Loi n°73-7 du 3 janvier 1973 sur la Banque de France
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l'Etat n'a plus le "pouvoir de battre monnaie"
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Pompidou, ancien de Rothschild, a vendu la France aux "grands méchants financiers spéculateurs & apatrides"
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toute la dette accumulée depuis 1973 découle de cette loi.
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avant 1973, la France se finançait déja par la dette et par l'impot
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la loi de 1973 a juste tenté de limiter la capacité de la France à créer des billets de monopoly (mais de 1973 à 1994, la Banque de France n'était pas indépendante, donc c'est toujours la politique qui a décidé de la politique monétaire in fine.
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d'autres pays ont interdit le Trésor Public local de présenter ses propres effets à l'escompte de la Banque centrale nationale, ils n'ont pas tous une dette publique galopante pour autant : Finlande, Suisse ou Norvège par exemple.
173 réactions à cet article
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Quelle prétention incroyable dans ce texte ! On affirme, on ne démontre rien...Typique du libéral imbu de son soit-disant réalisme (qui au fond n’est qu’une totale incompréhension de la complexité des réalités économiques)... En gros le message est, « ne vous occupez pas de politique, le big business s’en occupe pour vous »....
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Un auteur libéral, amoureux de la liberté ... de piller la société.
Donc, ce changement de paradigme ne serait pour rien dans notre endettement ?
Et la diminution des rentrées au travers de la baisse l’imposition des entreprises et haut revenus pas davantage, je suppose ?Juste du délire neo-libéral ...
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@ minadou : « En gros le message est, »ne vous occupez pas de politique, le big business s’en occupe pour vous« .... »
NON ! le message est : que les politiciens ne s’occupent pas de NOS VIES, nuance ! -
NON ! le message est : que les politiciens ne s’occupent pas de NOS VIES, nuance !
—> Finissez donc le raisonnement libéral jusqu’au bout : il faut DONC que ce soit le Marché qui s s’occupe de nos vies. Bon ben non merci.
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@ eleusis
dans ce sens, oui
les etats ne rachetent pas leurs obligations -
@Bastiat : Non je confirme ! Après relecture, vous dites bien que les non-économistes (qu’entendez vous par là : universitaires et thesards en science éco, étudiants en science éco, professionnels de la finance, chefs d’entreprise ?) n’y pigent rien et qu’il ne devrait pas se préoccuper de ce domaine, qui est pourtant le coeur même de la politique, et des clivages politiques.
D’ailleur je ne comprend pas pourquoi vous niez, votre propos est tout à fait conforme à la pensée des grands penseurs libéraux (si si ami lecteur, il y en a !) : comment avoir une démocratie tout en otant aux politiques tout pouvoir sur l’économie. Et que concluent-ils ? Ben que c’est impossible !
Le régime de Pinochet restant, au final, comme le projet libéral le plus abouti de l’histoire (avec aux manette ce cher Milton Friedman et ses chicago boys). -
vous avez mal compris. Le but est au contraire de ne pas arriver à des situations type « affaire du sang contaminé », où des politiciens non experts en médecine laissent passer des faits qui les rendent responsables mais pas coupables, Vous accepteriez d’etre soignés par le Dr Fabius, vous ?
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Et l’auteur de faire allègrement l’impasse sur le contexte politique : le principe du Glass-Steagall en vigueur dès 1945 :
"Le 2 décembre 1945, la loi 45-15 relative à la nationalisation de la Banque de France et des grandes banques et à l’organisation du crédit, venait concrétiser les résolutions prises sous l’occupation par le Conseil national de la Résistance. [*]
Cette loi définit clairement « trois catégories de banques : les banques de dépôt, les banques d’affaires, les banques de crédit à long terme et à moyen terme » ; institue un Conseil national du Crédit, représentatif des forces vives de la nation, aux pouvoirs réglementaires et non simplement consultatifs ; établit un dispositif sérieux de « contrôle des banques d’affaires » en nommant pour chacune d’elles un commissaire du gouvernement, muni de pouvoirs d’investigation et chargé de veiller à la régularité de leurs opérations et à leur conformité avec « l’intérêt national ». Ce Glass-Steagall français est à l’opposé de ce qu’on appelle aujourd’hui « régulation ». Il ne s’agit pas d’une simple surveillance a posteriori des organismes de crédit, comme il est d’usage aujourd’hui, mais d’une réglementation intégrale des activités bancaires afin que l’allocation du crédit privé s’adapte aux lignes fixées par le Plan." Source
Facile d’isoler un élément de son contexte... c’est ce que font les sophistes, en général.
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il ne date pas des années 30, plutot ? http://fr.wikipedia.org/wiki/Glass-Steagall_Act
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- 13 sur une info purement factuelle, à savoir que le Glass Steagall Act date des années 30, contrairement à ce que le précédent interlocuteur écrivait.
les gens qui notent sont ils rationnels ? -
Iceberg en vue !... Mon Capitaine ?!...
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Je crois l’avoir vu s’enfuir dans une chaloupe de sauvetage...
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toujours présent moussaillon !
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« la loi de 1973 a juste tenté de limiter la capacité de la France à créer des billets de monopoly »
Génial !... On a donc remplacé une inflation de nature publique, par une autre entièrement privée...On rappellera en effet que l’inflation est un impôt déguisé au bénéfice de celui qui émet la monnaie.Quand elle est émise par des prestataires privés (les marchés donc...) ce sont eux qui vont bénéficier du produit de cette redistribution de richesse et non plus l’état (c’est à dire nous).Effectivement le progrès est éblouissant...L’auteur nous prend pour des cons et suggère en plus que nous nous embarquions sur la voie qui nous mênera immanquablement dans une spirale déflationniste, preuve qu’il n’y connait strictement rien en économie et qu’il a très certainement séché tous ses cours d’histoire depuis le lycée.Ah oui, au fait... Une spirale déflationniste entraine immanquablement la guerre à terme.Révise tes cours au lieu de nous servir tes conneries et de nous croire assez idiots pour avaler de telles couleuvres !-
ah, on est tombé sur un Einstein bac +5 ! En effet, tout le monde n’a pas eu la chance de faire des études !
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« Einstein bac +5 »
Einstein était (principalement) autodidacte ...
« Il obtient avec justesse son diplôme en 1900 s’avouant lui-même dans son autobiographie, « incapable de suivre les cours, de prendre des notes et de les travailler de façon scolaire ».
Au cours de cette période, il approfondit ses connaissances en autodidacte par la lecture de livres » (Wikipedia). -
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« ah, on est tombé sur un Einstein bac +5 ! En effet, tout le monde n’a pas eu la chance de faire des études ! »
Ce que je viens de te dire, c’est la base de la macro-éco, voire même du niveau collège... T’as arrêté de réfléchir et de t’éduquer dès ta sortie de l’école primaire ?...N’importe quel couillon qui prétend avoir un tant sois peu étudié l’économie, ou même l’histoire, est normalement censé savoir ce qu’est l’inflation et comment est créée la monnaie.Tiens !... Voilà une petite base de départ histoire de combler un minimum le gouffre de ton ignorance.Maintenant feignasse je te suggère de te raser la touffe de poils que tu as dans le creux de la main, d’aller dans une bibliothèque au rayon « économie » et de t’arranger pour nettoyer toute la merde des idées reçues que l’on a déversée dans ce qui te sert de cerveau !T’as réussi l’exploit d’accumuler tous les clichés possibles dans le pathétique tas de fûmier que tu nous as servi en guise d’article.Quand on ne connais rien à un sujet, la moindre des décences c’est de la fermer au lieu de raconter conneries sur connerie !Tu te croyais ou ?!... A la tribune d’un parti politique face à un troupeau de moutons décérébrés ?!!Il faut cesser de prendre ses congénères pour des cons qui goberaient toutes les couleuvres qu’on veut bien leur présenter !...Ah !... Et au passage : Einstein n’était pas économiste... T’aurais mieux fait de citer Carl Menger, là au moins je t’aurai respecté. Ignare ! -
Par Talion (xxx.xxx.xxx.164) 8 septembre 10:16
On a donc remplacé une inflation de nature publique, par une autre entièrement privée...On rappellera en effet que l’inflation est un impôt déguisé au bénéfice de celui qui émet la monnaie.
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Mé non ... au contrairepuisque le but était de supprimer l’inflation en ne créant pas de masse monétaire supplémentaire ( en faisant tourner la planche à billets de la Banque de France )
et effectivement on ne connait plus les inflations des années d’après guerre, jusqu’en 1970/75
par contre il a bien fallu trouver le sous pour payer les fournisseurs pour les dépenses faites par les hommes-de-l’état : c’est ça le recours à l’emprunt bancaire.cqfd ... simple pourtant
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talion
pas mieux !
quant à l’auteur : pauvre hère..
je me permettrai juste :« le fond de l’hère effraie... »( s’il peut comprendre....)
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« puisque le but était de supprimer l’inflation en ne créant pas de masse monétaire supplémentaire »
Ouais, ben c’est raté !... Foirage intégral de ce point de vue là ! -
Par Talion (xxx.xxx.xxx.164) 8 septembre 19:41
« puisque le but était de supprimer l’inflation en ne créant pas de masse monétaire supplémentaire »Ouais, ben c’est raté !... Foirage intégral de ce point de vue là !
_________mais non allez voir les taux de l’inflation jusque dans les années 80 !
par contre il est dommageable qu’il n’y ait plus d’inflation « intérieure » avec rattapage salariale, pour gommer les endettements
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Oui... Et depuis ?... Hum ?...
C’est comme quand on pisse le sang... Au départ c’est pas forcément sensible... -
La loi Pompidou est votée en 1973 et l’inflation explose !
Elle ne retrouve son niveau de 1972 qu’en 1985.http://resultat-exploitations.blogs.liberation.fr/.a/6a012875b1d4bc970c014e87dea6f1970 d-500wi
Mais c’est surtout à cause du choc pétrolier.
En fait emprunter à sa banque centrale ne crée pas plus d’inflation que d’emprunter à une banque privée.
Sinon Talion à raison. Quand une banque privée prête de l’argent, elle crée de la monnaie et cela crée de l’inflation.
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« Sinon Talion à raison. Quand une banque privée prête de l’argent, elle crée de la monnaie et cela crée de l’inflation. »
...Qui va alors dans les poches de l’émetteur de monnaie qui est cette fois-ci un prestataire privé, l’état n’est donc plus celui qui en bénéficie.CQFD. -
franchement, quand je vois la nature des critiques, je suis fier d’avoir contribué à donner un point de vue non majoritaire et pas consensuel. Si cet article peut contribuer à alimenter votre reflexion, tant mieux.
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« le parisien Libéral. »...OK. Stop.
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« D’une manière plus générale, on peut se poser la question de la capacité qu’a le public non économiste, y compris les députés, à s’emparer des matières technique comme les questions monétaires. »
Je pense n’avoir jamais lu une phrase d’une suffisance aussi absolue...Le message derrière est clair en tout cas... C’est une apologie déguisée du fascisme dans la même lignée que celle d’un autre idiot très célèbre : http://www.youtube.com/watch?v=2ZlAqd5NiKY-
1. c’est une interrogation
2. arretez de confondre peuple, état et nation, ce sont trois choses différentes, merci -
un point où je suis d’accord avec vous !
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« Il est vrai que la »démocratie« est confisquée. »
Once again ...
« Nous sommes nous fait volée notre liberté ou bien l’avons-nous abandonnée ?!! »
Car c’est bien beau de pouvoir s’informer « véritablement » mais encore faut-il ensuite aller au bout de la démarche ! Se poser des questions, réfléchir, prendre des décisions et enfin agir -en son âme et conscience- en conséquence de ses choix « éclairés » et non de ses caprices.
Un exemple : combien d’anti-nucléaire se chauffent à l’électricité ? ...
Combien jugent un livre à sa couverture ? ... -
« Nous sommes nous fait volée notre liberté ou bien l’avons-nous abandonnée ?!! »
Ridicule !
Quand les uns sont occupés à trimer pour les autres, ils n’ont guère le temps en plus pour travailler pour eux !
Et c’est à ça que sert la politique du « travailler plus pour gagner plus » : ceux qui bossent paient pour ceux qui ne font rien. Parmi ceux qui ne font rien, il y a ceux qui n’ont rien mais n’osent pas la ramener ; et ceux qui ont tout et en veulent toujours plus !
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@ lk’auteur
quelle arrogance !!!!!!!!!!!!!!!!!
« le public non économiste » comme vous dites, dont je fais partie juge votre article d’une telle provocation que j’invite tous les lecteurs à ne même pas vous répondre -
ce serait vous faire trop d’honneur considérant le mépris que vous avez pour notre intelligence !!!
basta !!!!-
je parlais du public non économiste qui fait des lois, à savoir les politiciens qui n’y connaissent rien.
merci de votre feedback. -
« je parlais du public non économiste qui fait des lois, à savoir les politiciens qui n’y connaissent rien. »
Ho, point de vue maîtrise de la finance, je ne m’en fait pour eux !
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Rectif ! : « Je ne m’en fais PAS pour eux ! »
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Quelle condescendance....
Quelle faiblesse dans l’argumentaire...De plus, tous vos arguments ont déjà été démontés dans pleins d’échanges consultables sur d’autres posts d’agoravox.
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justement je n’ai pas été convaincu !
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Si un libéral pouvait changer d’avis, ça se saurait... -
@l’auteur
88% d’opinion négative...encore un effort, et vous atteindrez -infini-
parce que vous, vous écrivez pour la popularité ou pour ouvrir une discussion ?
ah, vous n’écrivez pas d’articles. effectivement vous ne risquez pas d’etre moinssé !
ceci étant dit, merci, donc, de votre lecture et d’avoir pris le temps de réagir. -
@l’auteur : je vous suggère la lecture d’un livre de André-Jacques Holbecq : « Dette publique, une affaire très rentable »
Ce type n’est ni d’extreme gauche, ni d’extreme droite.
Et il vous expliquera tout ce que vous semblez de pas avoir encore compris.
Cordialement,
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ok, merci pour le conseil de lecture
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Le seul point sur lequel on peut être en accord c’est qu’effectivement cette loi n’est pas à l’origine de tous nos problèmes. Mais cela s’arrête là.
Le reste est amusant, toujours les même clichés.
-Cliché 1 : C’est trop technique et trop compliqué, c’est mieux que la finance décide pour nous
Es-ce nécessaire de répondre à cela ? Quand on commence à considérer que le peuple n’a pas à décider et qu’on sait ce qui est bon pour lui ... ben on entre dans un régime de dictature.
-Cliché 2 : Certains pays ont contrôlé leur dette malgré le même genre de loi.
Effectivement, les 3 qui sont cités, il n’y en a pas d’autre à ma connaissance.
Sauf que si ces trois pays sont à prendre en exemple, alors inspirons nous de leur fiscalité qui est nettement plus élevée que la nôtre.
N’es-ce d’ailleurs pas là leur secret pour contrôler leur dette ? Avoir augmenté les prélèvements au niveau requis ?Autre remarques : La Norvège et la Suède ne sont pas dans l’euro.
Le cas de la suisse : c’est une blague ? Donc la solution c’est de faire de la France un paradis fiscal ?
En attendant avec impatience que l’auteur nous éblouissent de sa technicité sur le plan de la macro économie et du système monétaire.
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« En attendant avec impatience que l’auteur nous éblouissent de sa technicité sur le plan de la macro économie et du système monétaire. »
Je crois qu’il a démontré qu’il n’y connaissait rien !En langage internet on parle d’EPIC FAIL ! -
@ Ulysse
J’ajoute à vos arguments que le cas de la Norvège est particulièrement atypique, puisqu’elle dispose d’une rente pétrolière conséquente pour une faible population.
La Suisse aussi n’a qu’une faible population à faire vivre. Il lui est donc facile de pratiquer un dumping pour prédater la ressource fiscale de ses voisins.
Et la Suède non plus n’a pas une grosse population.
Quand il y a du monde en grand nombre qui a besoin de vivre, les problèmes sont moins simples. -
c’est bien pour cela que la France a besoin d’etre gerée, d’une part au niveau de l’UE pour les questions purement régaliennes donc étatiques (police justice armée diplomatie), et d’autre part au niveau des régions / landers / counties / provincias pour le reste, dont la vie économique
un exemple d’inéptie étatiste : le SMIC. Que fait on avec moins de 1000 euros par mois à Paris, où un studio coute 500 ou 600 par mois ? Rien. Avoir des salaires équivalents à Paris et à Romorantin ou Dunkerque n’a aucun sens. -
et du coup, les 5 millions d’habitants de PACA ou les 11 millions de franciliens peuvent se comparer aux 7 millions de Suisses, qui d’ailleurs be vivent PAS dans un paradis fiscal.
1. d’une part 20% du PIB suisse vient des banques et services financiers, or c’est le MEME TAUX en France.
2. d’autre part, nous aussi nous avons des zones franches, des ZFU, Monaco, Andorre, le pavillon Kerguelen, etc. -
un exemple d’inéptie étatiste : le SMIC. Que fait on avec moins de 1000 euros par mois à Paris, où un studio coute 500 ou 600 par mois ? Rien. Avoir des salaires équivalents à Paris et à Romorantin ou Dunkerque n’a aucun sens.
Oui et en général, en bon libéral des familles, on finit le raisonnement par :
« il faut DONC supprimer le SMIC. »
C’est toujours les mêmes salades... La conclusion complètement illogique à partir du constat juste.
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« on finit le raisonnement par : il faut DONC supprimer le SMIC. »
Ou le modifier ...
Pourquoi ce « DONC » exclusif ? (Que soit dit en passant l’auteur ne revendique pas.) -
@ Ulysse :
« Le cas de la suisse : c’est une blague ? Donc la solution c’est de faire de la France un paradis fiscal ? »
Vous êtes dans le cliché et confondez « paradis fiscal » et « secret bancaire », deux termes qui ne sont pas synonymes !
Si la Suisse connait effectivement le secret bancaire inscrit dans sa « Loi fédérale sur les banques » (art. 47), elle n’en est pas un paradis fiscal pour autant !
Qu’est-ce qu’un paradis fiscal ? Un pays dans lequel on ne paie pas ou très peu d’impôts, ou un pays qui ne possède pas de lois, de règles et d’échelles fiscales, ce qui n’est absolument pas le cas de la Suisse qu’à l’évidence vous ne connaissez pas !Ainsi selon vous, le faible taux d’endettement public suisse : 38% du PIB environ, serait dû à ce cliché d’une Suisse « prédatrice des ressources fiscales de ses voisins » ... Ben voyons ...
Et si cette situation enviable était simplement due à une bonne gestion des deniers publics, cela vous a-t-il seulement effleuré l’esprit ?
@ Catherine Ségurane :
" La Suisse aussi n’a qu’une faible population à faire vivre. Il lui est donc facile de pratiquer un dumping pour prédater la ressource fiscale de ses voisins. «
La Suisse, population actuelle : 7,8 millions d’habitants. Toutefois qu’un pays soit faiblement ou fortement peuplé n’a rien à voir avec son taux d’endettement public !
A prestations publiques égales en critères (santé, école, police, justice, armée, infrastructures routière et ferroviaire, etc.) et en qualité, les ressources fiscales prélevées sur une population donnée sont redistribuées sur cette même population !
Par conséquent, le coût des prestations publiques fournies à un individu d’un pays »A« devrait être le même que celles fournies dans un pays »B« , indépendamment des populations respectives de ces deux pays.
S’il existe des différences entre les coûts respectifs, cela découle de l’efficience de l’État et de son administration !Pour ce qui est de la »prédation" que vous évoquez, voir ci-dessus ma réponse à Ulysse !
PS : Merci à l’auteur pour son article !
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merci de votre feedback !
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Je réagis sur la Suisse, effectivement la Suisse n’est pas un paradis fiscal au même titre que le monaco ou chypre.
C’est un paradis fiscal pour les riches étrangers et un coffre fort grâce à son secret bancaire.
Mais au final, le principe reste le même : attirer les revenus et capitaux des riches étrangers pour récupérer des taxes dessus ET augmenter la consommation du pays (quand on vis en Suisse, on consomme en suisse du moins en partie).
Le souci c’est que seul de petits pays peu nombreux peuvent pratiquer cela. Pour de grands pays comme la France, L’Allemagne, L’italie ce n’est pas une solution car il n’y aura jamais assez de riches d’une part. Et d’autre part si tout le monde fait cela le système ne marche plus.
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Donc si on poursuit le raisonnement, c’est l’adoption de la Loi n°73-7 du 3 janvier 1973 qui empèche la Frabce d’équilirer ses comptes, donc sous entendu, avant l’adoption de cette loi, c’était possible.Première erreur. Avant 1973, l’Etat empruntait.Première erreur. On peut à la fois équilibrer ses comptes et emprunter. Allez à l’école.-
« On peut à la fois équilibrer ses comptes et emprunter. »
Et encore heureux ! Sans cela 98% des entreprises en France ne seraient plus là (ou n’aurait même jamais vu le jour.)
Le fait est que sans forcément aller à l’école, il faut au moins sortir un peu le dimanche ...aussi !
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@ Joachim : vous avez raison, j’aurais du préciser à LONG TERME. Il est bien sur evident que meme en situation d’équilibre budgétaire, l’Etat emprunte tout le temps à court terme. Merci de votre remarque !
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@Bastiat :
« A long terme on sera tous morts »
J.M.Keynes -
c’est qui ce Keynes ?
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« ...c’est qui ce Keynes ? »
Ta gueule.
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lol, peachy ...
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« c’est qui ce Keynes ? »
L’ante-Jesus (Métaphore philosophique !) : Le père des Morlochs qui à perverti l’un des rouages les plus fondamentaux de l’humanité « Travailler pour vivre » pour en faire « Vivre pour travailler », gommant ainsi toute distinction entre une machine et l’Homme qui travaille dessus et faisant de l’Homme un simple produit lui-même commercialisable.
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connait pas
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« D’une manière plus générale, on peut se poser la question de la capacité qu’a le public non économiste, y compris les députés, à s’emparer des matières technique comme les questions monétaires. »
Ah ! le con !
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Je crois que c’est le mot en effet...
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Etes vous qualifié pour dire sur quels domaines le CNRS devrait mettre de l’argent pour optimiser sa recherche biologique ? Moi non, vous peut etre non plus, et les députés, 60 ans de moyenne d’age, profs (PS) ou médecins (UMP) ou avocats (tous) non plus.
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« Etes vous qualifié pour dire sur quels domaines le CNRS devrait mettre de l’argent pour optimiser sa recherche biologique ? Moi non, vous peut etre non plus, et les députés, 60 ans de moyenne d’age, profs (PS) ou médecins (UMP) ou avocats (tous) non plus. »
Moi au moins je me dispense de raconter n’importe quoi sur un sujet auquel je ne connais strictement rien !Ce n’est pas là un trait que nous avons en commun d’après ce que j’ai pu constater ! -
@Bastiat, si le chercheur, ou l’équipe de recherche n’est pas capable d’expliciter de manière compréhensible l’objet de sa recherche et l’intérêt pour l’Etat de la financer, j’aurais tendance à dire qu’il n’y a aucune raison d’y investir...
Donc oui, toutes les questions doivent être compréhensibles si elle entrainent des conséquences sur les politiques publiques, y compris les plus complexes.
Je vous rappelle de plus que l’économie n’est en rien une science dure, donc les grands spécialistes du domaine n’ont qu’un point communs, c’est qu’ils se trompent plus souvent qu’ils n’ont raison, ce qui me laisse croire que le citoyen ou l’élu ne devrait pas avoir de bien pires performances.... -
@ Minidou, : pourtant il semble que ce soit souvent le cas, notamment pour la recherche fondamentale !
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« De cette petite phrase, les gens concluent [ que ...] toute la dette accumulée depuis 1973 découle de cette loi. »
Hola l’ami ; comme tu y vas ! Pas « toute » la dette, juste 90% environ. Cette radicalisation des propos attaqués est typique d’une chasse aux sorcières. Mais justement ...
Ce n’est pas en mettant une bestiole dans une éprouvette que l’on étudie un microcosme.
La page de Légifrance est parfaite pour connaitre EXCLUSIVEMENT la nature de cette loi.
Wikipedia permet en plus de la remettre de son contexte et d’en présenter également les effets. (Et bien sur le Web est notre ami ...)
« de nombreux emprunts ont jalonné l’histoire économique de France, comme »le Pinay« . »
Tous les cocotiers sont des palmiers mais tous les palmiers ne sont pas de cocotiers !
Les syllogismes à deux balles, fussent-elles de gros calibre, ne payent plus.La rente Pinay était un emprunt d’état publique (comme plus tard la rente Giscard ou, bien avant, l’emprunt Russe ...). Tout comme le Livret A et feu le Codevi*, se sont des capitalisations du trésor publique basées sur le volontariat populaire moyennant une légère rémunération (3-4% maxi).
A côté de ça, l’état pouvait également faire un emprunt classique de type « bancaire » mais auprès de la Banque de France, à taux nul ou couvrant juste l’inflation.
C’est précisément cette facilité d’emprunt que la loi 73-7, aussi appelée « Loi Rockefeller », interdit en la privatisant !!!
Depuis 73, si l’Etat désire emprunter, il ne peut plus le faire qu’auprès des banques qui sont parfaitement libre d’appliquer les taux qu’elles veulent ! (Charge à l’état d’accepter ou non.).
Ce fut alors la porte ouverte aux subprimes (prêts à taux élevé car jugé risqués) et des prêts à taux variables (parfois dit « toxiques).Ainsi se retrouve-t-on aujourd’hui, jeudi 8 septembre de l’an de disgrâce 2011, avec (au niveau européen, puisque nous sommes désormais »européens« ) avec des taux de remboursement de 15-20% allègrement.
D’ailleurs, si ce n’est une confiance à l’image de la monnaie, c’est à dire qui n’existe que sur le papier, techniquement qu’est-ce qui empêcherait Nico de lancer un emprunt publique ou de restaurer une sorte de »Codevi spécial dette" à 3% ? ... (Heu ... Là, sans moi les mecs !)
* (Codevi : pour soutenir le développement industriel. Ha tien, on n’en a plus besoin ...)
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rien compris à la premiere partie de votre message.
sinon, sur le codevi : si vous voulez investir dans les industries de VOTRE région, il y a les FIP Fonds d’Investissement de Proximité. -
« les gens concluent [ que ...] toute la dette »
Qui a dit « toute » ?
Nul ne nie qu’il y a d’autres causes. Ceux qui attaquent la 73-7 soulignent ’juste’ le fait qu’elle décuple le montant des remboursement.
Reconnait que si on divise la dette par 10 (ou même simplement par 5 !), cela va tout de suite mieux, non ?
(Resteront ensuite les problèmes de pure gestion économique et financière puis la question des vols, détournements et autres arnaques...). -
Alors pourquoi on ne permet pas aux particulier et entreprise d’emprunter à 1 ou 0 % à la BCE pour revendre se Prêt à 4% à 5% à l’état Français voir 70 % pour les Grecs.
De l’argent gagné facilement sans risque pour vos amis bankster, grâce à cette escroquerie UMP PS ont détruit l’économie Française et l’avenir de sa jeunesse aux profits de riche banquier.-
Un torchon avec un « »argumentaire« »" qui ne démontre absolument rien.
Dîtes l’auteur, pour venir publier un truc pareil sur Avox, vous faîtes plutôt dans l’inconscience ou plutôt dans la provocation ?
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Là, c’est carrément Hara-Kipleure !
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@ Nums : les deux mon capitaine ! il faut bien que vous lisiez un peu autre chose que la soupe alter bobo habituellement servie ici
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« il faut bien que vous lisiez un peu autre chose que la soupe alter bobo habituellement servie ici »
Ben, heu ... Oui. +1 hélas ...
Le N.O.M. a aussi le droit de nous bourrez le mou sur Ago. Pardon ! De s’exprimer ...
(Que ses lieutenants aient conscience ou non de l’être.) -
« il faut bien que vous lisiez un peu autre chose que la soupe alter bobo habituellement servie ici »
Alter bobo, si vous le dîtes, en tous cas, elle est comestible. Celle que vous nous avez servie est difficilement digeste.
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ok, j’en prends note, nums
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« c’est toujours la politique qui a décidé de la politique monétaire in fine » : meilleure blague lue depuis longtemps !
tous les gouvernements en France se chient dessus dès que leurs maîtres véritables les sifflent ; tous vont quémander ou prendre directement leurs instructions aux mêmes depuis plus d’un siècle. Nico le valet étant l ultime aboutissement de ce système.
Lui dont la tête du Siècle, vous savez l’octo pas frappé par la limite d’âge, se vante de l’avoir renvoyé à son turbin de laquais politicard quand il lui avait demandé de le « faire » banquier d’affaires ( si si , le Nico qui va nous jurer dans les prochains mois que la politique c’est sa grande passion) . video dispo sur lcp, avec nos impôts toujours, bien sûr.Selon les volontés jamais contrariées de l’oligarchie, un nouveau mode d’asservissement est planifié, moins ancillaire, résurgence des bureaucraties soviétiques.
le gouvernement économique de l’europe où cette fois on pourra faire crever de faim des pays pour que leur pouvoir soit toujours plus absolu ;tournure volontairement incorrecte, mais comment parler des visées que ces abjections fomentent depuis un certain temps maintenant.
Hier sur la tv portugaise, j’ai eu la chance d’écouter une interview complètement inimaginable en France, de Mahmoud Ahmadinejad.
Pour les lusophones
http://tv1.rtp.pt/noticias/index.php?t=Mahmud-Ahmadinejad-responde-as-perguntas-da-RTP.rtp&headline=20&visual=9&article=476705&tm=7
Ce sont ces sujets qui montent, et votre sytème s’effondrera : votre discours apparait de plus en plus pour ce qu’il est, tissu de mensonges affirmés avec morgue.-
J’adore cette phrase de l’auteur :
« D’une manière plus générale, on peut se poser la question de la capacité qu’a le public non économiste, y compris les députés, à s’emparer des matières technique comme les questions monétaires. »
La démocratie, il a pas l’air de vraiment connaître.-
« La démocratie, il a pas l’air de vraiment connaître. »
heu, si si, mais vous trouvez pas justement que sur pleins de sujets, on manque d’infos pour faire des choix ECLAIRéS ? -
"D’une manière plus générale, on peut se poser la question de la capacité qu’a le public non économiste, y compris les députés, à s’emparer des matières technique comme les questions monétaires. Demanderait-on l’opinion des députés sur l’ampérage optimal à utiliser pour des rames de TGV ? «
Si je comprend bien, il faudrait abandonner tout pouvoir de décision et donc tout libre arbitre aux initiés plutôt que de chercher à informer et éduquer ?
Ça me va ! Eleusis, si tu ne connais pas parfaitement les travaux de Gräfenberg, envoies moi ta femme !Mais pour moi, le savoir c’est le pouvoir.
Aussi je préfère l’éducation et dans un premier temps la vulgarisation à l’obscurantisme en prélude à la soumission.
D’où mon article à paraitre (ou pas) précisément sur la question de l’argent : »Mais papa, l’Euro ça existe pas !« que j’aurais également pu titrer »La fricalisation par un nul et pour les nuls".
Dans cet article (au demeurant déjà assez long comme ça) je prend délibéremment bien soin ne pas entrer dans les cas concrets ni d’aborder les questions ’pointues’ ou ’tendues’ telle que la 73-7. Au contraire, j’en appel aux lecteurs pour compléter didactiquement cet article qui ne se veut que vulgarisateur.Au contraire de ta philosophie, j’y joue à fond la carte Agoravox : le média citoyen !
J’encourage la ré-appropriation de la connaissance et du libre-arbitre (et donc, également de l’implication responsable !) au lieu de prôner une acception servile de la spoliation. -
« heu, si si, mais vous trouvez pas justement que sur pleins de sujets, on manque d’infos pour faire des choix ECLAIRéS ? »
Haaa ... Ben dit comme ça, on est d’accord !
Être informer nécessite deux choses : ALLER CHERCHER l’info et donc qu’elle soit disponible ET authentique.Que l’on dise « Faites ce que vous voulez, je m’en moque. », je peut tout à fait l’entendre et je lerespecte profondément. A tel point même qu’après un tel parti pris, je refuse catégoriquement de jouer le bureau des pleurs : « Tu l’as voulu, tu l’as. ».
Ce que je prône en revanche, c’est que quiconque désire s’informer et avoir son mot à dire puisse y parvenir et qui plus est, sans avoir à se taper le parcours du courbatu.
PS : très bien vu le jeu de mot avec la casse d’« ÉCLAIRéS » ! Toute la différence est effectivement là.
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Yéti : ton article est-il en cours d’approbation à la modération ?
@ L’auteur : tu travailles à la banque Rothschild ?
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— - HORS SUJET - Désolé ---
« Yéti : ton article est-il en cours d’approbation à la modération ? »
Ha ben justement, il vient d’être refusé car il y a trop d’articles soumis.
Problème réglé.
Par contre je ne comprends pas, il est toujours là mais est devenu « actuellement refusé ».
o_O Mon père est actuellement décédé ...Merci de t’en être préoccupé Alberto.
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@ le Yeti : pas marié !
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En même temps, vu votre prénom, je comprend que vous ayez eu une enfance malheureuse. Dans ma grande bonté je vous pardonne pour toutes vos folies. Vos parents n’y sont probablement pas pour rien dans votre piètre éducation.
Débattre sur le fond ? Pas envie. Vous ne comprendriez pas.-
aaaah , vous supposez donc que j’ai des parents ET une éducation
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On ne débat pas avec un vaincu de l’histoire. Son néolibéralisme se meurt dans d’atroces souffrances et l’auteur tente vainement de nous faire croire le contraire.
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pourquoi NEO ?
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Je t’interdis de m’adresser la parole, crapule néoconservatrice. Va vomir ta propagande néolibérale dans les égouts des places financières internationales. Tu y seras en bonne compagnie avec tes sinistres amis Bernard Madoff et Milton Friedman.
Et cherche un autre endroit pour sucer publiquement les queues de Sarkozy et Bush.
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ok, peachy, mais je ne comprends toujours pas ce que votre NEO vient faire la dedans. En plus, vous faites erreur : etre libéral ca n’est pas du tout soutenir le conservatisme de Bush et Sarko. Je vous mets au defi de trouver une seule approbation de la politique gouvernementale francaise actuelle dans mes posts.
Cordialement
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En 1971 la dématérialisation de la monnaie supprime la convertibilité en or. Ce
découplage suivi de mesure de dérégulation permettra les excès de la crise que nous
payons aujourd’hui. L’union européenne participe à ce détournement de richesse,
l’article 104 du traité de Maastricht interdit à la BCE et aux banques centrales
d’accorder des découverts ou des crédits à toutes les autorités publiques. Depuis
1973 la France s’est interdite de créer la monnaie dont elle a besoin pour financer
son développement et ses investissements (écoles, routes, hôpitaux…etc.) mais
également son fonctionnement (salaires des fonctionnaires, loyers …etc..), et elle
s’est obligée à emprunter auprès des organismes financiers. Voir :http://2ccr.unblog.fr/2011/05/07/creation-dargent-et-endettement-public/
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Quand j’ai vu les 94% d’avis négatifs sur l’article et votre pseudo « le parisien libéral », je me suis dit « rooo, y a que des gauchistes sur agoravox ils ne sont pas capables d’apprécier les arguments du camp d’en face »
Mais après avoir lu l’article.....
J’ai commencé à rire à partir de « la dette c’est de la faute aux fonctionnaires »
Puis « il faut laisser l’économie à des spécialistes ». Les mêmes spécialistes qui n’ont pas vu venir la crise actuelle ?-
Il faut arreter de croire qu’on peut éviter les crises. Ce qui monte peut descendre et inversement.
De plus, QUI n’a pas vu venir la crise ? Trichet, président de la BCE ? Les dirigeants des banques Too Big Too Fail ?
Si des hedge funds se sont gavés depuis 2008, c’est bien que ceux qui avaient intéret à observer la vraie situation économique l’ont fait, pendant que les corpocrates du privé ou de la fonction publique se tournaient les pouces ou mattaient des films X comme à la SEC, le « gendarme » boursier US qui n’a pas vu Maddoff malgré les warnings.
Les financiers, les vrais, ont vu venir la crise. -
Eleusis, tu n’as pas l’impression de te contredire radicalement ?
Cette crise n’est elle pas justement possible précisément parce qu’on à remis les finances publiques aux mains de organismes privés ?
C’est précisément ce que tu vient de dire ... (« Si des hedge funds se sont gavés depuis 2008 ») -
Ce qui monte peut descendre et inversement, en réponse à Superyoyo LOL !!!
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Ah la la, ces feignasses de fonctionnaires de la FED et des agences de notation...
Non, mais on part dans le délire total, comme d’habitude avec les libéraux.
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« Les financiers, les vrais, ont vu venir la crise. »
Vous parlez des mecs de la JP Morgan et de la Goldman sachs ? En même temps c’est normal vu que c’est eux qui ont entièrement crées ces produits financiers.
Le délinquant est toujours le premier à savoir que son crime va avoir lieu. -
« Le délinquant est toujours le premier à savoir que son crime va avoir lieu. »
Celle-là je la ressortirai ! -
la loi de 1973 a juste tenté de limiter la capacité de la France à créer des billets de monopoly
Pourtant ça a réussi très longtemps aux USA jugée comme le maître de la classe avec Bernanke le roi de la plancheà billet......argument donc nul et non avenu !-
Expliquez-nous M. L’auteur : La privatisation des bénéfices et la socialisation des pertes je suppose que vous êtes pour ?
Si oui expliquez nous comment ce genre de billevesées peut déboucher sur autre chose que le chaos ?-
« La privatisation des bénéfices et la socialisation des pertes je suppose que vous êtes pour ? »
NON, puisque je suis pour la mise en faillite des banques en difficulté, par exemle. comme tous les libéraux. -
Pourquoi la dette a explosé à partir de cette période alors ? Tout simplement parce que c’est à partir des années 80 que nous avons du affronter la conjonction de la hausse du nombre de fonctionnaires + les générations de retraités issus des générations post Seconde Guerre Mondiale.
Voila une illustration de ce que je disais l’autre fois, c’est une constante du discours libéral.
X => c’est la faute à l’état.
où X est un problème économique de n’importe quelle sorte, absolument quelconque, mais bien réel (exemple : endettement de la France, chômage élevé, prix du pétrôle, crise de 2008 et j’en passe et des meilleures).
C’est toujours la même chose... Le disque est rayé.
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Quitte à crier au secours auprès de l’Etat quand on est dans la merde et ensuite à engueuler le même Etat parce qu’il s’est endetté, tout ça en tout (ill)logique schyzophrénique propre aux siphonnés néolibéraux.
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yep comme certain rois de naguere pour liquider la dette liquidons quelques gros preteurs !
quand aux liberaux déregulateurs souhaitons leur de rencontrer rapidement un « régulateur’ au sens westernien du terme . Vous conviendrez que ces crises multiples ou le vulgulm pecum est invité contraint et forcé a renflouer les banques manque singulierement de racailles bancaires de savants economistes et de winners liberaux se défenestrant ou se faisant le caisson , il semble qu’a l’instar de pompeux auteurs leur morgue soit de tailles disproportionnée eu égards à leur abscence de » corones"
Asinus : ne varietur-
Eleusis !
Dis moi si j’ai raison : je crois qu’il y a eu un gros malentendu sur la formulation de cet article qui en fait cherche à dénoncer plus qu’il ne prône (et non l’inverse comme nous le croyons presque tous).
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Quelle betise cet article.cette loi de 73 dicté par la finance et mise en place par pompidou (banquier de chez rotschild)et giscard n’est qu’une rente perpétuelle à la finance privée payée par les contribuables.
Vos arguments ne valent pas un kopeck.sans cette loi inique le déficit serait bien moindre.nous avons payé environ 1400 milliards d’euros d’interet depuis les 70’s.la dette est de 1600 milliards.expliquez moi pourquoi nous engraissons cette bande de parasites banquiers qui nous suçent comme des tiques.Ne me parlez de la soi disant fabrique de billets de monopoly par la banque de France ou la BCE(qui ne pense qu’a juguler l’inflation au profit des rentiers) car les privées font la meme chose.Quel est la raison d’emprunter à des finançiers privés à 3 ou 4%(bcp plus pour les grecs et autres)qui eux empruntent à la Bce à 1% sinon s’engraisser sur le dos de la bete.La réalité c’est que ces traitres de politiques nous ont vendu à la finance prédatrice qui ne pense qu’a se goinfrer comme des malades.Et ça fait 40 ans que ça dure. il est temps de reprendre le controle régalien de la création monétaire qu’on aurait jamais du confier aux banquiers pour lesquels le mot« interet général » est une insulte.-
« qui nous suçent comme des tiques. »
Ce fut d’ailleurs la défense de DSK : « Nafissatou ? Ho, ce n’est rien qu’un tique ! »
( Désolé. La sortie, c’est par là ? => ALT-F4 )
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Votre article est totalement orienté et mensonger !
la dette, d’après vous, est dû depuis 80 notamment du fait de la hausse du nombre de fonctionnaires
Or la vérité est la suivante : C’EST PLUS DE 1300 MILLIARDS D’EUROS D’INTÉRÊTS que nous avons payé depuis 35 ans soit la quasi-totalité de la dette existante.
Ces 1300 milliards d’intérêts sont allé dans la poche des grandes fortunes qui le reprêtent l’état sous forme de capital qui génère les futurs intérêts.
Et effectivement sans la loi de 73, la dette de la France, en prenant en compte la politique fiscale menée ces 35 dernières années ne dépasserait pas 100 milliards d’euros, soit 14 fois moins. Et oui, les graphiques et les chiffres ne mentent pas monsieur le menteur.
La encore, c’est n’importe quoi osez vous écrire, et vous continuer votre persiflage sur l’accumulation des déficits budgétaires depuis 80.
Rien que depuis 1986 le taux d’imposition de la tranche maximale est de 65% à 41%
aujourd’hui.
Voilà où se trouve le déséquilibre budgétaire, entrainant ce déficit.
Et encore sans parler de toutes les exonérations et le bouclier fiscal qui a permis de rembourser leurs impôts aux plus riches ( rien qu’en 2009, 679 millions d’euros).
À quoi il faut ajouter le fait que l’impôt sur les sociétés est passé de 50% en 1985 pour atteindre 33% aujourd’hui.
Déficit disiez-vous ?
Pour conclure, en 1982 les recettes de l’état s’élevaient à 22,5% du PIB national et en 2009 les recettes de l’état s’élevaient plus qu’à 15,1 % du PIB.
soit rien que pour l’année 2009 une somme astronomique de 142 milliards d’euros.
SUR 10 ANS CELA FAIT 1420 MILLIARDS D’EUROS d’impôts que l’état à gracieusement laissé aux plus riches.
Entre les intérêts de la dette et les cadeaux fiscaux des gouvernements aux plus riches, nous en SOMMES DÉJÀ 2730 MILLIARDS D’EUROS DISTRIBUÉS AUX PLUS RICHES
Il n’y pas de dette, il y a un hold-up permanent contre la nation, contre le peuple
Alors un peu de décence ! On vous voit arriver avec vos gros sabots.
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Rien que depuis 1986 le taux d’imposition de la tranche maximale est passé de 65% à 41%
aujourd’hui.
un mot oublié c’est mieux ainsi
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c’est juste de l’humour .....
je suis décu -
« Première erreur. Avant 1973, l’Etat empruntait. »
Dénoncer la loi 1973, n’implique pas que l’on pense que l’Etat n’empruntait pas avant 1973 ; il n’y a que l’auteur de cet article pour être aussi simpliste.
Il faut comprendre qu’avant 1973 l’Etat empruntait à lui même, le peuple créait donc bien sa propre monnaie via des organismes bancaires d’Etat . Il faut aussi noter que les banques privées créaient aussi de la monnaie en parallèle via le multiplicateur de crédit.
Avec cette loi, l’Etat ne peut plus créer sa monnaie et n’a plus comme solution qu’à aller comme tous ménages s’endetter auprès des banques privées.
Laisser mijoter 50 ans et vous aurez la possibilité de casser tous les acquis sociaux des gueux en leur faisant peur avec des discours fallacieux sur le remboursement d’une dette odieuse en croissance géométrique.
En bref cet article est une franche rigolade qui reste moins drôle que la présentation de l’auteur « alternative libérale, le parti pris de la liberté » ...mouarffff !-
En lisant ce sermon je me pose une question à choix multiple :
L’auteur est-il :
A : incompétent
B : dogmatique/religieux fondamentaliste libéral
C : Vendu/menteurJe penche pour la A ou la B.
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l’auteur marche t’il à la CC ?
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les voleurs et les escrocs ont toujours le même comportement.
Ils viennent à pas feutré sous un faux prétexte, relevé le compteur ou vérifier la fuite sous l’évier pour s’enfuir avec les bijoux de famille.
C’est le procédé de l’auteur.
Sous prétexte d’un discours moralisateur sur la dette, les banquiers veulent mettre la main sur le budget de la nation et surtout sur le magot de la sécurité sociale, des caisses de retraites, des caisses assédic , sur l’ensemble de ce qui constitue nos cotisations sociales dans le cadre.
Premier acte : on invente les trous de la sécu et de la retraite assedic et autres.
Deuxième acte : le gouvernement intègre ces sommes faramineuses au budget.
Troisième acte : sous couvert de la dette, nos cotisations sont détournées vers la finance internationale et corolaire : moins de sécu, augmentation de la durée de temps de travail, baisse de indemnisations de chômage et du social en général.
Et en prime on s’offre l’éclatement de la république pour gérer la misère au niveau des nouveaux landers.
Du coup on peut faire exploser le code du travail, puisque l’égalité des droits entre citoyens sur l’ensemble du territoire disparaît.
Mondialiste ! Oui c’est bien une injure !
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Et au bout du compte on se retrouve comme en Amérique avec des vieillards de 75 ans obligés de retravailler parce que les copains banksters de l’auteur ont vidé les comptes de leur caisse de retraite.
C’est l’institutionnalisation globale des bandits de grands chemins. -
Par chapoutier (xxx.xxx.xxx.91) 8 septembre 15:17
les voleurs et les escrocs ont toujours le même comportement. ... les banquiers veulent mettre la main sur le budget de la nation et surtout sur le magot de la sécurité sociale, des caisses de retraites, des caisses assédic , sur l’ensemble de ce qui constitue nos cotisations sociales dans le cadre. Premier acte : on invente les trous de la sécu et de la retraite assedic et autres.
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Là vous dites des sonneries : avez vous vu seulement le budget de la S S, compris pourquoi la gauche a inventé, et la droite a développé la CSG RDS ?
Il est où le « magot » ?
en fait c’est là l’origine principale de la dette publique : cette santé et ces retraites nationalisées en 1945, par un véritable rapt sur une organisation privée qui avait fait ses preuves jusque là !
Je passerai ensuite sur « l’augmentation du temps de travail » ... c’est un peu triste de lire cela !
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oui sparte
je connais parfaitement le magot de la sécu,
la sécurité sociale représente en 2011 un budget total d’environ 450 milliards d’euros
les recettes prévues à environ 430 milliards d’euros en 2011 et le déficit prévu de 23 milliards
les exonérations de charges sociales patronales sont supérieures à 30 milliards d’euros
faites les comptes
la secu devrait être en excédent de 7 milliards d’euros
et c’est toutes les années le même topo -
Par chapoutier (xxx.xxx.xxx.91) 8 septembre 17:00
oui sparte
je connais parfaitement le magot de la sécu,
la sécurité sociale représente en 2011 un budget total d’environ 450 milliards d’eurosles recettes prévues à environ 430 milliards d’euros
_______________________________________ben non les vraies recettes c’est 270 MDS et non pas 430
votre chiffre comprend les CSG RDS et des taxes affectées pour ... réduire le trou ! ! !
la CSG RDS c’est bien un « magot » ... volé au peuple sur ses salaires, loyers ,dividendes ... plus de 10 % sur tout, quoi ... le casse du siècle ! merci ... ROCARD
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sparte
Le chiffre de 430 ME que je vous ai fournis concerne tous les régimes confondus pour 2011 et la CSG contribue pour 70 ME et les cotisations salariés pour 272 ME mais l’état ne verse pas un sous pour les 6 millions de fonctionnaires de l’état.il n’en reste pas moins que c’est principalement les salariés qui la CSG.
Plus les gabegies type Servier etc.
on aura l’occasion de revenir sur la question, mais le monde syndicale est bien au courant que la sécu ne devrait pas déficitaire.
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les cotisations « patronales », ce sont en realité vous et moi qui les payons. Au final, le patron il s’en fout du montant des cotisations. il fait un cheque global (brut + charges) et c’est la Secu qui prélève.
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Voilà ti pas maintenant que même le milieu bancaire se met à envoyer des sayanim sur le WEb pour défendre les pauvres Rothchild et Rockefeller d’avoir coulé le monde !!!!
L’auteur peut retourner à la CITY et spéculer sur le prix de la vaseline !!!-
Ils commencent à sentir le goudron et les plumes alors ils envoient leurs petites mains calmer la plèbe.....lol !
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Lorsque l’Etat créeait sa propre monnaie il ne pouvait pas par définition être endetté puisque cette dette virtuelle était justement amortie par LA PLEINE LIBERTE QUI N’EST PLUS DE MISE AUJOURD’HUI de dévaluer ou pas sa propre monnaie, ce qui n’empêchait pas éventuellement d’emprunter vraiment sur les marchés privés pour abonder ce mécanisme.
De toute façon le fontionnement même du grand maître américain (maitre pour les siphonnés néolibéraux en tout cas) depuis des decennies est un contre argument absolu aux élucubrations de l’auteur.-
Est-ce que les coupes dans les dépenses sociales règleront tout ?
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POur un bon néolibéral comme l’auteur seul marche le retour à l’esclavage sous la conduite des banksters
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Après avoir vu comment l’auteur vient de se faire étriller (et pas que par moi) je dois admettre que j’ai un peu pitié de lui...
Il a beau ne rien connaitre au sujet, il fait admettre qu’il ne manquait pas de courage quand il a proposé son billet... Il a au moins ça pour lui...Bref... Ignorant, mais courageux...-
je lui dénierai le courage, sa sortie serait plutôt à mettre sur le compte, au mieux, de son inconscience, qui va souvent de pair avec des capacités cognitives limitées. N’ayant manifestement aucune notion sur rien, le pauvre garçon ne doit même pas être en mesure de regarder des deux côtés avant de traverser une route. je souhaite en revanche bien du courage à ses proches
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Tu me coupes l’herbe sous le pied, d’autant plus qu’il ne s’est ni défilé ni a retourné sa veste mais a vaillamment continué à essayer de préciser son point de vue.
(Je continue d’ailleurs à penser que c’est plus sur la forme que sur le fond qu’il s’est loupé. Notamment en amalgamant analyse et anticipation et en ne précisant pas le fait qu’il prend le partie de ce qui lui semble concrètement envisageable et non de ce qui serait souhaitable.)
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Salut Talion, effectivement, je pense qu’il va battre des records dans l’estimation de l’interet de son article !!!!
Comme si devenir dépendant de l’extérieur plutôt que de ne dépendre de nous même était un progrès....
C’est surprenant de la part de cet auteur qui a parfois un avis bien informé, pas forcément juste, mais construit sur différents sujet économique...
Sinon j’ai pas eu le temps de le faire hier, mais je tiens à m’excuser de t’avoir traiter de sombre, hier en début d’argumentation. Je n’avais pas pris le soin de discuter avec toi. C’est maintenant chose faite, et comme je viens de te le dire, je suis désolé de t’avoir mal jugé.
Peace, et si je pouvais yermat (excuse l’ortographe )
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Y a pas de problème cher ami... Bien au contraire... Je préfère les discussions viriles aux échanges stériles mais policés
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« Tu me coupes l’herbe sous le pied, d’autant plus qu’il ne s’est ni défilé ni a retourné sa veste mais a vaillamment continué à essayer de préciser son point de vue. »
Moi je dis qu’on doit quand même le respecter pour ça !... Il a des couilles là c’est clair !Un cerveau c’est moins certain... Mais des couilles ça c’est sûr !Ca force l’admiration... -
Talion
Pas d’accord sur ce coup-là. L’auteur exhibe sa bite dans la rue et hurle à tout le monde qu’il va enculer les gens. Ce genre de malade il faut les enfermer.
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« Pas d’accord sur ce coup-là. L’auteur exhibe sa bite dans la rue et hurle à tout le monde qu’il va enculer les gens. Ce genre de malade il faut les enfermer. »
Ah la vache !... T’y vas pas de main morte ! -
Comme « Mamie Zinzin » Bettencourt, c’est parce qu’il le vaut bien.
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La cause de la catastrophe annoncée réside bien dans les déficits du budget des gouvernements depuis 1981 - les années Mitterrand - et des comptes des URSSAF ( associations de droit privé dirigées par les seuls chefs des syndicats dits historiques depuis 1945 )
Les gouvernements de droite n’ayant rien fait pour redresser la barre, ce sont les banquiers qui mettront un terme à ces hérésies budgétaires.
Sinon nos aurions eu droit à des dévaluations successives depuis 1973 et surtout depuis les années 1980 et le Franc n’aurait pas pu entrer dans l’Euro, puisque la BCE ne devait à l’origine jamais prêter aux états pour combler leurs déficits , c-à-d rappelons le, payer le train de vie de leurs ressortissants au dela des possibilités effectives.
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La cause de la catastrophe annoncée réside bien dans les déficits du budget des gouvernements depuis 1974.
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« ce sont les banquiers qui mettront un terme à ces hérésies budgétaires » : ceux qui ont été recapitalisés à grands coups de trilliards et autres TARP, et qui vagissent encore qu’ils s’en sortiront pas si on ne les sauvent pas à nouveau ? c’est bien de ceux là dont il est question ?
ce seraient donc eux les rédempteurs ?
vous êtes sérieux ???? -
Par signolab (xxx.xxx.xxx.229) 8 septembre 16:40
"ce sont les banquiers qui mettront un terme à ces hérésies budgétaires"
vous êtes sérieux ????___________________
Hélas oui je suis sérieux, cela se passe comme cela partout ... en Grèce actuellement, en Italie aussi. Comment faire pour rembourser notre dette publique française ( en fait celle accumulée par les promesses électorales ... ) qui s’élève à plus de 1.900 MDS EUR ? A côté d’lle la edtte grecque c’est un détail ...
A un moment les banquiers se retireront du jeu : ils ne prêtent plus et laissent leur emprunteur se dem... der. Ils prêteront à des pays moins risqués : l’Allemagne, en Asie du S E ... Ou alors ils prêteront à un taux plus élevé : 3, puis 4, puis 5 %, ce qui nous ferait 100 MDS EUR d’intérêts par an ( hors remboursements ! ) Je dis peut être car vient un moment où les assureurs ne suivent pas.
Visiblement les hommes-de-l’état - en France - s’en fichent. ils sont mis leurs confortables salaires à l’abri ... -
Par Eleusis Bastiat - Le Parisien Libéral (xxx.xxx.xxx.43) 8 septembre 13:44
Les financiers, les vrais, ont vu venir la crise.
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C’est certain, mais avec un taux de 2% ou moins , les hommes-de-l’état ont pu faire et tenir leurs promesses électorales démagogique en finançant leurs déficits budgétaires à peu de frais :
2% d’intérêts sur 10 MDS de déficit budgétaire , cela fait 200 millions d’intérêts ... seulement
2 % sur 100 MDS EUR comme ce sera le cas cette année ( hors déficit de la sécu ) cela « ne fait que » 2 MDS EUR d’intérêts ... annuellement cela semble rester raisonnable ;Seulement au bout de 20, et bientôt depuis 40 années ( depuis 1973 ), et surtout lorsque la dette s’accumule au lieu d’être remboursée ( on prend de mauvaises habitudes et il y a toujours une élection pour faire reporter les réformes nécessaires pour supprimer les déficits) ... cela finit par faire beaucoup : 2% sur bientôt 2.000 MDS EUR de dettes publiques cela fait 40 MDS EUR d’intérêts annuels !
Puis 60 MDS EUR si notre neotation est abaissée et le taux augmenté à 3 %. ( la Grèce est à 4.8 %)
Vient un jour où l’on ne peut même plus rembourser la dette, car on ne peut plus emprunter pour rembourser. ces jours arrivent ... et on crie au scandale ... et haro sur les banquiers qui n’y sont pour rien sinon qu’ils auraient du arrêté de prêter ; c’est ce que certains ont fait,
d’autres non en particulier les banksters de la FED qui font tourner leur planche à billets de leur fausse monnaie : le dollar ! C’est ce qu’ils ont fait avec les Quantitive Easing E1 et QE 2... c’est là qu’ils sont très forts ... hop là ! ... rien n’aurait empêcher la BCE d’en faire autant ...
Mais on en revient au point de base : il faut supprimer les déficits des budgets de l’état ( moins 100 MDS EURen 2011) et des URSSsaf ( moins 170 MDSEUR en 2001) ... au lieu de quoi : une taxe sur les sodas ... j’hallucine !
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Pourquoi la dette a explosé à partir de cette période alors ? Tout simplement parce que c’est à partir des années 80 que nous avons du affronter la conjonction de la hausse du nombre de fonctionnaires + les générations de retraités issus des générations post Seconde Guerre Mondiale.
êtes vous bien sûr qu’à partir des années 80 les générations post seconde guerre mondiale sont arrivés à la retraite, car les plus vieux n’avait alors que 35 ans. C’est peut être un peu jeune pour penser à la retraite.« Sans doute la moyenne d’age des internautes aussi faible que le niveau des cours »(de math) sans doute .-
en effet, j’ai fait ici un enorme raccourci, pour ne pas avoir à revenir sur les causes complexes de la montée des deficits notamment en France.
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Je trouve votre article au niveau économique très « café du commerce » et votre attitude très pédante.
Votre explication de la dette est simpliste pour ne pas dire simplette, vous oubliez les réductions d’impôts et une certaine mise en concurrence fiscale des états.
Pour la suède n’oubliait pas la moitié de la vérité, elle a aussi un taux de prélèvement plus élevé.
Finalement votre intervention me conforte dans mon idée que les libéraux comme les communistes sont tellement certains d’avoir la vérité qu’il en oublie l’essentiel l’homme au profit du système.
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Tout simplement parce que c’est à partir des années 80 que nous avons du affronter la conjonction de la hausse du nombre de fonctionnaires + les générations de retraités issus des générations post Seconde Guerre Mondiale.
êtes vous sûr de votre affirmation car dans les années 80 les plus vieux des générations post seconde guerre Mondiale n’avait que 35 ans. Peut être un peu jeune pour être en retraite.« Sans doute la moyenne d’age des internautes aussi faible que le niveau des cours de » math.Avec une démonstration aussi costaud on est tout de suite convaincu du niveau des arguments.c’est du grand n’importe quoi.-
Vous avez raison.
Est-on en démocratie quand :
- l’information est d’un convenu et inféodée au pouvoir financier pratiquement totalement juif et superficiel
- quand la justice de nos pays occidentaux (mais aussi des autres régions en général) est asservie au pouvoir politique
- quand on détourne le vote des citoyens (Référendum de Maastricht)
- quand le premier ministre déclare que les citoyens ayant élu des représentants le peuple n’a pas à surveiller les décisons des gouvernants (définition d’un blanc-seing)
- quand sévissent des lobbys non transparents (pléonasme ?) et niés en France, tel le lobby juif notamment, extrêmement efficace.
Enfin comment faire confiance aux politiques qui ne sont que les chausse pieds des banques et des financiers. Nous sommes aussi mal pourvus que les Etats dits sous développész.-
« Que de postures idéologiques et de raisonnement fumeux pour rester bien campés dans l’ignorance économique. »
Quand on prétend donner des leçons aux autres, on argumente ou on ferme sa gueule ! -
vous etes gentil mais comment peut on dire qu on est en plein modele neoliberal ?
50% de charges salariales, des impots sur le revenu , des taxes da,ns tous les sens !!reveillee vous, en France on est en plein ultra étatisme !quand à votre desindustrialisation, deux questions1. vous voulez bosser à l’usine ? comme dans les années 602. pourquoi d’autres pays, avec le meme cadre economique, legal et concurrentiel, ont fait pour conserver- une industrie ? -
Les dépenses de l’Etat sont restées stables en pourcentage du PIB.
Ce sont les recettes qui ont diminuées. Niches fiscales, exonérations de charges pour les entreprises etc.
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