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Aspiral

Aspiral

Paysan de la nature humaine depuis près de 30 ans, je milite depuis des années contre la présence des « psy » ailleurs que dans leurs cabinets de consultation.
Sans trop de succès, d’ailleurs !

Tableau de bord

  • Premier article le 04/01/2007
  • Modérateur depuis le 12/02/2008
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Derniers commentaires



  • Aspiral Aspiral 10 août 2007 16:22

    Je passe moi aussi mon temps à crier sur tous les tons : par les temps qui courrent « il vaut mieux être délinquant que malade ; commettre des péchés que de se laisser tyranniser par toutes les formes de culpabilisation ». A bon entendeur, salut !



  • Aspiral Aspiral 10 août 2007 08:23

    Chère madame, votre honnêteté me touche, mais votre raisonnement aussi. Il ne s’agit pas de contester la réalité observable et de votre enfant et de la société que je compare à un camp de concentration mental. Il s’agit de se mettre d’accord sur le fait qu’un mode de pensée qui a généré un problème ne peut pas être celui qui va le résoudre (Einstein). Bien sûr les médecins sont là pour travailler sur le terrain à la moins mauvaise solution à votre problème. Ce que je conteste c’est de rendre la population passive en qualifiant de « maladie » un comportement, quel qu’il soit. Je pense que le cas de votre enfant n’est que la partie émergée d’une décadence de la pensée collective qui tourne parfois au délire sur des sujets comme l’amour ou le bonheur. Tous les enfants de cette civilisation tournent plus ou moins mal. Demandez aux vielles institutrices ce qu’elles pensent de l’évolution ou de l’involution du comportement et de l’attention des enfants en classe. En attendant la révolution, il faut faire ce qu’on peut pour « aimer », c’est-à-dire faire ce qui est « bon pour » : et je conteste de toutes mes forces que les médecins aient quoi que ce soit à dire de plus intelligent que les gens de terrain. Pour le reste, chaque civilisation a ses croyances et ses paris. Il faudra bien que tôt ou tard, la nôtre fasse son bilan, désastreux, et se demande où elle s’est trompée de mode d’emploi, sans pour autant culpabiliser qui que ce soit,au nom du droit à l’essai et à l’erreur. Mais cela tout en imposant à chacun d’assumer ses responsabilités par rapport à sa part contributive. Je pense que les médecins qui n’en savent pas plus en psychologie que les médecins de Molière ont une lourde responsabilité dans votre malheur et celle de votre fils, en ayant profité de leur savoir pour vous priver du vôtre.



  • Aspiral Aspiral 9 août 2007 13:31

    C’est à mon avis le mot « ou » qui fait problème. J’ai justement mis hier à ce propos sur mon site un article trop long pour être repris ici. Il propose une manière de penser qui accepte les déterminismes. http://www.aspirale.be/dotclear/index.php/2007/08/08/49-liberte-et-determinismes



  • Aspiral Aspiral 8 août 2007 07:03

    Tous les raisonnements les plus avisés, les plus établis scientifiquement ne seront que des abus de pouvoir, car les bases d’observations sur lesquels ils reposent sont comme du sable. N’oubliez jamais que les gens ne vous disent que ce qu’ils veulent bien, ce qu’ils croient devoir dire pour vous « plaire », parfois avec la meilleure foi du monde. Il y a dans cette prise en charge des enfants mal élevés une complicité dramatique qui transforme tout toucement notre belle civilisation en camp de concentration mental par la dépossession soft de tout pourvoir individuel de changement par Big Mother. Avec sa complicité, on abrutit la population sous prétexte de soins. Seuls les « patients » en font les frais ! En effet, grâce à cette invention, les parents se déculapbilisent et puis se déresponsabilisent, les médecins qui, on le sait ne sont pas vénaux, s’en font une apparence de compétence de « sauveurs » « savants » sachant", et les faiseurs d’argent, les firmes commerciales et les gouvernements se frottent les mains. Cette apparition historiquement récente des enfants dit ADHD est une forme déguisée de plus de pédophilie : ces enfants sont pris en otage des « besoins » de tous les intervenants. Comment faisaient nos ancêtres pour éduquer les enfants et gérer les différentes potentialités des individus dans une relative harmonie sociale, sans les maquer ?



  • Aspiral Aspiral 7 août 2007 22:30

    Pour moi, c’est la culpabilisation généralisée qui rend et les parents et les enfants déboussolés. LA médicalisation du problème n’aboutit qu’à le postposer et l’aggraver. On commence à avoir de recul par rapport à ce que deviennent les anciens enfants médicalisés ; rien de bon. Avoir « besoin » d’être aimé de ses enfants, tout négocier dès le plus jeune âge avec eux, sous prétexte d’amour dont on confond le sens à l’endroit et à l’envers est sans doute à l’origine de tous ces enfants incapables de respecter des structures quelles qu’elles soient. La culpabilisation est un cancer mental et social. Trop de libertés nuit à la liberté.

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