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Bulgroz

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  • Bulgroz 12 octobre 2008 23:03

    civis1

    La crise a son origine quand les démocrates Carter puis Clinton se sont mis dans l’idée de loger les pauvres et réhabiliter les quartiers déshérités.

    En France, pour loger les pauvres : On augmente les salaires (forget it) ou on fait du logement social ou de l’aide à l’accession à la propriété dont les coûts sont pris en charge par la collectivité.

    Il n’y a pas à tortiller : un pauvre ne peut pas accéder à un logement ou accéder à la propriété par les seules lois du marché. Il faut qu’il soit aidé par la collectivité à moins de lui fournir une maison pour nains..

    Aux USA, les Démocrates (qui sont la tendance gauche du Lepen de chez nous) ont confié aux banques plus ou moins sous contrôle fédéral le soin de préter aux pauvres. L’administration se chargeant de donner la liste des quartiers défavorisés où il était obligatoire de préter sous peine de sanction.

    http://www.ffiec.gov/cra/

    Et comme les pauvres ne pouvaient pas payer les prêts comme de bien entendu, on a inventé la titrisation qui est la confétisation des pertes. Au lieu que ce soit la banque prêteuse qui fasse les pertes et ne puisse faire de nouveaux prêts, on a revendu des confétis de pertes mélangé avec d’autre confétis : 1/3 d’actif bon, 1/3 d’actif moyen, 1/3 frelaté. et avec la norme IFRS, la valeur comptable certifié par les commissaires aux comptes passe de 100 à 150, vendu 170 à quelqu’un qui le revalorise à 190. 

    On peut même se poser la question si les actifs frelatés en cause n’ont pas été revendus plusieurs fois. Car les subprimes sont contenus dans des instruments financiers qui agglomèrent jusqu’à 250 confétis différents. Comment s’y retrouver ?

    Dans l’exemple donné plus haut, la perte officielle est de 90 (l’argent soi disant disparu de Forest Ent). Le vrai argent lui est toujours de 100, c’est la valeur de la maison. et cette valeur n’a pas disparu même si la maison perd de la valeur. La banque vendra peut être la maison 90 en dernier ressort mais il y a bien quelqu’un qui va acheter pour 90 ce qui valait 100, il fera une économie de 10 contre une perte de 10 pour le vendeur.



  • Bulgroz 12 octobre 2008 22:32

    Eloi,

    Par lassitude et devant votre insistance, je voulais vous répondre point par point mais quand je lis :

    "Un riche qui fuit ne mérite pas son énorme avantage par rapport aux autres.
    "

    Je me dis que cela n’en vaut pas la peine.

    Qui êtes vous pour marteler de telles sonneries ?

    Savez vous les diverses manières de devenir riche ?



  • Bulgroz 12 octobre 2008 20:02

    Forest,

    Quelque soient les origines de la crise, c’est bien cette norme IFRS qui a servi à enfumer ces bulles absurdes.



  • Bulgroz 12 octobre 2008 19:53

    Forest,

    Dans l’esprit des experts autour de ce G4, ce retour à cette règle est avant tout recommandée pour solutionner la crise.

    De très négatif (et discutable), le bilan des banques doit passer à positif (réel) qui serait de nature à restaurer la confiance entre elles.

    Car le problème est plus celui des doutes sur les solvabilités réciproques que celui des liquidités.



  • Bulgroz 12 octobre 2008 18:47

    Moi, qui suis beaucoup plus éduqué, (émoticon doublé), pour la métempsychose, je pensais surtout à ça :

    http://www.cnrtl.fr/definition/m%C3%A9tempsychose

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