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Cangivas

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  • Cangivas 1er mars 2008 02:29

    @Bernard Dugué

    Votre propos mérite d’être nuancé.

    La France est faite d’une multitude de pays avec chacun son identité dans tels ou tels domaines suivant les territoires. Et franchement, c’est heureux (ce qui est malheureux est que je ne connais pas tous ces pays, il y en a trop).

    Le problème est ailleurs. Il y a identité et identité. L’une ouverte, reconnaissant les autres, qui partage. L’autre fermée, obsédé par elle-même, qui divise.

    Quand l’auteur écrit "l’intégrité du territoire breton doit être respecté" on voit tout de suite le type d’identité à laquelle il souscrit. Celle qui marque son territoire tel un chien levant la patte. Celle qui distingue - sans marquer la moindre pause - Nous et les autres.

    Vu le niveau médiocre des bretonnants, quand j’en rencontre dorénavant, j’ai pris le partie de militer pour l’Armorique libre.

    Ces mêmes bretonnants justifient leur position par le fait que la Bretagne, elle, a une identité forte. Ah bon ? Parce qu’en Armagnac, dans le Couserans et dans une multitude de pays en France, il n’y aurait que des blaireaux vivant dans des territoires pourris ? Selon moi, les bretonnants souffrent d’un complexe de type sarkozyste.

    Associer "Bienvenue chez les Ch’tis" et la Breizh Touch n’a aucun sens. Cela participe de deux logiques complétement opposées. Mais bon, fidèle à ses habitudes, le bretonnant n’est pas à une falsification près.

    Autant aller boire un canon avec un Ch’ti, un Gascon, un Saintongeais, un Bourguignon, ... ou un Armoricain.



  • Cangivas 24 janvier 2008 02:24

    S’agissant de Cohn-Bendit et de Marchais, je n’ai toujours pas compris pourquoi le premier voyait (et voit encore) de l’antisémitisme dans la formule de Marchais quand celui qualifia Cohn-Bendit d’"anarchiste allemand".

    De même, j’ignore (si quelqu’un a la réponse, merci) si le slogan "on est tous des juifs allemands" trouve son origine dans la formule de Marchais ou alors d’un membre du gouvernement Pompidou.

    Pour l’anedcote - d’où mes questions ci-dessus -, il y a une huitaine d’années, je discutais avec un Québécois juif qui m’expliquait que l’antisémitisme n’avait jamais cessé d’exister en France après-guerre, y compris au plus haut niveau de l’Etat, en me rappelant et citant ce slogan "on est tous des juifs allemands"... comme preuve de l’antisémitisme du gouvernement de l’époque et de de Gaulle.

    Ps : effectivement, durant cette émission, Cohn-Bendit a traité Marchais d’"ordure". Cela aurait mérité une explication, un éclairage utile et historique, de la part de Cohn-Bendit.



  • Cangivas 21 janvier 2008 16:23

    A l’auteur,

    Je veux bien accepter, j’accepte même, ce que vous écrivez.

    Mais... au problème (perte des repères, injustices, ...) quelle (autre) réponse proposez-vous ?

    Si le progrès, la nation, les frontières, le totalitarisme, la communauté ethnico-machin, panem et circenses ou le chacun-pour-soi, c’est fini, illusoire ou dangereux... quelle réponse (plus ou moins folklorique, qui ne soit pas trop abstraite ou irréaliste, et soit à la portée du premier gugusse venu) reste-t-il aux individus pour conserver quelques repères ? 

    Je dis cela sans vouloir donner de leçons vu que je suis dans le brouillard intégral.

    Cela dit, faut s’attendre à tout, y compris que Sarkozy (ou un autre) nous sorte que la forte consommation d’antidépresseurs en France a pour origine la faible espérance, croyance ou pratique religieuse des Français.

     



  • Cangivas 21 janvier 2008 14:31

    A l’auteur,

    J’ignore quelles sont les ambitions profondes de Sarkozy (et des autres politiques cités).

    Mais à partir du moment où le principe de la Nation est contestée (tant à gauche qu’à droite, pour des raisons différentes), il me semble que le retour des religions (avec leurs solidarités transcendant certains clivages) est dans l’ordre des choses pour assurer une (relative) cohésion sociale.

    Je ne suis pas très instruit mais n’est-ce pas la République (et la Nation) qui ont remplacé la religion comme lieu où s’exprime les solidarités, l’appartenance commune, etc. ?

    La nature ayant horreur du vide, la disparition ou le déclin d’une organisation communautaire appelle l’émergence d’une ou d’autres organisations.

    Est-ce que Sarkozy met en avant la religion pour répondre (fusse maladroitement, à défaut d’autres idées) à l’éclatement de la société ?

    De plus, l’homme nouveau, nomade ou mondialisé, c’est bien beau, mais (à l’exception par exemple de ceux appartenant au club des milliardaires) à quoi, à quelle communauté, cet homme-là peut-il se raccrocher ?

     

     



  • Cangivas 17 janvier 2008 15:58

    La France est une puissance politique au niveau international.

    On ne peut pas prétendre jouer un rôle sur la scène internationale et se limiter à croiser au large de l’Île d’Oléron.

    Ce faisant, la France patrouille dans le Golfe Persique. Ahmadinejad ou pas. Tensions Usa-Iran ou pas.

    Ce faisant, disposer d’une base où elle pourra, entre autres avantages, réparer sur zone n’a rien de fondamentalement stupide.
     

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