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Non Monsieur Vivas vous ne voterez pas pour le frère mélanchon en 2017. C’est impossible : il est mort. Le Grand Tribun s’est suicidé en direct live le 22 avril 2012 à 20h01 en se jetant du sommet de sa tribune de 30 centimètres. Ça ne pardonne pas.
La preuve par l’image

Sincères condoléances.

Selon Nabum, il n’y aurait pas de faits objectifs ? Il n’y aurait que rejet irrationnel de populations ne posant pas le moindre problème ? Que bas instincts que tout humaniste éclairé se doit de combattre avec la dernière fermeté ?

Donc, selon Nabum, si vous constatez qu’il est démentiel de faire venir par millions des immigrés à qui nous n’avons plus rien à proposer, alors vous êtes un infect raciste.
Si vous constatez que les immigrés font pression à la baisse sur les salaires pour le seul profit des oligarques, alors vous êtes un infect raciste.
Si vous constatez que le communautarisme des immigrés dissout la nation et laisse l’individu démuni face à la toute-puissance des oligarques, alors vous êtes un infect raciste.
Si vous constatez que tous les paradis multiculturels ont été des enfers, partout, en tous temps, alors vous êtes un infect raciste.
Si vous constatez que la grande majorité des crimes et délits sont le fait des islamo-africains, alors vous êtes un infect raciste.
Si vous constatez que des zones de plus en plus étendues sont à éviter à cause de la blancheur de votre peau, alors vous êtes un infect raciste.
Si vous constatez que l’islam a toujours été une religion de guerre et d’intolérance, alors vous êtes un infect raciste.
Si vous constatez qu’avec la complicité de politiciens pourris, les musulmans interdisent toute critique publique de leur religion, alors vous êtes un infect raciste.

Ce qui fait que, selon Nabum, je suis un infect raciste, mais... heureusement, Nabum est là pour sauver l’honneur de la race blanche (qui n’existe pas) : en démontrant par son article que de toutes les races (qui n’existent pas) les Blancs sont de loin les plus racistes, il a prouvé qu’il est tout le contraire d’un raciste.

Malgré les apparences, François Zéro n’est pas une limace endimanchée, c’est une marionnette de ventriloque. Passant par on ne sait où, une main invisible parvient jusqu’à sa petite tête et remue sa mandibule au rythme de la voix du manipulateur. Que dit ce ventriloque ? Ce qu’il a évidemment intérêt à dire : les nations sont obsolètes, l’UE nous protège de la crise, le libre-échangisme est inéluctable, le mondialisme est l’avenir radieux de l’humanité... Mais s’il le juge opportun, il fera aussi dire à sa marionnette que la Finance est son ennemie héréditaire, qu’elle lui déclare une guerre totale, qu’elle va s’attaquer pas plus tard qu’avant-hier aux paradis fiscaux... et même que le ventriloque est très méchant.
S’il est ridicule, le sketch n’est pas drôle. Pourtant il fonctionne parfaitement. Il fonctionnera tant que le peuple-enfant sera si obnubilé par la marionnette qu’il ne pourra voir le mauvais ventriloque qui parle en ouvrant grand sa sale gueule, tant que le peuple-pigeon s’entêtera à voter pour des marionnettes grotesques.

Moi président de la République, je ferai une photo officielle que me montrera tel que je suis.
Moi président de la République, je ferai ami-ami avec la haute finance apatride.
Moi président de la République, je serai sacrément surpris que la crise de la mondialisation dure plus de trois semaines.
Moi président de la République, j’armerai les islamistes de Syrie pour complaire à mes maîtres israélo-américains.
Moi président de la République, je ferai voter des lois délirantes sur le mariage et l’adoption en espérant que les Français seront si choqués qu’ils en oublieront que leur pays est en train de couler à fond.
Moi président de la République, j’ordonnerai à mes compteurs de manifestants de s’arrêter de compter à 300000, avant même le début de la manifestation.
Moi président de la République, j’ordonnerai à la police de charger les femmes et les enfants.
Moi président de la République, j’expliquerai que c’étaient des néo-nazis qui projetaient de mettre Paris à feu et à sang.
Moi président de la République, j’embaucherai comme ministres des crapules exemplaires.
Moi président de la République, je chanterai le grand air de la vertu outragée quand les crapules se feront choper.
Moi président de la République, je dirai « gouverner, c’est pleuvoir » et je serai drôlement content d’avoir sorti ma blague Carambar.
Moi président de la République, j’aurai l’air d’un con.
Moi président de la République, je m’en foutrai pas mal, car je serai président.

Ça devait finir comme ça : un président nul pour un Etat anéanti.