Né en 1974, ex-étudiant en économie et en informatique.
Passioné d’économie politique mes auteurs préférés sont :
Hernando de Soto, Friedrich Hayek, Ludwig von Mises, Frédérique Bastiat, Alexis de Tocqueville, Benjamin Constant
etc...
« alors ce qui s’est passé c’est que cet homme d’affaires bien connu a voulu punir le gouvernement de l’avoir laissé tomber dans l’affaire executive life... »
ouep et il à ménagé ce coup là pendant 5 ans versé quelques million d’€ à son architecte, juste pour faire râler le gouvernement qui n’existait pas au début du dossier.
Première classe l’analyse.
Il n’avais plutot à 69 ans pas envie de l’inaugurer à titre posthume ou au millieu de chantiers urbains de 5 ans.
"je comprends pas cet argument, il va completement a l’encontre de ce que vous tenez de prouver (laborieusement).
la construction d’une cathedrale c’est quand même l’exemple ultime d’une entreprise déficitaire et donc sponsorisée (a tous les niveaux d’ailleurs, pas seulement par le privé). d’ailleurs si on y reflechit 2 secondes on s’en rend compte que la construction d’une cathedrale rèleve d’une volonté politique a grande echelle et n’a rien d’un acté spontané et/ou individuel."
Et bien au lieu de réfléchir deux secondes sur du vide et de vous en venter avec tant d’arrogance, renseignez-vous !
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« Mais dans le pays qui allait constituer la France, en dehors des possessions du roi d’Angleterre sur ce territoire, c’est essentiellement l’initiative locale qui prend en charge ces énormes dépenses. Les rois de France, jusqu’à Louis IX qui, notamment, donne 1 500 livres pour la cathédrale de Toul, ne participent en effet que pour des montants modiques à la construction de cathédrales. »
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« Le mécénat est la forme quasi exclusive de financement des cathédrales. Comme les dons sont rarement anonymes, seigneurs, bourgeois et artisans aiment à rappeler leur générosité en se faisant représenter soit sur des vitraux, soit sur des tableaux. René d’Anjou et Jeanne de Laval sont ainsi peints par Nicolas Froment au XVe siècle. »
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Précisément je ne les oppose pas voyez tous ces acteurs de l’art qui vivent du privé il n’y a pas une prédestination pour les artistes à vivre de subventions ! vous avez compris exactement l’inverse de mon propos, peut-être est-ce pour cela que vous me prenez pour un idiot.
« Dissuasif n’est-ce pas ? Seniors vous n’allez bientôt plus pouvoir partir de manière anticipée en plan social... »
Seniors, pauvres à vous, par démagogie les politiques viennent de vous supprimer tout espoir de retrouver du travail, quand cela se saura, les employeurs auront encore plus peur de vous embaucher, préparez-vous au chômage et à l’expliquer à vos enfants.
Le seul membre d’attac que je connaisse et qui aie lu les Autrichiens dans le but de les combattre à manqué sombrer dans la folie avant d’opter plutôt pour le libéralisme et être candidat d’AL http://www.said-bouaissi.fr
Cette ignorance n’est pas étonnante outre mesure, si les néoclassiques d’il y à 30 ans (concurrence P&P et autres vieux trucs) sont enseignés en france. Les rares représentants de l’école autrichienne y sont carrément ostracisés (le mot est faible) au point que ça remonte jusqu’a l’assemblée nationale.
Pascal Salin, l’un de nos meilleurs économistes, parmi les plus réputés internationalement, est attaqué en tant que président du jury d’agrégation (lire l’article de Roland Granier pour plus de détails sur cette institution). Dès le départ il était suspecté en tant qu’« ultralibéral » (ceux qui réfléchissent comprendront que cette notion n’a pas de sens rationnel, c’est juste un mot qui sert à désigner l’ennemi).
L’indigne CNU (Conseil national des universités)
Le jury a été timidement défendu lors d’une séance de l’Assemblée nationale. La question d’Hervé Novelli (UMP) était incisive et pointait bien le problème : le refus du pluralisme dans une Éducation nationale majoritairement de gauche et keynésienne, le terrorisme intellectuel organisé au plus haut niveau par des universitaires qui jouent à la lutte de classe. [...]