Va-t-on essayer de me faire croire que Zalka serait une seule et même personne quand on passe sans transition de l’insulte, avec le très fameux tutoiement qui sent bon la racaille, à l’argumentation polie assortie du vouvoiement de rigueur ?
Bien à vous
Des opinions exprimées sur Internet par des citoyens Lambda sous le coup de la loi ? Vous vous foutez de la gueule de qui ?
Vous me faites bien rire avec votre fascisme larvé, celui qui consiste cautionner l’interdiction d’expression d’opinions, comme si on ne devait pas avoir le droit de penser ceci ou cela. Quel dogmatisme minable, veuillez m’en excuser.
Sans compter qu’on ne peut jamais savoir si un internaute exprime sa propre opinion ou s’il cherche à obtenir une réponse relativement à une opinion.
En tout cas j’affirme que la suppression de son compte sans aucune avertissement est une aberration.
Bien à vous.
Qu’il s’agisse d’individus ou de cultures, on vit dans un égalitarisme maladif bien-pensant mais personne n’est tellement dupe.
Tout le monde sait bien qu’un bourricot ne fera jamais un cheval de course.
Et qu’une chansonnette, si bien ficelée soit-elle, ne peut en aucun cas avoir la même valeur artistique qu’un air d’opéra de Mozart.
A-ce du sens de considérer le rap d’aujourd’hui, celui qui, par exemple, s’égosille en assertions élégantissimes du genre je pisse sur De Gaulle ou encore on est là pour tout niquer sur la base d’un rythme nerveux plus ou moins abétifiant, comme de la poésie ?
Comme si le poète était bestialement revendicatif.
Comme si l’artiste était censé prendre en otage son public et transformer son spectacle en meeting politique.
Mon conseil ? Écoutez le Miserere d’Allegri, regardez la date et concluez.
Bien à vous.
Un calcul informatique montre qu’il y a pour l’instant 267 réponses écrites par 59 contributeurs différents.
- Voici le palmarès des contributeurs ayant contribué plus de 10 fois :
- 1. Alexandre Latsa a contribué 29 fois.
- 2. COLRE a contribué 16 fois.
- 3. wesson a contribué 14 fois.
- 4. ronchonaire a contribué 14 fois.
- 5. Calito a contribué 13 fois.
- 6. Philou017 a contribué 11 fois.
- 7. Léon a contribué 11 fois.
On constate donc que l’espace de ce Media citoyen est essentiellement investi par 7 contributeurs.
Il est né en France, il est français, lit-on ici ou là.
On sent que la virgule démange et voudrait se changer en donc, si je chercher « donc il », on ne trouve rien sur ce fil mais il est clair que la phrase signifie, sans qu’on ait le courage de le dire clairement : il est né en France donc il est français.
Eh ! Oui, tout le monde sait bien que quand on naît en Zouzouland, on est Zouzou, c’est tellement simple : il est né en Zouzouland donc il est Zouzou.
Qu’est-ce que ça peut me faire rire ce genre de remarque à la con, omettant systématiquement de préciser que s’il est français, c’est parce que la France le veut bien.
Comprendra-t-on une jour que la prise indue de nationalité est un piège à cons ?
Le droit du sol n’a aucun sens pour un non-Européen c’est-à-dire pour un individu qui ne pourra ni se ressentir, ni être ressenti, ni physiquement, ni culturellement, comme français. C’est non seulement le spolier de sa véritable identité mais aussi et surtout le forcer à mentir, à se dégrader par le mensonge.
Quelle bêtise d’accepter la nationalité française quand le miroir, politiquement incorrect par définition, vous prouve que vous n’êtes pas français. C’est à peu près aussi connard que d’accepter un diplôme de violon sans savoir en jouer. — Vous êtes violoniste, vous ? — Oui, regardez mon diplôme. Mais quand on tend l’archet au prétendant, la supercherie est patente. Car l’archet est aussi politiquement incorrect pour le violoniste de papier que le miroir ne l’est pour le Français de papier.
Les faits divers existent simplement au prorata de l’immigration non européenne, à tel point que les mosquées ont de plus en plus de mal à se faire assurer tout simplement parce que la probabilité d’un acte de vandalisme devient trop grande et n‘intéresse plus les assureurs.
On ne peut pas passer de 41 millions d’habitants à 65 millions (j’en étais à 64 mais j’ai lu récemment 65, donc allons-y gaiement pour 65, on n’arrête pas le progrès) en quelques décennies sans avoir à s’accommoder de quelques faits divers de ce genre.
Bien à vous
Ce qui se passe est de tout temps : la raison du plus fort est toujours la meilleure.
Et le bon Phèdre disait déjà il y a deux millénaires : in principatu commutando, sæpius nil præter dominum cives mutant pauperes, dans un changement de gouvernement, seul le maître change du point de vue des citoyens pauvres. (I/15)
Et aussi : humiles laborant ubi potentes dissident, ce sont les petites gens qui trinquent quand les puissants se chamaillent. (I/30)
Bien à vous.
Vous ne comprenez toujours pas qu’il s’agit de censure c’est-à-dire que les messages ont été supprimés par la modération et non du repli des messages suite à notation négative des internautes.
Ces notes sont d’ailleurs infantiles, les sites sérieux rompent avec cette imbécillité d’autant qu’elles sont anonymes et les internautes n’ont pas accès à la liste des noteurs intempestifs, on ne peut donc pas savoir les noms de ces indélicats, probablement toujours les mêmes, qui passent leur temps à cliquer.
Il m’arrive souvent d’avoir des messages qui disparaissent, même sur note positive, ou sur note négative encore loin du repli, sans même parler donc du repli, tout simplement parce toute idée originale dérange, surtout si l’on évoque certains lobbies.
Et je vous rappelle que le compte d’Ægidius REX a été purement et simplement supprimé, ainsi que ses articles et ses contributions, c’est énorme pour un média qui se dit citoyen, et ce, parce son politiquement incorrect dérangeait ces Messieurs.
Par chance, ce post s’est maintenu, cela devrait vous donner quelque idée du problème.
Votre prose, peu soignée au demeurant, est donc inopérante, vous parlez d’autre chose.
Bien à vous.
Je vois ce que vous voulez dire mais vous devriez avoir idée qu’une censure acharnée n’a pas beaucoup de sens dans ce cas.
Vous parlez de gens qui seraient d’accord avec Arthur sans (vouloir) voir qu’il a édité des avis contraires (mais comme cela a été supprimé, on ne peut plus le constater) et que pour ma part, je ne sais même pas ce qu’il pense : je constate simplement qu’il est censuré.
Je ne trouve rien de vicieux ici, vous me pardonnerez.
Bien à vous.
Il se peut que les responsables ne soient pas les mêmes durant les vacances, il est vrai que leur attitude est incompréhensible dans ce cas particulier.
Quant au silence, ils sont coutumiers du fait, vous parlez à des murs.
Bien à vous.
La mondialisation étant imposée aux peuples, concept comme sorti miraculeusement du chapeau d’un prestidigitateur, sans qu’à aucun moment, ils n’aient pris part à cette décision qui les concerne au premier chef, je suis toujours frappé du fait qu’on emploie ce mot comme si tout cela allait de soi, comme si c’était une évidence.
Même les socialistes ont récemment introduit ce mot dans leur argumentaire, comme si de rien n’était, ce qui prouve bien que la pseudo-rivalité gauche-droite est parfaitement artificielle et que c’est à bon droit qu’on ait parlé d’UMPS.
À qui profite l’Europe ? À tout le monde, sauf aux Européens.
À qui profite la mondialisation ? À tout le monde sauf aux peuples qui sont manipulés tous azimuts.
Vous prédisez des conflits importants, je les pressens aussi pour différentes raisons, entre autres, la démocratie est totalement bafouée dans nos régions, ça va très rapidement devenir insupportable, je doute qu’on puisse nous prendre éternellement pour des imbéciles.
Bien à vous.
Petit à petit, quels que soient les détours qu’on prend, on s’achemine vers l’idée assez formidable d’un dividende universel c’est-à-dire d’en finir définitivement avec cette idée de devoir gagner sa vie.
Il faut rendre la vie gratuite, c’est tout.
S’il a fallu la gagner, cette vie, dans tous les siècles passés, aujourd’hui l’équation travail=pain n’a plus de sens. Je le dis et le répète : il n’y a plus de travail et il n’y en aura plus jamais. Il ne restera très bientôt que le travail incompressible lié à la vie, qu’il s’agisse de l’utilitaire ou de la création ex nihilo.
Il faut bien comprendre qu’il est absolument impossible de ne rien faire vingt-quatre heures sur vingt-quatre.
Un disponible (c’est ainsi que j’appelle plus honorablement un chômeur en tant qu’il est en quelque sorte en réserve de la République et donc disponible) un disponible, par exemple, qui accorde à une veille dame une conversation dans un café, me paraît socialement mille fois plus utile qu’un gratte-papier dans un bureau qui ne sert strictement à rien (peu importe qu’il le reconnaisse ou non) et qu’on ne garde, pour l’instant, que pour ne pas le mettre au chômage.
Dans ces conditions, le travail pourrait être véritablement valorisé et ceux qui auraient cette chance d’accéder à l’emploi, soit en étant engagé par une société, soit parce que leur inventivité est telle qu’ils auront su se créer leur propre travail, seront simplement plus riches que ceux qui ne vivraient que de ce dividende universel.
Qu’importe qu’il y ait des feignants ou des profiteurs, ça n’a aucune importance, dans le nombre il y a forcément des inventifs qui créeront et utiliseront intelligemment ce temps qui leur est offert par la société.
Il faut noter aussi qu’Internet, cette Toile Géante, avec sa gratuité généralisée, a également participé, d’une certaine manière, à l’appauvrissement des contributeurs car tout ce travail que représente les sites, dont certains sont tout à fait extraordinaires, n’est absolument pas rémunéré. C’est quand même un non-sens.
Pour résumer, de quelque nom qu’on l’appelle, se fait jour l’idée d’un dividende universel.
Bien à vous.
Avec mes excuses émues, pas d’accord grammatical après un infinitif et c’est "s’est" et non "c’est" :
La France s’est sérieusement fait piéger.
Bien entendu, personne n’est à l’abri d’une inadvertance, d’un lapsus clavis, pour le nommer de son nom latin, mais une aussi belle phrase, par vous forgée, laquelle doit fatalement contenir un fond de vérité, se doit d’être présentée sous sa forme canonique.
Bien à vous.
Que l’homme ait de tout temps été un migrant, c’est bien possible. Mais cet argument générique n’existe que pour faire apparence.
Comparons ce qui est comparable : entre découvrir le monde dans les millénaires passés et envahir un pays parce que l’herbe y est plus verte, ce n’est pas du tout la même chose.
On veut mettre sur un même plan une émigration d’enrichissement qui vient créer des valeurs sur terre étrangère, et ce, parce que les individus qui la constituent, ont une grande culture et une grande valeur, et une émigration de parasitage , celle qui fuit son pays, comme si un parasite valait un créateur.
On veut mettre sur un même plan une immigration compatible, celle d’individus dont la culture est à peu près identique et qui s’intègrent en une seule génération, avec une immigration incompatible, celle d’individus qui refusent manifestement l’intégration et veulent imposer petit à petit leurs propres valeurs. C’est ainsi qu’on emploie le même mot immigration pour désigner l’immigration inter-européenne et l’immigration extra-européenne comme s’il s’agissait de la même chose. Dans l’art de prendre les gens pour des imbéciles, on ne peut guère faire mieux.
N’ayez crainte, la théorie est une chose, la pratique en est une autre, tôt ou tard vous serez rattrapés par la réalité, l’actualité vous a donné des hors d’œuvre, je suis sûr que vous allez aimer le plat principal qui arrive à grands pas.
Bien à vous.
Le fait que nos banlieues soient plus proches d’Obama, est un comportement massivement raciste. On ne me fera pas croire à un hasard.
Après cela, comment avaler la très théorique théorie selon laquelle les races n’existent pas ! Allez les convaincre, eux, et revenez m’en direz des nouvelles.
Faites ce que je vous dis…
Bien à vous.
Deuxième guerre mondiale ?
Certains disent deuxième guerre dite mondiale, c’est qui est déjà mieux.
Quand la France, chiure de mouche sur le globe, est en guerre, c’est une guerre mondiale. Risible, non ?
Non, c’était la deuxième guerre civile européenne.
Bien à vous.
Nous savons tout cela depuis l’antiquité, la seule différence relève simplement du lexique des objets et des métiers de notre temps, relire par exemple (et ce ne sont pas les exemples qui manquent tant en grec qu’en latin) Sénèque, par exemple (ça ne manque pas non plus chez ce seul penseur) ses Lettres à Lucilius.
Au plus l’individu est pauvre mentalement, au plus il se raccroche à des valeurs sociales qui n’en sont que dans sa tête préformatée, notamment les trois suprêmes pour le commun : argent, pouvoir, honneur.
Si, par exemple, les librairies regorgent de textes inutiles rédigés par la volaille écrivassière, c’est parce que l’édition leur apporte ces valeurs. Si faire les pieds au mur donnait ce prestige, cette même canaille ferait les pieds au mur et cesserait d’écrire.
Vides illum Scythiæ Sarmatiæve regem, tu vois ce roi des Scythes ou des Sarmates, insigni capiti decorum, la tête couverte d’ornements ? Si vis illum æstimare, si tu veux savoir ce qu’il vaut, totumque scire qualis sit, et savoir quel il est dans son ensemble, fasciam solve, enlève-lui sa couronne, multum mali sub illa latet, beaucoup de misère se cache sous elle ! (Ad Lucilium, LXXX)
La misère mentale fait tourner le commerce, il y a une richesse énorme à tirer de la misère, c’est pourquoi la misère a toujours été une pièce maîtresse du Capitalisme.
Cela n’enlève rien à la valeur de votre écrit qui a été apprécié.
Bien à vous
Comparez les sonorités : Mc Cain et Obama.
La première a besoin de toute la prononciation de l’anglais américain avec cette syllabe « ain » qu’il est difficile de noter dans notre langue mais que les présentateurs prononcent, je crois, assez bien. La deuxième non, avec des syllabes standard.
Tout cela rentre subrepticement dans le cerveau à chaque fois et c’est là que l’élection se joue.
C’est comme si en France, avec mes excuses, un candidat s’appelait Mohamed.
La partie est terminée depuis le début, c’est tellement simple à comprendre.
À tel point qu’on n’entend pas Mc Cain, ou très peu, c’est à se demander s’il a besoin de faire campagne.
Si je me trompe, refoutez-moi ce message à la g… ici même le moment venu.
Bien à vous.
Il faut réguler l’immigration, écrivez-vous.
Reconnaissez que c’est nouveau pour vous de le dire, c’est probablement la mort dans l’âme que vous arrivez à le reconnaître. Je vous fais certes ici un procès d’intention car au fond, je n’en sais rien, comment le saurais-je avec certitude ? mais à la loyale, je suis à peu près certain que c’est récent comme idée.
Je vais vous dire, je ne crois pas qu’on fasse de la politique ni avec des jeux de mots ni avec des cas particuliers.
Un peu plus de grandeur et de recul s’imposent dans ce domaine.
Bien à vous
Au fond, ce qu’on voudrait éradiquer, c’est que l’immigré,qui est d’ailleurs le plus souvent non pas un immigré mais un immigrant, erreur de langage qui en dit long, soit un immigrant.
Mais la tautologie un immigrant est un immigrant est ineffaçable. En tout cas aussi longtemps que le monde n’est pas complètement cosmopolite.
On voudrait aussi éradiquer la responsabilité de l’immigrant qui fuit sa patrie parce l’herbe est plus verte ailleurs, comme s’il allait de soi de fuir son pays.
Or, l’immigration est un choix dont on doit assumer la responsabilité non seulement pour soi-même mais aussi pour sa progéniture, dont on peut douter qu’elle soit très heureuse d’avoir été mise devant le fait accompli d’une naissance sur terre étrangère, mais dont la trop timide clairvoyance va très rarement jusqu’à oser critiquer ses géniteurs pour cette raison, responsabilité d’émigration d’autant plus grande qu’on change de continent et qu’on aborde une culture très différente de sa culture d’origine.
On a voulu mettre sur un même plan une immigration inter-européenne et une immigration extra-européenne, comme s’il s’agissait de la même chose, en utilisant le même mot dans les deux cas.
En cela, on prend clairement les citoyens pour des imbéciles.
D’autre part, on voudrait mettre sur un même plan une émigration qui vient créer des valeurs et des richesses sur terre étrangère et une émigration qui vient parasiter un système meilleur que le sien comme si un parasite équivalait à un créateur.
En cela aussi, on prend les citoyens pour des imbéciles.
Mais ça trompe de moins en moins de monde.
Bien à vous.
Il faut répéter que d’un de vue humain, il est logique de considérer des races ou des ethnies (je sais qu’on adore jouer sur les mots pour refuser d’admettre la réalité sensible évidente), tout simplement pour rester cohérent avec l’expérience.
D’ailleurs, en quoi devrions-nous renoncer à cette différence visible quand ceux qui se plaignent du racisme d’autrui sont les premiers à la voir, par exemple, on entend dire parfois, je suis rentré au bled, pas un seul Français dans l’avion : risible, non ? Comment ça se voit ? Ont-il un talent particulier pour déceler les nationalités d’un seul coup d’œil ?
Mais il faut noter que ce qui est rejeté n’est pas la race, comme on voudrait nous le faire croire pour insuffler une mauvaise conscience aux Autochtones, mais la mauvaise éducation.
Car il est patent que les races, ou les ethnies, sont associées à des éducations, à des us et coutumes, et que si certaines attitudes ne posent aucun problème, d’autres sont en conflit avec les valeurs autochtones.
Bien à vous.
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