Une dernière information publiée dans la presse économique allemande
qui présente la dernière ’’invention’’ de la BCE pour retarder (une
fois encore) la chute de notre système bancaire et sauver, surtout
l’existence de l’Euro.
CHAPEAU : « La France a obtenu de la BCE la permission
d’imprimer de la monnaie sur un programme d’obligations pratiquement
illimité. L’affaire porte sur des banques non désignées (littéralement
“banques de l’ombre”) et c’est une bulle (qui se mesure) en milliards.
La BCE veut empêcher que l’Allemagne interfère se mêle du sauvetage de
la France. » ’’Le monde bancaire français s’est à
nouveau développé de manière extrêmement créative et s’offre avec le
marché STEP un programme de création de crédit totalement innovant
quoiqu’à court terme une licence toute spécifique pour battre monnaie.’’
Ainsi le marché des créances court et moyen terme français peut
bénéficier du programme STEP et donc ces titres sont potentiellement
éligibles en garantie des opérations de refinancement de l’Eurosystème.
- la Banque du
Japon se lance dans un programme de dévaluation compétitive
- les
Etats-Unis continuent leur QE, fabriquant de la fausse monnaie à la
photocopieuse
- chute du cours de l’or brutale
et des matières premières, organisée par la FED aidée par
Goldman-Sachs, HSBC, JP Morgan afin de reconstituer ses stocks d’or
-
la croissance de la Chine ralentit fortement impactant celle des autres
pays. Pauvre Hollande qui a fait, lors de son arrivée, le pari stupide
d’une amélioration de la croissance française grâce à une relance
économique exogène (USA, Chine).
Sans être pessimiste, tout ça a un parfum de fin du monde ou du moins de l’Euro, maintenu sous perfusion.
Encore merci pour cet excellent article où il est démontré que les banques ont des intérêts transnationaux, où le ’’capital’’ est apatride et surtout ne connaît pas les frontières.
Une dernière information publiée dans la presse économique allemande qui présente la dernière ’’invention’’ de la BCE pour retarder (une fois encore) la chute de notre système bancaire et sauver, surtout l’existence de l’Euro.
CHAPEAU : « La France a obtenu de la BCE la permission
d’imprimer de la monnaie sur un programme d’obligations pratiquement
illimité. L’affaire porte sur des banques non désignées (littéralement
“banques de l’ombre”) et c’est une bulle (qui se mesure) en milliards.
La BCE veut empêcher que l’Allemagne interfère se mêle du sauvetage de
la France. » ’’Le monde bancaire français s’est à
nouveau développé de manière extrêmement créative et s’offre avec le
marché STEP un programme de création de crédit totalement innovant
quoiqu’à court terme une licence toute spécifique pour battre monnaie.’’
Ainsi le marché des créances court et moyen terme français peut bénéficier du programme STEP et donc ces titres sont potentiellement éligibles en garantie des opérations de refinancement de l’Eurosystème.
Les évènements se succèdent et s’entrechoquent : - la Banque du Japon se lance dans un programme de dévaluation compétitive - les Etats-Unis continuent leur QE, fabriquant de la fausse monnaie à la photocopieuse - chute du cours de l’or brutale et des matières premières, organisée par la FED aidée par Goldman-Sachs, HSBC, JP Morgan afin de reconstituer ses stocks d’or - la croissance de la Chine ralentit fortement impactant celle des autres pays. Pauvre Hollande qui a fait, lors de son arrivée, le pari stupide d’une amélioration de la croissance française grâce à une relance économique exogène (USA, Chine).
Sans être pessimiste, tout ça a un parfum de fin du monde ou du moins de l’Euro, maintenu sous perfusion.
L’article rédigé par l’HEBDO indique que c’est ’’l’armée qui a eu la peau de Cahuzac’’ en précisant que les ’’fuites’’ viendraient de la DCRI, et non de la DRM.
Problème : la DCRI dépend du Ministère de l’Intérieur, donc hiérarchiquement de Manuel Valls.
Cependant, Antoine Peillon, journaliste à la Croix, a publié un article sur le rôle de la DCRI en matière de transmission de renseignements sur la fraude fiscale.
Pauvre petit Benoit, qui en juin 2009, n’avait plus aucune rémunération pour vivre après avoir perdu son siège de député européen. Bon les copains lui ont trouvé un job à l’Université de Paris VIII, où il enseigne ’’les organisations internationales dans l’UE’’ WIKI