Eurosceptiques contre eurofascistes !
On apprenait cette semaine, dans le quotidien britannique, The Daily Telegraph, que le Parlement européen allait se doter d’un programme d’ « analyse qualitative des médias » et d’outils de surveillance de l’opinion publique ». Le coût de ce projet, qui n’est pas encore totalement validé, serait d’environ 2 millions d’euros, dont la moitié proviendrait de nouveaux crédits.
On notera au passage que l’Union européenne n’hésite pas à réduire les aides aux plus démunis en pleine crise, mais qu’elle trouve aisément 2 millions d’euros pour faire sa propagande tout en nuisant à ceux qui ne sont pas dans le moule.
En effet, il s’agit bien de créer une cellule riposte, puisque les documents internes et confidentiels précisent que « les communicants institutionnels du Parlement doivent avoir la capacité de réagir rapidement de manière pertinente et ciblée, en rejoignant et influençant les conversations » sur les réseaux sociaux. Les documents recommandent qu’une « attention particulière soit portée aux pays qui ont connu une forte progression de l’eurosceptiscisme ».
Vive l’Europe, une Europe où la dictature avance à petits pas jours après jours.
Une Europe où l’on exclue ceux qui sont élus pas les urnes pour y imposer des hommes de la Goldman Sachs (Lucas Papademos, Mario Draghi et Mario Monti….. ).
Et que dire du scandale de la viande qui révèle un trafic énorme à l’intérieur de l’union européenne.
Un trafic qui touche de plus en plus de pays (Royaume-Uni, France, Allemagne, Suisse, Norvège, Autriche, Danemark…).
Selon la Direction générale de la répression des fraudes, le scandale concerne désormais 750 tonnes de viande, dont 550 tonnes ont servi à la fabrication de plus de 4,5 millions de plats frauduleux vendus dans treize pays européens.
Nous avons découvert au travers de cette affaire tout un circuit des plus complexes ou des traders sont utilisés afin de trouver la viande la moins chère possible.
Le monde de l’argent et les traders ont conduit des millions de gens à la rue et au chômage, et demain ils vont nous empoisonner ?
Que diront ceux qui trouvent toujours des excuses faces aux injustices de la mondialisation et de l’ultralibéralisme ?
Et bien les apôtres du genre viendront encore nous servir leur novlangue immonde pour nous dire que ce sont les consommateurs les responsables, tout comme les chômeurs sont les responsables de la crise.
On apprenait cette semaine que plus de 10% des agents de contrôles sanitaires avaient été supprimés sous le quinquennat de Sarkozy (on pourra dire qu’il aura fait du mal à la France celui-là, et il y en a pour souhaiter son retour), et que par conséquent, les contrôles sont moins sévères.
Aujourd’hui il ne s’agit « que » d’une fraude, mais si demain éclate un scandale sanitaire à la même échelle, que faudra-t-il faire ?
Continuer avec ce modèle ou l’on détruit les contrôles afin que certains fassent toujours plus de fric sur le dos de millions de consommateurs empoisonnés ?
Mais nous ne pouvons rien dire contre l’Europe, contre la mondialisation, tous ceux qui le font dans ce pays sont assimilés à la famille Le Pen. Tour à tour les Montebourg, Mélenchon, ou il y a peu encore Emmanuel Todd, ont été mis dans le sac du Front National.
Non, il ne faut plus avoir peur d’être contre cette Europe qui demain tuera en grand nombre au nom du fric, au nom des ultralibéraux qui sévissent partout dans les médias, au nom des agents de la Goldman Sachs qui sont à sa tête.
Stop à la folie des grandeurs, à la démesure.
Cette Europe là doit mourir, quitte à fermer les frontières, à reprendre son indépendance et sa souveraineté pour savoir qui l’on est et ce que l’on mange !
46 réactions à cet article
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Mais nous ne pouvons rien dire contre l’Europe, contre la mondialisation, tous ceux qui le font dans ce pays sont assimilés à la famille Le Pen.
Effectivement, le FN est bel et bien l’outil de la classe dominante pour cadenasser le débat politique.
Mais il ne fonctionne que parce que beaucoup à gauche on abandonné le combat sur la question de la Nation, obnubilé par des raisonnements idéalistes datant de la guerre de 14. Aujourd’hui pour défendre la souveraineté du peuple, il faut en premier lieu défendre la souveraineté de la Nation contre le totalitarisme UE.Il faut aussi attaquer le FN sur ce front, lui qui veut imposer sa vision xénophobe de la défense de la Nation, tout en acceptant de se fondre dans l’UE allemande et d’abandonner la souveraineté du pays à la finance (le FN est pour une monnaie commune avec l’allemagne, pour l’austérité pour rembourser les intérêts scandaleux de la dette...).
Il est de la responsabilité des forces progressistes (de gauche et républicaines) de s’unir pour que soit rétablie la souveraineté du peuple à la travers la souveraineté de la Nation. Il est urgent de dénoncer l’UE et l’Euro et de sortir de ces funestes outils de l’asservissement totalitaire des peuples européens au capitalisme le plus brutal.
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Ceci étant, le FN n’est en rien responsable de la malhonnêteté intellectuelle consistant à dire : « un argument ou une position d’un tiers est non avenu car le FN l’utilise aussi ». Tout ceci exploite le résidu de diabolisation ayant encore cours.
C’est juste que le FN a de bonnes idées sur le sujet européen, tout autant que beaucoup d’autres personnes n’ayant rien à voir avec le FN.
Marine Le Pen essaye de réunir toutes ces personnes autour de son projet, en évitant que ces gens fassent parti du FN, ce qu’ils ne désirent sans doute pas. -
cocasse c est confondant et edifiant.
les opinions politiques qui bous seduisent sont celle du liberalisme pris ou reprise par m lepen !dites moi une chose les partisants du fn, comment expliquez vous que marine lepen nous pousse des cris d orfaies quant la la lois celerate de 1973 et que maintenant elle semble disposer a rembourser la dette qui en decoule, il y a pas une incoherence la ? -
malheureusement, non le FN n’a pas de bonne idées sur la question européenne
1) le FN n’est pas pour la sortie de l’UE. Marine Le Pen a été très claire la dessus lorsqu’elle a été interrogée par Calvi en Janvier à mot croisé : elle n’est pas pour sortir de l’UE mais pour renégocier certains traités...
2)... et c’est là que le bas blesse, car ce qu’elle compte négocier elle ne le dit jamais. Ou plutot si, on sait que la priorité des priorité pour le FN est de faire une europe catholique et de supprimer la libre circulation des personnes. Sur la libre circulation des capitaux et des biens qui fait l’essentiel du dumping social rien. Elle a beau dire qu’elle est contre l’euro, quand on lit la prose du FN, on découvre que le FN est pour une « monaie commune » et en tout cas pas pour une banque centrale contrôlée par l’état et finançant les besoins du peuple3) le FN ne remet pas en cause ce qui fait le caractère fondamentalement funeste de l’UE, à savoir que l’UE sanctuarise de façon totalitaire le caractère ultra capitaliste de l’UE. Et ça, le FN est pour. Il est pour la libéralisation de l’économie, pour la destruction du code du travail, pour l’abaissement et l’individualisation de la protection sociale, pour la baisse des « charges », pour la flat taxe etc.... D’où, il ressort que l’opposition à l’UE du FN n’est en somme que réthorique, une façon de capitaliser les voix des patriotes et des déçus du mirage de l’UE. Mais surtout une façon de les détourner de la légitime lutte contre l’exploitation par la classe dominante au profit d’une lutte interne entre travailleurs via la soi disant préférence « nationale » la dénonciation des musulmans (et pourquoi pas des intégristes catho qui bafouent tout autant la laicité ?)....
Non, vraiment non, le FN n’est pas apte a conduire un rassemblement contre l’UE. Bien au contraire, de part ses positions nauséabondes, son histoires, ses revirements sur bien des questions.... tout fait qu’il nuit au combat indispensable pour que le peuple français recouvre sa souveraineté qui est la base de la démocratie.
Il y a des mouvements, de droites comme de gauche, qui sont conscient de cet enjeux et qui sont bien plus clairs (MPEP, PRCF, POI, UPR, Club penser la France....)
Au delà, Cocasse, n’oubliez pas non plus que les militants des vrais partis de gauches sont résoluments contre l’UE (PCF, PG, une bonne part de la LCR). Si vous appelez de vos voeux une large alliance contre l’UE qui redonnerait la souveraineté au peuple pour conduire un projet progressiste, alors votre place ne peut être au FN, mais plutot dans ces partis ou autour de ces partis pour les amener à clarifier leur position sur l’europe.N’oublions pas que le PCF a été très longtemps (jusqu’à la compromission dans la gauche plus rien due à l’opportuniste Hue et sa « mutation » qui l’ont conduit tout droit au PS) été résolument contre l’UE. Et c’est bien pour ne pas être au coté du FN que bien des militants communiste, de gauche ou d’extrème gauche refusent de défendre la souveraineté de la Nation. De mon point de vue ils ont tords. Mais tout ceux qui renforce le FN en croyant qu’il ne s’agit pas d ’un parti d’extrème droite alors qu’il l’est profondément, affaiblissent la position de ceux qui défendent la Nation à gauche.
Pour conclure, Cocasse, un défenseur conséquent de la Nation, ne peut, ne doit pas être avec le FN. Sinon, il joue contre ses idées.
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" Il faut aussi attaquer le FN sur ce front, lui qui veut imposer sa vision xénophobe de la défense de la Nation, tout en acceptant de se fondre dans l’UE allemande et d’abandonner la souveraineté du pays à la finance (le FN est pour une monnaie commune avec l’allemagne, pour l’austérité pour rembourser les intérêts scandaleux de la dette...). "
J’ai rarement vu autant de mensonges. C’est petit de vouloir s’approprier l’Euroscepticisme en diffamant les autres courants.
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De toute façon, toute défense de la nation, est bombardée idée « xénophobe ».
En effet, vouloir se défendre contre les ingérences étrangères, c’est ne pas aimer l’étranger qui n’apporte nécessairement que du bon, et c’est donc être « xénophobe ».Donc, pour ne pas être « xénophobe », il ne faut pas vouloir se défendre.
C’est la rhétorique libre-échangiste que l’on nous sert.
Or les dégâts du libre-échange sont considérables.
Pourtant, et paradoxalement, l’internationalisme de la lutte des classes fait que la gauche y consent totalement... Et d’ailleurs, c’est bien la gauche qui est le fer de lance de cette rhétorique. C’est elle qui l’a installé dans le débat publique.
Moi, il me semble que l’idée que la nation doit se protéger est une idée tout-à-fait légitime et découle du simple bon sens : c’est vertueux de le penser, c’est le fruit de la raison droite.Donc il n’y a pas lieu de diaboliser le FN,
qui est le parti le mieux placé pour changer la donne.Les ennemis de mes ennemis sont mes amis.
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@ ffi
« l’internationalisme de la lutte des classes »...
Effectivement la lutte des classes est mondiale. Tout simplement parceque le capitalisme est mondial et que la lutte des classes est consubstantielle au système capitaliste.Une foi cela dit, rien n’oppose les concepts de nation et de classe. Il s’agit certes d’un débat ancien à gauche, mais qui n’a rien de tranché. Une « politique de gauche » n’est pas nécessairement contre ou or la Nation.
Historiquement par exemple, le PCF tout comme la 3e internationale ont principalement défendu que la Nation pouvait être le creuset de la prise de conscience de classe de la classe des travailleurs et donc de l’élaboration et de la mise en oeuvre de son projet politique. Il s’agit là du vieux débat entre Lénine et Trotsky. Et la position de Trotsky, qui ne colle pas à la réalité comme vous le constaté, d’une révolution mondiale qui doit se faire en dehors des Nations, est resté très longtemps largement minoritaire.C’est bien sous la pression du FN et de son utilisation politique nauséabonde de la Nation, sous la pression de l’impérialisme français utilisant lui aussi la Nation pour justifier de ses horreurs, que bien des gens de gauche font parfois la confusion entre le nécessaire combat contre le nationalisme qui sert à justifier au nom du patriotisme et de l’unité de conserver l’ordre établi et l’exploitation par la classe dominante, le néo colonialisme et la xénophobie, et la juste défense de la Nation en tant que cadre politique indispensable à l’expression de la souveraineté du peuple.
De par ses idées et l’utilisation qu’il fait du concept de nation, le FN est nuisible à la défense de la Nation.Il reste qu’il est vrai que régne une certaine confusion à gauche, que je regrette et dénonce, aboutissant à un positionnement des principaux partis de gauche ( le PS étant pour moi un parti de droite) plutot flou sur la question de la Nation.
Dans les faits, il demeure que c’est bien à gauche que les intérets du peuple qui constitue la Nation sont les mieux défendus, alors que le FN au delà de la réthorique propose tout simplement de continuer à servir financiers et patrons (par exemple par l’abaissement du prix du travail...) -
Ils peuvent balancer toute la propagande qu’ils veulent , j’ai toujours été europhobe et je le resterai , et sans aucun budget j’ai déjà convaincu beaucoup de mes proches de rejeter en bloc cette EUROPE DE MERDE ................
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ont est d accord pour l europe qui ne fait que de la merde...
mais tiens le partisant fn dit moi pourquoi marine lepen a ranger au placard son degout de la lois pompidou giscard de 1973 pour maintenant accepter de nous faire rembourser la dette ???!?! -
Tu sors ça de où , as tu un lien ????
Tu peux aussi lui demander à elle , elle te répondra peut être .... -
Pourquoi M Le Pen ne veut elle pas sortir de l’UE ? mais négocier sans indiquer les points de négociation.... (coir Mots croisés en Janvier)
Est ce par le même opportunisme qui fait que le FN en 5 ans, et avec la crise, se fait le chantre des services publics lui qui voulait privatiser à tour de bras ? il est vrai qu’il compte toujours dégraisser un max l’état et servir les patrons (abaissement de charge, casse du code du travail) preuve que son véritable projet politique est de nature libérale...
Le FN se sert du rejet de l’UE . Plutot que d’être contre les marchés, c’est à dire les capitalistes et leurs patrons aux ordres, qui font et dirige l’UE, la BCE. Le FN est contre le « mondialisme ». Concept politique vide de sens, qui permet de détourner le rejet de la domination des marchés qui mettent les peuples en concurence en une haine nauséabonde et xénophobe de « l’immigré » ou de « l’islam ». Il est vrai que détester son voisin basané et/ ou musulman, c’est pas très dangereux pour Wall Street et le palais brognard. Et ca ne remet pas vraiment en cause ce qui est le plus détestable dans l’UE, à savoir le totalitarisme de la classe dominantes qui inféode toute décision politique à l’assentiment des marchés. Au contraire, cela divise les travailleurs face aux attaques de ces derniers.
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Plutot que de moinser, il serait intéressant que les partisans du FN apportent quelques réponses à mes questions et arguments....
Mais il est vrai que répondre au questions c’est dégonfler la baudruche médiatique qu’est le FN, et démontrer l’imposture.
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Takak :
Moi je ne connais pas les pensées intimes de Marine Le Pen.
Mais elle a aussi affirmé plusieurs fois qu’elle était pour une sortie ordonnée de l’Euro.
Elle montre une réflexion à la « Jacques Sapir », ce qui me semble aller dans le bon sens.
Je suis plutôt pour quitter l’UE, mais entre la grippe et le Cancer, je préfère la grippe.
Il m’apparaît de plus en plus évident que la France est sous une pression génocidaire.
S’en défendre serait, paraît-il, « xénophobe ».
Il suffit de prendre les critères pour caractériser un génocide.« Dans la présente Convention, le génocide s’entend de l’un quelconque des actes ci-après commis dans l’intention de détruire, en tout ou en partie, un groupe national, ethnique, racial ou religieux, comme tel :
a) -> meurtres incompréhensible (genre pour une clope).- a) Meurtre de membres du groupe ;b) Atteinte grave à l’intégrité physique ou mentale de membres du groupe ;c) Soumission intentionnelle du groupe à des conditions d’existence
devant entraîner sa destruction physique totale ou partielle ;d) Mesures visant à entraver les naissances au sein du groupe ;e) Transfert forcé d’enfants du groupe à un autre groupe. »
b) -> propagande massive, théorie du genre, répression féroce des opposants, insécurité généralisée.
c) -> faillite économique, chômage massif.
d) -> contraception, avortement.
e) -> importation massive de populations allogènes. -
« Moi je ne connais pas les pensées intimes de Marine Le Pen. »
moi non plus. Mais je fais l’effort de suivre son expression publique, les textes publiés par le FN.
Et au delà de la réthorique ronflante, force est de constater que Le Pen ne prend jamais l’engagement de sortir de l’UE, ni même de sortir de l’Euro.
CF. l’émmission Mots croisé que je cité plus haut par exemple.J Sapir est un économiste très éloigné du FN... Il faut se demander pourquoi. Alors qu’il est assez proche du FdG.
Je vous invite à consulter l’analyse du programme du FN produite par le M’PEP. Nikonnof, lui propose et assume un programme de sortie de l’UE et de l’euro.
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certais pensent que l’on peut renégocier des parties des traités deja signés, mais s’ils se plient aux exigences des banques, des financiers et des multinationales cela n’a aucun sens. Si relancer la croissance n’a d’autre but que d’augmenter la compétitivité il s’agit d’une imposture, et a terme se sera une nouvelle foi les salariés et la population qui en feront les frais. L’on ne peut vouloir éliminer certains aspects, les plus aberrants, de la dictature de la finance tout en refusant de remettre radicalement en cause la domination des banques. Une autre Europe ne peut se construire que sur le socle de l’expropriation des banques et la mise en place d’un service public bancaire sous le contrôle des peuples.........
voir : POUR UNE NOUVELLE EUROPE.
egalement : SOUVERAINISTE OU INTERNATIONALISTE
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c est clair l ambiguite des lepen et fn apparait au grand jour.
leur volonte populiste d hier de participer a la protestation contre le dictate de la lois 1973 est vite retombe avec les conivences et interets communs auquelles les lepen aspirent en ce prenant pour les regent futur du royaume de france et ses bourbons enfin retabli. mais cela ils tentent de le masquer(enfin pas le 1er mai de chaque annee) habilement derriere une polemique migratoire sans cesse entretenu. -
Surtout qu’elle n’est pas sans savoir que la loi de 1973 n’a jamais empêché l’Etat d’emprunter à la Banque de France sans intérêts. Pour cela, il a fallu attendre 1992. C’est le traité de Maastricht qui nous met à genoux face aux banques et non la loi du 3 janvier 1973 sur la Banque de France. Et donc la question est, pourquoi Marine Le Pen mais aussi Mélenchon et Dupont Aignan reste sur cette loi alors qu’elle n’est pas en cause concernant le problème de la dette ? Pourquoi ne dénoncent-ils pars l’article 104 du traité de Masstricht qui est devenu par la suite l’article 123 du traité de Lisbonne ?
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@Robert Gil,
Une autre europe ne peut pas se construire selon vos souhaits.
Il est temps de s’en rendre compte. C’est justement l’incompatibilité des intérêts et des modes de fonctionnement des pays membres qui aboutit à cette emprise des banques et des financiers sur l’ensemble de ces pays, par le biais de ceux qui, dans chacun de ces pays tiennent comme objectif indépassable de tous les faire marcher dans le même sens (y compris ceux qui, naïvement, espèrent encore « une autre europe »). Le sens de l’exploitation et la misère pour le plus grand nombre. N’oubliez pas que c’est dans leurs intérêts que dès le départ s’est effectué le processus d’unification européenne. Quant vous faites un marché libre et ouvert avec une monnaie commune avec des pays aux législations sociales et aux économies différentes, vous incitez à la baisse des droits sociaux et cassez les économies les moins compétitives, ce qui permet de les tenir en laisse par la dette. Comme ces pays ont des objectifs et des visions du monde incompatibles, ils ne peuvent que parvenir entre eux à des compromis à minima, notamment sur le social.Concrètement, faire l’europe sociale revient à demander aux pays les plus riches de financer le social dans les autres pays, tout comme en France, Paris, Côte d’Azur et Lyon financent le reste du pays. Et leur réponse est : Nein. Pas juste leur gouvernement ou leur patronat, mais une grosse majorité du peuple.
Donc qu’est ce qu’on fait ?
On attend qu’il se retrouvent une Rosa Luxembourg, ou qu’ils élisent Oskar Lafontaine chancelier ? ...On peut attendre longtemps !On leur rejoue Reischoffen avec notre Force Nucléaire Stratégique ? ...Trop pétaradant !
Ou alors on leur explique tranquillement qu’il n’est plus raisonnable de continuer comme ça, qu’ils ont le droit de choisir la voie de la compétition acharnée et nous le droit de faire un choix opposé, et que par conséquent la France quitte l’ue pour aller se chercher comme alliés des pays dirigés par de vrais gens de gauche : Chavez, Morales, Roussef... (évidemment, on évitera l’union monétaire et on préfèrera le commerce équitable au marché libre)
Et c’est plus avec ces pays qu’on pourrait construire des alliances protectrices des droits sociaux, plutôt qu’a se borner à vouloir faire l’europe avec des pays qui sont à des années-lumière de ces objectifs. Ou tout du moins à des années-lumière d’avoir envie nous permettre de les atteindre.
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Cela dit, pour sortir de l’ue il faut s’allier, sur ce point, au niveau national, avec tous ceux qui partagent vraiment cette idée. C’est le seul moyen de gagner, comme en 40-44 quand les communistes et les gaullistes se sont unis dans la résistance alors qu’ils se haïssaient cordialement.
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Bonsoir à tous,
C’est vraiment pénible d’entendre les uns et les autres parler de renégocier les traités, d’utiliser l’article 50 du TUE pour « sortir » de l’euro sans maîtriser, à minima, les droits appliqués.
A la base, la Convention de Vienne sur les traités du 23 mai 1969 qui organise tous les traités.
Une très bonne analyse de l’utilisation de cet article 50 et sur la renégociation de traités sur le site de Contrelacour de Magali Pernin.
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Il n’y a rien à « négocier ». Ceux qui prétendent changer cette europe de l’intérieur nous enfument.
Il faut quitter cette europe du mensonge permanent. Organisez des référendums dans TOUS les pays de l’UE et vous verrez ce qui restera.
Nous attendons un homme politique de la trempe de DE GAULLE !!!-
- Rejoignez l’Upr de François Asselineau
- Rejoignez l’Upr de François Asselineau
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Il ne spécule plus sur le hollandisme révolutionnaire Todd ?
Ben pourquoi ?-
Cela dit il fût bon quand il a prononcé le mot-vérité d’« euro-fascisme » chez Taddeï, il y a un an.
L’UE est en effet irréformable, car anti-démocratique et beaucoup trop corrompue, leurs émoluments étonnamment élevés étant à la fois une conséquence et une cause de cette corruption, révélant un indigne cercle vicieux. -
Une raison de plus pour refuser les pseudos sur les réseaux sociaux !
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merci pour l’article,
Mr François Asselineau du partie U.P.R. raconte l’histoire de l’Europe et propose d’en sortir, pas que cela lui plaise mais parceque cela est une nécessité et en plus il est le seul a savoir que l’on n’a les outils (juridiques) sous la main pour ce faire.
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le seul sans doute pas. Et heureusement.
Il y a bien des mouvements à gauche qui sont pour sortir de l’UE et de l’Euro, et qui en ont les outils (PRCF, POI, MPEP....) et au delà bien des militants et intellectuels de gauche (Sapir par exemple, Lordon, Todd...) a proposer des outils... -
non, je veux une sortie de l’UE qui soit compatibles avec les intérets de la Nation, et en particulier le rétablissement de la souveraineté du peuple. Et donc la fin de la confiscation du pouvoir par la classe dominante.
Alors oui, il faut une alliance des forces républicaines et de gauche. Mais il n’y a pas de raison que cette alliance ne puisse se faire autour des intérêts du peuples, des travailleurs.
Le programme du CNR « les jours heureux », principalement inspiré par les communistes de la résistance, est la preuve que l’on peut réunir la nation autour de la classe des travailleurs.
Au contraire, les travailleurs n’ont aucun interet à se battre contre l’UE si c’est pour revenir à une France qui ne les écouterait pas plus.
C’est pourquoi construire une majorité contre l’UE ne peut passer que par un projet politique progressiste, partagé avec l’ensemble des républicains, défendant les intérets des travailleurs. Concrétement, cela passe par un projet défendant les services publics, la (re)socialisation de large secteurs de l’économie (transports, banque, énergie....), la maitrise de la souveraineté monétaire, l’audit de la dette....
Il est du devoir des républicains soucieux de défendre la Nation de se rallier à ce type de programme. La seule sortie de l’UE ne peut être une fin politique en soi, apte à mobiliser le peuple et à construire une large majorité. C’est juste un moyen indispensable à un programme politique progressiste.Par ailleurs, à droite, bonapartisme oblige, on note que bien des mouvements usent leur force dans la promotion de leur chef. Justement, le rassemblement nécessaire contre l’UE ne peut se faire en posant comme préalable de se ranger derrière tel ou tel, et de mettre son mouchoir sur ses convictions politiques.
C’est pourquoi, il faut construire un nouveau CNR
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Takak :
tu parles d’une « classe dominante », mais comme quelque chose de statique.Or il y aura toujours une « classe dominante », car celle-ci se forme dynamiquement, en fonction de l’organisation politique : la classe dominante se détermine par l’organisation politique.
Par exemple, en Russie, il se substitua à la classe dominante d’avant la révolution, l’aristocratie, une nouvelle classe dominante, liée au nouveau pouvoir, celui du parti : les apparatchiks.
De même, en France, il se se substitua à la classe dominante d’avant la révolution, l’aristocratie, une nouvelle classe dominante, liée au nouveau pouvoir, celui de l’argent : la bourgeoisie d’affaire.
Toute société organisée repose toujours sur une certaine aristocratie, une élite, qui correspond aux principes d’organisation de cette société. Dis-moi comment la société est organisée, je te dirais qui sont les aristocrates...
Donc tu ne peux jamais abolir l’aristocratie, même si tu détruis les principes d’organisation sociale, car bientôt une nouvelle organisation sociale émergera, produisant une nouvelle aristocratie...
L’aristocrate est celui qui est « le meilleur ». Donc dès que la société tient que quelque chose est meilleure qu’une autre, elle produit une aristocratie. Dès que tout ne se vaut pas socialement, il y a une aristocratie qui est générée.Aujourd’hui, dans l’idéologie politique, le « meilleur », c’est l’UE libre-échangiste.
Donc un aristocrate, aujourd’hui, c’est un grand zélateur de l’UE, un de ses grand serviteur.
Lui est vraiment noble, les autres sont des ignobles. -
non, la classe dominante ne domine pas parcequ’elle est meilleure, qu’elle est une élite.
Dans une système capitaliste elle domine car à travers les capitaux, elle détient les moyens de production. La crise démontre que c’est bien les marchés qui décident qu’il faut faire ce qui est bon pour eux. Et les marchés, c’est les propriétaires de capitaux, ie des moyens de production.Votre exemple de la révolution française n’est pas bon. De fait, c’est l’avénement du mode de production pré-industriel qui fait émerger une classe bourgeoise bien plus riche que l’aristocratie (au sens de la noblesse de sang) et la révolution française est en premier lieu l’affrontement entre une noblesse qui défend ses privilèges contre l’impots et la classe qui possède finance et moyen de production. Ca c’est 1789. La suite de la révolution verra s’affronter le peuple et la bourgeoisie. La victoire de la bourgeoisie est consacré avec le suffrage censitaire contre le principe un homme une voix.
Il ne faut pas non plus confondre égalité et égalitarisme. Dire qu’une société est sans classes ne signifie pas la stricte identité entre chacun. Mais que les droits et devoirs de chacun sont égaux, sans rapports de dominations économiques. Pour finir, non les pays de l’est n’étaient pas une société sans classe. Et pour cause, arriver à une société sans classe suppose une évolution complète de la société qui ne peut se faire sur un court laps de temps. Cette évolution est possible à condition de supprimer l’exploitation des travailleurs en socialisant les moyens de production. Mais il faut aussi un volontarisme politique, un travail de remise en cause permanent que n’a absolument pas permis le stalinisme. L’autoritarisme stalinien a figé et ainsi tué le processus révolutionnaire.
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@ l’auteur
Je salue votre coup de gueule. Et me ralie à votre avis.
ASSEZ !!!
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« Au delà, Cocasse, n’oubliez pas non plus que les militants des vrais partis de gauches sont résoluments contre l’UE »
mdr
ils sont comme les autres pour la bonne soupe-
@ foufouille
« mdr
ils sont comme les autres pour la bonne soupe »Mdr
Foufouille est comme les autres pour la bonne soupe...Et hop là....
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et le PCF n’a pas expulse de squatteurs, il y a peu ?
melenchon a fait quelque chose pour les 2 sdf a cote de sa permanence ? -
Je vais transmettre à Emmanuel Todd qui est l’auteur de cette formule !
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C’est vrai que les scandales sanitaires ça n’arrivait jamais en France avant la création de l’UE...
Au moins un article comme ça ça défoule
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Le totalitarisme est déjà présent .
Combien d’écrits les journaux m’ont supprimé ?depuis près de 15 ans maintenant , qu’abonné à des journaux ,tels Le Monde , je suis censuré voire exclu !Ce journal que je lisais depuis 30 , abonné bien entendu , s’est payé le luxe de me virer car mon opinion ne lui plaisait pas !Depuis d’autres m’ont aussi viré .L’eurofascisme est en place , ce qu’ils cherchaient c’est seulement un financement pour systématiser la méthode et ficher tout un chacun !-
1- Premier exemple. Le traité de Maastricht. Le 2 juin 1992, par référendum, le peuple danois dit « non » au traité de Maastricht. Que croyez-vous qu’il arriva ?
Réponse :
Le peuple danois fut obligé de revoter une deuxième fois : il y eut un nouveau référendum sur le traité de Maastricht !
2- Deuxième exemple. Le traité de Nice. Le 9 juin 2001, par référendum, le peuple irlandais dit « non » au traité de Nice à 53,87 %. Que croyez-vous qu’il arriva ?
Réponse :
Le peuple irlandais fut obligé de revoter une deuxième fois : il y eut un nouveau référendum sur le traité de Nice !
3- Troisième exemple. Le traité établissant une Constitution européenne. Le 29 mai 2005, le peuple français vote « non » par référendum. Le 1er juin 2005, le peuple néerlandais vote « non » par référendum.
Voyant le résultat des référendums en France et aux Pays-Bas, les fédéralistes décident de suspendre les référendums prévus dans les autres pays ! Les fédéralistes veulent bien consulter les peuples, mais à condition que les peuples votent « oui » ! Si les peuples commencent à voter « non », les fédéralistes suspendent les référendums ! Et ça, ce n’est pas de la démocratie, peut-être ?!
En 2005, quels sont les peuples qui auraient dû être consultés par référendum ?
- Le peuple danois aurait dû être consulté. Le référendum est suspendu jusqu’à nouvel ordre.
- Le peuple irlandais aurait dû être consulté. Le référendum est suspendu jusqu’à nouvel ordre.
- Le peuple portugais aurait dû être consulté. Le référendum est suspendu jusqu’à nouvel ordre.
- Le peuple tchèque aurait dû être consulté. Le référendum est suspendu jusqu’à nouvel ordre.
- Le peuple anglais aurait dû être consulté. Le référendum est suspendu jusqu’à nouvel ordre.
4- Quatrième exemple. Le traité de Lisbonne. En réalité, le traité de Lisbonne reprend 98 % du texte de la Constitution européenne, mais la grande différence est que, cette fois-ci, le traité de Lisbonne N’est PAS soumis à référendum !
Le traité de Lisbonne est adopté par les parlements des Etats européens.
Une seule exception : le peuple irlandais est consulté par référendum. Le 12 juin 2008, le peuple irlandais vote « non » au traité de Lisbonne. Que croyez-vous qu’il arriva ?
Comme d’habitude, on a refait voter le peuple irlandais une deuxième fois !
Conclusion :
La construction européenne est anti-démocratique. L’Union Européenne est anti-démocratique. Elle doit être détruite.
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D’après la socialiste Elizabeth Guigou, accessoirement Young Leader de la French American Foundation (CFR) tout comme Hollande, Moscovici & Co, mais aussi membre actif de la Trilatérale, il faut bien reconnaître :
- qu’il faut « Sauver l’Europe de la tyrannie des référendums »
- que « Le référendum irlandais a été humiliant, et prouve que les référendums sont des mécanismes purement destructifs. »
- que « L’Union européenne a besoin de traités, et les référendums tuent les traités » -
La construction européenne est anti-démocratique. L’Union Européenne est anti-démocratique. Elle doit être détruite.
Que voulez-vous, on ne demande pas l’avis de ceux qui sont destinés à servir... -
" Cette Europe là doit mourir, quitte à fermer les frontières, à reprendre son indépendance et sa souveraineté pour savoir qui l’on est et ce que l’on mange ! "
Voilà qui est bien dit.
Le problème c’est que à cause de ces imbéciles de gauchistes qui critiquent l’UE mais qui refusent absolument tout retour du national et qui sont agressifs envers les nationalistes ( alors que eux n’en ont absolument rien à foutre d’eux, ils ont autre chose à foutre, et ne font que répondre aux attaques hystériques ), on n’avance pas. Ils n’ont que des solutions farfelus à proposer ( genre interdire les licenciements ou donner la nationalité Française à tout les clandestins ) et ils nuisent aux gens sérieux ( protectionnisme, etc )
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Il est impératif de regrouper tous ceux qui souhaitent sortir la France de l’ue derrière cet objectif vital.
Séparés entre les 2 extrêmes et les quelques francs-tireurs ça et là, nous n’avons aucune chance aux élections, et les favoris des 2 blocs européistes se disputent les places de maîtres.
Alors que nous avons la majorité absolue sur l’électorat français. Donc nous pouvons gagner. Nous l’avons déjà fait en 2005, avant que chacun des partisans du NON ne regagne ses écuries extrêmes pour le plus grand bonheur des oui-ouistes en 2007. Alors que nous pouvons porter au pouvoir quelqu’un dont le programme se limiterait à cet objectif : sortir la France de l’ue.
Soyons intelligents, oublions les autres grandes divergences pour se concentrer la réussite de l’objectif principal, comme l’ont fait les communistes et les gaullistes dans la Résistance. Comme le font aujourd’hui le M’PEP, l’UPR, le PRCF.
TOUS ENSEMBLE POUR LE NOUVEAU CNR !!!
A BAS L’EUROPE, VIVE LA FRANCE LIBRE !!!-
L’expression « eurofascisme » est tout à fait justifiée.
Cela étant Emmanuel Todd, n’ a rien inventé.
En tant que simple citoyen, cela fait des années que personnellement je parle, s’agissant de l’ultra libéralisme mondialisé, de « fascisme économique mondialisé ».
En effet, aucun de ceux qui dirigent l’économie de la planète n’est élu : banquiers, spéculateurs, grosses multinationales, OMC, FMI, BCE, Commission européenne, MEDEF etc ...
De plus ces gens là disposent d’un pouvoir absolu, total et même totalitaire, sans aucun contre pouvoir capable ne serait-ce que de les freiner un tant soit peu.
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L’europe actuelle est a l’image de l’UMPS.
Elle est la conséquence de nos votes.
Le réveil est douloureux, mais connaissant les Français cette Europe a encore de beaux jours devant elle.
Seul un vote extrême massif pourrais la faire vaciller.
Ce n’est pas prêt d’arriver.-
Samedi 23 février 2013 :
En France, 38 % des sondés considèrent la construction européenne comme une source d’espoir. Dans un sondage de 2003, ils étaient 61 % !
Les classes populaires et les classes moyennes commencent à comprendre ce qu’est réellement la construction européenne : c’est une construction de riches, faite par des riches, pour des riches.
Lisez cet article :
Sondage : l’Europe, on n’y croit plus.
Une enquête BVA montre le désenchantement des Français à l’égard de la construction européenne. Notamment chez les ouvriers et les plus faibles revenus.
C’est un sondage qui fera certainement mal au cœur à tous ceux qui défendent encore ardemment l’idée européenne.
Alors que la crise économique s’accroît et que les plans d’austérité se succèdent dans les 27 pays de l’UE, les Français n’ont jamais été aussi désenchantés vis-à-vis de l’institution bruxelloise.
Ils sont seulement 38% à considérer la construction européenne comme une source d’espoir, selon une enquête exclusive BVA réalisée pour l’Institut de relations internationales et stratégiques (Iris*). Alors qu’ils étaient 50% fin 2011 et même 61% en 2003 !
Qui connaît son président ?
Une dégringolade qui touche surtout les catégories les plus modestes. Car une fracture nette se dessine entre les « gagnants » de la construction européenne (cadres, seniors, urbains, hauts revenus…) et ceux qui se considèrent comme les « perdants » (ouvriers, employés aux revenus modestes, ruraux).
L’Europe, qui se voulait protectrice face aux dangers de la mondialisation, est désormais vécue comme une entité anxiogène.
D’ailleurs, les Français s’accordent massivement — ils sont 75% ! — pour considérer que l’UE a été inefficace ces dernières années. Un constat qui peut paraître sévère au vu des plans successifs d’aide pour sauver la Grèce de la faillite ou des instruments de régulation mis en place comme le mécanisme d’union bancaire.
Incapable de se mettre d’accord pour aider la France engagée contre les jihadistes au Mali, l’Europe n’est guère incarnée au niveau politique. Qui connaît son président, le Belge Herman Van Rompuy ? Ou celle qui est censée incarner la politique étrangère de l’Union, la Britannique Catherine Ashton ? Evidemment, cela n’aide pas…
http://www.leparisien.fr/politique/sondage-l-europe-on-n-y-croit-plus-23-02-2013-2592159.php
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Cette Europe n’est, ni plus ni moins, qu’une monstruosité : pour les hommes, pour les animaux, pour la terre, pour tout le Vivant.
Jusqu’où et jusqu’à quand laisserons-nous faire ? Il n’y a aucun espoir à attendre de cette hydre maléfique, que nos gouvernants servent sans aucun scrupule. Je vais vomir.
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