Indépendant de tout système. Epris de liberté (et de justice). Un brin parano, je laisse mon instinct me défier des manipulations et je m'efforce de comprendre mon prochain.
le « deux poids deux mesures » auquel je fais allusion, vous l’aviez deviné bien sûr, concerne le jugement à priori de la société et même la négation totale de l’attirance de certaines femmes envers des enfants. Et qui impute aux seuls hommes la charge infamante de la pédophilie. Puisse mon témoignage ouvrir les yeux à certains.
intéressant votre article car il rappelle en fait que la monarchie, exempte des pressions et des lobbies de tous ordres pouvait, si le Monarque était « de qualité », (ce qui n’était hélas pas toujours le cas) se consacrer utilement à son pays et à son peuple.
je pense que ceux qui ont accueilli avec dérision votre article, ne font pas l’effort de considérer une monarchie moderne, contemporaine, débarrassée de tous les oripeaux caricaturaux de la cour, avec une noblesse de plus en plus indigne qui a fini par exaspérer, à juste titre, les mieux intentionnés des sujets et laisser le champ libre aux sociétés secrètes et à la cupidité des marchands.
Beaucoup de gens encore dans la vie active et globalement d’accord avec les idées du FN craignent de se voir ostracisés dans leur vie sociale et plus grave dans leur travail.
Comme vous dites, le poison a été lentement distillé. Il a gangréné profondément les esprits.
Aujourd’hui beaucoup de gens ont saisi la supercherie de la diabolisation car ceux qui l’ont mis en œuvre sont d’évidence les mêmes qui soutiennent l’omerta sur le vol de souveraineté du peuple. Par contre les vieux réflexes et les « oukases » de non fréquentabilité fonctionnent encore à plein, même chez les gens qui pensent s’être désaliénés. Les trajectoires remarquables comme celle d’Alain Soral ne sont pas légions et le nombre des idiots utiles du système est encore suffisant pour rassurer nos oligarques.
Votre prose moqueuse est un modèle de salubrité publique. Elle apaise les tensions et nous rappelle, à l’instar de Balzac, que le monde est une vaste comédie. Elle a aussi le mérite de nous réconcilier malgré tout avec le genre humain, car tous ne sont pas des dupes ou des machiavel et beaucoup s’efforce d’agir en homme (ou femme) libre et sincère, « aux antipodes » de cette société du spectacle et de ses acteurs ou figurants hallucinés.