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  • aladin aladin 13 décembre 2009 14:10

    Armand,

    la théorie du choc des civilisations est totalement erodée par la théorie du rendez-vous des civilisations, qui detruit les thèses de samuel Huntington.

    les taux d’alphabétisation, les taux de fécondité, la scolarisation des filles et des garçons tendent à se rejoindre partout dans le monde. « Pour passer de 5 à 2 enfants, l’Europe a mis deux siècles, le monde arabe et musulman deux décennies ! Pascal Boniface, géopolitologue français, a, pour sa part, estimé que le conflit du Proche-orient est au cœur du « choc des civilisations ».

    Samuel Huntington n’a, sur les 700 pages de son ouvrage, consacré que deux pages au conflit israelo-palestinien. Pourtant le conflit israélo-palestinien est stratégique. Les Etats-Unis sont « juge et partie » dans ce conflit alors que l’Europe est « passive ». L’administration US , de par son intervention militaire en Irak et en Afghanistan, a affaibli les Etats et encouragé les divisions ethniques. « Pour comprendre l’idée du choc des civilisations, il faut voir ce qui se passe sur le terrain ».,



  • aladin aladin 12 décembre 2009 22:42

    @Armand

    Le coran n’était pas plus déstiné exclusivement aux hommes du 6ème siècle qu’il ne l’est pour le 21ème ou le 1OOème, il est destiné pour toute l’humanité et pour toutes les époques, c’est pour cela qu’il constituera toujours une source de vérités quelles soient scientifiques ou pas.
    On n’y trouve pas de justification à la théorie de l’évolution car celle-ci est un canular, (j’ai repondu il y deux ou trois jours a cela sur AV dans l’article : créationnisme=arnaque ou réalité). D’autres canulars ont duré beaucoup plus longtemmps que le darwinisme, par exemple celui de la terre plate qui a duré 15 siècles et qui a envoyé ses détracteurs au bucher. A propos là aussi, le Coran affirme bel et bien que la terre est ronde avec des applatissements sur les poles) si les vérités scientifiques du Coran vous interessent je vous invite a lire « LES MILLES VERITES SCIENTIFIQUES DU CORAN » de kESSAB.


    celui qui souhaite sincerement connaitre l’Islam et le Coran, DIEU le guidera vers cela, car la foi n’est pas obtenue par la Raison mais par une faveur de DIEU et cette faveur n’est donnée qu’a celui qui fait preuve d’humilité.

    Les discutailleurs et le érgoteurs ne comprendront jamais rien ni a l’Islam ni a aucune autre religion, car ils sont trop imbus de leurs personnes, et cela cadenase leur coeurs.

    Regardez les railleries et les moqueries dans les commentaires,


    Cependant il ne faut pas desesperer, chaquer homme aura la foi avant de mourir, même si toute sa vie il a nié DIEU. Il aura la « cértitude » au moment même de sa mort, quand il sera sur le point de passer de vie a trépas, à la vision de l’Ange chargé de lui. Mais seulement il sera trop tard.



  • aladin aladin 12 décembre 2009 22:03



    @Anty
    "Les juifs et les arabes sont les frères de sang.

    Deux peuples sémites.« 




    LES ARABES ET LES JUIFS Si -Ismaël et Isaac sont les enfants d’un même père, Abraham, c’est qu’ils sont frères. Et donc, les enfants de l’un -sont les FRERES des enfants de l’autre. Les enfants d’Isaac sont les juifs et les enfants d’Ismaël sont les Arabes, ils sont donc FRERES les uns des autres. La Bible affirme »IL (ISMAËL) DEMEURERA FACE A TOUS SES FRERES« (Genèse 16’:12). »... ISMAËL S’ÉTABLIT EN FACE DE TOUS SES FRERES« (Genèse 25:18).

     Les enfants d’Isaac sont les frères des ismaélites. De même que Mohammed est issu des frères des israélitescar il est un des descendants d’Ismaël, le fils d’Abraham. ..

    Selon la Bible, le nom d’Abraham était Abram avant qu’il ne fut changé par Dieu en Abraham. exactement ce que la prophétie rapporte »DU MILIEU DE LEURS FRERES« (Deutéronome 18:18).
    A cet endroit, la prophétie mentionne distinctement que le futur prophète, qui sera comme Moïse doit être issu, NON PAS d’entre les •’enfants d’Israël » ou du « milieu d’eux », mais doit être issu du milieu de leurs frères. MOHAMMED ÉTAIT DONC DU MILIEU DE LEURS FRERES !

     


  • aladin aladin 12 décembre 2009 21:39

    Le rabbin de la synagogue de Makhachkala s’est converti à l’islam. Chacun emprunte son propre chemin pour trouver la vérité. Pour Moisha Krivitsky, ce chemin passe d’abord par une faculté de droit, puis une synagogue et une prison ; le futur avocat devient rabbin, se convertit à l’islam et se retrouve en prison.

    Aujourd’hui, Moussa (c’est le nom qu’il a adopté en devenant musulman) vit dans une petite mosquée à Al-Burikent, une région montagneuse de Makhachkala, et travaille comme gardien de sécurité à la grande mosquée de Juma.

    Intervieweur  : Moussa, avant de commencer notre entrevue vous m’avez demandé de quoi nous allions parler et je vous ai répondu que nous allons parler de vous.

    Moussa : Qu’y a-t-il de si intéressant à mon sujet ? Vous vous demandez où je vis ? Eh bien je vis dans la mosquée.

    Intervieweur  : Comment en êtes-vous venu à habiter dans la mosquée ?

    Moussa : Eh bien, je suis arrivé un jour et … j’y suis resté.

    Intervieweur  : Avez-vous trouvé facilement votre voie vers l’islam ?

    Moussa : Non, difficilement. C’était difficile à l’époque, et ça ne l’est pas moins maintenant. Lorsqu’on entre profondément dans l’islam et qu’on commence à en saisir l’essence spirituelle, on comprend que cette religion est très simple, mais que le chemin qui y mène peut être extrêmement tortueux. Souvent, les gens ne comprennent pas comment quelqu’un venant de « l’autre côté », peut se convertir à l’islam.

    Mais il n’y pas « d’autre côté » en fait. Il y a seulement l’islam, qui est à la fois tout ce qu’on imagine et tout ce qu’on ne peut imaginer.

    Intervieweur  : Moussa, pour tout vous dire, on nous a fait une révélation sensationnelle : un rabbin est devenu musulman.

    Moussa : Eh bien ce n’est plus une sensation depuis un bon bout de temps déjà, car cela fait plus d’un an que j’ai embrassé l’islam. C’était aussi un peu étrange pour moi au début. Mais ce ne fut pas une décision prise à l’improviste. Avant de me convertir, j’ai lu des livres sur l’islam et je l’ai étudié.

    Intervieweur  : Aviez-vous complété vos études secondaires avant d’aller à la synagogue ?

    Moussa : Oui, j’avais complété mon secondaire. Après avoir reçu mon diplôme, je suis venu à Makhachkala, et je suis devenu le rabbin local.

    Intervieweur  : Et d’où veniez-vous ?

    Moussa : Oh, de très loin. Mais je suis déjà devenu un vrai daghestani ; j’ai beaucoup d’amis ici, parmi les musulmans et aussi parmi les gens qui sont loin de l’islam.

    Intervieweur  : Parlez-nous de votre travail à la synagogue.

    Moussa : C’était une situation assez paradoxale : il y avait une mosquée proche de ma synagogue, la principale mosquée de la ville. Parfois, certains de mes amis qui la fréquentaient passaient me voir, juste pour bavarder. Quelquefois je passais moi-même à la mosquée pour voir comment les services religieux y étaient administrés. J’étais très intéressé. Donc nous vivions en bon voisinage. Et une fois, durant Ramadan, une femme vint me voir – je sais maintenant qu’elle appartenait à un peuple qui est historiquement musulman – et elle me demanda de commenter la traduction du Coran en russe faite par Krashkovsky.

    Intervieweur  : Elle vous a apporté un Coran à vous ? Un rabbin ?!

    Moussa : Oui. Et elle m’a demandé de lui donner la Torah en échange pour qu’elle puisse la lire. J’ai donc tenté de lire le Coran, puis je l’ai lu à peu près dix fois.

    C’était vraiment difficile, mais petit à petit, j’ai commencé à comprendre et à avoir une notion de base sur l’islam. (À ce moment, Moussa remarqua que le fils de mon ami, le petit Ahmed âgé de six ans, s’était endormi dans la cour de la mosquée. « Ne devrait-on pas le faire entrer à l’intérieur de la mosquée ? » demanda Moussa.) Puis, la femme me rapporta la Torah.

    Elle avait eu beaucoup de difficulté à la lire et à en comprendre le sens, car la littérature religieuse demande une extrême concentration et beaucoup d’attention.

    Intervieweur  : Moussa, quand vous lisiez la traduction du Coran, vous avez dû commencer à la comparer à la Torah ?

    Moussa : J’ai trouvé des réponses à beaucoup de questions dans le Coran. Pas à toutes mes questions, bien sûr, car ce n’était qu’une traduction et non pas l’original en langue arabe.

    Mais j’avais commencé à comprendre bien des choses.

    Intervieweur  : Cela veut-il dire que vous ne trouviez pas de réponses à certaines de vos questions dans le judaïsme ?

    Moussa  : Je ne sais pas ; c’est la volonté d’Allah qui se manifeste partout.

    Apparemment, les juifs qui sont devenus musulmans à l’époque du Prophète ne trouvaient pas de réponses à certaines questions dans le judaïsme, mais les ont trouvées dans l’islam.

    Peut-être ont-ils été attirés par la personnalité du Prophète, son comportement, sa manière de communiquer avec les gens. C’est un sujet important.

    Intervieweur  : Et quelles sont exactement les questions auxquelles vous ne trouviez pas de réponse dans le judaïsme ?

    Moussa : Avant d’entrer en contact avec l’islam, il y avait des questions auxquelles je n’avais même jamais essayé de trouver réponse. Je crois qu’un livre écrit par Ahmad Deedat, un Sud-Africain, dans lequel il comparait le Coran et la Bible, a joué un grand rôle ici.

    Il y a une phrase-clé qui est bien connue des gens versés dans le domaine religieux et qui dit : suis le prophète qui viendra. Quand j’ai étudié l’islam, j’ai compris que le prophète Mohammad était celui-là même qu’il fallait suivre. La Bible et la Torah nous ordonnent toutes deux de le suivre.

    Je n’invente rien ici.

    Intervieweur  : Et que dit la Torah à propos du Prophète ?

    Moussa : La Torah ne mentionne pas spécifiquement son nom. Mais on peut le découvrir par déduction. Par exemple, on peut comprendre à quel dieu telle ou telle personne particulière dans l’histoire vouait une adoration. Le passage qui décrit le dernier prophète (que la paix et les bénédictions d’Allah soient sur lui) affirme qu’il n’adorera qu’un seul Dieu, l’unique créateur du monde. Le Prophète Mohammed est l’incarnation exacte de cette description.

    Quand j’ai lu cela, mon intérêt s’est éveillé. Je ne connaissais rien de l’islam avant cela. Ensuite, j’ai décidé de me pencher sérieusement sur cette question et de voir s’il y avait des miracles ou des signes particuliers reliés au nom du Prophète.

    La Bible nous enseigne que le Seigneur envoie des miracles aux prophètes afin de confirmer leur mission spéciale aux yeux des gens.

    J’ai posé la question aux alims (savants) à ce propos, et ils m’ont dit : « Voici une collection de hadiths authentiques qui décrivent les miracles réalisés par le Prophète. » Puis, j’ai lu que le Prophète a toujours dit qu’il y avait eu, avant lui, d’autres prophètes et d’autres messagers. On retrouve leurs noms à la fois dans la Torah et dans la Bible. Lorsque je commençais à peine à m’intéresser à l’islam, cela me semblait étrange. Mais ensuite…

    Je crois que mes propres actions m’ont mené à ce qui m’est arrivé. Parfois je me mets à penser : pourquoi ai-je lu tout cela ? Je devrais probablement faire la tauba (une invocation de repentir) tout de suite pour avoir eu des idées pareilles.


    2OO8



  • aladin aladin 12 décembre 2009 21:12

    @Big Mac

    Je crois qu’on s’est déja croisé et je garde dans les narines l’odeur de ta triste presence ;
    alors au plaisir de ne plus de rencontrer, car les sionistes me donnent la nausée

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