L’émotion peut bloquer l’acquisition du savoir si elle n’est pas établie comme élément d’apprentissage.
L’enfant ne reconnaît pas les valeurs négatives de certaines émotions : toutes sont expression de son moi, donc estimables.
Heureusement, car ces émotions sont autant de richesses pédagogiques pour l’enseignant : à lui de trouver les passerelles à établir avec le savoir, de donner à l’enfant les moyens de les exprimer en progressant dans ses apprentissages.
A lui de faire naître des émotions, de les recueillir, de les laisser s’exprimer et de les investir dans le savoir.
Puisqu’ici une nounou garde les enfants d’agora le W.E, on va lui poser des questions sur ses patrons :
sont-ils payés pour rediriger les déçus de la gauche vers le centre, pour fermer définitivement les voix de gauche ? Car qui les entretient, ces journalistes à prix d’or en ces temps de disette pour les médias libres ?
Comment peuvent-ils être si libres en ces temps d’entraves médiatiques ?
Il faut bien des moyens exceptionnels pour la naissance d’une pensée dite citoyenne.
Sont-ils en faits sarkozystes dans l’âme envoyés ici sous masques de théâtre pour ficher les internautes ?
Leur perspicacité contredit trop leurs grands discours sur le respect des libertés.
Jusqu’où va leur pouvoir ?
S’attaqueront-ils aux choix personnels ?
Quelle culpabilité de dépasser la virtualité pour s’immiscer dans la vie privée tout en chantant les libertés !
Et on nous reproche de disséquer les mots quand d’autres espionnent les êtres virtuels !
Le virtuel cherche sa place dans le brouillage des rôles.