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Accueil du site > Actualités > Société > L’éducation au fait homosexuel dans l’école publique : (...)

L’éducation au fait homosexuel dans l’école publique : l’état du droit

Revendications catégorielles et principes républicains

L'institution scolaire fait l'objet de sollicitations quotidiennes de la part des communautés de toutes obédiences. Chacune entend infléchir la politique éducative dans le sens de ses intérêts propres. L'action communautaire trouve ainsi dans l'école publique, un débouché naturel vers l'accomplissement de desseins individuels. La mission éducative n’est pas exclusive, bien entendu, de nouvelles avancées au bénéfice de telle ou telle catégorie. Mais les moyens désormais préconisés, soudoyant le maître devant sa classe, sont contraires à l’esprit comme à la lettre des textes fondateurs de la laïcité. L'éthique républicaine du savoir et de sa diffusion, aujourd'hui mise à mal, doit être défendue.

AUX ORIGINES REPUBLICAINES DE L'ESPRIT DE TOLERANCE, L'INDIFFERENCIATION DES GENRES

Pour les pédagogues de la « libre-homosexualité », il ne s'agit pas seulement de prohiber les discriminations mais de modéliser les comportements sexuels au motif allégué de tolérance. Méconnaissance profonde du droit et abus de conscience pédagogique : aucun « expert », savant messager de l'épanouissement infantile, ne peut prétendre imposer ses conceptions par voie de consignes officielles. L'indifférenciation républicaine des genres d'appartenance demeure le meilleur moyen d'une socialisation effective des minorités. D'où l'occultation des singularités minoritaires dans l'énoncé normatif : parce qu'elle est d'application générale et impersonnelle, toute confiscation identitaire est un amoindrissement de la règle de liberté. Telle est l'universalité du droit républicain, socle des libertés individuelles. Les rédacteurs de 1789 ont voulu les figer dans un ensemble plus vaste : celui de la nation toute entière, composante de l'Humanité. Cela au nom d'une philosophie permissive et non pas prescriptive (cf. article 4 : « La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui ... »). Dans ses développements contemporains, le principe de tolérance suit la même axiomatique : indiscrimination plutôt que défense identitaire, à l'image de la Convention de sauvegarde des droits de l'Homme et des Libertés fondamentales du 4 novembre 1950. Elle offre des garanties bien supérieures à tout acte de pédagogie militante, en prohibant la modélisation des comportements sexuels. Son article 14 stipule que « la jouissance des droits et libertés (...) doit être assurée, sans distinction aucune, fondée notamment sur (...) l'appartenance à une minorité nationale (...) ou toute autre situation ». Les droits des homosexuels sont partie prenante de ce mouvement général en faveur de l'émancipation des minorités. Détail d'importance : ils ne le sont pas tant au motif de l'appartenance à une communauté qu'en raison d'un égal accès aux droits attachés à la qualité de citoyen, reconnus imprescriptibles. Ainsi, l'universalité sociologique du principe de liberté s'accomplit sur un mode dénégatoire - « ne pas distinguer » - plutôt qu'approbatif : énoncé limitatif de libertés positivement admises. De ce point de vue, toute déclinaison catégorielle au bénéfice des droits d'une minorité est déjà un paradoxe : elle constitue une entorse au principe de non discrimination, dans son acception indifférenciée. Les apologistes d'une pédagogie faussement « progressiste », rétrograde en vérité, au service de telle ou telle minorité doivent s'en souvenir : aucune n'est à décompter de la communauté des citoyens.

Second point juridique : les politiques éducatives doivent s’entendre dans une limite incontournable, celle de la liberté pédagogique des enseignants. Cela éclipse d’emblée l’argument, faussement pertinent, d’une « obligation de faire ». Les circulaires de rentrée, par exemple, ne fixent que des « orientations  », conformément au principe de « la liberté pédagogique de l’enseignant (qui) s’exerce dans le respect des programmes et des instructions du ministre chargé de l’éducation nationale  » (art. L. 912-1-1 du code de l’éducation). Les directives officielles demeurent donc exclusives de toute prescription de méthode, guidant les conduites individuelles. C’est pourquoi, par exemple, la circulaire de préparation de la rentrée de 2012 se contente de mentionner, dans la lignée des précédentes, sous le titre 9 de l’Annexe : « Faire vivre l'égalité filles-garçons : « Le règlement intérieur, qui intègre le principe constitutionnel d'égalité entre les filles et les garçons, le refus de toute forme de violence sexiste et sexuelle et toute forme de discrimination  ». Les objectifs fixés, il incombe à chaque enseignant de déterminer les moyens appropriés pour les atteindre au mieux compte tenu, notamment, des spécificités du public visé (origines ethnique et socioculturelles des élèves, environnement urbain, suburbain ou situation en zone rurale de l’école …). Il est à noter, au demeurant, que l’éducation nationale a déjà dû modérer ses tentations dirigistes – voir la polémique autour du projet de confier la mémoire d’un enfant victime de la « Shoah » à tous les élèves de CM2. Ainsi, la note de service du 3 juillet 2008 relative aux instructions pédagogiques pour l’enseignement de la « Shoah » à l’école élémentaire concède, expressément, que « Pour aborder cet enseignement, les maîtres sont libres de leurs choix pédagogiques … ». La modélisation infantile, dans le schème homosexuel, est ensuite le terreau d’une vieille discorde : droits des parents en matière éducative – revendication catégorielle, indépendamment même de son bien-fondé.

LA REVENDICATION IDENTITAIRE, TERREAU DE LA DISCORDE

La modélisation infantile des comportements sexuels est de nature à raviver un débat qui n'a pas lieu d'être en son enceinte. Car il se trouvera toujours des minorités, d'opinion celles-là, pour contester la légitimité morale de la préférence homosexuelle. Elles le feront au nom du libre-consentement des parents à l'éducation de leurs enfants : le point 4 de l'article 18 du Pacte international relatif aux droits civils et politiques adopté par les Nations Unies le 16 décembre 1966 ne stipule-t-il pas : « Les Etats parties (...) s'engagent à respecter la liberté des parents et, le cas échéant, des tuteurs légaux de faire assurer l'éducation religieuse et morale de leurs enfants conformément à leurs propres convictions  » ? A l'opposé de tout simplisme militant, caution « scientifique » incluse, faire entrer le débat sur la question homosexuelle à l'école, c'est courir un risque majeur : celui de faire éclater la contradiction entre libre-choix d'orientation sexuelle et droits des parents en matière éducative. Une tribune sera ainsi offerte aux tenants des opinions les plus réactionnaires et aux intégrismes religieux de toutes confessions ... Bref, le résultat sera à l'exact opposé de l'effet escompté. Cela devrait inciter à la plus haute prudence. Rien de tel dans l'action communautaire : l'urgence est décrétée, l'exigence « éducative » notifiée en forme d'ultimatum. A l’image de la stratégie développée par l’association « SOS homophobie » et le Collectif « Education contre les LGBT phobies en milieu scolaire ». Leurs actions sont menées, le plus souvent, sur le mode de la coercition organisée, dans une rhétorique de citadelle à assiéger : « La circulaire de rentrée 2008-2009, publiée le 4 avril, consacre un paragraphe à la lutte ‘contre toutes les violences et toutes les discriminations, notamment l'homophobie’ - se félicite Paul Parant, dans le magazine Têtu. Une première, selon l'Inter-LGBT, qui a obtenu cette avancée à la suite d'un bras de fer avec le gouvernement sur la question de l'Éducation », et qui « impose à l'institution scolaire la mise en œuvre d'actions contre les comportements discriminatoires subies par les jeunes ». L’auteur, se réjouissant que la circulaire de rentrée évoque le sujet de l' « homophobie en classe » écrit : « L'interassociative se félicite de ce premier résultat, une avancée symbolique qui impose à l'institution scolaire la mise en œuvre d'actions contre les comportements discriminatoires subies par les jeunes »1. Le discours associatif tend ainsi à déborder de la vocation réelle des circulaires. On y décèle tous les éléments d’une volonté d’investir le champ pédagogique.

Ainsi, le mouvement déjà amorcé au plan de l'enseignement de l'histoire, sous l'effet de revendications identitaires anciennes trouve, avec la cause homosexuelle, un aboutissement inédit. Il s'inscrit, de façon répétitive, à contresens des traditions de l'école républicaine, devoir d'intégration bien compris. Nul étendard juridique, « circulaires de rentrée » ou instructions officielles, ne peut masquer ce déficit.

Les crispations catégorielles sur tel ou tel titre d’une circulaire ou du socle commun sont, en définitive, à l’image d’une motivation ponctuelle, incapable de nourrir une réflexion achevée et donc efficace. Immédiatement perçues, de l’extérieur, comme l’avatar d’une revendication égoïste et donc peu légitime, elles ont peu de chance d’aboutir sinon auprès de ceux déjà gagnés à la cause. Le propre en effet, de l’entrisme communautaire est d’ignorer les motifs généraux dont procède le champ éducatif, même s’il s’en revendique, par commodités d’action. La condition d’une réappropriation positive, par les élèves, tient au contenu impersonnel des valeurs diffusées. Autrement dit, la transmission du savoir vaut par la faculté de distanciation causale de l’enseignant, qui n’est pas missionnaire dans sa classe. L’identification : valeur-cause singulière solde le message éducatif. L’édiction d’un politiquement, historiquement (et désormais sexuellement) correct, selon une typologie devenue extensive au fil des ans en vient, quant à elle, à opérer une confiscation par genre d’appartenance d’un principe universel : celui de la tolérance, clé de voûte de l’intégration. L’école en reste, à ce jour, le premier fondement, nonobstant les arguties juridiques, opportunément invoquées par voie de circulaires de rentrée ou abusivement extrapolées du « socle commun ».

CONCLUSION : la confiscation identitaire du principe de tolérance : DE COURTES VICTOIRES - LE PACTE REPUBLICAIN ENTAME

A l’opposé de tout simplisme militant, la confusion entre non discrimination et défense identitaire n’est pas de bon augure. Elle heurte, sous couvert de progrès social, au plus profond de la tradition laïque. L’éclatement du principe-support se paie de courtes victoires. A force d’orthodoxies bien-pensantes, déclinées au gré de telle ou telle fantaisie communautaire, on en vient, subrepticement mais sûrement, à dénaturer le pacte républicain tout entier. La contribution de l’école pourrait, au demeurant, se poursuivre jusqu’au terme d’une scolarité si toute communauté bafouée ou s’estimant telle, était admise à se pourvoir devant elle. D’où, encore une fois, la nécessité d’une dépersonnalisation du principe dans le champ éducatif. Sans préjudice, bien évidemment, d’un exposé des faits en lien avec la condition de telle ou telle communauté. Ce rappel appartient à l’enseignant. Il est de sa liberté propre utile, pareillement, au savoir collectif : diffuser notre culture d’intégration et non le prosélytisme communautaire.

Adrien

 

1 P. PARANT, 28 mai 2008, « La circulaire de rentrée parlera d'homophobie en classe », Disponible sur le site du magasine Têtu http://www.tetu.com.

 


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66 réactions à cet article    


  • xmen-classe4 xmen-classe4 9 juillet 2014 20:17

    es ce qu’il faut deux pilotes dans un avion ou es ce mieux d’acrocher le premier avion sur le deuxieme lors qu’il y a des popullations civils.


    • xmen-classe4 xmen-classe4 9 juillet 2014 21:20

      il faut savoir (couper les ponts)

      Charles Aznavour chante Il faut savoir 1965
      https://www.youtube.com/watch?v=AvS8acCq5nw

      • legrind legrind 9 juillet 2014 21:25

        En gros : on n’en veut pas de votre merde.


        • Adrien 9 juillet 2014 23:09

          Vous pouvez développer ?


        • Emmanuel Aguéra Emmanuel Aguéra 10 juillet 2014 01:18

          Non, il ne pourra pas. smiley Peut-être pourra-t-il vociférer un peu plus, mais il a le droit smiley
          J’ai aimé : "l’universalité sociologique du principe de liberté s’accomplit sur un mode dénégatoire - « ne pas distinguer » - plutôt qu’approbatif : énoncé limitatif de libertés positivement admises.« 
          J’ai toujours pensé, qu’à partir du moment où elle le désiraient, légiférer sur un bout de chiffon que certains, élèves, ou autres portaient sur le nez dans les écoles ou autres lieux était le contraire d’une attitude laïque et le début d’un spirale dangereuse. Nous y sommes. Je me suis fait traiter de facho, de réac, de macho, voire de fou complet. Et je ne revendique pas un mode »approbatif", comme vous dites, mais l’objective indifférence(sic : relisez le mot) que la laïcité devrait imposer à tous... las !
          Au plaisir de vous relire.


        • Emmanuel Aguéra Emmanuel Aguéra 10 juillet 2014 01:20

          « ...certAINES élèves... ».
          sry


        • arnulf arnulf 9 juillet 2014 23:15

          Moi non plus.


          • Primum non nocere Primum non nocere 10 juillet 2014 09:15

            La non-discrimination, théorique elle, n’est malheureusement pas en accord avec les réalités de terrain, d’où les actions des associations LGBTQ pour investir le champ pédagogique et inverser certaines tendances, au risque de se mettre en porte à faux. Je crois que c’est là que le bat blesse. Cette différence entre les textes de loi/circulaires/contenu et la manière dont ils s’articulent dans des réalités sociales.


            • Adrien 10 juillet 2014 13:18

              Vous avez parfaitement raison.

              Dans le même temps il semble difficile d’ouvrir l’école à toutes revendications identitaires, au simple motif qu’elles sont insuffisamment satisfaites dans la vie « réelle » : c’est la boîte de pandore (cf. pressions des communautés historiques : arméniennes, algérienne ...) confessionnelle (israélites au nom du génocide juif) ; ethnique : noire au nom du génocide généré par la traite négrière, tzigane...).

              Toutes revendications légitimes au fond mais que l’école ne peut satisfaire que dans un message rassembleur. Exemples à l’appui certes ... Mais il ne faut pas renverser la logique : disserter autour d’un exemple unique qui lésera forcément les autres communautés. L’universalité du message tient à se devoir d’abstraction du pédagogue. 

              Je n’ai pas voulu dire plus.

              Adrien


            • bakerstreet bakerstreet 10 juillet 2014 23:59

              Adrien


              Apparemment vous ne savez pas ce que c’est que l’esprit laïque, pas plus que vous ne savez ce que c’est que le sens de l’école : C’est former de jeunes personnes aux matières fondamentales, en dehors de tout endoctrinement et esprit religieux. 

              Et cette fumisterie totalitaire livre son sens et ses directions : Je suis tolérant aux différences, mais refuse que des lobbys déforment l’histoire, manipulent les consciences, en profitant de la naïveté d’esprits non construits, pour tacher de les convaincre que la terre est plate.

              Pol pot, Hitler et Mao aimaient aussi beaucoup les jeunes, et s’attachaient beaucoup à les reconstruire eux aussi......

              Au moins savons nous maintenant qui est derrière ce lobby ABCD de la connerie, pour ceux qui en doutaient : Le lobby homo tente de faire croire que les sexes, la sensibilité qui s’y attache, nimbée d’hormones, d’histoire et biologie n’existe pas, et que tout est culturel, de la même façon que leur bêtise et leur intolérance. 

              Leur sectarisme évidemment, quant on voit le miroir déformant dans lequel ils veulent regarder le monde, et forcer les autres à regarder de la même façon. 
              On en terminera jamais de la connerie, et de tous les maîtres à penser sûrs de leur fait, et de leur morgue bornée de missionnaire sûrs de leur religion !
              A peine leur avez vous coupé une tête, qu’une autre repousse quelque part. 

              Mais est ce vraiment une tête ?

              Mieux vaut en rire qu’en pleurer ! 
              D’ailleurs voilà bien un genre qui déteste la blague.....Comme tous les totalitarismes.

            • Adrien 11 juillet 2014 23:01

              A bakerstreet

              « Apparemment vous ne savez pas ce que c’est que l’esprit laïque, pas plus que vous ne savez ce que c’est que le sens de l’école : C’est former de jeunes personnes aux matières fondamentales, en dehors de tout endoctrinement et esprit religieux ». 

              Il me semblait n’avoir rien dit d’autre. J’ajoute simplement que la meilleure façon, même si vous prétendez détenir la vérité sur le sujet de la laïcité - sujet sur lequel même les spécialistes divergent mais vous saurez sans doute les réconcilier - la meilleures façon, disais-je de de les former aux matières fondamentales en dehors de tout endoctrinement et esprit religieux c’est, précisément, de s’en tenir au message laïc dans son caractère universel qui commande la traitement égalitaire de toutes obédiences philosophiques, religieuses, sexuelles ... entre lesquelles l’Etat n’a pas à prendre parti.

              Soit vous ne m’avez pas lu, soit vous ne m’avez pas compris.

              Je ne m’attarde pas à vous donner quelques créances sur ma connaissance effective du sujet que je traite : vous m’objecteriez le connaître davantage que moi, je suppose.

              Adrien


            • volpa volpa 10 juillet 2014 10:03

              Que de baratin ( je n’ai même pas put le lire ce texte) pour donner à penser qu’il y a un problème là où il n’y a rien.

              Juste envie de justifier « intellectuellement » la pratique sodomite.

              L’école çà sert peut être à autre chose, non ?.

              Si on veut l’égalité des sexes, il faudrait peut être que toutes les compétitions sportives ne différencient les partants ou les joueurs que par l’âge et de fait mélanger les femmes, hommes, transgenres, etc dans les équipes.

              Nous verrions là les résultats.

              Quand je vois les culturistes « femmes » bourrées à la testostérone et anabolisants, je débande.

              L’auteur défend son problème d’identité sexuelle en voulant en faire une norme.

              Qu’il fasse ce qu’il veut pour lui même, mais qu’il n’essaie pas d’enfumer le monde et surtout les enfants.


              • Primum non nocere Primum non nocere 10 juillet 2014 11:00

                Vous auriez sûrement mieux fait de le lire, cet article, vous auriez pu dès lors nous faire profiter d’un commentaire moins hors-sujet. Enfin, l’auteur en jugera, mais je ne l’ai pas lu tentant « d’enfumer le monde et surtout les enfants ».

                Quel est dont cet amalgame facile entre homosexualité et « pratiques sodomites » ? Elles ne leurs sont pas réservées, de souvenir, et bon nombre de couples hétérosexuels et cis-hétérosexuels s’adonnent à ce genre de pratiques. En quoi ce que les hétéros comme les LGBTQ font au lit vous concernerait-il ?

                Quant à votre remarque sur les femmes culturistes, débandez-donc, qu’en ont-elles à faire ? Elles ne le font ni pour vous, ni pour votre bon plaisir ou vos fantasmes, qu’ils soient normés ou non.


              • volpa volpa 10 juillet 2014 11:45

                Vous avez presque raison sur presque tout mais les articles sur « le genre » ont le don de m’exacerber . Ceux qui les écrivent ont des problèmes et il y a des institutions pour les prendre en charge.

                Chacun fait ce qu’il veut mais on n ’influence pas les enfants pour leur inculquer des conneries dont ils ne pensent même pas.

                L’instruction, c’est pas çà.


              • volpa volpa 10 juillet 2014 11:49

                Si j’ai bien compris le pseudo.

                Avant tout ne pas nuire.

                Les nuisances sont partout et particulièrement dans le fait de ramener toujours sur la table les mêmes sujets.

                Parlez moi plutôt de la guerre à Gaza par exemple.


              • Adrien 10 juillet 2014 13:21

                Nous sommes à peu près d’accord.

                Mais je ne le dis pas de la même façon.


              • Adrien 10 juillet 2014 13:28

                Sois vous m’avez lu et vous n’avez rien compris, sois vous ne m’avez pas lu dut tout. Affirmer que j’aurais voulu « justifier intellectuellement la pratique sodomite » est un complet contresens.

                Quelle « problème d’identité sexuelle » me prêtez-vous donc ?

                Libre à vous de partir en croisade contre la sodomie. Ce n’est ni mon propos ni le problème posé.

                Je deviens l’exutoire de vos propres phobies. je ne suis quant à moi ni homophobe ni homo. J’ai simplement ma conception de la tolérance qui ne rentre pas toujours dans le canevas officiel.

                Adrien


              • volpa volpa 10 juillet 2014 13:50

                Pour moi l’article est trop long.

                Adrien, il y a des sujets plus importants à traiter.

                Ce qui m’énerve c’est la tendance « rue 89 » à ne parler que de ce qui a trait à la sexualité.( Rue 89, Le nouvel Obs, Le Monde, Pierre BERGER, les Femen, etc). Tout un petit monde avec des buts bien avoués.

                Nous sommes d’accord pour laisser les gens se satisfaire comme ils le souhaitent dès l’instant que les plus vulnérables et influençables, car non construits, ils ne touchent pas aux jeunes.

                Ces jeunes, sont assez curieux et informés pour savoir se différencier entre eux sans passer par des névrosés.


              • marauder 10 juillet 2014 23:36

                Tu débandes ? A bin voila, tu es frustré, ca te gene, et tu veux contraindre l’autre a ton conformisme. Tant qu’a faire, debande a la vue d’une belle femme, car elle aime les hommes que tu répugnes, PIRE, elle a peut etre été touchée par un autre homme avant toi, tu imagine que l’autre gars AUSSI a ete tripoter TA copine ?

                OULALALALA, c’est horrible !!!! Revenons a l’exclusivité et a l’excision dans ce cas ....

                Mais quelle horreur
                 :(


              • Kookaburra Kookaburra 10 juillet 2014 10:37

                Bonjour Adrien. Vous aves absolument raison. Les mesures contre les préjugés sexistes à l’école sont une instrumentalisation idéologique de l’École pour inculquer une vision particulière de la société. Dans la mesure où le concept de l’école laïque implique une neutralité religieuse et politique, une telle entreprise idéologique est inadmissible. Le rôle du ministre de l’Education est plutôt de protéger l’école contre les atteintes à sa neutralité. L’Ecole laïque républicaine ne peut pas admettre que chaque majorité successive impose aux enfants sa vision du monde. La mission de l’Ecole est la transmission de la culture commune, des savoirs et des savoir-faire. En y introduisant des idéologies politiques, on ne peut que diviser et aliéner les parents.
                Le projet de Peillon de s’attaquer aux « Préjugés et stéréotypes sexistes, ancrés dans l’inconscient collectif, qui sont la source directe de discriminations et, à ce titre, doivent être combattus dès le plus jeune âge », est basé sur l’idéologie du féminisme radical. Le but annoncé est de combattre les discriminations pour assurer l’égalité entre les sexes. Mais quelles inégalités sévissent au sein de l’Ecole ? Les filles accèdent aux mêmes programmes, dans les mêmes classes et les mêmes écoles, que les garçons. En général, les filles, à tous les niveaux, réussissent mieux que les garçons. L’égalité à l’Ecole a été déjà progressivement assurée au cours du dernier demi-siècle, et aujourd‘hui elle est bien établie.
                Pas contre la morale, dans le sens des fables de Lafontaine par exemple, les vertus univeselles, le respect de l’autre, le civisme, etc. a quand même sa place à l’école, mais elle est normalement intégrée dans tout enseignement.


                • epicure 10 juillet 2014 21:56

                  L’éducation à la tolérance entre parfaitement en accord avec la laïcité.
                  La lutte contre les préjugés, ça fait partie de l’éducation. Tout comme il est possible de lutter contre les préjugés racistes à l’école.
                  Par contre dans l’école laïque les préjugés sexistes que peuvent amener certaines cultures religieuses n’ont pas leur place dans cette école.
                  Cet enseignement dépasse le cadre de la simple école, et des résultats scolaires, il s’agit avant tout de relations sociales, dans et hors écoles.

                  Ce qui ne serait pas acceptable dans l’école laïque, c’est que de la tolérance à l’homosexualité, on le travestisse en valorisation de l’homosexualité.


                • Montdragon Montdragon 10 juillet 2014 10:55

                  @Adrien, votre effort de « rédaction » est louable, d’autant plus que le mouvement de l’Histoire est à contre-sens de vos thèses.
                  Dès 2017, vous serez dans l’opposition morale et politique.
                  Je vous souhaite bon courage, à vous, à la tendance peillonniste, à la FCPE, etc...pour les 40 ans de traversée du désert qui vous attendent.


                  • Adrien 10 juillet 2014 13:34

                    Je ne sais pas quelle cette tendance « peillonniste » de la FCPE. Mais ce n’est certainement pas mon obédience politique.

                    En revanche effectivement, je m’inscris à contre-courant de l’évolution actuelle tout en revendiquant une complète tolérance, assumée selon un autre discours que le discours de la bien-pensance instituée.

                    C’est la raison sans doute pour laquelle cet article a été refusé dans tous les journaux de la presse auxquels je me suis adressé ainsi que dans les revues spécialisées (alors que mes articles plus techniques passent plus facilement) ...

                    L’uniformité de penser est dans la censure des point de vue hétérodoxes.

                    Adrien


                  • bakerstreet bakerstreet 11 juillet 2014 12:42

                    Adrien


                    Vous faites partie de la même obédience, qui dans les années 70, ( tel Tony Duvert) ont tenté dans les années 70, de « dédramatiser » la pédophilie, et même de la faire passer comme une demande naturelle des enfants vis à vis des adultes. 
                    Oui, ces gens ont existé. On les invitait sur les plateaux. Ils présentaient calmement leurs idées, cherchant à convaincre, s’en prenant aux réac.... ;

                  • Aldous Aldous 10 juillet 2014 12:43

                    On ne bâti pas une société saine sur la revendication la reconnaissance sociale de ses névroses.


                    • Pere Plexe Pere Plexe 10 juillet 2014 18:45

                      C’est vrai.

                      Mais la névrose est à chercher chez ceux qui fantasme les pires cauchemars et prophétisent l’apocalypse.

                    • epicure 10 juillet 2014 21:59

                      c’est vrai une société saine ne peut aps se bâtir sur les revendications des névrosés qui sont obsédés par le sexe au point d’assimiler l’homosexualité à la sodomie dans chacune de leur conversation. Qui renvoie à l’homosexualité dés qu’on parle d’égalité homme femme etc....


                    • bakerstreet bakerstreet 10 juillet 2014 13:29

                      Que chacun défendre son petit fond de commerce, avec sensibilisation des enfants au droit pour chacun de porter des rangers militaires pour les filles, et des chaussures à talons pour les garçons, et que restera t’il pour parler du fondamental, au niveau du temps, qu’on a un peu oublié !


                      D’abord forgé les esprits des enfants en les sauvegardant des lobbys, et des maîtres penseurs, qui profitent abusivement de leur age tendre pour les manipuler !

                      Je crois rêver quand j’entends parler de cette théorie fumeuse des genres, rebaptisé ABC pour l’égalité, pour faire plus propre sur elle, et plus louable dans ses intentions...Hitler avait repeint son carrosse fasciste en « national socialiste » aussi. 

                      On appelera « réactionnaires », les esprits libres qui s’opposent. 
                      Orwell avait plus ou moins prédit ces choses, cette falsification de mots comme cache-sexe....Mais duquel s’agit il ici ?Sans doute celui de la bêtise, le plus commun !


                      • volpa volpa 10 juillet 2014 13:55

                        Bien parlé ou bien écrit.

                        Certains ou beaucoup se méprennent sur le sens de « liberté ».

                        La liberté s’acquiert par la connaissance et il faut faire un travail pour çà.

                        Comme dit Dutronc « On nous cache tout et on etc » Cherchez la chanson vous même.


                      • Pere Plexe Pere Plexe 10 juillet 2014 17:56

                        Passer du temps à apprendre la tolérance et les bases du vivre ensemble est au moins aussi important que de connaitre les méandres abscons de l’accord du participe passé...


                      • Aldous Aldous 10 juillet 2014 14:43
                        Pour étouffer par avance toute révolte, il ne faut pas s’y prendre de manière violente. Il suffit de créer un conditionnement collectif si puissant que l’idée même de révolte ne viendra même plus à l’esprit des autres. L’idéal serait de formater les individus dès la naissance en limitant leurs aptitudes biologiques innées. 
                        Ensuite, on poursuivrait le conditionnement en réduisant de manière 
                        drastique l’éducation, pour la ramener à une forme d’insertion professionnelle. 
                        Un individu inculte n’a qu’un horizon de pensée limitée, et plus sa pensée est bornée à des préoccupations médiocres, moins il peut se révolter. 
                        Il faut faire en sorte que l’accès au savoir devienne de plus en plus difficile et élitiste. Que le fossé se creuse entre le peuple et la science, que l’information destinée au grand public soit anesthésiée de tout contenu à caractère subversif. 
                        Surtout pas de philosophie. Là encore il faut user de persuasion et non de violence directe : on diffusera massivement, via la télévision, des informations et des divertissements flattant toujours l’émotionnel ou l’instinctif. 
                        On occupera les esprits avec ce qui est futile et ludique. Il est bon, dans un bavardage et une musique incessante, d’empêcher l’esprit de penser. 
                        On mettra la sexualité au premier rang des intérêts humains. Comme tranquillisant sociale, il n’y a rien de mieux. 
                        En général, on fera en sorte de bannir le sérieux de l’existence, de tourner en dérision tout ce qui a une valeur élevée, d’entretenir une constante apologie de la légèreté : de sorte que l’euphorie de la publicité devienne le standard du bonheur humain est le modèle de la liberté.

                        Aldous Huxley

                        • Aldous Aldous 10 juillet 2014 15:12

                          Ce qui se traduit par ce programme officiellement publié par les loges maçonniques :



                          In extenso :

                          Un genre androgyne

                          Depuis qu’il existe, l’être humain se manifeste à travers le genre masculin et le genre féminin, qui incluent respectivement les hommes et les femmes. De nos jours encore, ces deux genres sont très marqués sur le plan psychologique, en ce sens qu’il y a des façons de penser et de ressentir plutôt masculines, et d’autres plutôt féminines. Sous l’effet de l’évolu- tion, les hommes et les femmes en viendront à vivre au diapason de pensées et d’émotions communes. Autrement dit, ce que Jung désignait sous les mots « animus » et « anima » s’équili- brera à travers un genre androgyne. Précisons que cet androgynat n’aura rien d’anatomique, car aussi longtemps qu’ils vivront sur Terre, les hommes seront de sexe masculin et les fem- mes de sexe féminin. 


                          Le tout afin de retirer aux couples la fonction procréatrice et d’en faire un produit, voire un monopole des multinationales d’ici 50 ans vu la baisse constante de la fertilité masculine. Louer son utérus ou ses bras... quelle différence, hein, nous explique Pierre Bergé, homo, ’’socialiste’’, ’’progressiste’’ et patron de presse.


                          Les autres « objectifs » tout aussi totalitaires : 

                          Gouvernement unique mondial avec langue unique, culture unique, monnaie unique, religion unique, morale unique... Le meilleur des mondes.

                          Comme disait Huxley, c’est le projet d’une société d’esclaves acculturés, asexués, ignorant de leur propre ignorance, amoureux de leur servitude car elle les divertit.




                        • Pere Plexe Pere Plexe 10 juillet 2014 18:16

                          Parler de « conditionnement collectif  » et reprendre l’argumentaire fallacieux des mouvances religieuses ...vous oser tout ! 


                        • Pere Plexe Pere Plexe 10 juillet 2014 18:21

                          ...et les Rose-Croix ont plus à voir avec une secte chrétienne qu’avec les francs maçons !


                        • bakerstreet bakerstreet 11 juillet 2014 00:26

                          Bien vu aldous !


                        • Beauceron Jehan De Beauce 10 juillet 2014 17:13

                          Il est impossible d’aborder la question dans une école de quartier populaire ; dans ces milieux l’inversion reste, et restera, une honte et une perversion. On ne change pas les gens par des lois, mais par des habitudes... ce que ne comprennent pas les bobos invertis de Paris 4ème, cantonnés à leur quartier de rentiers cloisonnés. L’homosexualité est un luxe de classe sociale favorisée, rien d’autre.


                          • Pere Plexe Pere Plexe 10 juillet 2014 18:09

                            ...c’est presque aussi intelligent que la caricature que le patronat et la bourgeoisie du 19 eme faisait du salariat.



                          • Beauceron Jehan De Beauce 10 juillet 2014 19:02

                            Il y a décidement des vérités qui blessent et un refus d’admettre la réalité chez beaucoup de gens...


                          • epicure 10 juillet 2014 22:08

                            l’homosexualité n’a pas de classe sociale.
                            C’est juste que les bourgeois ont plus de facilité pour le pratiquer plus librement que les ouvriers travaillant dans un milieu viril avec toutes les contraintes sociales que cela implique.


                          • paulau 10 juillet 2014 19:23
                            « Madame, elle a souillé mon âme… »

                            Voici la lettre écrite par une femme au maire de sa commune, ayant récupéré une classe d’enfants de CM2 après l’intervention d’une personne militante LGBT


                            • bakerstreet bakerstreet 11 juillet 2014 00:17

                              Pour moi, ces militants idéologiques ABC....s’apparentent à des pédophiles de l’âme, dans le sens où ils abusent de la naïveté des enfants, pour les déconstruire : L’enfant se construit en assimilant lentement les modèles qui se développent autour de lui, en les reproduisant, en les jouant à sa façon pour les appréhender, les critiquer.....


                              Une lente élaboration personnelle qui se joue avec son développement physiologique, pris dans cette stimulation des hormones...L’inné, en quelque sorte, qui jouant avec les modèles familiaux et sociétaux et culturels, va faire de lui ce qu’il est.....
                              .
                              Ah oui, vraiment, ça n’étonnera personne que vous vous intéressiez avant tout aux petits, avant six ans, où tout se joue. Pourquoi n’essayez vous pas plutôt d’endoctriner les classes de philo ?

                              Lenteur, souplesse, retour en arrière, élan, modèle, amour....
                              Voilà les mots clés signifiants qui font sens, et qui ont fait sens pendant des siècles, jusqu’au moment où ces militants profitant d’un creux de l’histoire, et d’un raison égarée, ( et manipulée par les lobbys à leur pied, ou de même obédience) nous tombe sur le dos, nous demande des comptes en se masturbant les neurones...
                              .Freud, la psychologie infantile, ils en ont rien à foutre, tout comme Hitler se foutait de l’humanisme, pour prôner son culte religieux de l’homme nouveau, affranchi de l’histoire qu’on tordait, avant de faire la même chose aux hommes.....

                              Vous êtes petits et dangereux c’est vrai, par rapport à ces maîtres qui vous tiennent en laisse. ..
                              Vous prenez vos vessies pour des lanternes, dans le premier sens du terme !

                              Vous me répugnez !

                            • tf1Groupie 13 juillet 2014 13:13

                              Très drôle : cette dame qui se plaint d’une militante LGBT fait elle-même des « interventions catholiques » dans les écoles primaires (étonnant !) et râle contre l’éducation sexuelle...

                              Bref une extremiste qui se plaint d’une autre extrémiste.

                              Et au milieu de ça les gens normaux et raisonnables qui en ont marre d’être pris en sandwich entre les fanatiques religieux et les fanatiques LGBT.


                            • 雛罌粟 雛罌粟 25 juillet 2014 20:44

                              paulau : « Voici la lettre écrite par [bla-bla] »


                              Merci, j’ai bien ri !
                              (Avec les baltringues de la Manif Pour Tous — & autres anti-djendeur — on pense qu’on a fini par atteindre le fond, mais non, ils peuvent encore faire mieux…)

                            • xmen-classe4 xmen-classe4 11 juillet 2014 00:41

                              Le pauvre Vanesque qui s’est fait virer de l’ump.
                              On dirai que copé est passé sur tout les vieux les a bousculé et a fait tombé la trésorerie.

                              et le pere de famille va voter ump parce que sa femme reste avec lui et que ses enfants sont plus con que la cgt...


                              • Ruut Ruut 11 juillet 2014 10:33

                                Reconnaître les différence est le premier pas vers leurs acceptations, les nier c’est au contraire, le premier pas vers l’exclusion.


                                • epicure 11 juillet 2014 20:51

                                  C’est l’indifférence aux différences qui permet l’acceptation de l’autre au lieu de sa stigmatisation.
                                  Pour exclure, il faut avant tout stigmatiser, donc reconnaitre la différence.

                                  L’état laïque en reconnait aucune religion ou opinion religieuse, c’est elle qui permet d’accepter tout le monde.
                                  A l’inverse le processus de reconnaissance des différences est la porte ouverte à toutes les exclusion, par exemple les différences et singularités qui ne seraient pas reconnues et ne bénéficieraient pas des privilèges accordées aux différences reconnues. Ou au contraire la reconnaissance d’une différence sert à l’exclusion de gens porteurs de cette différence .
                                  Le meilleur exemple c’est la non reconnaissance, et l’interdiction de cette reconnaissance , des races par la législation française, ce qui fait qu’il ne peut y avoir d’exclusion, de discrimination raciale sur des bases légales. Au contraire des états-unis qui pendant longtemps ont pu être terre de dsicrimination raciale parce que justement les gens définis par des différences artificielles.

                                  Pour exclure les juifs, les nazis ont dû avant tout reconnaitre la différence juive, en alignant plein de préjugés, et réduite les gens identifiés à ces préjugés à cette identité reconnue.
                                  Pour être exclues socialement et réduites à des sous êtres, les femmes dans les sociétés sexistes doivent être reconnues et réduites à leur identité de femme.


                                • ahtupic ahtupic 11 juillet 2014 21:09

                                  Bravo Epicure
                                  Les nazis auraient été vachement content de voir le genre sur les papiers d’identité ou dans des fichiers informatique.
                                  Tiens, vous êtes homo ? C’est marqué. Eh bien on va vous payer des vacances .... dans un camp.


                                • Adrien 11 juillet 2014 22:51

                                  Il n’a jamais été question de « nier les différences », cette tarte à la crème de la bonne morale.

                                  Au demeurant chacun peut se targuer d’une différence par rapport à l’autre (les homos par rapport aux hétéros et réciproquement, les noirs par rapport aux blancs et réciproquement ...).

                                  Le problème n’est pas tant dans le rejet de la « différence », exprimée dans l’abstrait, mais dans le rejet de certaines minorités. Je dis que la meilleure façon de lutter contre ce rejet n’est pas la promotion des singularités mais leur intégration dans un message universel : celui de la tolérance laïque.

                                  Vous pouvez me contredire. Mais au moins prenez ce point de vue pour ce qu’il veut dire.

                                  Adrien


                                • epicure 12 juillet 2014 04:18

                                  @Par ahtupic (---.---.85.13) 11 juillet 21:09 

                                  Pas besoin de papier, il leur suffisait de le mettre sur l’uniforme des camps et dans les camps pas de papiers....

                                  Aller tu peux essayer encore.....
                                  Mais reviens avec quelque chose de plus clair et argumenté.... si ton message était sensé vouloir dire quelque chose de précis par rapport à la discution avec ruut.


                                • Pere Plexe Pere Plexe 13 juillet 2014 12:58

                                  Comme nombres de bouses de ce genre l’article s’appuie sur de gros mensonges présentés comme des faits.

                                  A commencer par le titre puisque jamais le discours idéologique qui suit n’est étayé par des articles de lois.

                                  Ensuite vient la présentation des luttes contre les discriminations qui seraient des « revendications catégorielles ».Pourquoi pas aussi la lutte contre le racisme ? 

                                  Mieux ses revendications sont « contraires à l’esprit comme à la lettre des textes fondateurs de la laïcité. »Jolie inversion des réalités de la part des relais de Civitas, qui seraient les vrais défenseurs de la laïcité.Il fallait osé !

                                  Suit des affirmations du type « modéliser les comportements sexuels » là ou il n’est question que de savoir qu’ils existent et ne sont en rien répréhensible.La vraie « modelisation sexuelle » est à chercher chez ceux qui ne reconnaissent qu’un type de sexualité à but reproductif et dans le cadre restrictif du mariage.


                                  • Adrien 13 juillet 2014 21:49

                                    Je passe sur le ton de votre intervention injurieuse sur la forme (« bouses ») et bornée sur le fond :

                                    Me voilà désigné en suppôt de Civitas et pourquoi pas non plus en intégriste de l’Eglise romaine apostolique ?

                                    Toute cela parce que j’ai le front de ne pas penser comme vous que l’école est le lieu d’expression des luttes catégorielles : sexuelle, religieuses et autres ...

                                    De l’affirmer, vous me situez immédiatement dans le camp de ceux qui « ne reconnaissent qu’un type de sexualité à but reproductif et dans le cadre du mariage ». Ce n’est pas l’objet. La sexualité annale des homos entre eux, buccale des femmes entre elles, s’il faut être explicite, ne me dérangent aucunement . J’affirme simplement, effectivement, que l’école n’est pas le lieu du combat pour l’émancipation homo, des catégories religieuses ou autres. Ce que vous ne pouvez solder en « un rejet de l’autre ». Bien au contraire : le message universel de la laïcité (indistinction des genres et appartenances de tous ordres) situe chacun à égalité de droits. Car les homos, les juifs, les noirs et tous ceux-là en même temps n’ont pas à être discriminés à raison de leur appartenance. Cela doit découler de l’universalité du pacte républicain dont la laïcité est l’expression directe.

                                    Avant d’invectiver sur le terrain du droit, garantissez vous de ne pas écrire d’ânerie : à titre d’exemple, la convention de 1950 à une force supérieure aux lois puisqu’il s’agit d’un texte de droit international ... ; l’article L. 912-1 du code de l’éducation est quant à lui issu d’une loi (« L » comme loi dans la légistique, D comme « décret » simple et « R » comme décret en Conseil d’Etat) ; les circulaires ministérielles que je cite sont redevables de ces textes et je ne pouvais en un article assez court, démultiplier les citations de textes juridiques ... Mais je suppose que vous les connaissez déjà tous.

                                    La « modélisation » infantile est dans la volonté d’imposer aux enfants un modèle de tolérance qui promeut des causes identitaires au lieu de ce message universel. Je n’entre pas dans le débat sur « la construction » de l’enfant qui a besoin, selon certains experts, d’un modèle bipolaire : père-mère : je ne suis pas suffisamment expert du domaine et ne m’y risque pas. Mais je suppose que là aussi vous avez des lumières à faire valoir.

                                    Votre réaction illustre, précisément, une revendication catégorielle, intransigeante et belliqueuse qui ne me semble pas avoir sa place dans l’école. Elle me conforte dans l’idée que la vraie tolérance est ailleurs. Et l’affirmer ne fait pas de moi un soutien de la papauté ou de je ne sais quelle confrérie, nonobstant vos schémas manichéens.

                                    La lutte contre le racisme n’est pas une revendication catégorielle. Et savez-vous pourquoi ? Parce qu’elle ne se solde pas dans la défense des juifs, des noirs ou des jaunes ... Cette lutte est partie prenante de toutes ces catégories à la fois. A la différence de la thèse univoque que vous défendez. Pour autant, l’école doit-elle se dédoubler et devenir la succursale du MRAP ou de la LDH ? Non. Et le dire n’est pas encore une fois faire injure à la diversité des couleurs humaines - très bénéfique, s’il faut que cela soit dit ... A chacun son rôle. En faisant passer le message républicain et laïc l’institution scolaire est dans son rôle ...

                                    En un mot : on peut ne pas être d’accord. Vous êtes dans l’invective, les procès d’intention, la caricature et l’insulte car vous êtes, précisément, fait et cause pour la revendication homo. C’est votre droit. Comme le mien de vouloir concilier tolérance et respect de l’éthique républicaine. En d’autres termes que vous ne le faites.


                                  • Pere Plexe Pere Plexe 14 juillet 2014 11:54

                                    Le problème n’est pas vos opinions.

                                    C’est la manière dont vous tordez la réalité pour la faire coller à vos convictions !

                                  • Pere Plexe Pere Plexe 14 juillet 2014 12:02

                                    la laïcité situe chacun à égalité de droits.

                                    Mais seuls les stéréotypes « hétéro machiste »ont le droit d’être enseignés !

                                  • Pere Plexe Pere Plexe 14 juillet 2014 12:09

                                    La « modélisation » infantile est dans la volonté d’imposer aux enfants un modèle de tolérance

                                    Quelle horreur !
                                    Sinon le sens de la phrase est bien qu’on impose le droit d’avoir le choix.. ?Là ou vous souhaitez imposer sans choix (c’est un peu le principe d’imposer...)

                                  • Pere Plexe Pere Plexe 14 juillet 2014 12:21

                                    la Convention de sauvegarde des droits de l’Homme et des Libertés fondamentales du 4 novembre 1950 article 14

                                    La jouissance des droits et libertés reconnus dans la présente Convention doit être assurée, sans distinction aucune, fondée notamment sur le sexe, la race, la couleur, la langue, la religion, les opinions politiques ou toutes autres opinions, l’origine nationale ou sociale, l’appartenance à une minorité nationale, la fortune, la naissance ou toute autre situation.
                                    n’empêche en rien l’éducation à la tolérance et notamment à la tolérance sexuelle !
                                    De la même manière que l’éducation à la tolérance religieuse n’entre pas en contradiction avec ce texte.De la même manier que l’on peut évoquer la religion juive on peu parler de l’homosexualité.

                                  • Pere Plexe Pere Plexe 14 juillet 2014 12:28

                                    Votre réaction illustre, précisément, une revendication catégorielle,

                                    Non ! La revendication catégorielle est celle qui vise à empêcher de lutter contre les préjugés,contre les inégalités au nom d’un prétendu et intangible ordre des choses...pour ne pas dire ordre divin !
                                    Parler de sexualité, et d’homosexualité et des préjugés qui leurs sont liés ce n’est faire le jeu d’une catégorie .C’est éduquer. 

                                  • Pere Plexe Pere Plexe 14 juillet 2014 12:31

                                    La lutte contre le racisme n’est pas une revendication catégorielle. parce qu’elle ne se solde pas dans la défense des juifs, des noirs ou des jaunes .

                                    De la même manière que la lutte contre les préjugés ne concerne pas uniquement les garçons ou les filles les homos ou les hétéros. 

                                  • Adrien 15 juillet 2014 00:56

                                    Vous repartez sur vos dadas !

                                    « Stéréotypes hétéros » ou pas, est-ce à l’école de mener croisade contre ces stéréotypes ? la maître doit-il être missionné pour complaire la revendication catégorielle des homos qui ne s’y reconnaissent pas ? Si elle doit lutter contre tous les conformismes alors il ne faut plus lire « la Belle au bois dormant » mais le « Beau au bois dormant » ... et « les deux papas (ou les deux mamans) furent heureux(se) et ils adoptèrent beaucoup d’enfants » ... ; ensuite il faut lutter contre les stéréotypes judéo-chrétien au nom de la diversité religieuse ; il faut lutter de la même façon contre l’hégémonie du modèle libéral dans les représentations scolaires et des tas d’autres choses encore. Or l’école ne peut qu’éduquer à une chose pour se prémunir contre tous ces avatars de l’idéologie dominante : le sens critique, meilleure garantie contre la domestication des consciences. Votre antidote à vous est une rééducation de la conscience infantile ... Au gré de chaque revendication des uns et des autres : pire que les démons contre lesquels vous voulez lutter ... Vous ne ferez qu’exciter les divisions car vous ne rallierez que votre propre obédience ...


                                  • Adrien 15 juillet 2014 01:07
                                    Sur l’interprétation de la Convention, pardon mais je crois que vous êtes encore à côté de la plaque :

                                    Bien évidemment qu’ « elle n’empêche en rien l’éducation à la tolérance et notamment à la tolérance sexuelle » La Palisse n’aurai pas dit mieux. Bien sûr que la tolérance s’applique à toute communauté : juive ou homo notamment ... Là n’est pas le problème.
                                    Je soulignais une autre idée : la proclamation des droits, dans la tradition républicaine s’effectue sur le mode de l’indiscrimination  : ce ne sont pas des communautés singulières d’individus que défend le principe républicain (homo puisque telle est votre cause, juifs, noirs ...) : c’est l’idée de citoyenneté qui porte à les traiter tous à égalité. un homo ne doit pas ses droits à la reconnaissance de son homosexualité dont n’a que faire la loi par nature « générale et impersonnelle » : il la doit à un motif supérieur : l’indifférence de la règle universel aux pratiques sexuelles, aux couleurs de peu etc. Vous saisissez ?

                                  • christophe nicolas christophe nicolas 13 juillet 2014 16:48

                                    Et les nazi, les pédophilies, les violeurs, les sadiques, les masochistes, les fétichistes, etc.... etc.... ils ont le droit d’éduquer les enfants ? La tolérance va jusqu’où ? Parce qu’on peut tout imaginer...

                                     
                                    C’est d’abord aux parents de décider et les parents ne sont pas homos... L’éducation nationale ferait mieux de se désenfumer le cerveau de ses délires village people. D’ailleurs le plupart des enseignants sont à mille lieues de ces délires ministériels.
                                     
                                    Il faut être cool mais pas con. Dieu existe, on a des preuves alors il ne faut pas sacrifier l’éternité à 30 ans de délire.


                                    • epicure 13 juillet 2014 19:25

                                      dieu est une construction humaine qui s’est faite sur des millénaires, avec des divergences, des influences à droite, à gauche.
                                      Rien que dans la bible la vision divine évolue en fonction des livres, ce qui démontre l’aspect construction humaine de al chose.
                                      Ce qui est présenté comme dieu en début de la bible n’est pas pareil que ce qu’il y a dans le nouveau testament. Dan les premiers textes on nous présente un être plein de défauts trés humains, qui n’en font ni un être infiniment bon, ni un être parfait, et à la fin le soit disant même dieu devient infiniment bon, infiniment parfait etc...

                                      Et puis quel dieu ?
                                      dans quelle vision : polythéiste, hénothéiste, monolâtrie ou monothéisme. Selon les religion, ou les passages des textes sacrés la réponse n’est pas la même.

                                      Bref ce que tu affirmes qui existe n’est même pas assez déterminé, pour qu’on puisse réellement affirmer que ça existe.

                                      Quand à l’orientation sexuelle personne ne décide, c’est un ressenti propre à chacun, vos discours normatifs n’y changeront rien. D’ailleurs indépendamment des cultures il y a eu toujours des homosexuels, la seule différence entre les cultures, civilisation vient du fait de la possibilité de l’exprimer sans se faire opprimer, sans subir de pression sociale violente.

                                      Personne ne se réveille un matin en se disant : « tiens je vais être hétéro » ou « tiens je vais être homo », les gens constatent simplement leur orientation sexuelle à un certain âge.

                                      Par exemple quand un gamin pense que les filles c’est pas marrant pour jouer, mais qu’il se met à ressentir quelque chose pour une fille de sa classe, de son école qui va l’amener à chercher à avoir une relation spéciale ( dénuée d’intention sexuelle à son âge ) avec elle, en y ajoutant en plus tous le clichés des grands , ce n’est pas du domaine de l’éducatin parentale parce que personne ne l’a incité à s’intéresser à cette fille en particulier. Il est hétéro (ou au pire bi) sans l’avoir demandé, réfléchi.
                                      Il en est de même pour les enfants homos, mais en général c’est plutôt vers l’adolescence, si je ne me trompe pas, qu’ils réalisent ce qu’ils sont.


                                    • Pere Plexe Pere Plexe 13 juillet 2014 19:58

                                      Votre intervention est paradoxale qui affirme « C’est d’abord aux parents de décider »

                                      alors même que vous énumérez des tas de types (nazi, les pédophilies, les violeurs,...) qui manifestement n’en sont pas dignes.  
                                      Ensuite votre « C’est d’abord aux parents de décider »peut aussi légitimer la position de l’EN en ce sens que la majorité des parents est pour la lutte contre les discriminations.
                                      Quand à vos preuves de l’existence de Dieu,(je ne vois pas trop le rapport...) elles sont à la hauteur de votre logique : irrecevables..


                                    • 雛罌粟 雛罌粟 25 juillet 2014 20:58

                                      christophe nicolas : « Dieu existe, on a des preuves ».


                                      Et quelles preuves !
                                      Percutantes.
                                      Du coup je cesse immédiatement d’être athée !
                                      (Naaan, je déconne…)

                                      Dites, Adrien, ça vous fait quoi d’avoir le soutien d’un philosophe du calibre de christophe nicolas… ?

                                    • Abdu Abdu 15 juillet 2014 04:52

                                      Que le fait homosexuel soit enseigné à l’école, soit.
                                      Comme tout fait.
                                      C’est à dire à hauteur de son importance.

                                      Bref, il n’y a aucune raison d’en faire un plat ou des tartines devant l’ensemble des savoirs a acquérir. 5 mn dans la scolarité ? dont 2 concernant l’humain ?

                                      Je me souviens des discussions lors de la mise en place de cours d’éducation sexuelle (ça existe encore ?). Bref, en tant qu’enfant, notre réaction n’était-elle pas le désespoir face à une place de plus dans un emploi du temps dans lequel nous cherchions désespérément les espaces de liberté pour respirer un peu (et finalement apprendre de la vie...) ?


                                      • 雛罌粟 雛罌粟 25 juillet 2014 20:20

                                        « il ne s’agit pas seulement de

                                        prohiber les discriminations mais
                                        de modéliser [sic… modeler, peut-être ?]
                                        les comportements sexuels »

                                        Ça commence fort !
                                        (Et pour moi ça se termine là.)
                                        Encore un énième pamphlet poussif de paranoïaque, apparemment.

                                        Farida B., sors de ce corps !

                                        • Adrien 26 juillet 2014 10:24

                                          Il est étonnant que vous fustigiez un propos que vous ne vous êtes pas seulement donné la peine d’appréhender (cf. « pour moi ça se termine là »). A moins que vous ne vouliez parlé ainsi de vos facultés de compréhension. Me faire procès ensuite du soutien d’un esprit religieux (cf. Christophe Nicolas) pour déjuger une opinion que vous n’avez pas lue procède de la même mauvaise foi intellectuelle : c’est un peu comme si, de votre point de vue, je vous faisais procès du soutien d’excités d’extrême gauche dans les manifs de soutien aux mariages homos, réduisant ainsi votre point de vue à une excitation généralisée ...

                                          Je ne suis pas otage de ce que les uns et les autres peuvent dire ni d’au nom de quoi ils le disent.

                                          Sur le fond : non « modéliser » c’est-à-dire « établir sous forme de modèle » (cf. Robert) « au motif allégué de tolérance » ne me rend pas paranoïaque. Vous n’êtes quant à vous non pas dans le pamphlet mais dans raccourci comme beaucoup d’esprits fiévreux sur tous ces sujets que je m’efforce d’aborder avec un minimum de mise à distance.

                                          Ensuite, il ne suffit pas d’afficher son dédain pour démontrer la vacuité d’un propos ni la supériorité auto-postulée de votre pensée. C’est ce que vous faites et il se peut que votre argumentaire s’arrête là. En réponse à votre anathème habituel qui voudrait que toute alternative à la bien-pensance dominante (sur le mode de la tolérance déclinée par genre au sein de l’école : homo, minorités politiques, ethniques, religieuses ...) soit le fait de cerveaux possédé par une religiosité obtue (« sors de ce corps »), je vous réponds que je suis athée et que je conçois la ¨tolérance laïque dont vous semblez avoir une connaissance assez rudimentaire, comme un universalisme.

                                          Ainsi, si vous étiez donné la peine de me lire, vous auriez pu constater que cette préconisation n’est pas un acte de « foi anti-homo » (cela ferait trop plaisir aux tenants d’une bonne conscience telle que la vôtre) mais, simplement une volonté de renouvellement dans la déclinaison de la tolérance : « ne pas modéliser », effectivement, les cerveaux infantiles au respect du fait homo (ce qui revient en fait à modéliser effectivement leurs comportements sexuels) mais bien plutôt à la tolérance sous la forme d’ « indiscrimination » entre tous genres d’inclinations philosophiques, religieux ... ou sexuels.

                                          Mon propos « commence et s’arrête là ».

                                          Votre anathème jeté sur ce que vous n’avez pas lu illustre surtout, permettez moi de vous le dire, un esprit blindé de certitudes et incapable d’appréhender un quelconque renouvellement de son point de vue.

                                          Vous ne faites pas, de ce point de vue, exception à beaucoup de contributeurs sur le sujet dans un sens ou dans un autre.

                                          Adrien

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