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  • Bracam Bracam 8 mars 2012 01:29

    Soit, on s’y fait, au bruit et à la fureur, enfin on essaie très fort. C’est comme si c’était fait, n’en parlons plus. Ce sont donc tous les autres qu’il faut enchanter. Comment franchir la si haute barrière, la « digue »... que la forme que si souvent le discours de JL Mélenchon rend si difficile à vaincre, pour tant de gens qui pourtant partagent nombre de ses idées et trouveraient en lui leur meilleur porte-parole ? C’est eux qu’il faut maintenant convaincre. Que j’aimerais l’entendre dire les mêmes choses sur un ton plus agréable, et je ne parle pas des meetings, évidemment.Quoique, sa détestation violente du FN l’emporte, et ne sert pas forcément sa lutte aussi bien qu’il serait possible, me semble-t-il. Par exemple, j’ai vraiment apprécié son entretien au sujet de l’Histoire, à France Culture. Je l’ai trouvé bien à TF1, mais « ingérable » face à Elkabbach, qui pourtant l’admire. Mais Mélenchon ne l’entend pas... Combien j’aimerais aussi qu’il cesse d’agresser les journalistes, de les harceler sur un ton qui leur donne à croire qu’ils sont interpellés personnellement. Quelle perte de temps et d’énergie passé à remonter la pente, sans toujours dissiper les malentendus, ni chez les interviewers, ni, plus grave, chez le téléspectateur ! Non, on ne fait pas de révolution, citoyenne, la révolution, et démocratique, le béret à la main. Mais cela ne va pas non plus à grands cris, sans l’aide du fusil.Et comme JL : Mélenchon proclame son amour de la démocratie, point de fusil (ce que ne comprennent pas toujours ceux à qui il fait peur). Je suis altéré par la quasi certitude que Jean-Luc résiste contre le bon sens à cette supplique de le voir s’emporter moins, peut-être parce qu’il croirait trahir, perdre son âme et celles de ses amis du peuple. Ah, si notre voix militante pouvait nourir sa réflexion dans le sens du conseil qu’amicalement nous aimerions lui faire entendre !



  • Bracam Bracam 7 mars 2012 23:54

    A l’auteur, et son lecteur :

    peut-être cela vous a-t-il échappé, mais j’estime que nous spectateurs sommes capables par nous même de nous faire une opinion sur l’émission politique que vous vous efforcez de décrire selon VOTRE grille de lecture. Pour moi qui suis partisan sous condition de l’homme Mélenchon, je me passe très bien de la manière désagréable et sommaire dont vous le réduisez à un extrême commun avec le FN, dont on peut probablement raisonnablement relever la constante dangereuse. J’ai été étonné et j’ai trouvé remarquable comme vous la prestance de M. Le Pen, puis pour le reste, vous passez après la bataille, commentant avec une facilité contestable un exercice qui se déroulait en direct, sur des points secondaires par exemple, prétendant juger de la qualité d’un programme en disséquant mot à mot, attitude contre attitude, le discours d’une ou d’un candidat à la présidence du pays. C’est une véritable obsession qui prend le pas sur une conception un peu plus élevée des défis de société capitaux que nous devrions relever, lesquels nécessitent sans doute de trouver un vrai capitaine et non pas un serviteur zélé du système qui nous jette dans le mur. JL Mélenchon dénonce d’ailleurs cette « dissection » monomaniaque de tous ceux qui défendent leur petit pré carré, et posent des questions sur la souffrance animale quand l’avenir de l’humanité se joue actuellement. Dans ces conditions, la stature du candidat, sa force et sa motivation, son humanisme s’il existe, tout cela constitue la femme ou l’homme candidat que ne révèlent pas les préjugés mais l’écoute attentive de la parole. Cela, je le répète, je préfère m’en rendre compte par moi-même que de me convertir à votre extrême analyse.

    J’éprouve la désagréable impression que la vision de Mélenchon, ses excès effectivement difficiles à accepter, ses agressions ou réponses hors sujet le rendent hélas souvent insupportable et donc provoquent le rejet même de gens qui partagent en fait ses convictions profondes. Il faut donc écouter aussi avec son coeur. Il faut passer outre et s’attacher à son humanisme (eh oui !) et à la vision qu’il a d’un avenir orienté sur la solidarité et le partage, la justice et la République (dont il entend refonder la Constitution). Il faut chercher la vérité et s’abstenir de procès en sorcellerie, si médiocres et veules parfois même : il y a tellement plus digne à faire, tellement plus vital pour l’avenir ! Quoi qu’en disent les autres candidats, je n’entends rien d’aussi fort et fondamental, dans un contexte où la révolution est à craindre. S’il nous est possible de choisir, avant qu’il ne soit trop tard, une révolution citoyenne, démocratique, républicaine et pacifique, telle que Mélenchon en parle, en lieu et place du chaos, la question ne se pose guère. Le choix, difficile comme tout changement majeur de société, comporte a priori une promesse d’avenir viable, et le rappel incessant, à charge, de l’expérience du candidat, comme si un CV devait être un document compromettant ; la discussion vaine et souvent calculée de détails sans rapport avec les enjeux réels, masquant les buts poursuivis et donnant lieu à des critiques inextricables, tout ceci s’oppose à l’élévation d’esprit indispensable pour s’extraire du bourbier dans lequel nos systèmes de « valeurs » nous ont enlisés. Non, l’élection présidentielle ne se présente pas comme un supermarché dans lequel le citoyen serait autorisé par le droit de vote à faire ses emplettes, par pur confort et opportunisme. Cette manière de voir la politique relève du domaine du monde de la consommation et du « showbiz », mais en rien de l’âge adulte du démocrate. Oui, nous devons faire la part de choses, admettre l’impossibilité de trouver un candidat en qui rien ne nous heurte, abandonner sans doute quelques illusions, et viser au bien commun. A mesure que nous y contribuons, nous pouvons espérer un monde meilleur pour tous. Et cela, vous ne le trouverez pas chez les Le Pen.

    On ne change pas de monde sans concessions de part et d’autres ; par contre, le monde lui change sans nous demander notre avis, trop souvent de manière brutale et dramatique. Dans ce contexte, le capitaine capable de choisir une route meilleure ne saurait la proposer à mots feutrés : Mélenchon n’est pas extrémiste, mais républicain et démocrate, ce qui est bien plus rare qu’on ne le croit.



  • Bracam Bracam 29 février 2012 23:38

    Mais bien sûr, Philippe est plus franc que Jean-Luc. Ça ne se discute même pas, mouarf... Ceci dit, Marcel, de la Rue du Pont, est encore plus franc que Philippe, mais personne ne le connaît. J’ai souffert aussi lors de la première apparition de Ph. Poutou chez Ruquier, de l’indécence de ces gens. Et la 2ème était aussi grotesque, sous couvert de paternalisme et de suffisance renouvelée. Voilà une réalité ; de là à dénigrer la stature et la qualité de JLM, faut pas pousser. TRop de gens semblent croire que leur soutien à un tel n’a pas de valeur sans dénigrer tous les autres. C’est assez primaire, et contre productif. Que je sache, on peut aimer plusieurs personnes, et soutenir la mieux placée.



  • Bracam Bracam 29 février 2012 23:26

    Nous sommes une si belle assemblée à partager avec lui l’espoir d’un vrai changement que j’en rêve, de ce Président, premier et deuxième tour smiley



  • Bracam Bracam 29 février 2012 23:21

    Si votre abstention porte Sarkozy ou Le Pen au pouvoir, puissiez-vous vous en mordre les doigts.

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