Michel Donceel

Comment se porte la langue française, au Québec ?

Défendre sa langue et ses racines, est-ce de l’identitaire nauséabond ?  ( Comme le prétendent, de ce côté-ci, ceux qui veulent nous imposer le « fun cosmpolite » de Coca-cola, et la langue de la liberté qu’est obligatoirement l’Anglais  )

Les immigrants parlent-ils le Français ? Ou sont-ils, malgré eux, l’instrument de l’anglicisation ?

Je n’ai pas vu dans votre article de réponses à ces questions qui, pourtant, débordent largement le cadre du Québec.

Il est clair, par exemple en Belgique, que les immigrés Nord-Européens imposent la langue anglaise partout où ils s’installent...

@barnetski

J’ignorais que rappeler qu’il y a une différence fondamentale entre génitalité et analité s’apparentait à l’homophobie.
Vous m’avez l’air très compétent sur la question.
J’ai ouï dire que les autorités européennes envisageaient la création d’une Police de la Pensée. Vous pourriez peut-être postuler ?

Drôle d’époque, qui n’est plus capable de distinguer entre le plaisir total de l’étreinte amoureuse et la défécation...

Est-ce pour cela que notre Terre agonise sous les déchets chiés par le système ?

Assez logique, en définitive, ques des racistes authentiques et de vrais homophobes – ceux qui se raidissent si par amitié on leur fait la bise – tentent de récupérer le mouvement des Veilleurs pour faire croire à un renouveau du racisme, anti-rom, par exemple.

Assez logiqe, d’autant que la gauche, soi disant éclairée, n’a jamais tenté de comprendre le POURQUOI des attitudes racistes, et prône envers ces dernières, depuis des années, des attitudes MORALES : « le racisme, c’est mal » plutôt que « essayons d’y voir clair ».

C’est pour cela que je mettrai « plutôt pas d’acoord avec cet article », même si je soutiens à fond le mouvement des Veilleurs - désormais Sentinelles nécéssaires contre la DÉNATURATION de l’homme.

Bravo de tout cœur pour ce témoignage vécu.

Il est bon, de nos jours, de rappeler la réalité de la faim  sexuelle, alors qu’on tente par tous les moyens de nous faire croire que « tout ça, c’est dans la tête ».

Et on se rend compte que, dès lors que l’on sort des fantasmes LGBT, la réalité de la sexualité VÉCUE reste LE tabou total.