police judiciaire, ne sont absolument pas en mesure d’interpeller et d’identifier le contrevenant au moment de l’infraction.

    Dans ce cas d’absence d’identification de ce contrevenant, ce texte permet alors d’impliquer directement le propriétaire du véhicule par neutralisation de l’article 121-1 du code pénal (« Nul n’est responsable pénalement que de son propre fait. »), grâce à un habile dispositif de délation.  

    En effet, il enjoint le propriétaire du véhicule à moucharder un conducteur fautif en menaçant ce propriétaire d’être déclaré  « redevable pécuniairement de l’amende encourue pour la contravention devant échoir au conducteur qu’il est mis en demeure de dénoncer. ».

    En clair : « tu nous dénonces  un conducteur pour que l’on puisse  punir quelqu’un, sinon c’est toi qui sera puni  ».

    Il en découle que son refus de moucharder condamne le propriétaire à payer une « redevance » pour refus de délation.

    Curieusement, cette « redevance » est définie comme n’étant pas une sanction pénale alors même qu’elle ne peut pas non plus être une sanction civile puisqu’elle est prescrite par un texte pénal !?

    Il se trouve que cette sanction hors le droit est quand même appliquée par les juridictions pénales, malgré quelques scrupules comme le prouve, notamment, l’arrêt 07/00543 de la cour d’appel d’ORLÉANS rendu le 31 mars 2008, 

    (http://www.legifrance.gouv.fr/affichJuriJudi.do?oldAction=rechJuriJudi&idTexte=JURITEXT000018631667&fastReqId=971882077&fastPos=34),

    Soit un extrait de ses motivations :

    « Dès lors que la possibilité a été offerte à M. Pierre X... de donner le nom de la personne à laquelle le véhicule avait été confié le jour où l’infraction a été commise, identité qu’il ne peut ignorer dans sa position de chef d’entreprise, mais qu’il ne communique pas pour des raisons qui lui sont propres et dont la loi ne lui demande aucun compte, il ne peut soutenir, ainsi qu’il le fait que l’application des dispositions précitées le placent dans une situation où sa culpabilité est présumée en contradiction avec les dispositions de la Convention européenne des droits de l’homme.
    En effet, il n’existe pas d’incompatibilité entre les articles précités qui instituent une responsabilité pécuniaire, laquelle n’a pas de caractère pénal ainsi qu’en dispose explicitement l’article L. 121-3, et la Convention européenne des droits de l’homme, alors par ailleurs que le responsable pécuniaire fait présentement le choix de taire le nom de l’auteur de l’infraction pour lui éviter des poursuites.
    Dans ces conditions, le jugement sera intégralement confirmé dès lors que l’infraction a été constatée par un procès-verbal régulier dont la force probante est entière et que le premier juge a prononcé une juste sanction,
    sauf à dire que l’amende, prévue par un texte pénal à titre de sanction d’une infraction, n’a pas un caractère civil. ».

    Cette juridiction, bien évidemment contrainte à la stricte interprétation des textes, relève quand même :

    — - Que le prévenu, chef d’entreprise, ne communique pas le nom du véhicule incriminé pour des raisons qui lui sont propres et dont la loi ne lui demande aucun compte  
    La cour souligne ainsi que le temps des lois des suspects, du cafardage institué et de la pénalisation du refus de délation, est révolu !

    — - Que l’article L. 123-3 du code de la route est compatible avec la convention européenne des droits de l’homme…. s
    auf à dire que l’amende, prévue par un texte pénal à titre de sanction d’une infraction, n’a pas un caractère civil.

    Nonobstant, cet article L121-3 du code de la route n’a d’ubuesque que les apparences.

    En effet, la sanction hors le droit qu’il met en œuvre permet de contourner l’absence du délit de refus de délation dans le code pénal pour condamner quand même le propriétaire du véhicule.

    Il s’agit d’un mécanisme particulièrement scélérat permettant de punir n’importe qui au titre de n’importe quoi, sans qu’il y ait le  moindre motif dans le code pénal, ceci, par une sanction qui ressemble à une sanction pénale, qui a les effets d’une sanction pénale, mais qui n’est pas une sanction pénale…

    Répugnant procédé ne trouvant son explication que dans la pratique d’un pouvoir sans contrôle, donc sans limite, usant en l’espèce d’un intégriste punitif excluant toute retenue, toute morale et toute valeur humaine.

    Mais il convient de se souvenir que le « refus de délation » fut pénalisé dans notre histoire, y compris dans un passé récent, à savoir :

    — - La loi des suspects du 17 septembre 1793 (http://fr.wikisource.org/wiki/D%C3%A9cret_du_17_septembre_1793_relatif_aux_gens_suspects)

    — - La loi des suspects du 19 février 1858 (promulguée sous la période totalitaire du 2° empire).

    — - L’ordonnance du 10 décembre 1941 faisant obligation de dénoncer les juifs (http://d-d.natanson.pagesperso-orange.fr/autres_lois_antisemites.htm).

    Il se trouve que l’article L121-3 du code de la route adhère aux dispositions des articles 5 et 8 de l’ordonnance du 10 décembre 1941 :

    — - Article 5 : « Les personnes juives ou non juives qui hébergeront des juifs, à quelque titre que ce soit, et même gracieusement, ou leur loueront des locaux garnis ou nus, devront faire au commissariat de police une déclaration spéciale, indiquant les nom, prénoms et état civil complet des intéressés, ainsi que le numéro, la date et le lieu de délivrance de la carte d’identité présentée. Cette déclaration devra être faite dans les vingt-quatre heures de l’arrivée du juif ou de la location. ». 

    — - Article 8 : « Les personnes qui ne se conformeront pas aux prescriptions ci-dessus seront passibles des peines de droit sans préjudices des sanctions administratives. Les juifs, notamment, pourront faire l’objet d’une mesure d’internement. ».

    En considérant la prospérité judiciaire de ce misérable article L121-3 du code de la route, où en est aujourd’hui la « patrie des droits de l’homme » ?    

    Si ce texte est d’origine règlementaire, à quoi sert le conseil d’État ?

    S’il est d’origine législative, à quoi sert le conseil constitutionnel ?



  • RBEYEUR 9 janvier 2014 13:16

    Est-ce par des onomatopées d’analphabètes, des lieux communs, des slogans cégétistes, des idées  au ras des pâquerettes et des concepts empiriquement péremptoires que l’on pourrait vraiment traiter le fond de la question ?

    Référons nous, par exemple, à CHATEAUBRIAND : « plus le despote est vil plus l’esclave est infâme ».

    Point de départ d’une réelle discussion sur la véritable, incontestable et fondamentale substance de la discrimination sociale.

    PARCE QUE CE SONT LES ESCLAVES QUI ASSURENT L’EXISTENCE DES DESPOTES !



  • RBEYEUR 9 janvier 2014 00:23

    De passtavie, le 8 janvier à 21h15 :

    « …Fichtre quel argumentation : analphabète, excréments... sûr on peut dialoguer avec ça... ».

    Et : « …je ne sais comment qualifier votre com’, mais je ne me torcherai même pas avec, j’aurai peur de me salir le fion… », c’est mieux pour dialoguer ?

    Et le tabernacle : «  passtavie », « bourrico6  », etc., serai-ce le fin du fin ?



  • RBEYEUR 8 janvier 2014 18:31

    De bourrico6, le 8 janvier à 15h28 :

    « Bravo, ou comment dire sans le dire que les chômeurs et autres sont des feignasses qui profitent du travail des autres et sont donc responsables de la misère du monde. Pire, ce sont des « despotes » qui asservissent les braves gens. Dans votre raisonnement, il faut les laisser crever si j’ai bien saisi. Abjecte, immonde, je ne sais comment qualifier votre com’, mais je ne me torcherai même pas avec, j’aurai peur de me salir le fion. ».

    Exemple d’école d’un total analphabétisme social, culturel et intellectuel s’auto nourrissant de ses propres excréments…