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alceste

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  • alceste 18 avril 2008 13:39

    à Ceri,
    Excellent article,
    je reviens sur l’un des paragraphes de votre article :
    Pourquoi la réussite économique américaine nous est-elle donnée en exemple ? et pourquoi, si injuste que cela paraisse, est-ce une bonne stratégie ?

    - Pour une (trop) grande partie de l’opinion française, dont je fais partie, la presse et les ouvrages économiques ou financiers ne sont pas d’un accès facile. ( en termes plus familiers, au bout de dix lignes, on n’y comprend "que pouic". J’aimerais avoir le génie des chiffres comme M. Verhille) ; ceci dit, grâce à Wikipedia, on peut progresser : les article sur le coefficient de GINI sont clairs même pour des handicapés du calcul comme moi.

    - les réalités de la vie aux Etats Unis sont peu connues, il est rare que les films ou les séries populaires prennent les "working poors" comme thème principal.
    On a donc l’impression que l’Amérique baigne en permanence dans une enviable prospérité. J’en profite pour rappeler l’existence du livre "L’Amérique pauvre : Comment ne pas survivre en travaillant", de la journaliste Barbara Ehrenreich (2004) ;

    - quelques émissions, quelques livres de témoignages, quelques sites internet évoquent avec plus de réalisme la vie précaire des petites gens, mais il faut reconnaître que ça n’éveille guère la curiosité du public, car, pour le pire comme pour le meilleur, le mythe de l’Amérique qui gagne reste un poids lourd de notre imaginaire.



  • alceste 18 avril 2008 12:46

    @ Proto,

    En fait, je pense qu’au début Morice essaie de jouer loyalement le jeu : il répond aux commentaires, même s’ils ont un caractère injurieux. Mais ensuite il se laisse contaminer par l’agressivité des trolls et riposte sur le même ton : c’est bien dommage car c’est un terrain où il n’a pas à rivaliser avec eux.



  • alceste 18 avril 2008 12:32

    Veuillez m’excuser au cas où il y aurait un doublon, il semble qu’il y ait quelques problèmes pour envoyer les commentaires.
    à l’auteur :
    j’ai apprécié votre article qui met en lumière le lien entre le malaise social et le malaise du médecin, impliqué malgré lui dans un système qui contredit ses principes humanistes. ( "humanisme" : notion archaïque qui tendait à placer l’être humain avant le profit. Le terme est tombé en désuétude au XXIème siècle)
    Vous soulignez bien que les psychotropes apportent une réponse ambigüe quand on les utilise pour venir en aide aux patients que leurs conditions de travail ont poussé à la dépression ( que je ne qualifierai pas de "bobo", dans ce cas : après avoir vu l’émission de télévision sur le stress au travail, je trouve le terme un peu léger).
    Sur le plan économique et politique, le résultat est pourtant excellent : le patient "retapé" peut se remettre à fonctionner à plein rendement ou presque dans son entreprise.
    si le médecin a des états d’âme, qu’importe ? ce n’est pas de sa faute.
    si de plus en plus de travailleurs, harcelés et surmenés, tombent dans des états dépressifs, qu’importe ? c’est la loi du marché qui le veut.
    si, à bout de force, le travailleur se suicide en accusant ses conditions de travail, qu’importe ? on dira que c’était un dépressif, et qu’il était prédisposé sans doute génétiquement à ce type de dysfonctionnement. La façon dont le système gère "la ressource humaine" ne peut être mise en cause.
    Vae Victis.



  • alceste 18 avril 2008 11:46

    @ Bernar Dugué,

    C’est encore un de vos articles que j’ai vraiment apprécié, parce qu’il arrive fatalement un moment où on s’interroge : " Est-ce que je suis encore "de gauche" ?" ou "Qu’est-ce que ça veut dire, être de gauche ? ". Pour s’amuser, on peut toujours aller faire un petit tour sur un site américain qui, à la suite d’un questionnaire, vous positionne dans un diagramme.

    Plus sérieusement, on peut se rappeler certains grands moments de désillusion : le moment où la gauche a cessé de se mettre en question, de faire appel aux lumières de la raison, quand elle s’est laissée aller , entre autres dérives, aux facilités de l’angélisme, du pédagogisme et qu’elle a confondu la Morale ( et ses exigences) avec la Moraline ( contrefaçon en toc) . Face aux abdominaux du libéralisme "body buildé", la gauche faisait "ventre mou".

    Ce n’est pas que le libéralisme séduise, quels que soient les oripeaux qu’il emprunte lors des élections, c’est que la gauche déçoit. On aimerait en effet qu’elle s’emploie davantage à reconstruire une pensée politique digne de ce nom, et que le problème social soit au centre des débats.



  • alceste 18 avril 2008 11:02

    le moins que l’on puisse dire, c’est que l’action courageuse de M. Carter est soutenue avec beaucoup de circonspection - autrement dit pas du tout - M.Obama , contrairement à ceux qui traînent M. Carter dans la boue, ne s’est pas ouvertement prononcé contre , mais il a souligné qu’il n’envisagerait pas une telle rencontre lui-même.

    Le Président Carter est sans doute l’un des présidents les plus matraités par la presse des Etats-Unis, et son projet lui vaut des articles qui tiennent plus du "bashing" que de l’analyse politique. Il semble aujourd’hui que les postures menaçantes et les déclarations de guerre soient mieux appréciées que les tentatives de dialogue, si naïves qu’elles puissent paraître : certains considèrent M. Carter comme un bouffon assez comique, sans doute leurs préférences vont elles aux bouffons sinistres comme M.GW Bush.

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