Un africain fait un bilan lucide de la décolonisation :
Le samedi 30 juin 2007(jour de la fête de l’indépendance) à Matadi, Simon Mbatshi, le gouverneur du Bas-Congo a sans équivoque fait le bilan de 47 ans d’indépendance du Congo : « le constat qui se dégage est bien là tristement sous nos yeux. Fleuron de la colonisation belge en Afrique, le Congo Kinshasa s’est laissé distancer par les pays qui en 1960 avaient le même niveau de développement que lui. Le Congo s’est fait distancer par de très nombreux pays africains sans ressources naturelles conséquentes au point de figurer parmi les dix pays les plus pauvres du monde.
Ainsi, les formidables infrastructures routières, ferroviaires, fluviales, agro-industrielles, industrielles, minières, sanitaires, scolaires, universitaires, administratives et autres héritées de la colonisation belge et qui faisaient de la RDC le pays le plus développé de l’Afrique sub-saharienne, ont, pour la plupart, totalement disparu, laissant la place à des pistes en terre difficilement praticables et à un véritable champ de ruines.
Au vu de ce constat, certains en sont même arrivés à se poser la terrible question de savoir qui du colonisateur belge et du dirigeant congolais a véritablement aimé ce pays et ses habitants. »
A chacun de donner sa réponse à cette question, a fait savoir le gouverneur Mbatshi, la sienne étant « d’une évidence que ne peut contester tout bon sens » !
C’est inexact, le Tu144 était obligé de voler la majorité de son temps de vol en subsonique et ne faisait que quelques pointes en supersonique car la consommation de ses moteurs était trop forte.
Le pisco péruvien vaut bien le chilien. Tout dépend des goûts de celui qui consomme, de la distillerie et de la gamme de pisco que produit ladite distillerie ^_^
J’ajoute que la cuisine péruvienne est variée et originale contrairement à la chilienne qui est plus internationale.
Par contre l’Inca Cola n’est vraiment pas, si j’ose dire, ma tasse de thé
En Belgique c’est le bourgmestre qui donne les autorisation de manifester, le fait que le gouvernement soit toujours « en affaires courantes » n’y change donc rien.