Bastienou Carcajou

Vous êtes trop abrupt dans vos jugements et vos commentaires sont truffés d’erreurs, toujours dans le même sens. La position de Zola sur la Commune, par exemple.

Vous semblez n’avoir lu et lire encore que ce qui va dans votre sens. Votre culture est hémiplégique, pour paraphraser Aron.

Je lis vos productions avec intérêt mais je regrette que vous ne soyez pas plus nuancé. Tout ce qui est excessif est insignifiant.

Cordialement

@ lsga (---.---.---.105) 20 octobre 14:01

“ Ce qui fait mal, plus que tout, dans “ La Débâcle ”, (publiée en 1892), ce qui n’est pas digne de Zola, c’est le jugement qu’il porte sur Paris et l’image abjecte qu’il nous donne des origines de la Commune ” (l’oisiveté et l’alcool sont les deux raisons d’adhérer à la Commune) [Henri Guillemin]

Ouvrage pour avoir une autre vision de Zola, le « socialiste » et se faire une idée :

Julie Moens, “ Zola l’imposteur ”, les Editions Aden

Bourgeoisie :

Le bourgeois se caractérise par son esprit : son repli sur lui-même, son goût pour le gain, sa recherche du bien-être sans considération de l’avenir, son affection familiale réduite à l’héritage matériel, sa conception marchande de l’existence, son incapacité à donner, son refus du risque et sa préservation de la vie à n’importe quel prix, sa négation de son propre peuple et de ses valeurs, son ignorance totale du sacré. Bref, le bourgeois, c’est bobo.

Déclaration des Droits de l’Homme de 1789

Art. 10. Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l’ordre public établi par la Loi.

Les lois qui interdisent d’exprimer une opinion sont scélérates. Votées par des gugusses qui n’ont que les DDH à la bouche, elles violent allégrement les dits droits.

Je n’approuve pas du tout les propos de Dieudonné, mais je pense qu’il faut choisir : soit les citoyens sont capables d’entendre des idées et de juger de leur pertinence, auquel cas toute loi réduisant la liberté d’expression est tyrannique ; soit les citoyens ne possèdent pas cette capacité et la démocratie est un leurre.

Ici, la loi est préventive, c’est à dire qu’elle suppose le trouble à l’ordre public. Si un démocrate peut m’expliquer où est la liberté là-dedans, je suis preneur.
Si un type émet une idée et que cette idée débouche sur le trouble à l’ordre public, sa condamnation est conforme aux DDH, mais si cette déclaration, aussi horrible qu’elle nous paraisse, n’entraine aucune manifestation violente - même si cette violence n’est pas physique,comme l’entrave à la liberté de circulation, par exemple - la sanction contrevient à la déclaration des DDH.

Cordialement

L’Armée est républicaine, elle n’a participé à aucun coup d’État et lorsque certains de ses membres sont devenus factieux, elle n’a pas suivi.

Souvent, les « gens » se moquent des militaires qui ne pensent pas et obéissent aveuglément. Ils servent leur Patrie en se pliant aux ordres légaux des élus du peuple. Pions conscients, légalistes par sens du devoir, ils n’expriment leurs opinions politiques que dans les urnes.

Imaginez un seul instant que les militaires discutent les ordres ou pire les transgressent, voilà que pour le coup, l’Armée perdrait sa légitimité républicaine et alors, oui, ce serait le début de la tyrannie.

Il ne faut jamais se laisser emporter par son idéologie. L’Armée française n’a jamais était factieuse depuis la Révolution, elle ne saurait donc être traitée d’instrument du fascisme.

Cordialement.

Pour augmenter les chances de réformes décisives pour le budget de l’État, il serait préférable de préparer un catalogue car elles doivent toucher de nombreux secteurs, puis de les présenter dans un seul projet afin qu’il apparaisse clairement qu’elles sont justes et nécessaires et demandent un effort à tous les Français.

La fiscalité, le Sénat mais aussi l’Assemblée Nationale, l’AME, les allocations versées aux exogènes, les avantages des entreprises sans contrepartie quantifiable, le mille-feuille administratif et ses multiples tentacules, les aides sociales diverses qui doivent être simplifiées car plus personne ne s’y retrouve, la liste n’est pas exhaustive.

Napoléon, sans moyens techniques équivalents à ceux existants aujourd’hui à créer les codes dont un certains nombres nous régissent encore. Il est donc inutile de dire, c’est difficile, voire impossible, vocable dont le même Napoléon disait qu’il n’était pas français et de retrousser ses manches pour obtenir un résultat.

D’autant que l’on pourra alors balancer ce résultat dans les gencives des technocrates de Bruxelles avant de leur botter le fion pour les foutre dehors.

Cordialement