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  • andqui 19 novembre 2010 10:53

    Chria, votre remarque n’a aucun sens, cela dit en toute cordialité :
    L’homme est bien sûr totalement responsable dans sa relation au milieu qui l’environne, que celui-ci soit « naturel » ou non, car il est l’acteur de cette relation et qu’il la décide pour l’essentiel ; il n’y a pas de jugement de valeur dans cette constatation.
    L’homme artifitialise le milieu et le transforme selon ses besoins et grâce à son intelligence qui lui fait acquérir la connaissance et son industrie qui la transforme en techniques : c’est ce qui le distingue des autres êtres vivants. Dès lors, la notion de milieu naturel doit être utilisée avec précaution.
    La responsabilité s"exerce dès lors que l’on constate que l’action est susceptible de générer des nuisances (à qualifier et à quantifier) et que cela entraîne des actions correctrices. En matière de climat, le constat est loin d’être fait sur la responsabilité humaine, même si cette hypothèse mérite d’être vérifiée comme les autres ; le travail est loin d’être terminé et il faut se méfier des certitudes.
    Ce concept de responsabilité, dans le domaine en question, ne peut donc pas être mis en perspective avec celui de culpabilité qui relève de la morale (peut importe laquelle) et donc n’est ni plus fort ni plus faible mais ailleurs.
    Le problème (et sans doute l’objectif) de l’écologie idéologique c’est de vouloir utiliser la culpabilité comme les religions l’utilise.



  • andqui 19 novembre 2010 08:39

    L’auteur a bien raison de présenter le réchauffement climatique comme une idée, car ce n’est pas autre chose, en tous cas pas une théorie scientifique dont elle n’a aucune des caractéristiques, ni sur le plan de l’énoncé ni sur celui des principes, ni sur celui des preuves. Elle n’a même pas le statut d’hypothèse telle qu’elle est présentée dans la presse ou dans les milieux écologiques.
    Cette « idée » n’est donc qu’une idée de plus qui sert des intérêts idéologiques« ( également politiques et économiques) et qui engendre un débat idéologique. C’est un vrai problème car , au nom de cette idée, des décisions qui engagent les deniers publics peuvent être prises sans qu’elles n’aient la moindre relation à la réalité (je dis bien la »réalité« et non pas la »vérité")

    Quant à la science, qui ne travaille pas dans le domaine des idées mais sur celui de la connaissance, elle poursuit calmement ses activités et étudie les mécanismes du climat ; elle a du pain sur la planche tant ces mécanismes sont à ce jour opaques et complexes.

    Un mot sur le rapport de l’académie des sciences : il faut le lire avec attention et ne pas n’y chercher que ce qu’on veut trouver (il y en a d’ailleurs pour tous les goûts) Il faut y noter l’expression très claire sur les incertitudes en la matière.

    De toute façon, un clou chasse l’autre et le réchauffement cessera bientôt d’échauffer les esprits à qui l’on offre une nouvelle catastrophe : la biodiversité (pour laquelle l’ONU va sans doute créer le GIEB) et on repartira pour un tour dans le délire culpabilisateur ; il nous faut de la religion.



  • andqui 29 octobre 2010 13:24

    C’est une lecture bien sommaire qui peut conclure à une position aussi favorable au réchauffement dû au CO2 huma



  • andqui 11 octobre 2010 11:40

    Ne soyez pas aussi catégorique, aussi péremptoire :
    - Tous les scientifiques, dites-vous ? Citez vos sources !
    - Un peu sérieux, dites-vous ? Quels sont vos critères et quelles sont vos qualifications ?
    - Constat avéré, indubitable dites-vous ? Développez, je vous prie !
    - Incontestable, dites-vous ? En science, qu’est ce qui est incontestable ? Si c’est incontestable, alors, ce n’est pas de la science (connaissez-vous Karl Popper ?)
    - Graves conséquences à venir, dites-vous ? Citez, citez et développez s’il vous plait !

     Affirmer avec véhémence, ce n’est pas démonter. Donnons-nous quelques années et vous verrez que vos croyances s’évanouiront dans l’oubli comme bien d’autres avant elles. Pour le reste, restez calme et pondéré, et s’il vous plait, pas d’attaque ad nominem.



  • andqui 2 octobre 2010 07:02

    La discussion est biaisée :
    D’un côté les défenseurs de la « théorie » du réchauffement anthropique qui défendent en fait une vision de la société sous-tendue par les considérations idéologiques de l’environnementalisme et de l’autre les pourfenduers de ladite théorie qui sont tenant d’une société libérale ; chacun sa vérité !
    Mon schéma est évidement réducteur mais tant pis.

    Ailleurs, complètement ailleurs, il y a la science dont l’objectif n’est pas d’assener des vérités mais de décrire et comprendre la réalité et d’en faire des théories capables de prédire les manifestations de cette réalité. Quand les faits contredisent les prévisions, il faut alors changer la théorie, ce que font les vrais scientifiques depuis qu’ils existent.
    Dans le domaine du climat, la théorie n’existe pas encore tant cette science est nouvelle et complexe ; en effet, pour être un climatologue averti, il faut maîtriser la thermodynamique (combien la maîtrise ?) la spectroscopie (et la mécanique quantique), la mécanique des fluides, la géologie, la biologie, l’astronomie, et j’en passe. Ce qui veut dire que se dire climatologue est une bouffonerie et ce qui veut dire que dénier à un scientifique le droit de parler de climatologie au prétexte qu’il n’est pas climatologue est aussi une bouffonerie.
    Donc laissons travailler les vrais scientifiques (en équipes pluri-disciplinaires), pas ceux qui militent pour telle ou telle société, pas ceux qui avancent le principe de concensus pour décrèter la vérité, pas ceux qui bidouillent les données pour accréditer l’oeuvre de leur vie et les engagements qui vont avec.

    Encore un mot sur les relations causales : il y a une hypothèse (le réchauffement anthropique n’a honnètement que le statut d’hypothèse) et des supposées conséquences : augmentation de la température de la haute troposphère équatoriale, monté des niveaux marins, fontes des glaces polaires, ..., (je passe les « conséquences » loufoques que l’on peut lire ici ou là et qui relève du mythe). Pour aucune de ses conséquences, les relations causales n’ont été formellement mises en évidences ; bien pire, dans la plupart des cas, les systèmes de mesures ne sont pas au point et ne correspondent pas aux degrés de précision avancés (cequi est évidement anti-scientifique) Nombreuses d’entre elles ne sont pas vérifiées, ce qui veut dire que l’hypothèse doit être réexaminée.

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