Les monopôles magnétiques
Le « monopôle magnétique », une révolution scientifique ratée et occultée, pourtant faite de tant de promesses pour rendre le monde meilleur. La science est politique, et la politique c'est la lutte pour la défense d'intérêts particuliers, au détriment du bien commun. Dans cet article vous découvrirez l'essentiel de ce qu'il faut savoir à propos des « monopôles magnétiques » et de ses conséquences ; résolution de la crise énergétique, transmutations biologiques et fusion froide. Une autre science est possible.
Où en est-on aujourd’hui dans le domaine de la recherche fondamentale en physique ? Le boson de Higgs a-t-il définitivement clos toute nouvelle piste ? La vraie question ne serait elle pas plutôt ; quand avons-nous laissé le système enkyster la science et la recherche ? Jeune, nous avons tous cru ce que les plus anciens nous disaient ; « l’ère moderne c’est le triomphe de la science et de la raison ». Et puis l’on découvre la société du spectacle et le jeu du marché, rien n’y échappe, elle s’étend dans des domaines que l’on aurait pu croire protégés par la démocratie et par la république, jusqu’à notre propre personne, nous sommes dans une matrice. L’homme descend toujours du singe, la surface de la terre doit ses côtes à la dérive des continents, nous pensons avec nos neurones et nous mourrons avec elle, bref nous sommes fait pour croire et pour consommer, le plus vite possible avant notre propre fin.
C’est en sciences comme en politique, il y a la face visible, et la face cachée. On nous cache tout et on nous gâche tout. Les sciences nucléaires qu’on su développer nos prestigieux chercheurs que sont Raymond Poincaré, Louis de Broglie et Georges Lochak n’ont pas les faveurs médiatiques. On leurs préfère Albert Einstein, le grand génie du XXème siècle, auquel on doit reconnaitre tout de même un souci certain de faire le bien, au vu de ses prises de positions politiques et malgré sa contribution à l'invention d'une arme terrible. Au perron de l’information populaire on a systématiquement affaire à Etienne Klein, sorti des réseaux du CEA et invité récurent des émissions de vulgarisation scientifique, sur la question du temps bien souvent, un temps en boucle qui toujours se répète. Jacques Testard lui jamais on ne l’entend, on n’entend pas les voies discordantes sur les abus de l’usage des biotechnologies et des techniques de procréation assistée, on n’entend pas ceux qui réclament plus de démocratie et de transparence, en science autant qu’en politique. Un contestataire et un complotiste encore sans doute ? Jusqu’à quand cela va-t-il durer ?
Georges Lochak est un grand physicien français, élève de Louis de Broglie il théorise l’existence d’une particule dénommée « monopôle magnétique ». Cette particule serait l’équivalent de l’électron pour le magnétisme, la particule même du magnétisme, agissant plus par ses mouvements rotatoires plutôt que selon des trajectoires linéaires, cas de l’électron. Selon Georges Lochak, le « monopôle magnétique » est un neutrino dont l’existence découle des équations, ce qu’il démontre par ses travaux théoriques de haut niveau. Les équations dont il s’agit sont celles là mêmes qui font le modèle standard en physique des particules, validées notamment par la découverte du boson de Higgs.
En outre ce que ces écritures mathématiques décrivent sont justement ce que des chercheurs russes ont observé dans certaines de leurs expériences, datant de 1998. Elles se sont déroulées à l’Institut Kurtchatov de Moscou sous la direction de Léonid Urutskoiev, le plus important centre de recherche nucléaire russe. Qui a entendu parler de tout ceci ? Devons nous être si fâchés avec le terrible ours russe qu’il ne faille rien dire de ce qui s’y passe, ni des opportunités de collaboration que l’on néglige ou que l’on occulte, ni non plus des applications qui en découleraient si l’on se donnait la peine de se dégager des influences lobbyistes de système, puisque c’est la seule raison que l’on puisse y trouver, sans compter en outre les terrifiants enjeux militaires.
Ce « monopôle magnétique » possède des pouvoirs insoupçonnés, un secret bien gardé. Dans leurs premiers travaux les chercheurs russes sont surtout intéressés à comprendre l’accident de Tchernobyl. Pour le grand public l’accident est surtout dû à la faillite du système soviétique, et au caractère des russes, qui voudrait que l’on ne parte pas au travail sans une prendre une gorgée de vodka, un peuple de brutes en somme. C’est bien peu d’honneur fait à la grandeur de la recherche russe. Pour l’équipe de Léonid Urutskoiev, le réacteur atomique aurait déraillé du fait de l’arrivée massive des dites particules dans le cœur du réacteur, ayant entrainé alors son déraillement par des effets liés aux interactions faibles, plutôt que fortes, ce sont ces dernières que l’on invoque habituellement pour expliquer la fission nucléaire contrôlée. Mais là, rien ne fût contrôlé, c’est bien le souci, et c'est peut être la raison du silence maintenu autour de cette affaire. Car nous avons cinquante deux réacteurs en France.
Pour Georges Lochak, qui a beaucoup collaboré avec ces physiciens, il y aurait aussi lieu de reconsidérer l’accident d’AZF Toulouse à la lumière de ce phénomène. D’autant que les russes surent reproduire la mise à feu à distance de l’ammonitrate, la substance stocké et cause de l’accident du site toulousain, à l’aide des dispositifs qu’ils ont mis au point pour l’étude des « monopôles magnétiques ». Plus encore, Georges Lochak évoque des applications des plus intéressantes, telles que par exemple la possibilité d’aider ITER à accomplir ses réactions de fusion en faisant intervenir les interactions faibles en usant de « monopôles magnétiques », permettant ainsi de baisser la température de fonctionnement du tore de la machine. Il faut dire qu’avec une température prévue de 200 millions de degrés, on fait tout de même plus de treize fois ce que fait le soleil, au dessus c’est l’soleil donc. Jean Pierre Petit est intarissable de critiques à ce propos.
Georges Lochak va jusqu’à considérer qu’il ne serait pas impossible de créer des réacteurs fonctionnant non pas avec de l’uranium ou du plutonium, mais avec du fer. On se croirait sur la planète mars du film « Total recall », une planète tenue d’une main de fer justement, tandis que les possibilités de sortie de crise restent dissimulées. Thèse complotiste ? Vous les croyez encore ? Vous en voulez encore ? Il en reste, une montagne caché sous la poussière d’une civilisation en déclin.
Les « monopôles magnétiques » sont mis à contribution dans l’explication de phénomènes dont presque personne n’a entendu parler, nous sommes là dans la zone d’ombre apparemment. Corentin Louis Kervran a consacré la plus grande partie de sa vie à démontrer l’existence de transmutations à faible énergie, naturelles et biologiques. Ses travaux datent des années soixante. Selon Kervran, la matière vivante est capable de modifier les éléments les uns dans les autres, ce qu’il prouve par ses observations, par ses expériences et ses travaux ; recalcification par l’emploi de silice, variations de compositions chimiques pour des graines mises à germer, maladies de la pierre, géologie, médecine, agronomie, etc. Un vrai festival de beauté scientifique et de rigueur d’analyse.
Olivier Costa de Beauregard, un grand physicien français lui aussi élève de Louis de Broglie, vient à la rescousse de Kervran pour expliquer la possibilité d’un tel phénomène, car Kervran n’est pas un théoricien. Mais ce n’est que plus tard que l’on pensera à l’intervention de la particule qui nous intéresse ici. Les ouvrages de Kervran ne sont plus aujourd’hui réédités, et ne sont jamais mentionnés dans les académies. Un pan entier de phénomènes qui aurait dû trouver place entre la chimie et la physique est tout simplement recouvert d’un voile d’ignorance et de désintérêt.
Pourtant ces travaux ont trouvé leurs continuateurs, notamment en la personne de Vladimir Vysotskii, un chercheur ukrainien qui montra qu’il est possible d’utiliser des bactéries pour assurer la décontamination de zones polluées par la radioactivité. Les bactéries qu’il emploie sans ses expériences transmutent les éléments lourds radioactifs, en des éléments proches dans la table de classification mais distincts, et stables surtout. Il rend compte de ses travaux lors de colloques internationaux consacrés aux réactions nucléaires à basse énergies, autrement dénommés congrès sur la « fusion froide ». Encore un mauvais point pour ces voies de recherche, la « fusion froide » cela n’existe pas, l’énergie c’est cher et on ne se passera pas du pétrole avant longtemps, ni du dollar d’ailleurs.
La « fusion froide » c’est l’effondrement du système de domination structurel, le pire que l’on puisse lui faire selon Jean Paul Bibérian, porte parole de la question en France. La « fusion froide » ce sont des applications militaires secrètement bien gardées, un potentiel d’action réservé à l’élite mondialiste et à ses forces physiques. Les transmutations biologiques, dans le même registre donc, sont aussi une invitation à mieux respecter la vie biologique, dans le domaine de l’agriculture notamment, plutôt que d’arroser cette pauvre nature de nos grossiers composants chimiques. L’homme n’est pas à l’égal de Dieu, s’il en est un il est bien plus créateur que nous le sommes. L’homme du vingt et unième siècle saccage ainsi autant son environnement que son propre génie, tandis que la convergence des lobbies et des dogmes associés asservissent un siècle dont il a été dit qu’il serait spirituel ou ne serait pas.
La vraie science, celle de nos grands savants méconnus, est pourtant profondément spirituelle, et libératrice. Il serait temps que les citoyens exigent les changements que nos démocraties, relatives, nous autorisent, avant la chute définitive d’une civilisation qui ne s’exprime aujourd'hui que dans la guerre et l’oppression.
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