@bonalors c est vrai que là où dhabitude Brassens préserve le ton de son champs, pour cette chanson sa voix est plus habitée.
Et ça me des-obli-i-ge.
On peut avoir un postulat prosaïque, si vis a vis de l ensemble des mâles vous avez peu d amis, vis a vis de l ensemble des femmes il n y a peut être que peu d’amour possible , l amour ayant plus de contraintes que l amitié, il y aurait une erreur à laisser croire la chose aisée aux 2 sexes.
Je reconnais son prestige ( de Claudel), mais qu’on aille chercher dedans son oeuvre pie ... Non ça c est de l utopie
A tout hasard vous avez pas lu « apportez moi la tête du prince charmant » coécrit par quelqu’un, car en plaidoirie possible, l autre moitié de l humanité a pût être trompée par les contes :) .
Après réflexion je crois que ce qui me gène dans le mot illusion ( non locale, je crois qu une différence entre le singe et l homme c est le questionnement sur les causes, quand on met un bébé homme et singe devant une machine qui donne des trucs et qui s arrête sans raison, le bébé bloque sur la machine alors que le singe passe a autre chose), c est que je suis attaché au cycle d ambre de zelavny, les lois physiques seraient une marelle qui projette des ombres ( platonicienne s) dans le chaos.
Je sais pas comment vous faites pour vous intéressez au spectacle, au mieux un peu de Mélenchon ( avec des réserves, il semble nier encore les conséquences du libre échange sur l abaissement des normes sociales sanitaires et sur l environnement, cela doit être un problème géographique d une vision marxiste) et j aime bien les personnages comme régis chamagne mais a quoi bon, par contre en science il ce passe quelquechose, c est perceptible dans les vidéos toi-tuyau de Laurence Honnorat, dont une intitulé :« habitons nous un trou noir », on a envi d esthétique ( et le charme des récurrences du tableau périodique ne fonctionne pas avec les trucs noirs, facilité d une déduction par nécessité et non par une récurrence qui donne une esthétique logique) parle accessoirement d une illusion ( mauvais choix sémantique, je préfèrerai un mot nouveau) d un monde en 2 dimensions projetés en 3 ( et 4 dans une logique type espace temps). Et la je songe aux topos ( même si je suis une quiche en math) a une projection d un plan sur une sphère, je serai surpris que le patrimoine du mathématicien, scientocritique puis botaniste n est aucune conséquence sensible, mais je suis une quiche en math et en physique.
Alors on nous aurait menti a l insue de notre plein grès, les petits villages fleuris, fermer son robinet pendant qu on ce brosse les dents et acheter des pepitos BIOS ne suffiront pas a un avenir plus beau, l automatisation aurait pour corolaire possible plus d énergie gaspillé. Et la fin du travail serait par conséquent l accroissement infini de notre énergie transformé qui serait la fin de l humanité, wall E ne fesant que des bip bip dans le vide sidéral, jusqu’à la fin de charges possibles de sa pile ( efface :) ) , c est a dire pas longtemps dans l histoire des temps (donc des gravité s géométrique s).