Né en 1974, ex-étudiant en économie et en informatique.
Passioné d’économie politique mes auteurs préférés sont :
Hernando de Soto, Friedrich Hayek, Ludwig von Mises, Frédérique Bastiat, Alexis de Tocqueville, Benjamin Constant
etc...
Les scores sont difficilement comparables rien ne dit qu’en échangeant les circonscription les scores seraient conservés par les candidats.
J’ai envisagé différentes solutions pour le classement, j’ai arbitré pour la solution qui détache le plus le résultat des caractéristiques de la circonscription dans la mesure où il s’agit d’un scrutin national.
Les appareils de partis pouvant déjà accorder les investitures « tel candidat défend nos idées, nous reconnaissons ses compétences, sa capacité de travail, etc... » ce qui est bien légitime, j’ai voulu éviter la distribution des circonscriptions faciles (genre Neuilly pour l’UMP) aux amis.
Notez comme je l’ai indiqué dans une des citations qu’a l’heure actuelle la population de certaines circonscription varie d’un facteur de 1 à 5 avec des élus ayant le même poids juridique.
Je n’ai pas trouvé de systèmes satisfaisants qui permettent de mettre à égalité les candidats indépendants avec les autres (que des choses approximatives). Cependant la combinaison du vote blanc significatif et de taux de soutiens faible devrait inciter les partis à mieux choisir leurs candidats.
Je compense ce défaut par l’existence de beaucoup de partis viables qui peuvent rivaliser pour attirer les bons candidats. Avec d’autres mécanismes complémentaires, je pense que c’est une bonne manière d’assurer l’indépendance.
Dans un scrutin majoritaire, il arrive que des « indépendants » soient justes là pour plomber de 2 ou 3 points un concurrent gênant.
J’aurais tendance à dire, il faut expérimenter, Dans une démocratie rodée comme en France avec un scrutin proportionnel les partis que vous citez n’auraient sans doutes pas de mal à avoir 5% quite à fusionner avec un voisin immédiat. Il faut que le débat politique garde une certaine lisibilité.
La question de la représentativité est bien plus vaste, par voix, en fonction du sexe, de l’âge, du milieu social, du métier, du culte, du lieu de résidence, le nombre d’enfants doit-il être comptabilisé.
On a bien un conseils économiques et social, un sénat, une loi sur la parité etc...
Je crois que le seul mode représentatif est le referendum, ou peut-être n tirage au sort on le fait bien pour les juris.
Plus qu’une représentativité mon objectif est de pouvoir virer les pourris (si ça ne marche pas c’est à désespérer ) et éviter la concentration des pouvoirs.
Si j’ai compris la dernière question c’est bien la première solution.
« je suis en profond désaccord avec vos idées mais je me battrais jusqu’à la mort pour que vous puissiez les exprimer »
ça ne justifie pas que les politiques quelque soient leur bord, subventionnent des musiciens avec l’argent du contribuable (« jusqu’a la mort ») quelque soit le contenu des chanssons.
Si avec 47% d’électeurs anti-sarkosy, ils n’arrivent pas à trouver des spectateur pouvant apprecier leur travail il n’on qu’a changer de métier, mon propos serait le même si les opinions étaient inversées.
Quand au « centre culturel », il devrait en effet être vendu au plus aufrant et l’argent rendu au contribuable.
« Il est à noter que les deux plus grands opposants à la réforme envisagée par le président George W. Bush sur l’impôt sur les successions il y a quelques années, furent Bill Gates et Warren Buffet, les deux plus grandes fortunes aux Etats-Unis, au nom du refus d’une société de rentiers contraire, selon eux, à une société d’entrepreneurs. »