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Alexe

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  • Alexe 29 septembre 2007 22:14

    Juste deux choses en passant, parce que le sujet me touche.

    Il n’y a pas que des « fous » en hôpital psy, je m’explique.

    On y trouve des gens en « simple » dépression, des gens comme vous et moi, si nous pouvons vous et moi être considérés comme « normaux » - ce qui reste à prouver -, des gens donc qui ont vu leur vie basculer pour surmenage, rupture, deuil, allaitement, que sais-je. Méfiez-vous donc, un petit tour et puis s’internent les pauvres marionnettes que nous sommes.

    On y trouve également du « personnel », qui a bien raison de se plaindre, mais pas seulement. Je ne peux m’empêcher de penser à cette compagnie de théâtre de l’hôpital de Ville-Evrard, à Neuilly-sur-Marne, qui entre autres activités professionnelles prend en charge des petits groupes de volontaires pour jouer un peu au milieu de ce territoire de désolation.

    www.verticaldetour.new.fr

    Des gens motivés pour améliorer la vie d’un pareil lieu, il en existe donc, malheureusement peu soutenus, et toujours sur la brèche.

    A qui la faute ? Qui est fou dans cette histoire ?

    Alexe



  • Alexe 29 septembre 2007 21:51

    Juste un témoignage pour les jeunes filles (principalement) souffrant d’anorexie. Ce n’est pas la maigreur qui vous « amènera » quiconque, de la simple aventure d’un soir à l’homme de votre vie. Je sais bien que c’est une maladie et que comme toute pathologie plusieurs facteurs entrent en compte dans les raisons qui poussent en l’occurence à ne plus s’alimenter, mais outre le fait qu’on se croit à tort plus fort que soi-même, ce qui est faux, une fille maigre n’attire pas les hommes, du moins pour l’expérience que j’en ai.

    Un tas d’os, puisque c’est ainsi que se transforment beaucoup de filles, femmes, jeunes ou moins jeunes, volontairement, ça effraie plus que que ça n’attise le désir. Je ne dis pas qu’il n’y a pas amateurs de longilignes silhouettes, mais entre mince et pathologiquement maigre il y a un gouffre que beaucoup de mâles ne sont pas près de franchir. Mâles ou femelles, d’ailleurs, à chacun ses préférences.

    Un corps maigre à ce point-là ça fait Daschau, ça fait Auschwitz, ça fait malade et ça fait mal dans la tête sans compter lors des relations sexuelles. Désolée pour celles qui n’ont pas choisi de l’être mais c’est ce que j’ai constaté, c’est tout. Ce que je veux dire c’est que l’amour accepte beaucoup de choses sauf l’auto-mutilation.

    Je me doute que dans le cas de l’anorexie c’est autrement plus délicat qu’une simple affaire de sexe mais puisque la séduction est l’un des blocages de cette maladie, sachez, mes pauvres atteintes, que quelques formes humaines ne vous apporteront que succès et bonheur, à moins que ce ne soit là ce dont vous ayez peur ?

    Courage,

    Alexe



  • Alexe 29 septembre 2007 16:20

    Bonjour,

    et d’abord merci pour cette jolie voix ; cette fille a du talent, c’est indéniable. Donc bon courage pour la suite, ça risque de n’être pas facile de percer malgré tout.

    Puisqu’on me pose la question, « une femme du 21es, ça buzz comment ? », j’ai beau ne pas savoir explicitement ce que signifie « buzzer », je connais un presque homonyme qui s’appelle « bosser » ; et puisqu’il s’agit a priori de faire connaître son travail, alors voici le mien, femme du 21es, non pas en musique mais en littérature.

    Avis aux amateurs donc d’écriture contemporaine et merci d’avance de ne pas considérer ce message comme un lien commercial, puisque non-lucratif, mais bien « tendance », à savoir doué de l’envie de partager, communiquer, transmettre.

    A bientôt,

    Alexe

    www.si-les-idees-suffisaient.net



  • Alexe 28 septembre 2007 07:06

    Comme le dit fort justement Pierre Jourde (in « La Littérature sans estomac ») Valère Novarina est illisible. Je le sais, j’ai essayé. Avec une petite expérience de jeu et de mise en scène à mon actif, manifestement pas assez prononcée pour comprendre, je n’ai absolument rien saisi à ce qui fait l’originalité profonde de sa plume. Jusqu’au jour où, surprise, je tombe sur une de ses pièces, ce fameux « Acte inconnu » je crois, en rediffusion sur Arte. Je prends la pièce en cours de route, et, vu l’heure indue à laquelle tout ceci se passait, je m’endors avant la fin. J’ai donc environ 20 à 30 mn de Novarina joué, à la télé, à mon actif. Eh bien figurez-vous que ces quelques instants sont impérissables. Novarina écrit un théâtre contemporain vivant et enjoué, critique et déjanté, une espèce d’OVNI littéraire et théâtral à recommander absolument. J’ai envie d’en envoyer à tout le monde puisque j’ai le chic pour envoyer des livres à mes amis, mais je crois malheureusement qu’il n’est pas sorti en poche et surtout je reste sur l’impression de bouillie verbale que j’avais ressentie en le lisant. Il faudrait donc que j’innove et envoie à l’avenir des billet de spectacle, histoire de pousser mes proches à aller voir ce qui se fait de plus original et dingue en ce moment, à savoir un bon Novarina de derrière les fagots. Mais en attendant je vous laisse, je cours en librairie feuilleter sa production histoire d’y voir un peu plus clair dans cette affaire.


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