N’importe quoi, le terme « mondialiste » fait d’abord référence à ceux qui
prônent une économie financière mondiale dérégulée, à l’anglo-saxonne.
Et à ma connaissance ces gens-là sont contre toute décroissance, qui
réduirait leurs marges de bénéfice.
Renseigne toi 2 secondes (plus si tu viens de loin !) : la WWF a été fondé par qui ? Le club de Rome c’était pas des industrielles mondialistes ? Un bildelberg finance le film Home et toi tu n’en sait rien ?
Plus généralement, est ce que tu crois que la féodalité y gagne à industrialiser les nations ?
Voilà la vie dans le détail d’un de tes papes sans que tu le sache (un comble) :
http://www.agriculture-environnement.fr/spip.php?article426&artpage=1
C’est palpitant de connaître le vrai envers du décors dans le début de l’article mais sur la fin c’est carrément révélateur :
"Sans l’aide
précieuse de ses amis du Clermont
Set, avec qui il partage la même passion du poker,
Jimmy Goldsmith n’aurait sûrement pas connu un
tel succès. Homme d’affaires redoutable, il a bâti
l’essentiel de sa fortune dans les années soixante
et soixante-dix grâce à différents types d’opérations,
dont certaines ont fait l’objet d’un excellent
documentaire réalisé pour la BBC : The Mayfair
Set. Son auteur, Adam Curtis, décrit
en particulier
les opérations réalisées au cours des années
soixante par l’infernal trio Jimmy Goldsmith, Jim
Slater et Tiny Rowland : « Accumulant les sociétés,
manipulant les hommes politiques, dépeçant
l’industrie, licenciant à tout-va, ils démantèlent le
vieux système économique et inaugurent l’ère de
l’individualisme et du profit à tout crin, sans souci
de l’intérêt national ». Dans les années quatrevingts,
lorsque Ronald Reagan accède au pouvoir,
les trois tycoons déplacent leur champ d’action
vers les Etats-Unis, où ils se spécialisent dans le
démantèlement des grands groupes industriels
américains grâce à l’aide de Michael Milken,
le
créateur des obligations à haut rendement.
Selon l’histoire officielle, ces
spéculateurs sont
des francs-tireurs marginaux. La vérité est sûrement
beaucoup plus complexe. En effet, Jimmy
incarne à la perfection les milieux d’affaires aristocratiques
et réactionnaires ultra-libéraux opposés
au modèle capitaliste industriel qui s’impose
depuis la fin de la Seconde guerre mondiale, et
dans lequel l’Etat joue un rôle de régulateur. Ces
milieux lui préfèrent un modèle dit « post-industriel
», qui repose principalement sur les services
et la finance. C’est précisément ce qui a été
proposé au début des années soixante-dix, avec
la mise en place de nouvelles structures et
d’accords supranationaux visant à mettre un terme
au pouvoir des Etats-nations. En 1971, l’ONU
a ainsi organisé le premier Sommet sur l’environnement,
tandis que le Club de Rome (fondé
le 6 avril 1968 par l’ancien patron du département
sud-américain de Fiat, Aurelio Peccei),
a publié l’année suivante son rapport Halte à la
croissance ?."
...les milieux d’affaires aristocratiques
et réactionnaires ultra-libéraux opposés
au modèle capitaliste industriel...Ces
milieux lui préfèrent un modèle dit « post-industriel
», qui repose principalement sur les services
et la finance. !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!