@patdu49 merci d’avoir confirmé que votre approche est purement idéologique
N’oubliez jamais que les principaux responsables non-allemands de la seconde guerre mondiale étaient les pacifistes (que l’on retrouva dans les meilleures places des régimes de collaboration)
@patdu49 Evidemment, oui. Votre commentaire signifie que la doctrine religieuse n’a absolument rien à voir avec ce que l’on constate, alors même que ce constat correspond exactement à ce à quoi vise cette doctrine religieuse.
Bien sûr qu’il y a d’autres facteurs en jeu. Mais être aveugle à ce point devant l’évidence, cela relève de la pure idéologie
@patdu49 Bonjour
Avez vous lu l’article ?
@Pierre Régnier Je connais assez bien Rémi Brague. Il a rédigé la préface de mon dernier livre, et je pense qu’il partage mon constat, inverse de votre proposition : la violence islamique procède de l’islam, de ses espérances, de sa théologie.
Voyez ici un extrait de cette préface : https://www.facebook.com/notes/la-la%C3%AFcit%C3%A9-m%C3%A8re-porteuse-de-lislam-/fonder-le-droit-sur-un-rapport-de-force-/2650682668334733/
@HELIOS Le problème de la haine, c’est qu’il ne suffit pas de l’éprouver pour qu’elle existe (soi-disant). Il suffit de la dénoncer pour la faire exister. Je n’ai moi, par exemple, aucune haine envers les musulmans. Mais je ne compte plus les musulmans qui m’accusent d’être haineux. Et effectivement, avec cette loi, il suffira de se dire victime de haine pour la créer ex nihilo..
@Emile Mourey
Et pourquoi donc le craindriez vous ?
En l’occurrence, je crois bien n’avoir pas voté du tout.
@Attila
Bonjour,
Je n’occulte rien...
Je vous renvoie à mon livre, La Laïcité, mère porteuse de l’islam ? où est traité ce sujet de la responsabilité des Etats Unis et du Royaume Uni (et plus spécifiquement des services anglo-saxons et des puissances qui les gouvernent) dans l’exploitation du jihad depuis un siècle et demi (jihad qu’ils n’ont pas créé cependant : vous savez comme moi qu’il procède de l’islam lui même).
Je ne pense pas cependant qu’il soit très pertinent de le mentionner dans le cadre de cette note, qui vise à cadrer les débats relatifs à « l’islam de France ». A moins que vous n’ayez des éléments précis pour incriminer un rôle quelconque des Etats Unis dans l’immigration musulmane (spécifiquement musulmane) depuis 50 ans, et dans la structuration de « l’islam de France ».
@Christian Labrune
@Christian Labrune
@Christian Labrune
Non
Le totalitarisme islamiste n’est pas le totalitarisme nazi
Au centre du totalitarisme islamiste, il n’y a pas l’antisémitisme mais l’exécration de TOUS les mécréants. C’est le coeur du développement de mon article... Ramener le totalitarisme islamiste au seul antisémitisme, c’est traiter les effets sans considérer les causes. En plus d’être inefficace, lutter ainsi contre le totalitarisme islamiste ne fera que renforcer les islamistes dans leur fausse vision du monde, ne fera que contribuer à embraser la situation. Une attitude de boute-feu dont on est en droit de se demander si ce n’est pas ce que certains recherchent...
@QAmonBra
@Sarah
EM Gallez a repris le terme de judéonazaréen pour qualifier une mouvance spécifique, celle d’un courant juif (judéen) messianiste, appliquant la loi de Moïse et ayant reconnu Jésus comme messie politique, restaurateur d’une royauté en Israel qui viserait à éliminer le mal du monde en éradiquant ou en soumettant tous les méchants, à savoir les impurs, ceux qui appliquent mal la loi de Moïse. Ils s’appelaient eux mêmes nazaréens.
@Emile Mourey
Alors je n’ai rien d’autre à répondre que ce que j’ai déjà écrit : pour moi ce récit des dormants d’Ephèse était populaire dans le milieu arabe chrétien dans lequel les Nazaréens ont recruté les futurs Emigrés. Les prédicateurs s’en sont servis pour recruter davantage.
@Emile Mourey
@Emile Mourey
Je ne sais pas quoi en penser de votre question. Je ne la comprends pas. Je ne vois absolument pas le rapport que vous faites entre la nécessité pour Mahomet d’être né en 550 et le fait que le Coran reprenne à son compte cette histoire des dormants d’Ephèse. Elle n’est pour moi que la reprise d’une histoire populaire dans les milieux arabes chrétiens dans lesquels les Nazaréens ont voulu recruter leurs premiers adeptes. Et c’est pour cela que Mahomet (ou le prédicateur qui parle dans le Coran) la reprend à son compte dans son projet d’embrigadement.
@Sarah
Que les voies de Dieu sont impénétrables ?
@Jean Keim
@Antenor
Sur les Nazaréens, Nazoréens, Naziréens, Naçaréens, Nasara et autres habitants de Nazareth
La clé de compréhension de toutes ces appellations, c’est la racine NZR en hébreu, et ses jeux avec la racine NSR au cours de l’histoire et de l’évolution naturelle du sens des mots. Initialement, NZR se rapporte à la royauté, signifiant “couronne” (“nezer”), ou “diadème”. Chez les Hébreux, la royauté était éminemment liée au sens de Dieu (David est oint par le prophète Samuel, inspiré par Dieu, qui lui fait désigner David comme roi, successeur de Saül), et le roi était le premier consacré à Dieu (cf. histoire de David). De là la dérivation vers les Nazirs et le voeu de Naziréat, le voeu de consécration à Dieu qui avait de ce fait chez les Hébreux un lien organique à l’attente messianique, à l’attente de la restauration de la royauté promise par Dieu via ses prophètes (Isaie).
On comprend donc ce que recouvre l’appellation de Nazoréens au 1er siècle, au temps de Jésus : le naziréat a fait école, il y a des Nazirs qui observent la règle antique, et des Nazoréens/Nazaréniens qui se placent dans leur sillage, moins stricts dans l’observance de la règle mais tout aussi pétris de l’attente messianique et de l’espoir de la venue d’un nouveau roi. Selon Jean-Christian Petitfils, Nazareth est un des foyers des Nazoréens, et Jésus se présente aux Hébreux comme l’un d’eux. Il apparait de plus comme le “Nazir” par excellence, consacré à Dieu depuis sa conception miraculeuse. Il “recrute” certains de ses apôtres dans ces milieux nazoréens (mais pas uniquement, son enseignement fédère des Hébreux de toutes tribus et de toutes tendances). Jusqu’à Jésus, les NZRiens sont donc, selon leurs appellations et les périodes de l’histoire des “consacrés à Dieu”, des “vivant à part”, des “messianiques”, des “saints”. Avec Jésus, ses disciples se retrouveront donc sous cette appellation, jusqu’après sa mort et sa résurrection qu’ils proclament, où, comprenant que Jésus ne rétablira pas la royauté politique en Israël mais que sa messianité est en fait d’un tout autre ordre, il se feront appeler “messianiques” ou “disciples du Messie” (en grec “chrétiens”, en araméen “mshyiayè”). Les “croyants” en Jésus qui ne renonceront pas à leur appellation de “NZRiens” seront ceux qui voudront continuer de croire que Jésus rétablira la royauté politique en Israël : ce sont les judéo-nazaréens qu’a pointés Edouard-Marie Gallez. Il faut savoir de plus que le Naziréat et les mouvements nazoréens ont perduré également après Jésus, ce qui perturbe encore davantage notre perception de la grande pluralité de tendances et de courants que ces appellations ont recouvert au cours de l’histoire.
A côté, il faut aussi comprendre les jeux de mots entre les racines NZR et NSR. NSR signifie initialement le “surgeon”, le “rameau”, la “branche”, voire la “fleur” (“netser”). Cette racine a pris un sens très particulier avec la prophétie d’Isaie (11,1-2) : “Puis un rameau sortira du tronc de Jessé [lignée de David], et un rejeton [netser] naîtra de ses racines”. Toujours selon Petitfils, le nom de Nazareth vient précisément de ce “netser” : Nazareth est la ville (ou plutôt le village) où est attendu ce “netser”, car repeuplée au 2nd siècle avt JC de descendants de la lignée de David de retour d’exil. Le rejeton attendu, c’est le Messie dans l’espérance des Hébreux, c’est donc aussi le NZR, le “roi”. Et là on comprend que les racines, différentes initialement, se rejoignent dans certaines de leurs acceptions. Nazoréens et Nasaréens, c’est donc kif kif.
@franc
@Emile Mourey
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