Né en 1974, ex-étudiant en économie et en informatique.
Passioné d’économie politique mes auteurs préférés sont :
Hernando de Soto, Friedrich Hayek, Ludwig von Mises, Frédérique Bastiat, Alexis de Tocqueville, Benjamin Constant
etc...
« Comment peut-on quantifier une notion sans lui donner la moindre unité observable ni mesurable ? Comment ose-t-on tracer une courbe »d’utilité« qui lie nécessairement deux NOMBRES celui de la variable (les quantités les prix ou les revenus suivant la variable choisie) et de la fonction (l’utilité) qui n’a pas d’unité, (donc pas de nombre) ? »
C’est exactement ce que nous disons « mais ce n’est peut être pas évident sans habitude », vous faites une sorte d’oxymore dans votre paragraphe. Rassuré ?
@Christophe Arvis
Je suis un peut votre chemin sans les voyages, je suis revenu à Tocqueville, Hayek, et Soto plus satisfaisant dans le monde réel.
Mon system n’est pas compliqué, vous avez juste à choisir entre 2 bulletins pour votre parti préfère. Le reste relève du conseil constitutionnel. Enfin, c’est vous qui voyez.
Par ailleurs il n’y a pas d’apparentement chez moi, c’est même l’inverse puisque je réduis drastiquement les motifs de marchandages entre partis.
La proportionnelle existait aussi sous la 3éme.
En 86 des élections ont eu lieu aussi avec un seuil de 5% que je sache la politique française n’a pas été submergé par les groupuscules.
http://www.election-politique.com/vrepublique1986.php
Je doute que le sénateur ne face pas grand chose toutes les démocraties ont une seconde chambre, ou alors je ne vois pas pourquoi vous voulez le garder, a moins que ce soit juste sa composition qui vous déplaise.
Personnellement je le remplacerais bien par un tirage au sort parmi les volontaires (plus quelques critères, inscrit comme électeur depuis au moins 20 ans par exemple), 150 « gagnants » élus pour 15 ans, renouvelables par tiers tous les 5 ans, ayant le même rôle que maintenant.
on utilise bien le tirage au sort pour décider d’enfermer un homme 30 ans et jadis pour le couper en 2. Alors pourquoi pas pour la seconde chambre.
"que ce soit Aragon le communiste, ou Céline le collabo antisémite, leur talent de poète ou d’écrivain n’a pas de rapport avec leur engagement politique.
Il en va de même pour tous les artistes, peintres, chanteurs ou autres.
Comprendre çà, c’est déjà reculer dans le dogmatisme aveugle et bête."
« Mr L’ami du laisser faire, relisez vos posts avant de les envoyer ou faites les corriger (ce n’est pas du laisser faire, évidemment) par les « plus offrants » »
Vous pouvez vous plaindre à l’éducation nationale.
Evitez de mélanger tout et n’importe quoi quand vous raisonnez Mr l’artiste.
@Patrick_Boissy
« La question est que la culture comme la recherche n’est pas rentable. Aucun festival culturel, aucun musée, aucun orchestre philharmonique, pas plus que les monuments historiques n’est économiquement viable. A partir de la en effet on peut soit décider de ne rien subventionner... ne subventionner que les œuvres du Patrimoine ou encore subventionner plus large pour tenter d’élargir notre influence artistique avec le risque en effet de se tromper. »
Si je vous lis bien, je dois comprendre qu’il n’y a pas d’art disons sans aide gouvernementale à la culture.
Pourtant récemment un homme d’affaire bien connu c’est vu empêcher de créer un musé d’art moderne dans les hauts de seine. Depuis 30 ans au moins l’art moderne selon cornette de Saint-Cyr est étouffé précisément par l’administration de l’art.
http://s1.yacast.fr/DATA_ARRAY_30/2006/10/03/549/0640_05.wma
Pourtant la France rayonne a travers son art depuis disons, le moyen age. Les cathédrales ont été financées par des fonds privés pour des chantiers durant des décennies.
« Le 5 novembre 1895, Andrew Carnegie, le roi de l’acier, inaugurait le musée qu’il avait décidé d’offrir à sa ville : « L’ensemble du monde civilisé se rendra compte, dans quelque temps, à la suite de notre pays, que notre Bonne Ville Enfumée de Pittsburgh, non contente d’être un centre industriel de premier plan, est entrée sur la voie royale pour devenir, selon nos plus solides prévisions, une capitale des arts et des sciences 2. » Quelques mois plus tard, il y organisait une exposition annuelle de peintres contemporains, avec jury et médailles, « à l’image de ce qu’est le Salon à Paris 3 ». Il avait décidé que Pittsburgh serait l’arbitre culturel du pays, l’« épicentre d’une onde artistique qui irradierait dans l’ensemble des États-Unis 4 ». »
Quand on voit un Jérôme Savary qui redresse l’opéra comique en 5 ans et que l’Etat après l’avoir mis ce théâtre en faillite 30 ans plus tôt le récupère par décret et le vire pour limite d’age.
http://theatre-danse.fluctuat.net/jerome-savary.html
A voir le nombre de galeries privés, de théâtres privés malgré la concurrence déloyale de l’Etat, on a du mal à comprendre pourquoi l’art ne permettrait pas aux artistes de vivre vraiment de leur art !
Ma thèse est inverse en fait, ce sont les subventions qui étouffent les vrais artistes et font passer pour tels des ronds-de-cuir subventionnés.