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abelard

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  • Premier article le 29/09/2012
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  • abelard 1er novembre 2008 13:40

    @ Monsieur le Péripate,

    N’en jetez plus, par pitié, je ne sais si je peux supporter encore votre communisme exacerbé. Même dans une société démocratique et tolérante, il devrait y avoir des lois pour réprimer l’ultra-gauchisme que vous représentez.
    Vous défendez la liberté.
    Vous défendez le contrat entre individus.
    Il est dangereux monsieur de manier sans précaution des concepts aussi violemment révolutionnaires.

    En effet, pour que deux individus puissent "librement" passer entre eux un contrat de quelque nature que ce soit, il faut un préalable : que ces deux individus soient également libres. Sinon il ne s’agit pas d’un contrat mais d’un oukase, ce que vous êtes assez lucide pour savoir.
    Pour que les deux contractants soient à égalité d’intérêt, c’est à dire pleinement libres, il est indispensable d’éliminer toute contrainte extérieure qui viendrait peser sur les termes de la négociation.

    Je vous sais suffisamment malin pour tirer toutes les conséquences de ces présupposés qui conditionnent absolument la validité de votre raisonnement.

    Dans le cas d’un contrat de travail, par exemple, entre patron et ouvrier, nous devrions avoir affaire dans la conception que vous défendez à deux individus débarrassés de toute contrainte extérieure. C’est à dire à un patron qui a librement choisi d’être patron et à un ouvrier qui a librement choisi d’être ouvrier.

    Il convient donc pour obtenir cet état des choses d’éliminer toute pesanteur qui viendrait fausser la liberté du contrat :

    Puisque la nature ne nous laisse pas le choix de naître dans une famille plutôt que dans une autre, l’Etat garant de la liberté doit intervenir pour rétablir la liberté de l’individu, c’est à dire retirer l’enfant à sa famille et l’élever dans des instituts collectifs où il recevra le même capital symbolique et la même éducation que tous les autres. C’est à cette condition, et elle seule, qu’il pourra exercer librement ses capacités de choix, c’est à dire de décider s’il deviendra patron ou ouvrier.

    Il est évident également qu’au sortir de ces écoles l’individu libre ne doit pas se voir confier, en raison de sa naissance, des missions ou des devoirs qui viendraient altérer sa liberté. Hériter de l’usine de son père, qui le condamnerait à être patron, ou recevoir quelque héritage que ce soit qui viendrait polluer son intérêt à contracter, par exemple une somme d’argent suffisante pour ne pas mourir de faim, sont à prohiber de manière absolue.

    Voilà donc, monsieur le péripate, à quoi mène votre défense de la liberté et du contrat : égalité des chance, suppression de l’héritage... Ce sont des propositions communistes !

    Alors cessez donc d’arborer ce faux nez ridicule, vous êtes démasqué.

    Et reprenons en choeur votre chanson favorite : "C’est la lutte finaaaale..."



  • abelard 30 octobre 2008 12:11

    Merci à l’auteur de souligner ce nouveau scandale qu’encore une fois la presse-à-la-botte avait préféré passer sous silence.

    Avec la nomination de Camdessus à la tête de ce nouveau comité des forges nous touchons à l’essence même du Tsarkozysme : le règne de la nullité arrogante.

    Lorsque le Simplet de l’élysée trépigne comme un cabri, convulsé de tous ses tics en glapissant : "Culture du résultat, culture du résultat..." on en voit justement le résultat.
    Quelque soit ce que l’on pense de la "chose" Camdessus on ne peut que constater que son passage à la présidence du FMI n’est qu’une longue suite d’échecs catastrophiques. Que cet accident de l’évolution n’ait pas été trainé en justice et qu’il soit encore en liberté est déjà un déni de justice insupportable.
    Alors qu’il soit nommé à la tête ne serait-ce qu’à la tête d’un tabac-buvette passe l’entendement. Le Tsarkozysme, qui n’était que médiocrité mortifère, vient de sombrer dans la folie furieuse.

    Je propose un slogan marketing pour Camdessus : "Il fera à la France ce qu’il a fait à l’Argentine".



  • abelard 10 octobre 2008 15:44

    Merci pour ce lien.

    C’est énorme en effet !

    Que les femmes et les hommes de bonne volonté regardent ce petit film, il est temps de savoir.



  • abelard 10 octobre 2008 13:12

    @ mikapataquès

    personne ici ne veut voir les adeptes de la fête de l’huma - que vous êtes -  ???????

    Pourriez-vous m’indiquer le sens de votre phrase ? "Que vous êtes" ?

    Et vous donniez ici-même des leçons de français ?

    Se vautrer à ce point dans le ridicule relève du génie...



  • abelard 10 octobre 2008 12:07

    @ mikabadaboum,

    Je comprends ton aigreur, mon pauvre type, à ton âge, se retrouver dans la peau d’un stalinien qui découvre la réalité du goulag, ou d’un témoin de Jéhova à qui dieu n’a pas fait la grâce d’accorder la fin du monde. C’est d’un pathétique...

    Cet article tout en verve cache en fait une reflexion niveau "ma concierge".

    Toujours ce bon vieux racisme social, cette arrogance de dégénéré...
    Jusque là, quand nous criions haro sur le capitalisme nous ne faisions que tirer sur une ambulance, le blessé n’ayant aucune conscience de la gravité de son état.
    C’est avec joie aujourd’hui que je crache sur un corbillard.

    "Le capitalisme est mort, guerre à ses cendres !"


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