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Les commentaires de Marc-Antoine JEULLIAU



  • Marc-Antoine JEULLIAU Marc-Antoine JEULLIAU 16 février 2016 14:44

    Si une onde a bien été détectée faisant vibrer l’espace-temps c’est que cet espace-temps n’est pas continu et lisse dans tous ses plans comme soutenu en LES relativités d’Einstein.
    En effet un »espace-temps » qui serait »continu » dans tous ses plans ne pourrait pas ‘vibrer’ comme le fait la surface ou l’intérieur d’un liquide ou autre ‘matière’ dans lesquels une onde se propage.

    C’est qu’une onde ne peut effectivement se propager que dans un milieu discontinu fait de quantités de ‘quelque chose’ comme l’est l’air, l’eau, et toute autre matière faite de molécules, d’atomes et de particules que l’on admet être séparés par du vide. Par conséquent un ‘truc’ qui serait fait d’un seul bloc comme il est admis que l’est l’espace-temps ne pourrait pas transmettre de vibrations ni par conséquent se courber dans tous les plans sous l’influence d’une masse comme affirmé en la gravitation par Einstein. Et non seulement ledit bloc espace-temps ne pourrait vibrer et ainsi transmettre une onde, mais il ne pourrait pas non plus subir l’expansion observée de l’Univers. Doit-on voir là la raison pour laquelle cette expansion fut si longtemps rejetée par Einstein ?

    Ceci dit, entendu et compris, la »courbure » de l’espace-temps proposée par Einstein à la suite des calculs lui ayant permis de réinterpréter la gravitation ne peut être qu’un artefact mathématique habillant une réalité granulaire sous-jacente comme l’est analogiquement l’eau constituée de molécules.

    Ce que Ligo a mis en évidence ne peut ainsi être que la vibration d’un substratum emplissant tout l’espace et assimilable à un espace-temps quantique ; substratum donnant naissance et portant les quanta d’énergie à l’image des photons de lumière ondulatoires et corpusculaires ; substratum granulaire donc dans lequel ont été et sont encore produits tous les quanta et Champs-Ondulatoires-Quantifiés observés par notre science en les domaines de la physique fondamentale et de l’astrophysique.

    Substratum dont la vibration archétype ne peut être que celle de la lumière. Celle-ci peut en effet être expliquée aujourd’hui par une théorie expérimentalement soutenue qui montre – contrairement à l’interprétation mathématique de la mécanique quantique – comment ladite lumière doit »réellement » être perçue comme quantifiée sous formes de »photONDES », autrement dit sous »formes » d’entités réellement observées sous les natures contradictoires de phénomènes ondulatoires et corpusculaires in fine unifiés sous la forme objective de solitons en formes d’ANNEAUX.

    C’est dire qu’un quantum d’énergie – autrement dit un quantum de lumière – qui est expérimentalement »réellement » interprétable est donc représentable sous la forme plus que symbolique d’une ALLIANCE ou photONDE solitaire en forme d’ANNEAU.

    C’est ainsi que, depuis la nuit des temps, vous pouvez remarquer que se fait l’humour … ce »trinck » qui permet aux »fins d’esprit » de communiquer en provoquant en eux la »quinte es sens » propre à Rabelais : le rire.

    M&A J.



  • Marc-Antoine JEULLIAU Marc-Antoine JEULLIAU 16 janvier 2016 16:10

    Dans un cerveau d’alzheimer qui un temps a su faire de l’esprit, lorsque précisément l’alizée y meurt, elle va où cette part d’esprit qui l’a quitté en mettant les voiles ?

    Sur Sirius … rejoindre celles des illuminés d’un certain temple afin d’y attendre le peu qui est resté sur Terre et qui devrait suivre ? Et dire que des esprits immatures, comme aussi des élèves et des étudiants doivent subir et écouter de tels personnages dont les croyances ne peuvent que déteindre sur les enseignements …

    Grave !? C’est grave !? C’est très grave ... ! Non ?



  • Marc-Antoine JEULLIAU Marc-Antoine JEULLIAU 14 janvier 2016 07:51

    @Yanleroc

    Je viens de lire un résumé du bouquin de Lothar Schäfer que je ne connaissais pas et si, intuitivement, ce qui y est exprimé peut aider à se faire une idée de ce que dit et permettra  de comprendre la théorie de l’absolu pris au sens physique encore à publier ici, l’idée que l’on peut se faire à la lecture de Lothar Schäfer est fausse du point de vue de la science physique.

    De plus, la conscience que nous prenons de CE QUI EST ne peut se faire que DANS UN CERVEAU qui, d’une façon analogue à un ordinateur, traite les informations qui lui parviennent grâce à ses sens et à son intellect. Preuve en est que des êtres humains enfermés ou abandonnés très jeunes enfants en pleine nature, donc isolés du monde culturel depuis leurs naissances, ne peuvent pas, dans la solitude, développer un langage dit ’’cultivé’’ voire apprendre à se déplacer debout.

    Pour VOUS faire une idée de cela commencer par lire Les enfants sauvages et faire ou d’emblée accepter que des études scientifiquement menées de CE QUI EST s’autocorrigent en se guidant sur les contradictions apportées et vérifiées par la remise en cause expérimentale.

    Bien à vous. M&A J.



  • Marc-Antoine JEULLIAU Marc-Antoine JEULLIAU 13 janvier 2016 10:18
    @ JP Baquiast,

    @ Yanleroc & Cie

    Mais SI ! Bien sûr que SI le fond diffus cosmique découvert par Penzias et Wilson existe toujours aujourd’hui, même s’il est condamné à disparaître sous l’effet de l’expansion de notre Univers.
    Et ce fond diffus de 3°K, ISOTROPE par conséquent, lorsqu’il est interprété en les termes d’une théorie ondulatoires soutenue par l’expérience il s’impose comme une des manifestations vibratoires d’un substrat emplissant tout l’espace et donc mis en ’’vibrations’’ lors d’un ’’choc’’ initial (cf. Big Bang ou autre …), ce 3°K se ’’présente’’ alors comme le repère QUASI ABSOLU porté par un SUBSTRAT ÉTHÉRÉ ABSOLU pouvant être mis en évidence très simplement et d’une autre façon que ce fond diffus , et c’est ainsi que ce 3°K se présente comme le 1er "INSTRUMENT DE MESURE’’ ayant émergé en notre Univers, comme un rayonnement ondulatoire né en et toujours porté par le substrat spatial qui empli le Cosmos parce que substrat fondamental lui étant  ’’consubstantiel’’.

    Ce fond cosmique reconnu apparu peu après la naissance de notre UNIVERS peut ainsi mettre en ividence tout mouvement d’énergie-complexifiée à la suite d’interactions et formant les objets dits matérialisés qui se déplacent en son intérieur. Mais objets qui, en réalité et comme ce fond cosmique de 3°K, se PROPAGENT dans le substrat intrinsèque de l’Espace-Temps-ETHERE d’une théorie de l’ABSOLU hyper simple, soutenue expérimentalement, théorie à paraître ici dans l’espace publique parce que ne pouvant pas être publiée ailleurs et qui intègre, en dépassant les théories contemporaines laissées à un rôle d’approximations, les grandes découvertes faites par Einstein et les fondateurs de la mécanique quantique.

    @ + donc, si l’insidieux le veut ; M&A J.



  • Marc-Antoine JEULLIAU Marc-Antoine JEULLIAU 10 janvier 2016 14:28

    BonTout à vous hé ... à moitié pardonné.

    Non ! Non tout ne peut pas s’effondrer avec la fin de la relativité s’il est démontré que les effets qu’elle a expliqué sont le fait de vitesses absolues et non plus relatives … Mais oui l’expérience proposée ici ne peut pas invalider cette théorie car il faut de nouveau rappeler – comme déjà fait et lu bien plus haut dans un billet écrit par un autre intervenant – que toute expérience de physique doit pouvoir donner des résultats IDENTIQUES jusque dans les cas limites, c’est-à-dire, ici, aux vitesses extrêmes que pourrait atteindre expérimentalement le bloc ’’B2’’.

    Or, et les accélérateurs de particules sont là pour en témoigner, la masse des mobiles matériels augmentent bien en fonction de leurs vitesses.

    Vitesses relatives pour Einstein, ce qui mène à des non-sens aujourd’hui complètement zappés, mais non-sens éliminés par l’utilisation de vitesses ’’réellement absolues’’ comme pourra le montrer une des expériences très simples étayant la théorie à publier et qui, théorie, ne peut que rétablir l’un des sens de tous les sens à sa juste valeur, celle qui est conforme à une réalité absolue débarrassée de tous les voiles qui se sont tissés lors des interactions énergétiques ayant participé à habiller les quanta d’énergie fondamentaux après leurs rencontres et unions pour certains, quanta possédant bien les caractères ondulatoire et corpusculaire cernés par les chercheurs pionniers et qui, quanta, lors de leurs rencontres constructives, ont permis aux structures des particules émergeant dans le substrat spatial de notre Univers de se complexifier et ainsi d’en permettre l’évolution.

    @+ ; si l’insidieux le veut ; M&A J.



  • Marc-Antoine JEULLIAU Marc-Antoine JEULLIAU 8 janvier 2016 06:44

    @Fabien Sabinet

    BonTout ;

    Cette contraction ne peut pas être négligeable vu que, même si elle ne ’’mange’’ en la faisant disparaître qu’une ’’infime’’ quantité de la ’’longueur de l’onde’’ devant interférer dans l’œilleton, alors l’expérience ne pourra être que faussée car elle devrait obligatoirement le mettre en évidence comme le font les ’’radars’’ tels que ceux de la gendarmerie pour tout véhicule, marcheur voire objet en mouvement. Ce que, comme vous n’étant pas mathématicien, je peux prévoir à l’aune de ce que sait la physique expérimentale actuelle mais sans être capable d’en calculer un résultat prévisionnel.

    Si ma théorie du PSI reflète bien LA REALITE – comme le pensaient les 2 profs d’universités de physique rencontrés il y a 4 décennies – c’est indubitablement une telle contraction qui doit s’être produite dans les expériences faites par Fitzgerald et Lorentz, et c’est ce à quoi ils avaient pensé pour interpréter leurs échecs avant qu’Einstein ne vienne lancer ’’une pierre’’ dans les engrenages de leurs raisonnements.

    @+ ; M&A J.



  • Marc-Antoine JEULLIAU Marc-Antoine JEULLIAU 8 janvier 2016 01:06

    Mots ouverts @ portes fermées ... 

     Effectivement, comme l’a écrit Jean-Pierre beaucoup plus haut, la relativité explique beaucoup de choses et c’est expérimentalement vérifié. Mais il peut être démontré – et cela sera exposé prochainement – que ’’certains’’ effets prédits et confirmés dans le cadre de cette relativité SONT STRICTEMENT EXPÉRIMENTABLES ET INTERPRÉTABLES en les termes d’une théorie de l’ABSOLU, autrement dit dans laquelle ’’théorie’’ il est montré comment le MOUVEMENT EST FINALEMENT ABSOLU PARCE QUE OBSERVABLE SE PRODUISANT DANS UN SUBSTRAT SPATIAL et qu’ainsi – sinon peut-être pour simplifier certains calculs comme le permet encore la théorie de Newton – il ne sera plus acceptable d’interprété tout mouvement d’un point de vue RELATIF.

    Maintenant il est vrai que Fabien Sabinet n’a pas tenu compte de l’augmentation de masse acquise par le bloc B2 accéléré dans son modèle expérimentable. Et qui dit augmentation de masse dit augmentation de la gravitation liée à cet objet et donc de la contraction GLOBALE qui en résulte obligatoirement, autrement dit de la contraction de TOUTES les longueurs de ce bloc B2, ce qui au passage remet en cause les fameux piliers de la relativité que sont les transformations de Lorentz, équations qui ne proposent qu’UNE contraction, celle de la longueur parallèle aux sens-directions des déplacements RELATIFS des mobiles impliqués dans le problème exposé.

    Ces augmentations de masse et contraction vont ainsi obligatoirement produire un indice de réfraction différent dans le bloc B2 et donc, à l’ INTERIEUR de ce bloc, produire un changement de la vitesse de la lumière et … Mais bon ! À suivre … !

    Oui, il peut être phénoménologiquement, donc scientifiquement, soutenu que la relativité, même si elle a permis d’observer et conceptualiser certains faits en les ’’cernant’’, que cette relativité est donc finalement aussi FAUSSE que les théories qui l’ont précédée.

    Mais marcher, donc avancer, c’est se laisser tomber sous l’effet de la gravitation, chute que l’être vivant bipède parvient à stopper et rectifier en faisant le pas suivant jusqu’à … jusqu’à pouvoir sortir ses pieds de la ’’grotte’’ dans laquelle pateaugeaient et sont encore em … bourbés les acteurs du mythe platonicien de même nom … Quitte pour certains … à se voir obligé de finir la promenade en remplaçant leurs pieds par des roulettes. Mais chut ! Surtout pas de projections nominales ! Paraît qui’a des ordures qui se déversent et empestent l’agora … et demanderaient à être recyclées parce que, comme les moustiques, leurs effluves malsaines passent dans les trous de serrures et portent préjudices, le sommeil venu, à tout cinéma intérieur.

    Mais rebon !

    @+ si l’insidieux le veut et si, l’auteur de ces trop de lignes lit MAJ après MAJ signées M&A J.



  • Marc-Antoine JEULLIAU Marc-Antoine JEULLIAU 6 janvier 2016 20:11

    @Fabien Sabinet

    Oui, un éther granulaire interroge sur ce qui devrait exister entre ses quantum et auquel nous ne pouvons répondre que par un infini qui est : si, comme le rond dans l’eau, la matière est bien la vibration d’un substratum spatial alors de quoi seraient vibrations, selon ce schéma, les quantum de cet éther-espace qui, autre substrat plus fondamental, serait vibrations de quoi d’autre ? Et cela jusqu’à sans fond, donc de … 0 <=> 0O.

    Ainsi nous pouvons comprendre que cela semble être lié à l’état même de CE QUI EST qui nous impose un mode d’apprentissage permettant une acquisition de connaissances VRAIES ne pouvant se faire que par la mesure, donc par la comparaison expérimentale, par l’observation, connaissance qui en feed back s’auto-corrige et évolue en obéissant aux lois de plus en plus fondamentales qu’elle permet de découvrir peu à peu. Les grands esprits anciens l’avaient d’une certaine façon déjà compris et exprimé autrement que la science par le MYSTERE. Mystère définitivement inabordable et donc inconnaissable parce que, comme les ronds produits dans cette eau qui porte notre analogie ondulatoire et sert encore dans les rites baptismaux, ce rond dans l’eau, si la conscience lui venait (image … d’accord … ?) ne pourrait sortir de son élément milieu spatial pour en prendre connaissance en le comparant à un autre substrat d’espace : cela lui est fondamentalement impossible.

    Maintenant il est aussi unanimement admis par les plus grands esprits que quand une théorie fait la synthèse de plusieurs autres c’est qu’alors, plus simple qu’elles, elle est intellectuellement plus proche de la Vérité.

    Mais bon ! Qui vivra verra … !

    @+ si l’insidieux le veut ! M&A J.



  • Marc-Antoine JEULLIAU Marc-Antoine JEULLIAU 6 janvier 2016 14:08

    @Fabien Sabinet

    Désolé ! J’avais répondu à votre question dans un autre texte sauvegardé et oublié lorsque le besoin de fermer quelque temps les yeux s’était fait sentir cette nuit.

    Imaginons un énorme globe fait d’une ’’substance’’ réellement continue ce qui dans notre Univers n’existe pas puisque la matière – faite de particules elles même faite de quantum d’énergie – est discontinue, mais imaginons ...

    Ce globe pourrait être vu comme un continuum spatial mais dans ce cas il ne pourrait être qu’un modèle mathématique car il n’aurait aucune possibilité de permettre à des ondes de s’y propager, que ces ondes soient des ondes dites de gravitation, des ondes planes ou transversales. Tous les modèles imaginés par les physiciens-mathématiciens pour illustrer leurs calculs ne peuvent pas s’appliquer à un espace qui serait absolument continu dans toutes les directions.

    Si sur terre une corde vibre c’est qu’elle est formée de matière discontinue et qu’elle même est une ’’discontinuité’’ de la matière contenue dans le ’’lieu’’ attaché à la Terre ( pour ici ne pas dire l’espace …) dans lequel elle est mise en mouvements. De même pour un rail de chemin de fer, pour un ressort, pour l’air, pour l’eau etc. … etc. … etc. Autrement dit une vibration ne peut absolument pas être transmise à l’intérieur d’un substratum continu. De même qu’un tel substrat ne pourrait pas se courber dans toutes les directions comme il a été calculé par Einstein que le ferait son espace-temps pour produire la gravitation sous l’action d’une masse, et ceci parce que l’élasticité d’un milieu n’est possible que si celui-ci est discontinu. Et les calculs qui ’’prouveraient’’ le contraire ne sont que des calculs analogues aux notes de musique qui peuvent tout dire en ne disant rien même si ces calculs savants nous ont permis de ’’cerner’’ la ’’réalité’’ d’un quanta soliton anneau d’énergie qui semblerait ne pas pouvoir être découvert (voir décrit ... !!! ???) par les mathématiques mais seulement observé en action dans une animation virtuelle.

    Comme nous le verrons, la théorie qui est née et a été développée à partir de ce modèle n’a besoin, pour expliquer l’énergie et toutes ses manifestations, que d’un soliton-anneau laissant un sillage derrière lui dans le substrat qui lui a donné naissance et le supporte lors de sa propagation. Paradigme unificateur donc, soutenu par une expérience très simple et les acquis ’’physiques’’ de la science et qui permet d’illustrer — de façon extrêmement simple parce que phénoménologique — comment tout ce qui est observable a pu émerger d’un seul ’’substratum’’ en obéissant à un seul principe.

    Ainsi, ce que met en évidence une boucle dite magnétique, ou un champ dit électrique, ou un champ dit de gravitation serait bien – ce qui sera explicité dans la théorie à venir – les manifestations complexifiées d(un substrat UNIQUE auquel je demande que l’on conservei le nom d’’ÉTHER parce que, comme Étienne Klein et bien d’autres, j’aime la science autant que les jeux d’esprit — donc jouer — avec les mots, que VIDE se trouve être l’anagramme de DIEV, qu’Éther peut être celui d’ÊTHRE avec le H central symbole traditionnel de l’esprit, mais aussi celui de THREE (www.en … 3 ...) et que ce substratum dit ÉTHER serait bien l’unique porteur de l’énergie probablement apparue lors du ’’ trinck’’ fondateur qu’il aurait subi et qui, énergie, emplit tout l’espace de notre Cosmos. ÉTHER ainsi porteur des terres qui en sont des manifestation ondulatoires stationnaires donc localisées parce que s’étant structurées et complexifiées après interactions entre elles.

    Et pour boucler la présente boucle, sans les héritages laissés à l’humanité par les êtres qui y ont réfléchi en postulant un éther et en diffusant leurs lumières afin qu’elles interagissent, interfèrent et ainsi vivent en se matérialisant aujourd’hui nous ne saurions pas ce que nous savons.

    Levons donc nos verres, de lunettes et autres, à l’Éther aujourd’hui reconnu comme unique support des Champs Ondes Quantum annonciateurs d’un jour nouveau.

    @ +, si l’insidieux le veut ; M&A J.



  • Marc-Antoine JEULLIAU Marc-Antoine JEULLIAU 6 janvier 2016 06:05

    @ Fabien Sabinet, @ popov, @ Rmanal comme à celles et ceux que cela intéresse pourvu que les ordures prennent le chemin de la poubelle.


    Fabien. Vous écrivez : « Attention, le fait qu’Einstein ait envisagé l’existence d’un Ether n’est en aucun cas une preuve de sa validité. » ...  comment dire le contraire ! Mais vous ne pouvez qu’admettre le fait qu’une expérience fondatrice, reprise et améliorée à l’aune de ce qui est ’’expérimentalement assuré aujourd’hui’’ puisse mettre cet Ether en évidence même — et probablement à cause de ... — si elle est d’une extrême simplicité ...

    Maintenant, ce que vous dites à propos des mathématiques et des équations de Maxwell c’est exactement une des raisons pour lesquelles, il y a plus de 40 ans, j’avais refusé la formation poussée en ce domaine que voulait gracieusement m’offrir feu Jean Gréa alors directeur et professeur de l’Université de physique (Bernard) à Lyon, et ceci afin d’étayer la théorie naissante que je lui avais proposée par écrit et qui n’était – et n’est toujours – soutenue par aucun formalisme mathématique.

    Comme certainement vous le savez déjà, cette théorie naissante, née dans le contexte d’une formation par correspondance en électronique, de lectures de revues, de quelques livres savants et d’observations personnelles en tant qu’amateur de sports nautiques à l’imagination fertile, proposait qu’un photon produit par un électron pouvait être appréhendé comme l’onde d’étrave en forme de soliton anneau que cet électron devait produire dans un substrat éthéré emplissant tout l’espace et donc en expansion, bourrelet d’étrave qui ne pouvait que se détacher dudit électron – et ainsi être dit émis par lui – lors d’un arrêt brutal ou d’un changement de direction.

    Ce photon ne pouvant plus être décrit et traité à l’aide du formalisme mathématique des ondes électromagnétique sinusoïdales, l’intuition que je devais poursuivre dans cette voie sans développer une spécialisation matheuse en ce domaine s’était faite pressante et ce surtout après que J. Gréa m’ait confirmé, sans pouvoir me contredire scientifiquement, que mes explications ’’phénoménologiques’’ remettaient indubitablement en cause la relativité d’Einstein et que, confirmée, mes réflexions ’’valaient’’ un prix Nobel … !!! ??? Lorsque je lui avais fait comprendre que je n’étais qu’un amateur et que cela m’étonnerait que … … … il avait sursauté, élevé la voix et avec un sourire en coin m’avait assuré – ce qu’alors j’ignorais – qu’Einstein aussi, lorsqu’il avait développé sa théorie, n’était qu’un amateur.

    Dans le tiroir où il était précieusement archivé, j’ai retrouvé le courrier manuscrit avec entête dans lequel J. Gréa me proposait un rendez-vous afin de me faire part de ses réserves. Tout cela est donc une longue histoire où, l’offre de formation déclinée, les portes ont été de plus en plus lourdes et difficiles à pousser, et quasi impossible lorsque la compréhension que ce soliton anneau de lumière non seulement remettait en cause la relativité … mais aussi les équations de Maxwell, de Lorentz … de … et de … !!!

    Qui pourra seulement imaginer l’angoisse que peut provoquer un tel truc chez un solitaire amateur autodidacte qui alors était complètement illettré mais qui, après une visite chez son dentiste et une série de tests psychotechniques faits en salle d’attente comme un jeu, avait pu être testé (… lot alors proposé par le jeu ..) et reconnu HQI … … ? Oh ! Et m_e_r_d_’_a_l_o_r_s ! Voilà que je lit haut & de nouveau déverse des paroles qui là crient mal …

    Mais qui bordel ! QUI ?

    @+ si l’insidieux le veut. M&A J.



  • Marc-Antoine JEULLIAU Marc-Antoine JEULLIAU 4 janvier 2016 20:20

    ReBonTout.

    Pour le coup c’est ici qu’il faut être précis et rigoureux lorsque l’on est en mesure de ’’sentir’’ et relever les contradictions qui apparaissent dans les interprétations d’expériences ou de théories.

    Ainsi, si la masse d’un mobile augmente bien avec sa vitesse dite ’’relativiste’’ alors la gravitation liée à cette masse du mobile augmente en fonction de ladite vitesse, et cette gravitation doit produire une contraction GLOBALE du mobile, autrement dit ce sont TOUTES SES GRANDEURS qui doivent RÉELLEMENT se contracter, et pas uniquement la longueur parallèle aux sens et direction du mouvement comme le soutiennent les transformations de Lorentz qui forment les fondations de la relativité.

    Cela est donc une première « preuve » que la relativité, bien qu’elle ait permis de mettre en évidence l’énergie piégée dans la matière avec son E=mc², le temps propre, l’augmentation de masse etc. que cette relativité donc est foncièrement fausse. Je peux et le ferai prochainement, démontrer que ces effets sont dus à la vitesse absolue – et non relative – des mobiles dans le substrat spatio-temporel dans lequel ils évoluent.

    En effet, s’il est démontré qu’un photon, donc qu’un quanta d’énergie est un soliton en forme d’anneau produit dans et porté par un substrat ’’éthéré’’ emplissant tout l’espace, cela veut dire que tout ce que nous appelons matière et que nous savons fait de ces quantum d’énergie grâce à Einstein, n’est en fait que de l’espace-temps-éthéré dont les structures particulaires peuvent être – je le répète – phénoménologiquement représentées par des animations d’images en 3D, ce que, chez moi et face à face avec l’interlocuteur intéressé, de simples dessins et quelques gestes adéquats parviennent très bien à remplacer.

    Maintenant, pour ceux que cela intéresse, voilà bien des années j’avais trouvé chez Amazon un petit bouquin d’une trentaine de pages écrit par Einstein lui-même sur ’’L’éther et la relativité’’ et traduit de l’allemand par son ami Solovine où ledit Einstein expliquait et soutenait très clairement que si l’éther luminifère n’avait pas pu être mis en évidence cela ne voulait pas dire qu’il n’existait pas et que l’on ne parviendrait pas un jour à en observer des manifestations. Ce bouquin, qui semble ne plus pouvoir être trouvé que d’occasion et pas à moins d’une centaine d’euros, est aujourd’hui en accès ’’libéré’’ parce que reproduit sur un site controversé du web et trouvé en en tapant le titre sur un moteur de recherches.

    C’est à l’adresse suivante : http://quanthomme.free.fr/energielibre/energie/Einstein.htm

    Bonne lecture. Et à bientôt, si l’insidieux le veut. M&A J.



  • Marc-Antoine JEULLIAU Marc-Antoine JEULLIAU 4 janvier 2016 12:22

    BonTout.

    çà va être un peu long, désolé, mais il faut parfois que la solitude s’épanche.

    Ce que la physique contemporaine appelle « LE VIDE » est un milieu interstellaire, autrement dit un espace, dans lequel aucun champ de force ne peut être mis en évidence tels que sont par exemple les champ de gravitation, champ électrique et champ magnétique.

    Mais cela ne veut pas dire que ce VIDE PHYSICO-MATHEMATIQUE est identique au vide de vulgum pecus. Pour ce dernier rien d’autre n’existe dans LE VIDE que LE DIEV de sa religion

    alors que qui aime jouer avec son esprit afin d’en renforcer le ’’QI’’ en y développant une réflexion ’’arborescente’’ et in fine scientifique à l’instar d’Étienne Klein par exemple, ce quidam joueur donc ne manquera pas d’y voir le dive anagramme produit par ledit jeu d’esprit auquel il pourra, comme à la dive bouteille rabelaisienne, se désaltérer à profusion.

    Parce qu’à l’époque où la lumière avait été reconnue comme étant un phénomène ondulatoire elle devait nécessairement être portée par un substratum dans lequel – comme toute onde observée dans la Nature – elle devait se propager. Et ce substrat, bien nommé ETHER afin de =>garder un lien<= avec l’éther des penseurs anciens, ce substrat devait donc emplir tout l’espace de notre Univers afin de permettre à la lumière de s’y diffuser. Sans compter que l’amateur de jeux d’esprit pourra voir d’autres couleurs dans ce mot, comme une relation a_n_a_g_r_a_m_m_a_t_i_q_u_e bien qu’anglée avec LE VIDE qu’il rempli … avec e_s_p_r_i_t aurait pu susurrer le regretté autoproclamé A_v_i_d_a - D_o_l_l_a_r_s.

    Voyons maintenant l’analogie suivante.

    Vous habitez dans un immeuble. Dans l’appartement d’à côté une fête bat son plein et la musique passe à ’’travers’’ les murs. Si vous entendez cette musique c’est que, dans l’appart voisin, elle est transmise par une onde portée par l’air à la vitesse du son, environ 340 m/s. Lorsque cette onde frappe le mur elle fait vibrer celui-ci en se propageant en ses matériaux à une vitesse différente (... ???) que dans l’air. Le mur ’’traversé’’, l’onde musicale retrouve sa vitesse initiale DANS L’AIR NON POLUÉ de votre appartement tout simplement parce que l’air est défini par des propriétés physiques qui lui impose de porter et de transmettre LE SON toujours à la même vitesse.

    Chaque substance obéit aux lois de la Nature, et lorsqu’une onde définie la ’’traverse’’ c’est toujours avec la même vitesse.

    Ainsi, après avoir traversé un ’’milieu’’ – matériel ou champ de force – lorsqu’elle retrouve un ETHER-Espace-Temps homogène, autrement dit vide desdits champs, la lumière ne peut que s’y propager toujours à la même vitesse.

    Einstein a formalisé comment, dans un champ de gravitation, la vitesse ’’c’’ de la lumière mesurée dans le vide pouvait être dépassée. Il a ainsi mis au point des calculs qui pouvaient être interprétés comme les courbures d’un substratum lisse d’espace-temps. Mais cette interprétation d’un géant sur les ’’pôles’’ de qui mes pas se sont orientés peut être dépassée. Et cela par un paradigme phénoménologique extrêmement simple ayant pour modèle l’Anneau-Soliton-Quantum d’énergie et son support l’Éther revisité à son aune, modèle expérimentalement soutenu qui fera prochainement l’objet d’un article ici et qui devrait, aujourd’hui, pouvoir être compris par tous, autrement dit par tous les ’’terriens humains’’ quelque soit leurs langues, les langages et les moyens qu’elles et ils utilisent pour communiquer. Mais cela prochainement si, et si seulement, je trouve l’aide désintéressée qui m’est nécessaire pour mettre ce nouveau paradigme en animation d’images 3D, images de synthèse si possible afin d’obtenir une reproduction phénoménologique quasi traditionnellement filmée à partir de la réalité.

    Aujourd’hui gravement malade et vivant avec un minimum vieillesse je n’ai pas encore pu trouver cela, même à la Mensa où j’ai été accepté il y a plus de 40 ans en même temps que naissait ce modèle. Il faut dire que j’avais fini par plier bagages après 3 ans et que je n’y suis revenu il y a peu que dans l’espoir d’y trouver cette aide … Mais en vain.

    Le contact établi il y a quelques mois par un mail déjà suffisamment explicite avec un chercheur en optique à l’Institut Néel de Grenoble, puis réellement rencontré il y a quelques semaines lors de ’’La semaine de la science’’ où, pour terminer en beauté ’’L’année internationale de la lumière’’ lancée par l’ONU en 2015, une nuit de conférences scientifiques avait été programmée sur … ’’La Lumière’’ … évidemment … ladite rencontre pourrait ainsi peut-être m’ouvrir les portes d’une société ou école d’infographie ou audiovisuel ? Encore faudrait-il que je trouve la force de me bouger le coccyx afin de, comme convenu, relancer ce chercheur et que l’œuvre de l’amateur autodidacte que je suis resté, œuvre d’artiste-scientifique passant ses idées au crible de la raison, mais œuvre qui finalement s’imposerait comme l’aboutissement recherché par la communauté des chercheurs en ce domaine, que cette œuvre donc ne lui porte pas sur les neurones comme je suis légitimement enclin à le penser au vu des ’’transparents’’ qu’il avait préparés et qui ont été projetés lors de cette fameuse soirée. Ces projections montraient en effet clairement le photon dont il était question dans la conférence être objectivement illustré sous la forme d’un anneau ’’O’’ suivi de sa traditionnelle donc bien connue représentation faite à l’image d’une sinusoïde en forme de ressort terminé par une flèche, un peu comme ce qui suit : \/\/\/¨> .

    Ce qui ne manque pas de laisser supposer que pourrait être née en ce conférencier connaissant mon modèle une tentation facile à imaginer vu que, m’étant présenté à lui quelques minutes avant sa prestation, il savait que j’étais là, présent au premier rang dans l’allée devant l’estrade parce qu’en fauteuil roulant, et qu’il n’a rien dit de cet anneau bleu aussi visible par tous sur l’écran … qu’une bouée de sauvetage peut l’être flottant à la surface d’une étendue d’eau où elle vient d’être lancée ???

    Question donc, qui est aussi venue à l’esprit de la personne qui m’accompagnait en la circonstance, pour ensuite m’être posée à la maison par quelques uns de mes proches … ! Mais bon ! Qui saura jamais ?

    @+ ; M&A J.



  • Marc-Antoine JEULLIAU Marc-Antoine JEULLIAU 2 janvier 2016 03:54

    @izarn

    Bonjour.

    Au lu de votre jugement si péremptoire, vous ne pouvez ignorer que des photons sont aujourd’hui émis UN par UN dans nos laboratoire. Et vous vous souvenez probablement des tubes cathodiques utilisés dans nos anciennes télévisions ? Aussi, puisque vous critiquez sereinement une expérience de physique fondatrice très simple, revue, corrigée et non encore explicitée ici, vous ne pouvez que savoir comment ils fonctionnaient … et donc vous rappeler que les images produites sur l’écran de ces tubes l’étaient par des électrons très précisément accélérés et guidés afin d’atteindre un à un des points déterminés et bien précis. 

    Ceci est un fait qu’à leur époque Faraday et consorts ne pouvaient connaître, fait qui sera suffisant pour démontrer ce qui sera proposé dans l’article à venir et qui, soit dit en passant, n’aurait pas pu être découvert sans le concours de toutes les têtes pensantes nous ayant précédé et ceci même s’il est démontré qu’elles se sont égarées sur des chemins menant à des culs de sacs. C’est en effet en tombant et en retrouvant un équilibre que chaque pas rétablit que l’être humain avance.

    M&A J.



  • Marc-Antoine JEULLIAU Marc-Antoine JEULLIAU 1er janvier 2016 14:42

    @Fabien Sabinet

     

    Je ne ’’pense’’ pas que la lumière aie besoin d’un « substrat spatial » … C’est  l’interprétation de l’expérience, ou plus précisément la réinterprétation d’une expérience fondatrice faite à l’aune de ce que la physique fondamentale sait aujourd’hui qui « IMPOSE » cela, autrement dit qui montre en le « mettant en évidence » que l’espace-temps doit être interprété comme un substrat dans lequel se « propage » toute l’énergie-matière de notre Univers, c’est-à-dire comme le fameux « éther » rejeté par Einstein.

    Il ne faut en effet pas oublier que les particules dites de matière sont observées comme étant des « ondes-corpuscules », donc soit comme se « propageant comme une onde » soit comme se « déplaçant comme un objet » selon que l’outil d’observation aura permis à l’expérimentateur de voir soit des interférences soit des marques « pointillistes ».


    L’espace-temps einsteinien se transforme alors en un « espace-temps-éther-quantique » « absolu » remettant en cause les relativités, « espace-t-é-q » dont les « courbures » productrices de gravitation « in fine s’imposent » comme résultant d’une polarisation du substrat espace-temps, polarisation résultant en premier lieu de la structure même des quanta d’énergie qui s’y propagent sous la forme d’anneaux — donc de courbures d’espace-temps-éther-quantique mais plus précisément et en second lieu résultant de la propagation de ces anneaux qui de ce fait forment les sommets de cônes faits de « molécules » d’éther-espace-temps laissées en vibrations derrière eux tout comme un sillage est laissé et peut être observé dans l’eau derrière un soliton qui s’y propage …


    Mais bon ! Une bonne quarantaine d’années solitaires s’est avérée salutaire et nécessaire pour parvenir à complètement sortir les pieds de la « grotte » platonicienne où pataugent encore la pensée à la recherche de CE QUI EST.

    Je vais essayer de reprendre en les simplifiant les grandes lignes de la théorie née de ces réflexions afin d’écrire un ou plusieurs articles pour AgoraVox.

    Aussi parce que je ne demande qu’à m’exprimer en étant compris et que cette théorie ne peut vraiment l’être qu’illustrée en animations d’images 3D à l’aide de l’informatique que je ne maîtrise pas, pour moi qui n’ai plus le goût de l’effort cela ressort d’une gageure autre que de laisser aller sa pensée dans un environnement déjà moult fois parcouru, vu … et revisité les yeux fermés.

    Mais bon ! Les proches qui m’ont vu à l’oeuvre attendent cela depuis si longtemps que le bout du rouleau pointant son nez il faut y aller, et quand il ... ... ... faut y aller !

    @+ ; M&A J.



  • Marc-Antoine JEULLIAU Marc-Antoine JEULLIAU 1er janvier 2016 06:07

    @Marc-Antoine JEULLIAU



  • Marc-Antoine JEULLIAU Marc-Antoine JEULLIAU 1er janvier 2016 05:54

    @Fabien Sabinet , Bonjour et meilleurs vœux. 

    Voilà plus de 40 ans, alors que j’avais repris des études d’électronique par correspondance, l’imagination et l’intuition très fertiles dont alors je pouvais déjà me vanter de posséder m’avaient amener à comprendre qu’un photon ’’onde-corpuscule’’ ne pouvait avoir qu’une ’’forme’’ scientifiquement observable, celle d’un soliton en forme d’anneau. Autrement dit la forme du bourrelet d’étrave – ou vague d’étrave – que tout électron devait produire lors de ses déplacements dans un substrat spatial. Cet anneau-soliton devait alors se détacher de sa charge électrique lors d’un arrêt de celle-ci ou d’un changement de direction, et cela exactement comme le fait la vague d’étrave d’un navire de surface ou d’un sous-marin.

    Ce modèle, développé dans l’esprit scientifique le long d’une quarantaine d’années, est aujourd’hui étayé par des expériences très simples qui permettent aujourd’hui de retracer par le menu et de manière phénoménologique la formation de la matière à partir de quanta d’énergie possédant les caractéristiques

    A plusieurs reprises j’ai longuement essayé de faire passer cela, ailleurs et ici même, en intervenant sur des forums ou suite à des articles (où votre silence est aujourd’hui remarquable … !?), mais ce n’est vraiment pas la bonne méthode et, gravement malade, j’ai beaucoup de mal à retrouver l’énergie nécessaire à l’amateur autodidacte que je suis resté pour argumenter face à des énergumènes tels que vous pourrez les retrouver

    ici => http://www.agoravox.fr/auteur/marc-antoine-jeulliau

    et là => https://sciencetonnante.wordpress.com/2014/12/01/que-faire-des-resultats-scientifiques-revolutionnaires-demontres-par-des-amateurs-incompris/#comment-7921

    @+ ; M&A J.



  • Marc-Antoine JEULLIAU Marc-Antoine JEULLIAU 10 décembre 2015 17:43

    @ là veaux, vaches et cochons ... 

    afin qu’ils puissent saisir ce que permet l’aise prit avec les mots entre les maux ! Ou l’inverse.

    « Vous avez besoin d’être recadré Lavaud … etc … etc … » C’est ainsi que Bernard Dugué, auteur de l’article, intervient ci-dessus sur le jugement foncièrement lourd et insultant d’un habitué de ce site qui a réussi, en signalant un abus, à faire virer mon dernier billet à lui adressé … Un comble.

    Eh ! la modération … vous vous êtes trompé de guignol ./

    Ainsi il suffit d’aller voir, entendre ou réentendre une conférence de Philippe Grangier rediffusée ICI => 

    https://www.canal-u.tv/video/universite_de_tous_les_savoirs/la_physique_quantique_philip pe_grangier.1434

    pour juger et comprendre qu’en ce lieu d’AgoraVox les interventions, conclusions et jugements d’un ’’je cultive l’invective’’ ne sont que les lamentations érigées en credo (cf. les sites par ses soins ci-dessus donnés en références …) d’un vieil aigri du remplissage de crânes – de fait ainsi devenu quelque peu ’’savant’’ – qui aujourd’hui semble en pleine involution vu qu’il pousse encore la rengaine qui depuis bien longtemps lui sert d’exercice représentatif et vital et qui dès lors illustre et préfigure comment s’épuise et finit un souffle, fusse le sien, en le pipeau d’un râleur …

    MAJ.



  • Marc-Antoine JEULLIAU Marc-Antoine JEULLIAU 22 août 2015 06:29

    @JC_Lavau 

    D’où viens-je ? Qui suis-je ? Où vais-je ? … 
    J’ai toujours suivi ce que j’étais que je me proposais de re-suivre, autrement dit : je suis ce que je suis que je suis … Mais inconsciemment j’attends peut-être que d’aucuns, tel un JC de l’église des cas allumés et véhéments officiant sur cet espace, trouvent un calumet, autrement dit qu’ils cassent leurs pipes … Et avant moi si possible … 
    C’est dire si, dans mon état, je me satisfais de peu ._____



  • Marc-Antoine JEULLIAU Marc-Antoine JEULLIAU 31 juillet 2015 09:55

    @JC_Lavau

    Un aveu … ! ? Quel aveu ? Re-bingo ! Y’en a qui feraient bien de se souvenir que si les paroles passent les écrits restent, et que voir le monde à travers une grille d’interprétation perso n’est pas signe d’être le bon d’yeux ...

    Ce sont Einstein et Infeld qui étaient cités et là faisaient de l’esprit en le soufflant gaiement d’outre tombe. Rien de plus. Ce qu’il me reste à écrire mérite en effet de l’être ailleurs qu’en ces commentaires où l’on peut voir que qui n’est qu’un jacques se prend pour JC et signe de ces royales initiales croyant probablement qu’ainsi il lave haut la main tout ce qui lui vient de plus bas … que là où il se croit perché.

    Triste vie en vérité que celle d’être sans cesse à la recherche de l’altercation et de n’avoir que l’invective et l’insulte à exprimer alors que tout ce qui nous a fait vivre fut appris des autres. Mal_appris … ! ? Pour sûr ! Malappris qui croyait prendre. Oui, Oui ! Lors d’un éclair de lucidité ça doit être vraiment triste de prendre conscience, in fine, vieux ... qu’on ... va finir ainsi vu qu’on aurait pu faire autrement.

    Mais bon ! Ne s’assied pas à la table qui veut. Et ça c’est un aveu : même s’il n’en a rien à fiche voilà plus de 4 décennies que M-A J. y a été admis ./




  • Marc-Antoine JEULLIAU Marc-Antoine JEULLIAU 28 juillet 2015 15:14
    BonTout.

    Pour les Bohr nés, une citation d’Einstein / Infeld venant à propos tirée d’une relecture estivale et festive de ’’L’évolution des idées en physique’’ (pbp N° 47, 1978 ; p. 257) : « Les idées fondamentales jouent un rôle essentiel dans la formation d’une théorie physique. Les ouvrages de physique sont remplis de formules mathématiques compliquées. Mais c’est la pensée, ce sont les idées qui sont à l’origine de toute théorie physique. Les idées doivent plus tard revêtir la forme mathématique d’une théorie quantitative pour rendre possible la comparaison avec l’expérience. »

    MA J.