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  • Bracam Bracam 5 avril 2012 18:22

    Merci Fergus

    Certes ; je me demande à qui l’inaccomplissement pèse le plus :

    le pragmatique qui gère ses « états d’âme », ou l’utopiste, disons ?



  • Bracam Bracam 5 avril 2012 18:19

    à Cool Mel 5 avril 08:37

    je ne vois pas grand chose de contradictoire dans ce que vous dites, mais plutôt un éclairage différent, complémentaire. C’est une question de point de vue tout premièrement et de sensibilité, en ce qui concerne l’analyse des problèmes et la manière de s’y prendre pour progresser. A votre manière, (pardon, mais je n’ai pas analysé vos prises de position) vous êtes aussi un idéaliste.

    Que c’est triste, ces gens qui détestent les rêveurs... qui sont-ils, sont-ils nombreux ? Je n’en sais rien ; j’en ai beaucoup lu, je peux imaginer que vous n’en soyez pas. Cependant, bien que j’apprécie la finesse du mot « se gausser », qui n’est pas la pire attitude donc (quoi d’autre alors qui puisse sembler « moins pire », l’indifférence, le dédain...), je ne crois pas que votre position réclame, pour en assoir la valeur, d’écarter les autres. J’ai connu l’impatience et l’espoir de la jeunesse, ce sont des vertus que le pragmatisme revendiqué détruit.

    En particulier, puisque l’homme est pétri de contradictions et d’émotions, chacun à sa manière, et parfois bloqué par un manque de compréhension qui lui fait mépriser ce qu’il ne conçoit pas, je demande la reconnaissance de la plus grande fragilité de certains, et de leur valeur pourtant réelle bien souvent dans la société. Autrement dit, j’en appelle au respect de ces rêves qui parfois en effet suscitent la douleur, puisque le rêve est d’un accomplissement rare. Qualifier la souffrance de « bête », l’empathie de « stupide », comme s’il était simple de résoudre ce genre de composantes intimes par la force et le rejet, ne me convainc pas, fut-ce en réponse à un conflit que vous pourriez avoir la bienveillance d’alléger. Pour prétendre le faire, il faut être un sacré utopiste…



  • Bracam Bracam 5 avril 2012 02:46


    Que c’est beau, un texte qui dit la beauté et l’espoir, la volonté de l’utopie et de la fraternité. J’ai suivi également avec bonheur ce rassemblement, et d’autres encore.

    Que c’est triste, tous ces gens qui détestent ceux qui rêvent d’avenir ; qu’ils sont laids dans leur âme et leur corps qui pèse si lourd de ce fardeau de la médisance, de la rancoeur, de la haine si souvent. Ne savent-ils donc rien faire d’autre ?

    Je ne sais pas si ce forum, avec tant d’autres, déforme à l’extrême, par effet de grossisement, la réalité de ce que seraient en fait les citoyens. C’est vrai que nous n’en sommes peut-être qu’une toute petite représentation, engagée, et qu’en de tels medias se déchaînent autant les passions humanistes, la foi aveugle aussi, que ce que la nature humaine peut produire de plus abject, lorsque l’on touche le fond.

    En attendant mieux, prenons le parti de l’humanité, sans lequel rien n’est possible...



  • Bracam Bracam 3 avril 2012 22:48

    De quel beau degré de civilisation témoigne ce grand pays, et sa langue que l’on châtiait bien pour l’aimer trop je suppose. Voici son empêcheur de tourner en rond, dit le Sage... la merde, quand vous la touillez, elle tourne en carré ? Si un jour nous revenons à un peu de correction dans le langage, de respect de celui-ci et de ceux qui s’en servent, faite-moi signe. Je vous lirai sans doute. Je sais, c’est conne ben dites qui a commencé :(

    Voilà donc l’état de l’Art : si tu veux exprimer le fond de (la pensée qui gît en) ton pot de chambre, fais-le donc en termes orduriers. Sinon personne ne t’écoute, préjugé numéro un. Et après moi, le déluge de l’égout, qui paraît-il fait briller les trois couleurs.



  • Bracam Bracam 30 mars 2012 23:54

    Cher ami, nous nous comprenons, tout le monde a raison à son niveau d’intervention ou de lecture, tout est dans tout et son contraire, le débat citoyen y’a bon, et tout ce qui s’en suit.

    Mais vous parlez de haine... Haine, ce mot sur lequel je m’interroge depuis quelques temps, cherchant vainement quelle autre expression employer pour exprimer l’inexprimable sentiment de déchéance du sentiment humain de l’un pour l’autre. Parce que j’ai bien aussi l’impression que peu de gens assumeraient face à face ce que leur clavier semble écrire à leur place, propos outrancier et grossier à de trop nombreuses occasions. L’analyse de l’auteur m’a d’emblée intéressé, puis je me suis senti « largué » dès le tiers de l’article, un certain malaise survenant que vous exprimez à votre manière.

    Mais la haine ? Cherchons le mot juste ; lorsque j’aurai pu me délivrer de mes propres incapacités à l’expression de la complexité de la pensée contemporaine et de la mienne médiocre, peut-être aurez-vous de votre côté trouvé la réponse. Je l’attends avec impatience smiley

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