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La future organisation mondiale de l’environnement et l’eau

L’Organisation mondiale de l’environnement (OME) intégrera le programme de Nations unies pour l’environnement. Cette nouvelle instance serait également chargée des océans et des régions du monde ayant une influence sur les océans comme le pôle Nord et l’Antarctique. Tout ce qui relève du patrimoine commun de l’humanité, notion du droit international incorporant les grands fonds marins et l’espace extra-atmosphérique, devrait être reconnu comme bien public mondial [1] ou d’intérêt mondial et devrait être confié à l’OME en ce qui concerne l’environnement. Divers nouveaux organes subsidiaires seraient créés au sein de l’OME, notamment en ce qui concerne la distribution de l’électricité et de l’eau.

Vers la création d’une taxe mondiale sur l’eau

Le principe actuel est simple. Il consiste pour l’usager des pays développés à verser un centime d’euro par mètre cube d’eau afin de financer des actions de solidarité conduites par des ONG dans les pays en développement. L’idée d’une surtaxe des consommateurs d’eau du Nord aux profits des pays du Sud est déjà appliquée dans sept pays : Royaume-Uni (organisation Wateraid), Pays-Bas (Aqua for All), Italie (Greencross), États-Unis (Water for the people), Canada (Watercan), Nouvelle-Zélande (Water for survival) et France.

Le système repose sur le volontariat en Grande-Bretagne (envoi par Wateraid de lettres de sollicitation à 23 millions de ménages), alors que l’expérience française s’appuie sur une contribution volontaire des distributeurs privés ou publics d’eau. Le principe de 1 centime d’euro par m3 est déjà mis en œuvre en France par 1500 à 2000 organismes qui sont des syndicats des eaux et des petites régies municipales. Les sommes dégagées varient d’un million d’euro par an pour, par exemple, le Syndicat des eaux de l’Ile de France (SEDIF), à 10 000 euros pour certains villages français. Mais derrière ce type de contributions se cache, en réalité, l’idée de conquérir de nouveaux marchés dans les pays en développement. Il ne s’agit pas d’une aide désintéressée de la part d’ONG indépendantes des sociétés de distribution et d’exploitation de l’eau. Un bon nombre d’ONG ont d’ailleurs refusé l’invitation au 3e Forum mondial de l’eau à Kyoto et ont organisé un contre-forum en Suisse à la fin février 2003 pour dénoncer la privatisation du secteur de l’eau partout dans le monde.

En mars 2003, le 3e Forum mondial de l’eau à Kyoto au Japon n’a pas abouti sur l’adoption de propositions concrètes. La proposition du président français Jacques Chirac de créer un observatoire mondial de l’eau (chargé de surveiller les progrès réalisés vers les objectifs du millénaire, notamment pour diviser par deux le nombre de gens sans eau ni sanitaires d’ici 2015) n’a pas été adoptée. Une véritable taxe mondiale devrait être instituée, collectée et gérée par la nouvelle Organisation mondiale de l’environnement. Cette dernière devrait aussi réunir les principales ONG de l’eau au sein d’un nouvel organe subsidiaire pour mettre en place une certaine cohérence dans la gestion planétaire de l’eau qui fait aujourd’hui particulièrement défaut. En ce qui concerne l’organisation mondiale de l’électricité, cela fera l’objet d’un prochain article.

[1] On considère généralement que les Biens publics mondiaux (BPM) regroupent l’ensemble des biens et des services, dont on ne peut exclure quiconque de l’usage et des effets. Par exemple, l’air, l’eau, la santé, l’éducation, le cyberespace, le climat, les gènes, la biodiversité, etc.. Parler des BPM, c’est rechercher des solutions pour affronter les menaces globales comme le changement climatique, la pollution de l’air, le développement de virus comme le Syndrome Respiratoire Aigu Sévère (SRAS), le SIDA, la maladie de Creutzfeldt-Jakob (MCJ) (qui est une maladie à prions comparable à l’encéphalopathie spongiforme bovine (ESB) chez l’animal. Elle est caractérisée par des troubles neurologiques croissants et conduit invariablement à la mort), la variole du singe (monkey pox), le risque de pénurie d’eau dans certaines régions même très développées, l’abaissement du niveau général d’éducation, le développement de la cybercriminalité, etc.. Les BPM peuvent faire l’objet de financement comme le Fonds mondial contre le sida, la tuberculose et le paludisme, qui a été constitué en janvier 2002 par le secrétaire général des Nations unies d’alors, Kofi Annan, en réponse à une initiative du sommet du G8 de Gênes (Italie) en juillet 2001.


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10 réactions à cet article    


  • aquad69 (---.---.100.34) 13 février 2007 11:41

    Un petit bonjour de France, Marc,

    Karl Polanyi l’a bien expliqué dans son livre "la grande transformation" : le libéralisme économique, parti de marchés limités, a besoin, pour fonctionner, de marchés de plus en plus universels, jusqu’à pouvoir théoriquement réduire à l’état de marchandises tout à la fois l’univers et l’humain lui-même.

    Tout l’historique économique de nos sociétés depuis le 18e siècle a consisté à chercher un équilibre entre celà et la société humaine, cad en fait à protéger l’humain et sa société, par différents protectionnismes économiques, contre ce volcan autour duquel nous dansons en permanence.

    La grande crise des années trente semblait avoir fait pencher la balance vers une maîtrise de l’économique par les états -donc les peuples-.

    Mais on assiste aujourd’hui au grand retour de la domination économique, quand, au nom de la mondialisation, les états se sabordent eux-même, et avec eux les dernières garanties qui pouvaient rester à leurs peuples.

    L’extension de la privatisation du secteur de l’eau, puis progressivement celui de l’air,que l’on pourrait justifier par les frais de dépollution, puis même celui de l’espace
    - on paye bien les parcmètres !- sont tout à fait dans la logique de développement du libéralisme économique ; c’est parfaîtement normal dans ce cadre, sinon moral et souhaitable du point de vue humain.

    Et de l’autre côté il est probable que se développera encore plus la « marchandisation » des gens, marchés de consommateurs et d’actifs professionnels,jusqu’à ce que l’on en arrive à différents degrés de dépendances et d’esclavages légaux.

    Il faut comprendre que toute lutte aujourd’hui contre celà, écologiste ou pour nous protéger nous-même, si elle est bien sûr indispensable à court terme, n’est qu’un combat d’arrière-garde, qui finira par être perdu à la longue. Les choses en sont à un tel point que l’on ne peut plus espérer « réformer » tout celà efficacement.

    Mais quelle alternative trouver qui ne soit utopique à telle échelle ?

    Cordialement Thierry


    • nisco (---.---.250.129) 13 février 2007 12:32

      Cher Thierry,

      Je ne serai pas aussi pessimiste, car si la privatisation de l’eau peut être détournée à des fins totalement mercantiles par de grands (c’est un euphémisme) groupes internationaux, elle peut tout aussi apporter de très bons résultats si les privés en charge de l’exploitation, la vente et la gestion de cette ressource, n’ont pas que des intérêts économiques.

      Un des grands enjeux des prochaines années sera effectivement l’eau, tant en terme de quantité à disposition pour le plus grand nombre qu’en terme de qualité. Ne pas faire prendre conscience de cela aux populations est donc très dangereux. Les individus doivent prendre conscience de ce que représente une eau de qualité et en quantité suffisante en terme techniques, de gestion et de renouvellement. Trop de personnes de par le monde, et c’est tout à fait normal, considèrent l’eau au même titre que l’air et la terre c’est à dire une ressource infinie ou du moins facilement renouvellable. Il est nécessaire de percevoir touts les efforts nécessaire pour faire d’une eau qui tombe du ciel en une eau qui peut être bue sans aucun soucis sanitaire. Dans une société monétarisé, il est évident qu’il faut amener les gens à payer l’eau au juste prix et donc en faire un bien de consommation qui, pour en assurer une distribution sur le long terme, doit être géré de manière privé car n’étant plus un simple « service public ».

      De nombreux exemples à travers le monde montrent qu’il est possible de concilier une approche purement économique (privatisation de la distribution de l’eau) et une approche plus communautaire. La gestion revient, dans ces cas, à un organisme privé, qui doit donc s’auto-financer, qui a des intérêts locaux, c’est à dire qu’il est formé uniquement de ressortissants de la localité, de la région. Ils ne peuvent donc que prendre des décision en accord avec les réalités locales et qui visent nécessairement une pérennité.

      Il ne faut donc pas rejeter en bloc la privatisation mais bien les conglomérats qui n’ont plus aucune dimension humaine et donc plus que des intérêts économiques. On le voit très bien de nos jours avec la ficilité avec laquelles ces grands groupes se « désengagent » d’un système de gestion qui s’avère non-rentable. La question de l’échelle est très importante dans la mise en place d’un secteur privé. L’action doit rester locale même si les intérêts et la problématique sont globaux.

      Nisco


    • nisco (---.---.250.129) 13 février 2007 12:39

      @ l’auteur

      Ne pensez vous pas que ce nouvel organisme onusien ne termine comme la plupart de ses congénères, c’est à dire comme une machine à gaspiller de l’argent sans de résultats tangibles localement ?

      Il y a trop d’argent qui est gaspillé à tous les niveaux dans des organismes trop gros qui bien souvent servent de planque pour des foncitonnaires ayant rendus des services à leurs dirigeants. Si le centime d’euro peut être une solution pour mobiliser des fonds, l’affectation de ces fonds doit être vraiment bien pensé pour en assurer une efficacité.

      La question se pose aussi concernant la simplification du problème en terme monétaires. Est-ce vraiment uniquement des fonds dont ont besoins ces populations laissées pour comptes ? N’y a-t-il pas des décisions politiques qui peuvent être prises et qui donneront de bien meilleurs résultats sur le long terme ?


    • aquad69 (---.---.100.34) 13 février 2007 13:24

      Bonjour Nisco,

      certes, certes, il faut que les gens se responsabilisent, comme dans le temps, par règle morale, on ne gaspillait pas...

      Mais l’essentiel est là : qui, de la communauté ou de l’économique, maîtrise l’autre ? Et à la longue, faute d’un pouvoir politique réel et volontaire pour nous défendre, vous savez bien que la logique économique mène toujours aux grands conglomérats.

      J’espère bien qu’il y a encore des communautés où la distribution se fait pour les usagers et non pour le profit, mais pour combien de temps, et comment se présenteront les choses à l’horizon mondial quand l’eau sera une matière première aussi cotée que les autres, et que l’industrie aura plus les moyens de se l’acheter que les particuliers ?

      Quand, par volonté de clairvoyance, on s’efforce de voir un peu plus loin et que l’on s’aperçoit qu’une avalanche déboule sur notre petite fête, ce n’est pas par pessimisme que l’on ose troubler l’ambiance... C’est tout de même nécessaire.

      Cordialement Thierry


    • aquad69 (---.---.33.228) 13 février 2007 14:49

      Re-bonjour Nisco,

      tout celà est très théorique, je vais vous donner un exemple de ce que je crains :

      Récemment -il y a quelques mois, je crois-, on a vu des émeutes au Mexique ; pourquoi ? Parce que les prix du taco avaient triplé (300%) ; et pourquoi celà ? Parceque des industries américaines avaient consommé, donc acheté en grande quantités un des ingrédients du taco (une farine, je crois) et que les cours en bourse de ce produit avaient donc monté.

      Et voilà comment des particuliers se retrouvent en concurrence avec des intérêts industriels et économiques qu’ils ne sont pas de force à affronter, celà va de soi.

      Si vous introduisez l’eau sur le marché mondial, bien sûr que par la force des choses, il restera des petits marchés locaux, captifs, qui seront protégés ; mais ils ne seront pas la règle.

      La règle, ce sera de grands conglomérats qui posséderont des marchés immenses, et qui nous factureront l’eau "à la pompe" ; en tant que consommateur, vous avez un pouvoir sur le prix de l’essence, vous, malgrès la concurrence théorique qui règne entre les « majors » ?

      Mais l’eau est beaucoup plus vitale que l’essence...

      Ou alors, il peut être décidé que l’eau n’est pas un produit comme les autres, et que sa distribution doit être soumise aux besoins des gens, et non à leurs ressources financières et aux marchés.

      Mais c’est alors une décision politique, artificielle, que seuls des gouvernements puissants et soucieux du bien-être de leurs ressortissants peuvent prendre. Et c’est tout le contraire d’une privatisation.

      A voir comment se présentent les choses, c’est bien vers une privatisation de l’eau que nous nous dirigeons.

      Cordialement Thierry


    • nisco (---.---.250.129) 13 février 2007 15:52

      Cher Thierry,

      « Mais l’essentiel est là : qui, de la communauté ou de l’économique, maîtrise l’autre ? »

      Comme tu le dis dans ton post suivant, seule « une décision politique, artificielle, que seuls des gouvernements puissants et soucieux du bien-être de leurs ressortissants peuvent prendre » peut résoudre ce problème. Je suis tout comme toi pour qu’on rende ses pouvoirs à l’Etat, tout le contraire du néo-libéralisme sauvage. Mais pas tout le contraire de la privatisation comme tu le dis. Et sur ce terme, comme sur le terme du communisme, il y a trop d’amalgames qui le discéditent en bloc. Ce qui est fort dommage si on veut engager un dialogue.

      Je suis convaincu qu’une communauté forte et représenté est à même de défendre ses droits concernant l’eau, même si celle-ci est géré de manière privé. Les efforts des gouvernements de gauche d’amérique du sud en sont un exemple. Plus prêt de nous, en Suisse, une commune à sous-traité la gestion de la distribution de l’eau à une entreprise privée formée de personnes habitant la commune. Et le contrat passé avec la mairie stipule ce genre d’accord (qui est du protectionnisme donc en totale opposition d’avec le libéralisme) et donc protège cette société de vente d’eau contre tout rachat. Elle a d’ailleurs pris l’initiative de proposer à ses clients de payer un peu plus l’eau pour promouvoir les énergies renouvellables dans la commune et réaliser des projets de développement dans le secteur de l’eau dans les pays du sud (http://www.inframuensingen.ch/ site en allemand désolé mais ya babelfish qui permet de se faire une idée)

      Concernant l’exemple du Mexique, je n’ai pas la même compréhension du problème. Selon moi, il s’agit d’accords politiques entre les USA et le Mexique qui ont conduit le mexique à délaisser la production de maïs au profit des producteurs américains (car ils ont un meilleur rendement). Tout allait pour le mieux jusqu’à ce que Mr Bush face des énergies alternatives un pan de sa politique énergétique. La conséquence directe a été un rachat massif des stocks de maïs (de l’ordre de 40% de la production si mes souvenirs sont bons) pour la production de bio-éthanol. Il s’en est suivi une hausse fulgurente du prix des tacos par ricochet. D’ou le mécontentement des mexicains. Cet exemple traduit de nouveau une démission de l’Etat qui a sacrifié sa sécurité alimentaire sur l’autel des accords billaterraux amércains (qui devaient certainement inclure quelques support militaires et en terme d’armement de la police...). Il ne s’agit pas du même problème que pour l’eau.

      Mais je te rejoins vraiment totalement sur le fond, il ne juste pas jeter totalement la privatisation au risque de discéditer ton discours qui est vraiment nécessaire. Il y a danger dans la demeure, j’en suis au moins autant convaincu que toi !

      Cordialement,

      Nisco


    • aquad69 (---.---.33.228) 13 février 2007 16:21

      OK Nisco,

      mais nous sommes d’accord, alors ; car je ne prônais pas la collectivisation communiste, bien sûr.

      Et si l’exemple Suisse pouvait-être étendu à l’Afrique, par exemple, je serais le premier à applaudir...

      Mais j’espère beaucoup de l’Amérique du Sud pour trouver des solutions alternatives, si ces pays arrivent à stabiliser leur vie politique.

      Amicalement Thierry


    • (---.---.64.220) 13 février 2007 20:43

      Les requins sont déjà sur le coup.

      "Saint Lazare Investment will be the largest owner of aquatic property and will thus face the prerogatives of future international ecological policies from the point of view of an influential investor in the Carbon Finance marketplace.

      Investing in water is investing in the future."

      http://www.saintlazarefoundation.org/heritage.html


    • Aurélien (---.---.11.39) 13 février 2007 12:33

      Quid des semences agricoles ?


      • démos (---.---.155.156) 14 février 2007 15:59

        j’ai vu un reportage sur les agriculteurs qui se plaignent de leur manque de fourrage. Personnellement, je ne les plains pas, ce sont eux qui ont rendu la Terre infertile ! Ils ne récoltent que ce qu’ils ont semé ! Par contre, la façon de cultiver des agriculteurs respectueux de l’environnement, vous n’en parlez jamais ou juste pour aborder un thème à la mode de temps en temps. LE BIO ! Le bio qui redevient de l’industriel d’ailleurs, à cause du manque d’information dont vous détenez les rennes ! A quand un sujet sur une agriculture plus humaine qui se bat pour laisser un patrimoine aux générations futures ? Le processus de suppression de l’agriculture à visage humain au profit d’une agriculture hyper mécanisée et hyper chimique, est presque à son terme. Le vrai rôle de l’agriculteur, n’est pas de produire de l’artifice. Or si vous pensez toujours que les légumes sont des produits de la Nature, vous vous trompez ! Partant de graines issues de la biotechnologie, ils deviennent ensuite une élaboration chimique aqueuse d’azote, de phosphate, de potasse et de produits de synthèse ajoutés. Les oeufs des élevages industriels ne sont rien de plus qu’un mélange d’aliments artificiels, de produits chimique et d’hormones. L’agriculteur qui produit de la sorte est un industriel. Mais comme tout industriel, il doit faire des calculs compliqués pour obtenir des bénéfices. S’il ne sait pas faire d’argent, il est considéré comme incompétent et ses bénéfices sont absorbés pas les intermédiaires. Autrefois, il y avait des paysans, des artisans, des marchands, chacun maîtrisant son art, et arrivant toujours à s’en sortir tant bien que mal. Maintenant on s’agite de plus en plus. L’exploitant agricole à fortiori. Sa SAU gigantesque lui impose des techniques qu’il ne maîtrise plus guère, pour faire pousser plusieurs récoltes dans l’année sur le même sol. Et il s’étonne que son sol ne donne plus rien au bout du compte. C’est de cela dont vous devriez parler !!!! Ils n’ont récolté que ce qu’ils ont semé, c’est-à-dire la désolation, la mort de la Terre, la mort de toute vie microbienne sans qui nous n’existerions pas !!! Charles Peguy disait : « On n’est un homme que quand on a, au moins une fois dans sa vie, tout remis en cause ! » Ces exploitants agricoles auront-ils le courage de se remettre en question ? Aurez vous le courage de vous remettre en question, vous qui détenez le rôle de la diffusion d’information ? Pourquoi est ce si dur de dire la vérité ou de s’exprimer sincèrement sur une chaîne télévisée ? Pourquoi maquillez vous la vérité ? Pourquoi diffusez vous toujours l’information en faveur du menteur, du voleur, du profiteur ? Pourquoi attendez vous la catastrophe et le point de non retour pour mettre à plat la vérité ?

        Le bon filon pour nos politicards en ce moment n’est ce pas la filière de l’eau et de son assainissement ? Il y a des millions d’€uros a se mettre dans les poches

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