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Cassiopée R

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  • Cassiopée R 12 octobre 2012 14:50

    Une société sans argent est ce qui va se passer lors de l’hyperinflation. De nos jours, nous obtenons presque tout contre paiement, et c’est pourtant l’argent qui va manquer à l’échelle de la société.


    Les échanges de marchandises et de services se font par l’argent, pour se nourrir, boire, revenu du travail, se déplacer, se soigner ou s’informer. Hors, une crise financière mondiale va dévaloriser le rôle de l’argent, par des prix en milliards d’euros ou de dollars, inaccessible en masse par échanges financiers.


    La dépendance de l’argent est-t-elle que le mode de vie passe par la monnaie, au niveau individuel comme collectif. Ceci se manifeste dans la ruralité qui est aussi dépendant que le monde urbain. Pourtant l’hyperinflation va obligatoirement rompre cette dépendance pour les habitants de ce mode de vie financier.


    Des solutions ont été déjà vu en temps de crise, des solidarités nouvelles pour maintenir une cohésion sociale, mais sachant que les associations à but sociale comme Emmaüs, fonctionnent avec de l’argent, donc ne sont pas adapter à un transfert vers une société sans argent.


    L’hyperinflation qui sera mondiale, par l’inter-dépendance des économies de la planète, va intégrer le survivalisme en société


    Lien google

    http://www.google.fr/#hl=fr&gs_nf=1&cp=9&gs_id=x&xhr=t&q=survivalisme&pf=p&output=search&sclient=psy-ab&oq=survivali&gs_l=&pbx=1&bav=on.2,or.r_gc.r_pw.r_qf.&fp=b2c0f83198be615a&bpcl=35243188&biw=1093&bih=514



  • Cassiopée R 9 octobre 2012 16:30

    Les rendements qu’exigent la finance son de nature destructrice. La part de profit que se fixe pour s’enrichir, et à 2 chiffres, et se veut de plus en plus élevé, comme si il fallait accepter idéologiquement cet enrichissement, qui se fait au détriment de nombreuses espèces.

    Pour expliquer les dérives on parle de court-terme, de vision à court-terme, mais la finance va encore plus loin puisqu’elle théorise ce concept d’accumulation des profits, comme une nécéssité de vie en civilisation. Comme si cette production de richesses constante était possible, et se devait d’être continue, ce qui est matériellement impossible dans un monde aux ressources limitées.

    Les ressources naturelles ne peuvent suivre ce rythme de production qui génère de nombreux profits, et les êtres humains ne peuvent se protéger dans l’avenir avec la redistribution des revenus actuel, qui ne leurs permets pas de se stabiliser en société durant une période même minime, alors que le productivisme est et a été très élevé (moins de 20 heures par semaine dans les sociétés traditionnelles), et en plus par rapport au biotope naturel.

    C’est l’attitude du train qui fonce dans le mur, si on ne décide pas de le ralentir, alors l’issue est inévitable. Il en est de même pour notre civilisation, au niveau écologique comme financier.

    Cet accroissement des rendements sur des années n’est plus possible, il faut un temps d’arrêt et de redistribution des richesses, pour faire face aux défis comme le réchauffement climatique, la surexploitation des ressources naturelles ou la redistribution des revenus pour la cohésion sociale, a contrario de profits destructeurs.



  • Cassiopée R 9 octobre 2012 15:05

    La généralisation de la précarité en société s’est effectuée par la proposition en masse de contrats précaire, les jeunes ont été très durement frappés par ce choix financier, soutenus et appliqués par les politiques.


    Les salaires proposés ont été nettement réduis, même pour vivre au niveau de vie en société, alors que dans le même temps, les multinationales (et leurs propriétaires et actionnaires) ont bénéficiés d’une fiscalité faible pour l’implantation de grandes entreprises, d’un non-paiement des impôts et, de reversements de l’ Etat qui se chiffrent en plusieurs centaines de millions (voire plus).


    Lorsqu’on débute dans le milieu du travail, il est impossible de démarrer financièrement dans la vie puisque les salaires sont volontairement faible ou non-rémunéré (gratuit). Le prétexte partenariat public-privé, était que les politiques parlent, de démarrer dans le mileu du travail, qui a été dit de même par les services de com’ des multinationales ou grandes entreprises. C’est un nivellement des salaires par le bas et du niveau de vie par le bas, qui mets aussi en danger les recettes publics, pendant que des responsables publics et privés profitent des législations à bas salaires.


    Le commerce international augmente constamment son volume des richesses créées, et ceci dans de nombreux domaines dont les revenus.


    Les contrats précaires se sont développés par la législation, et concernant tous les secteurs d’activités. Ainsi c’est une baisse des revenus générale, avec des contrats en dessous des normes ou conventions légales (le Smic en France), qui sont des contrats aidés (qui rapporte énormément aux entreprises), des contrats de moins de 25 ans, des stages à bénéfice à taux plein pour les patrons car légalement gratuit et encore bien d’autres.


    Ce qui contraste avec les salaires colossaux et bénéfices des multinationales, des propriétaires, des actionnaires de la finance,ect...qui se rapproche de plus en plus de celui des Etats, les dépassant parfois.


    Le partenariat des hautes administrations publique nationale et/ou internationale (FMI, Banque mondiale,...), et des multinationales, a abouti à la mise en place de contrats précaires en salaire, et d’une généralisation de la précarité tandis que le volume des richesses augmente constamment.



  • Cassiopée R 5 octobre 2012 14:56

    Le capitalisme a modifié les lieux géographiques des sources d’approvisionnements comme l’alimentation, l’hygiène et les produits de première nécéssité. Jadis au centre ville, la plus grande masse se situe en périphérie de nos jours, et crée une dépendance à l’utilisation d’énergie, au prix de l’énergie et, à effectuer de longue distance (marche à pied).

    Lors de krach économique, comme l’hyperinflation, les lieux de consommation sont éloignés géographiquement. Cette distance a de l’influence car les courses pèsent lourds en poids, et ne sont que faiblement réalisable pour des habitants des environs. De plus, les prix se calculent en milliards, et deviennent inaccessible par le paiement, ce qui n’empêchera pas les gens d’aller vers ses lieux de consommation.

    Comme les centres commerciaux avec grande surface concentrent sur un petit périmètre, les ressources d’alimentation, d’hygiène et de produits de première nécéssité, pour vivre en société. Les petits commerces ayant quasiment disparus pour répondre à une demande urbaine, et aussi à la campagne.

    L’accès à certains types de consommation doit demeurer local, ce qui permets de s’organiser et de se protéger en cas de crise. Le survivalisme (voir sur internet) devenant par là-même, le seul moyen pour survivre en société.



  • Cassiopée R 5 octobre 2012 14:41

    La notion de bonheur est à tort dans nos sociétés, reliée au travail. C’est à la fois une vision médiatique incitant à prendre n’importe quel emploi, et en plus au niveau social, ce qui est (injustement) obligatoirement dans la discussion, pour juger l’autre par "vous êtes un être en difficulté car vous n’avez pas de travail".

    C’est déjà faire semblant d’accepter que l’accès au travail est facilement réalisable, ce qui est faux. De plus les contrats à titre gratuit ou faiblement rémunérés ne sont pas des tremplins, mais la masse d’emplois la plus proposés : contrat à durée déterminée, à temps partiel ou stages gratuit.

    Les revenus sont devenus si faible, qu’ils ne permettent plus de faire face aux dépenses pour vivre en société. La hausse des prix généralisée par la spéculation et l’augmentation constante du prix de l’inflation ne sont pas suivis par celui des salaires, avec des contrats de plus en plus précaire.

    Malgré l’immobilier hors de prix (location et achat) et la cherté de la vie, la pression des êtres humains entre eux, des médias, des psychologues, de tous types de relation sociale comme professionnelle, amical et familial, vient à faire croire que le travail résouds tous les problèmes divers et variés, sans prise en compte d’autres facteurs de la société actuelle.

    La durée du temps de travail dans les sociétés capitalistes ne permets pas à une masse démographique aussi énorme d’accéder à l’emploi. Surtout que les revenus sont faibles par rapport aux richesses créées, et l’on ne peut même pas avec ce productivisme à durée de temps de travail élevée (il y a moins de 20 heures par semaine dans les sociétés traditionnelles) se protéger sur une période de temps même minime.

    Ce qui surexploitent par le temps de travil et les ressources disponibles locales ou autres régions du monde, ne sont pas des travailleurs mais des exploiteurs. Ils ne font pas travailler mais exploitent des humains à leurs comptes.

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