On pourrait encore parler du financement par répartition ou par capitalisation.
Le principe par répartition est en passe d’être sacrifié aux intérêts des banques et des assurances, notamment, la Poste n’étant pas la seule à proposer ce genre de produit.
Seul le financement par répartition peut pourtant garantir une solution collective fiable.
Pourtant, les réformes actuelles imposent des solutions individuelles : l’investissement par capitalisation en est une, mais les jeunes sont encouragés à chercher des solutions diverses, telles que les placements dans l’immobilier. Ils ont compris que leur retraite dépendra de leurs moyens actuels d’épargne, et se reportent de préférence dans les vieilles valeurs déjà éprouvées.
Et certains ont trouvé un écho favorable à leurs aspirations au printemps dernier.
Ce paramètre reste pour eux décalé des réformes à venir : pourquoi parler de constituer une retraite si âge de cessation d’activité est repoussé jusqu’à 65 ou 70 ans ?
Pour eux la priorité est le présent à vivre, l’avenir n’offrant pas de perspective.
Même si les trains ne circulent pas, on fait tout pour éviter de rater son rendez-vous : Leila a souhaité un bon dimanche à tous et les réponses attendues ont été apportées. Le doute et le silence favorisent la confusion. Cela mérite-t-il une chasse aux sorcières ?
La sincérité dans le respect de la justice, d’égalité et de liberté est reconnue. C’était la question posée.
Un bouclier levé suffisait.
Faut-il un sceau à cette déclaration ?
Ne plus rabâcher, mais avancer. L’actualité l’exige, c’est autrement plus important.
La rancoeur ne peut être constructive : les politiques feraient mieux de s’occuper de la déchéance humaine grandissante à leur porte.
Belle famille, plus de travail, couple se débattant puis éclatant, plongée dans l’alcool, explosion familiale, huissiers, démobilisation, déchéance, autre vie sans avenir, survivre pour vivre.
C’est le quotidien d’hommes, chômeurs pour 40 % d’entre eux.
Oubli coupable du discours des penseurs et décideurs.
L’article ne tient pas compte d’un élément important : le rapport aux émotions évolue dans le temps, la sociabilisation atténuant ou normalisant l’expression des émotions.
le petit enfant n’accèdera au savoir qu’à travers ce champ émotionnel, puis en se décentrant progressivement par rapport à l’émotion il accèdera à une autre approche du savoir.