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  • Artzamendi Artzamendi 15 novembre 2011 01:08

    « En l’occurrence avec deux r »

    A 13.29, j’ai bien eu le droit à « l’hémorragie de l’emploi industrielle ».

    Sans le relever, il est vrai. Question d’éducation sans doute.

    Enfin, ça doit faire mal, quand même.



  • Artzamendi Artzamendi 15 novembre 2011 00:47

    Tiens il y a quand même des fondamentaux au-delà de l’offre et de la demande. c’est un progrès

    - La « confiance ». En quoi ? En la balance des paiements. Des banques ont été renflouées en Allemagne, au prix d’un large déficit budgétaire, mais son économie ne repose pas essentiellement sur la finance.

    Mais c’est sans doute l’euro qui sauvé l’Allemagne...

    - Les taux d’intérêt : déjà mentionné plus haut.  



  • Artzamendi Artzamendi 15 novembre 2011 00:38

    Tu plaisantes ?

    Il y a une légère différence entre la Chine et la Grèce : leur balance des paiements. Même si ça ne te paraît pas fondamental.

    Alors on voit mal pourquoi les excédents chinois face aux USA se doubleraient de transferts budgétaires en provenance de Washington.

    Les Chinois font de la sous-évaluation compétitive. Quel est le rapport avec la situation des PIGS ? 



  • Artzamendi Artzamendi 15 novembre 2011 00:31

    Les similitudes entre le Currency board et la monnaie commune sont flagrantes :

    "

    Les leçons de la crise argentine[modifier]

    La première leçon est évidemment l’impossibilité de mener des déflations avec baisse de salaires, réduction des dépenses publiques, licenciement de masse etc. La crise de 1929 l’avait déjà largement prouvé. La crise argentine l’a définitivement confirmé.

    La seconde leçon est d’ordre monétaire : dans un système de changes flottants où la monnaie principale, en l’espèce le dollar, peut varier du simple au double, les systèmes de fixation de taux de changes rigides pour des petites monnaies sont vulnérables. Lors de la crise de 1998, dite « des pays émergents », toutes les monnaies d’Asie utilisant un currency board ou un peg furent emportées dans le tourbillon des dévaluations. Il est vrai que les monnaies flottantes s’effondrèrent également. On retrouve en 2009 les mêmes mécanismes de blocage que nous avons passés en revue pour l’Argentine de 1998 à 2002 dans celles des républiques d’Europe de l’Est qui ont une fixité de change organisée avec l’Euro, alors que tous les pays environnants ont vu leur monnaie fortement dévaluée. Le dilemme argentin se retrouve à l’identique : les contrats libellés en devises en fonction des parités monnaie locale/euro explosent en cas de dévaluation. Leur remboursement devient impossible. Et la perspective d’un défaut sur les dettes souveraines et privées est difficilement acceptable. Surtout quand on se prépare à entrer dans l’euro. On retrouve le FMI, les plans d’économie, la réduction forcée des salaires des fonctionnaires, la rébellion des intéressés ! La crise grecque depuis 2010 en est une autre illustration manifeste : quand un pays ne peut faire varier la valeur de sa monnaie pour l’adapter à son économie, il cherche à adapter toute son économie (dépenses publiques, salaires, etc.) au niveau de la monnaie.



  • Artzamendi Artzamendi 14 novembre 2011 23:50

    J’oubliais : le plus beau c’est ça :

    "Des pays aussi importants que la Chine communiste trouvent un intérêt à avoir un taux de change quasi-fixe par rapport au dollar sans bénéficier de « transferts » publics« de la part de Washington ».

    Là, no comment.

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