23 ans, je fais des statistiques en recherche agronomique.
J'essaie de m'intéresser à l'actualité pour voir ce qui va m'arriver en pleine poire. Je ne devrais certainement pas :-)
Claudec, je ne comprends vraiment pas pourquoi vous vous obstinez à ne pas vouloir prendre en considération le point de vue de la base de cette pyramide dans vos réflexions. Vous tournez en rond là.
Pour conclure : si demain mon gamin a un professeur habillé en jupe, muni d’une paire de seins et avec des longs cheveux, je n’aurais pas eu besoin de lui apprendre ce stéréotype, il en déduira tout seul que c’est une femme. Et je suis opposé à l’idée qu’on lui enseigne que ça pourrait être un homme, par tolérance pour les travestis... Parce que le genre de stéréotype qu’il faudrait alors briser, ce serait plutôt, du genre, que tous les mots se terminant par « ou » prennent un « s » au pluriel. Qu’il n’y a que des nombre positifs. Que les verbes terminant par « er » sont du premier groupe.
Non excusez moi c’est un stéréotype, il existe une infinité d’espace où 2+2 est différent de 4, et je dirais même qu’il existe infiniment plus d’espaces mathématiques où 2+2 ne font pas 4 que d’espaces mathématiques où 2+2 font 4.
De fait, dire 2+2=4 est une généralisation abusive au niveau des maths actuels. C’est un peu comme dire que la Terre est ronde, où que la Terre tourne autour du Soleil, ça ne correspond pas du tout aux standards scientifiques contemporains.
Pourtant en éducation il faut commencer par quelque chose. Alors on commence par des généralités qui correspondent à l’observable. Sur la table de l’élève de CP, deux billes et deux billes ça fait 4 billes. Et ça c’est des stéréotypes. Nécessaires.
Oui, la science part d’une observation et l’élargit, et la généralise ensuite. Partir du général pour arriver au particulier est un non-sens éducatif.
L’expression « résistance progressiste » m’a bien fait rire. Il doit être dur de reconnaître que vouloir conserver des acquis sociaux c’est être conservateur.