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barbouse, KECK Mickaël

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  • Premier article le 17/02/2009
  • Modérateur depuis le 28/05/2009
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Derniers commentaires



  • barbouse, KECK Mickaël barbouse 9 mars 2007 21:45

    soucieux d’être éclairci, je ne comprend pas bien la réaction qui consiste a étiquetté bayrou d’homme de droite, de la part du PS comme de l’UMP,à part vouloir nié la notion de centrisme, pourtant apprise dés l’école primaire, ou limité la casse.

    est ce qu’un homme qui considère que les entreprises qui sollicitent des marchés public ne doivent plus avoir le droit de posséder des groupe médiatiques, et par la même une influence orientée sur l’opinion, est de droite ? de gauche ? Ou tout simplement l’expression d’une conscience qu’une liberté à été phagocytée au détriment des citoyens et qu’il faut la leur rendre ?

    et ce n’est qu’un seul exemple avec lequel lorsque j’écoute du françois bayrou, même si je ne suis pas fan de son phrasé et de son vocabulaire un peu trop emprunté au bon ton désuet d’une certaine littérature classique,

    je suis dans l’impossibilité de considérer que le contenu de ses discours est de droite ou de gauche, mais force est de constater que ça n’a pas d’importance si ça répond franchement à l’intérêt du citoyen.

    et pour avoir constater a un modeste niveau, celui de l’associatif nancéen, a quel point l’idée que le meilleur de la démocratie c’est l’alternance gauche droite, est dépassée sur bien des aspects,

    parce que les couplets sur les vrais débats et les vrais choix, binaires, entre deux monopoles de la vision de la france qui font tout pour le rester, ne font plus guère illusions,

    sauf peut etre, excusez de l’ironie, pour ceux qui s’y accroche tellement « ils SONT » de gauche ou de droite, et depuis tant d’années, que l’idée qu’entre leur main droite et leur main gauche il puisse y avoir au centre une colonne vertebrale leur semble absurde...

    Néanmoins, qui n’a jamais eut le sentiment que les politiques passaient plus de temps a chercher de quoi alimenter leurs conflits et petites phrases mesquines,

    qu’à trouver et appliquer des solutions citoyennes pragmatiquement valables sans la teinté d’une idéologie qui dans bien des cas ressemble a de la vaseline avec des effets pervers ?

    peut être qu’effectivement une victoire centriste donne et à la gauche le temps de se refaire une crédibilité sans jouer au trompe l’oeil des consultations citoyennes,

    et un peu de notion d’humilité a une droite qui a force d’être au pouvoir oublie souvent que l’intérêt d’un peuple souverain n’est pas la simple somme de ses groupes de pressions et d’intérêt.

    Je suis arrière petit fils de mineur de fond encarté PC,petit fils et fils d’ouvrier encarté PS, tous volontier gréviste pour défendre leurs bifteck, et aujourdh’ui, grâce a leurs combat et efforts, je peu avoir une vie avec le temps de réflechir sans rentrer crevé du boulot.

    J’ai vue sur leur vies et la mienne ce qu’a donner les 30 dernières années d’alternance gauche/droite, et le mien de bifteck, comme l’avenir de ma famille nombreuse, métissée par endroit et avec des membre homosexuels, je le défend contre ségolène royal et contre sarkozy, qui pour des raisons différentes, ne sont ni l’un ni l’autre ceux qui incarnent la meilleur synthèse de l’intérêt de tous les miens.

    Les risques que représente bayrou, parce qu’il y en a, je les considère comme moindre qu’avec les 2 autres quand il s’agit d’avoir les commandes de l’executif.

    c’est un point de vue et une intention de vote qui ne dépend pas d’un sondage d’opinion ou jamais on m’a demandé mon avis,

    amicalement, barbouse



  • barbouse, KECK Mickaël barbouse 7 mars 2007 03:06

    il est toujours contestable, monsieur reboul, d’utiliser un esprit philosophique pour amalgamer et non distinguer les pensées religeuses des pensées politiques,

    alors qu’a priori la philosophie c’est d’abord la recherche du vrai, du juste et du beau.

    monsieur bayrou porte vérités ou illusions, projets valable ou utopie,

    il n’en reste pas moins que si c’est partagé par le plus grand nombre de français, les mécaniques électorales, politiques, sociales et sociétales s’adaptent et suivront l’expression du plus grand nombre ou décline et périclite.

    Et si la majorité des français exprime l’envie de voir la gauche et la droite faire la paix au nom de l’intéret citoyen, utopie ou pas,

    chaque camps sera bien en peine de dire « non, nous refusons de participer à ce gouvernement, nous refusons de travailler avec l’adversaire politique, nous n’avons pas été élu, démerder vous »

    Vous verrez que vous aurez bien des discours du style « nous avons bien compris le message des français, et préférons, dans l’intérêt de nos électeurs et du citoyen, participer avec nos idées et sensibilités dans l’action gouvernementale »

    Ensuite monsieur bayrou a précisé qu’il prendrai aussi des gens d’extrême gauche et c’est abstenu mais semble logiquement avoir la même attention pour l’extreme droite, du moins dans sa composante démocratique.

    Et si cela se met en place, chaque partie n’en devient plus que l’expression organisée d’un courant d’opinion et de sensibilité au sein d’un plus grand ensemble qui les englobe tous, que l’on qualifiera sans doute d’intérêt souverain de la france.

    Un ensemble qui en donnant à chaque famille politique une part du pouvoir executif permet au plus grand nombre de s’y retrouver, d’apaiser les climats belliciste intérieur, tout en les divisant pour mieux régner.

    Aussi, monsieur reboul, les illusions que vous déterminez avec vos poste ne méritent peut etre pas ce qualificatif,

    Ne pas y croire, c’est une chose, ne pas voir comment il peut faire, une autre, mais ne pas croire cela possible, c’est sous estimer la france.

    amicalement, barbouse.



  • barbouse, KECK Mickaël barbouse 6 mars 2007 15:00

    ah !!! les joies dans l’analyse des pertinences réthoriques en politique.

    Est ce que monsieur hollande a bien fait son travail sur le plateau de laurence ferrari ?

    Est ce que son travail ne consiste pas a dire ce qu’il faut dire, quitte à se répéter autant de fois qu’il le faut, au risque d’en devenir prévisible pour l’auditeur qui l’entend 2 fois ?

    L’inconvénient des propos directes ou allusifs a 2002, c’est qu’il se réfère a un traumatisme a l’importance variable pour l’ensemble de l’électorat,

    Il est certain que ce traumatisme a été plus grand au sein de l’équipe active du PS, moindre pour une partie de son électorat, moindre pour les centriste jusqu’a carrément un heureux événement pour la droite sur de gagner le 2 eme tour, sans parler du sentiment de revanche et d’espoir ressenti par l’extrême droite.

    le fond de cette démarche de positionnement du PS par rapport au FN consiste a dire, si vous ne voulez pas d’eux, votez pour nous.

    Hors on peu trés bien ne pas vouloir du front national sans pour autant oublier que monsieur jospin à fait campagne, soutenu activement par monsieur hollande, en argumentant sur « le sentiment d’insécurité » pendant qu’une partie des français avais sur la même année encaissé une hausse importante des actes de violence et de délinquance.

    De là a considérer que de leur bureau de l’époque, enfermé dans leurs conversations à volonté electoraliste, ils ont été jusqu’a dénier la réalité et minorer l’importance de ce bien commun appelé sécurité, le pas est vite franchi.

    alors a quoi sa sert, réthoriquement, d’utiliser 2002 ?

    rappelé a la gauche que si elle veut éviter l’affront elle doit voter utile, donc selon lui ségolène,

    ou rappelé pourquoi il y a eu 2002, et que même si on change la vitrine, que l’on passe du candidat a la candidate et qu’on affimes des méthode que l’on veut plus consultative,

    cette volonté d’être « a l’écoute » revendiqué sans même un mea culpa sur leur politique de la sourde oreille face aux douleurs citoyennes vis a vis de la délinquance,

    peut on en déduire qu’à force de parler à ses militants, soucieux de ressérer leur rang et de les rendre indéfectible en leur rappelant 2002,

    il oublie de parler aux français autrement qu’en entretenant des piques sur sarkozy ou bayrou, c’est a dire encore une fois en ramenant la politique a une question de personnes, et non a des questions de fond ?

    Pour ma part, lorsqu’on me parle de 2002, je me rappel aussi la peur sur le visage d’une amie fraichement aggréssée pour son portable,

    et la cicatrice que porte encore un ami depuis qu’il a eut l’outrecuidande de vouloir protéger sa copine d’une bande en boite de nuit.

    Le dimanche suivant, a la télévision, on entendait monsieur jospin parler d’un simple sentiment d’insécurité,et des commentaire comme « il ne faut pas faire le lit du FN », discours soutenu par monsieur hollande et leur équipes de campagne.

    Aussi la douleur réelle était dénié pour des considérations politiciennes, au lieu de faire de la politique son expression saine et argumenté pour le bien commun.

    dire que bayrou est de droite est-ce pertinent ?

    encore une fois c’est un argument pour serrer les rangs devant la crainte qu’une partie de la gauche ne vise au centre. D’ailleurs même la droite dit que bayrou est de droite, afin de limiter les risques.

    Mais est ce que ça prend en compte la réalité d’une population qui ne veut plus ni du PS, ressenti par ses politiques passées comme peu concluante, ni de l’ump au constat des dernières années ?

    Est ce qu’utiliser un étiquettage gauche/Droite face a un élan d’envie de passé a autre chose c’est le meilleur argument ?

    Et si profondément la population française a envie d’une vision d’elle même moins usé par ses querelles de familles politique

    Une vision plus unie de toutes ses forces, et si possible apaisé face au défis de l’avenir ?

    Ou encore est ce que la france n’a pas envie de finalement renvoyé la gauche et la droite dos a dos, en les obligeant a faire la paix par le centre ?

    Si c’est le cas, et à défaut de véritable c’est vraisemblable au vu de la percée de bayrou,

    est ce que s’acharner a l’étiqueté c’est le bon argument ou ça ne fait que prouver que l’on ne sait pas voir les autres autrement qu’en les étiquetant ?

    Systême si décriée quand il s’agit d’étiqueté au dénie de l’humain lorsqu’il s’agit de couleur de peau, mais finalement normal et acceptable lorsqu’il s’agit de projets politiques ?

    Monsieur hollande, et l’on peut bien comprendre et l’engagement et la pression qu’il a sur les épaules, même avec de bien meilleur argument dans son discours d’avant celui qui était si attendu de ségolène,notamment sur le droit opposable,

    se devrai de trouver un second souffle réthorique pour les semaines prochaines s’il veut convaincre au dela des sincérité engagé dans son camp.

    amicalement, barbouse.



  • barbouse, KECK Mickaël barbouse 6 mars 2007 13:13

    Il est toujours délicat de faire le distingo entre un acte irreversible comme le meutre et ce qui le motive, et cette difficulté entraine la quete de vérité entre les faits et leur interprétations.

    AD était à la fois armée d’explosif et d’idéologies d’extrême gauche, et leur crimes c’est autant de les avoir utilisés autant contre la vie de citoyens que contre les idéaux politique dominant au sein d’une démocratie, donc à priori légitime.

    Un crime perpétré par AD, et donc à la culpabilité partagée par ceux qui l’on composé, soutenu et orchestré, n’a effectivement rien a voir avec un crime de droit commun, ni de comparaison probante, si ce n’est dans certaine méthodes de terrain, avec le crime en bande organisée.

    Mais ces distingos sur les motivations n’empêche pas la fatale résultante. Que l’on soi tué par un conjoint jaloux ou par un militant extrémiste au nom de sa cause, on en deviens pas moins mort.

    Et la justice selon son principe de réparation, normalement autant à l’endroit des victimes qu’à celui du criminel, certe a stopper l’engrenage de la violence des armes, certe a prononcer les peines les plus importantes autorisées par la loi,

    mais semble pécher lourdement dans son rôle de réparation des criminels lorsque ces derniers, même avec autant d’années de détention, ne semble toujours pas avoir compris ni admis le caractère simplement meutrier de leurs actes par un usage aveugle et immodéré de la force de leur idéaux.

    En même temps peut on demandé a une personne qui voit sa vie défilée derrière les barreaux de ne pas s’accrocher a ses convictions, quelqu’elles soient, pour tenir le coup ?

    N’est ce pas un recours bien humain, faute de mieux, de s’accrocher a ce qui justifie ou explique a ses propre yeux, dans l’isolement d’une cellule, le pourquoi on est là, le qui on est, ou du moins qu’elle est cette part de notre identité qu’il a fallut enfermé, et qu’envers et contre tout, meme dans l’erreur, meme dans la mauvaise foi, on va préserver en soi,

    tellement la prison vous dépossède et de votre vie dans le cadre d’une peine a perpétuité, mais aussi de vous même.

    Je ne crois pas que la sévérité d’exception s’applique en fonction du comportement repentant ou non du criminel, mais uniquement par rapport a la gravité des actes commis.

    Et pour ceux commis par AD, il est évident qu’une société saine ne peut pas les laisser sortir sans une querelle de principes entre la volonté d’indéfectible de la loi pour les victimes, et la volonté d’une vision d’humanisme, même et surtout pour ceux qui par leurs actes ont prouvé qu’il en manquait.

    Mais aucun de ces principes ne ramène à la vie une victime, pas plus qu’ils garantissent l’un sans l’autre, la possibilité pour les vivants de continuer malgré les crimes, a vivre ensemble.

    Mais dans la volonté de réparation qui doit être celle de la justice, est ce que la peine déja effectué suffit au familles des victimes, ce sont-elles reconstruites au point et de pardonner et d’être prête a subir le contrecoup médiatique qu’engendre la libération des membres d’AD ?

    Et pour ces derniers, est ce que finalement revoir un peu la liberté de prêt, la vie au quotidien des leurs, n’est il pas un moyen de mieux comprendre par l’affect ce qu’ils ont enlevé à d’autres, comprendre leur peine de prison, et par la même comprendre et leur erreurs et le pourquoi leur vie c’est faite en grande partie derrière des barreaux ?

    Et pour la société, il vaux mieux pour quantité d’autres raisons qui n’ont rien a voir avec la réalité des crimes d’AD, mais sur son état plus de 20 ans aprés, est il un bon ou un mauvais signe qu’on relache des terroristes extrémiste tellement ses 2 mots sont placardés dans la presse depuis le 11 septembre 2001,

    et que faute de connaitre action direct, beaucoup peuvent y voir une énième preuve de faiblesse du systême vis a vis de leur idéaux d’aujourhd’ui.

    merci pour votre article, monsieur bilger, a défaut d’opinion spontanément pour ou contre, j’en sors avec de bonnes questions pour m’en former une.

    amicalement, barbouse



  • barbouse, KECK Mickaël barbouse 3 mars 2007 01:53

    Lorsqu’une question incite à la prédiction, meme sur 3 mois, elle déclanche forcément quantité de projections mentales sur un écran d’inconnues, motivées par une volonté de raison, par l’espoir, certain avec l’ambition d’objectivité, de trouver la vérité, mais finalement devant l’inconnu du score réel du premier tour, chacun se comporte en madame irma à ça façon.

    la certitude ne sera de mise qu’au soir du premier tour, lorsque la réalité du vote citoyen tranchera.

    parce que le jour du vote, dans son isoloire, qui sait quelles sont les motivations qui fondent dans ses quelques seconde où l’on met son bulletin dans l’envellope, LE choix ?

    certains votent par conviction, d’autres par éliminations, d’autres encore comme on joue au tiercé, espérant au moins placé son vote dans les 3 premiers, sans parler de l’abstention,

    quelles sont les grandes tendances a défaut de trouver des preuves dans une quelconque foi dans les sondages, les paroles des uns et des autres, et ses propres questions.

    l’effet bayrou, c’est parfois le choix d’un homme comparé aux 3 autre candidats majoritaire, parfois le choix d’un progamme, parfois un choix par rejet, par dépit, par envie d’enfin un peu de paix et de consensus utile, voir efficace, et meme l’espoir d’une citoyenneté enfin souveraine, au dessus des parties fagocitant son idéal dans le maintien de leur privilèges et intérêt. ( liste non exhaustive )

    les sondages, qui justifient l’impression d’un effet bayrou« ne tiennent pas 10 sc dans une prise de décision lorsqu’un parent finalement se demande » et s’il m’arrive quelque chose, sous quel président je peu espérer un peu de sécurité, un peu d’éducation, et un peu d’avenir valable aux miens« ou bien encore » mais finalement qui défend le mieux et mon intérêt privé et mon intérêt collectif"

    l’effet des sondages qui embrase les croyances en un « effet », de celui de ségolène avec l’envie d’une femme présidente, en passant par celui de sarkozy et ces effets de manches médiatiques, a aujourd’hui bayrou, pensez vous vraiment que cela compte autant dans la prise de décision dans le choix de l’envellope ?

    personnellement je voterai pour bayrou, parce qu’il a selon mes critère l’adéquation entre la personnalité, la compétence, la volonté,l’esprit d’analyse et la capacité d’indépendance décisionnelle nécessaire a la charge de président,

    il n’a pas une vision aussi nourrie de la réalité policière et judicière que sarkozy, ni la caisse de raisonnance aux problème sociaux qu’est le PS pour ségolène, sa carrure international n’est pas prouvée par quelque photos en voyages de poignées de mains, mais quel pays étranger ne voudrait pas la lui serrer s’il est élu ?

    il n’a pas prouvé comme sarkozy avec les émeutes qu’il sait gérer une situation de crise national, ni prouver qu’il allais faire de l’expression d’un certain nombre de « simple » citoyen une partie de son programme, comme ségolène,

    et pire que tout, il propose un pas vers l’inconnu, la révolution par le centre, avec des projets aussi peu débattu que valider ou invalider par les média, dans un flou assez artistique sur quelle sera la réalité du gouvernement s’il passe les 2 tours

    et pourtant je l’accrédite, en conscience, sondage favorable ou pas, d’etre le meilleur pour le poste,

    encore plus s’il arrive a canaliser démocratiquement autant que pragmatiquement l’espoir qu’avec lui l’expression pluriel de la france d’aujourdh’ui trouve un maximum de réponse, voir meme de repères, en ne clivant plus chacun dans une position plus ou moins de gauche ou droite, mais bel et bien faire passé l’humain citoyen dans un regard sur lui meme basé sur l’expression de ses sensibilités et identités par rapport a son centre et non ses cotés.

    ça a l’air de rien, mais ce changement « d’optique » permet de finalement collectivement accèpter l’idée qu’on peu etre de gauche et vouloir devenir entrepreneur motivée par le gain, ou de droite et aimer faire du bénévolat pour une cause social, et ce avec moins de crainte d’etre « juger » par son entourage humain,

    Demandez vous combien de travailleur sociaux révent d’etre en situation d’embaucher directement ceux qui passent dans leur bureau, et combien de cadres passent une partie de leur retraites en activiste du monde associatif dirigé vers les démunis, et si vous constatez qu’ils sont nombreux, alors demandez vous s’ils sont de gauche, de droite, ou d’abord citoyen avec parfois des vocations qui vont vers l’un ou l’autre coté.

    ce postulat centriste comme sa personnalité peuvent dégager des marges de manoeuvre et d’energie citoyenne, suffisante face a la réalité ? a chacun de l’estimer, mais qui sait...

    j’ai l’age des pari sur l’avenir avec peu de droit a l’erreur, je suis contre l’adoption par des couples homosexuel parce que je suis enfant adopté de parents divorcé, ce qui équivaut a une sorte de double peine, et je n’imagine pas quelle aurai été l’encore plus grand nombre de difficulté rencontré hier et demain si j’avais été enfant adopté de parent homosexuels divorcé, aussi en conscience je ne peu voter ségolène, par solidarité avec l’orphelin de demain, et meme si je comprend qu’etre homosexuel ne veut pas dire ne pas avoir envie d’enfant, ni etre incapable de les élever.

    J’ai grandis en banlieue, je connais la réalité du racisme, autant envers les « minorité visible », minorité calculée par rapport a la population majoritairement blanche a l’échelle nationale, que celui exercé sur une minorité blanche, calculée a l’échelle du quartier, par cette meme minorité qui là n’est plus que visible mais aussi délinquante. le racisme anti blanc, cet étrange réalité constater dans la chair blessé de concitoyens qui n’est jamais revendiquer comme un racisme combattu par ceux qui en font profession publique...

    le shit fumer dans les mêmes pièces que les enfants en bas âge, ce qui ne facilite pas leurs trajets scolaire, sans qu’aucune mesure pédagogique ni loi ni change rien, parce qu’on ne résoud pas l’effet d’un trois feuille sur un cerveau de bébé en en signant une autre. Et vérifier la hausse de l’illetrisme et la consommation en cannabis recenser, et vérifier s’il y a corrélation...

    j’ai cru, a un moment, que sarkozy avais pris mesure et conscience de ce genre de réalité, triste, sinistre, peu voir pas médiatiser de peur de stigmatiser ceci ou favoriser la haine, le pen, et autre raison qui sont peu en faveur du bébé qui aujourdh’ui paye juste le prix d’etre dans la meme pièce qu’un fumeur/fumeuse de joints, avec les conséquences que ça aura sur sa vie,

    entouré des laches qui s’expliquent le monde devant sa télévision comme autour de lui, qui parle meme de son intéret, ses besoin et son avenir, pour mieux discuter leur horaires et salaires en espérant qu’un jour il soit solidaire et paye leur retraite.

    au lieu de ça, j’ai constaté que de vrai faux dérapages verbale en volonté de se positionner en autorité crainte par les « sauvageons » il n’a rien proposer de concret ni eut la rigueur moral adequat pour utiliser les médias diriger vers lui pour faire réagir sainement l’opinion et les actions dans ses lieux dit sensible. il a eut une fenètre de tir pour changer les choses en banlieues, il n’a pas su la prendre.

    aussi reste bayrou, certe il se positionne plus entre les logique des parties que par rapport a une vision assez précise de la réalité française et de sa complexité, mais le management qu’il propose semble etre une issue par le haut, ou du moins en succite l’espoir.

    alors que restera t il de l’effet bayrou dans 3 mois, je crois que la balle est dans son camp, soi il ne feras pas qu’ orienter l’opinion vers lui mais réussira a la cristalliser en vote, soi il deviens ce qu’il ne veut pas etre, un simple acteur, certe avec un meilleur role,mais un acteur qui dis les paroles d’un autre, et regarde la scène se jouer en ne participant a l’action qu’entre les 2 lignes tracé par terre pour lui montrer son espace scènique politique.

    amicalement barbouse

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