Une société sans argent est ce qui va
se passer lors de l’hyperinflation. De nos jours, nous obtenons
presque tout contre paiement, et c’est pourtant l’argent qui va
manquer à l’échelle de la société.
Les échanges de marchandises et de
services se font par l’argent, pour se nourrir, boire, revenu du
travail, se déplacer, se soigner ou s’informer. Hors, une crise
financière mondiale va dévaloriser le rôle de l’argent, par des
prix en milliards d’euros ou de dollars, inaccessible en masse par
échanges financiers.
La dépendance de l’argent est-t-elle
que le mode de vie passe par la monnaie, au niveau individuel comme
collectif. Ceci se manifeste dans la ruralité qui est aussi
dépendant que le monde urbain. Pourtant l’hyperinflation va
obligatoirement rompre cette dépendance pour les habitants de ce
mode de vie financier.
Des solutions ont été déjà vu en
temps de crise, des solidarités nouvelles pour maintenir une
cohésion sociale, mais sachant que les associations à but sociale
comme Emmaüs, fonctionnent avec de l’argent, donc ne sont pas
adapter à un transfert vers une société sans argent.
L’hyperinflation qui sera mondiale, par
l’inter-dépendance des économies de la planète, va intégrer le
survivalisme en société
Les rendements qu’exigent la finance son de nature destructrice. La part de profit que se fixe pour s’enrichir, et à 2 chiffres, et se veut de plus en plus élevé, comme si il fallait accepter idéologiquement cet enrichissement, qui se fait au détriment de nombreuses espèces.
Pour expliquer les dérives on parle de court-terme, de vision à court-terme, mais la finance va encore plus loin puisqu’elle théorise ce concept d’accumulation des profits, comme une nécéssité de vie en civilisation. Comme si cette production de richesses constante était possible, et se devait d’être continue, ce qui est matériellement impossible dans un monde aux ressources limitées.
Les ressources naturelles ne peuvent suivre ce rythme de production qui génère de nombreux profits, et les êtres humains ne peuvent se protéger dans l’avenir avec la redistribution des revenus actuel, qui ne leurs permets pas de se stabiliser en société durant une période même minime, alors que le productivisme est et a été très élevé (moins de 20 heures par semaine dans les sociétés traditionnelles), et en plus par rapport au biotope naturel.
C’est l’attitude du train qui fonce dans le mur, si on ne décide pas de le ralentir, alors l’issue est inévitable. Il en est de même pour notre civilisation, au niveau écologique comme financier.
Cet accroissement des rendements sur des années n’est plus possible, il faut un temps d’arrêt et de redistribution des richesses, pour faire face aux défis comme le réchauffement climatique, la surexploitation des ressources naturelles ou la redistribution des revenus pour la cohésion sociale, a contrario de profits destructeurs.
La généralisation de la précarité
en société s’est effectuée par la proposition en masse de contrats
précaire, les jeunes ont été très durement frappés par ce choix
financier, soutenus et appliqués par les politiques.
Les salaires proposés ont été
nettement réduis, même pour vivre au niveau de vie en société,
alors que dans le même temps, les multinationales (et leurs
propriétaires et actionnaires) ont bénéficiés d’une fiscalité
faible pour l’implantation de grandes entreprises, d’un non-paiement
des impôts et, de reversements de l’ Etat qui se chiffrent en
plusieurs centaines de millions (voire plus).
Lorsqu’on débute dans le milieu du
travail, il est impossible de démarrer financièrement dans la vie
puisque les salaires sont volontairement faible ou non-rémunéré
(gratuit). Le prétexte partenariat public-privé, était que les
politiques parlent, de démarrer dans le mileu du travail, qui a été
dit de même par les services de com’ des multinationales ou grandes
entreprises. C’est un nivellement des salaires par le bas et du
niveau de vie par le bas, qui mets aussi en danger les recettes
publics, pendant que des responsables publics et privés profitent
des législations à bas salaires.
Le commerce international augmente
constamment son volume des richesses créées, et ceci dans de
nombreux domaines dont les revenus.
Les contrats précaires se sont
développés par la législation, et concernant tous les secteurs
d’activités. Ainsi c’est une baisse des revenus générale, avec des
contrats en dessous des normes ou conventions légales (le Smic en
France), qui sont des contrats aidés (qui rapporte énormément aux
entreprises), des contrats de moins de 25 ans, des stages à bénéfice
à taux plein pour les patrons car légalement gratuit et encore bien
d’autres.
Ce qui contraste avec les salaires
colossaux et bénéfices des multinationales, des propriétaires, des
actionnaires de la finance,ect...qui se rapproche de plus en plus de
celui des Etats, les dépassant parfois.
Le partenariat des hautes
administrations publique nationale et/ou internationale (FMI, Banque
mondiale,...), et des multinationales, a abouti à la mise en place
de contrats précaires en salaire, et d’une généralisation de la
précarité tandis que le volume des richesses augmente constamment.
Le capitalisme a modifié les lieux géographiques des sources d’approvisionnements comme l’alimentation, l’hygiène et les produits de première nécéssité. Jadis au centre ville, la plus grande masse se situe en périphérie de nos jours, et crée une dépendance à l’utilisation d’énergie, au prix de l’énergie et, à effectuer de longue distance (marche à pied).
Lors de krach économique, comme l’hyperinflation, les lieux de consommation sont éloignés géographiquement. Cette distance a de l’influence car les courses pèsent lourds en poids, et ne sont que faiblement réalisable pour des habitants des environs. De plus, les prix se calculent en milliards, et deviennent inaccessible par le paiement, ce qui n’empêchera pas les gens d’aller vers ses lieux de consommation.
Comme les centres commerciaux avec grande surface concentrent sur un petit périmètre, les ressources d’alimentation, d’hygiène et de produits de première nécéssité, pour vivre en société. Les petits commerces ayant quasiment disparus pour répondre à une demande urbaine, et aussi à la campagne.
L’accès à certains types de consommation doit demeurer local, ce qui permets de s’organiser et de se protéger en cas de crise. Le survivalisme (voir sur internet) devenant par là-même, le seul moyen pour survivre en société.
La notion de bonheur est à tort dans
nos sociétés, reliée au travail. C’est à la fois une vision
médiatique incitant à prendre n’importe quel emploi, et en plus au
niveau social, ce qui est (injustement) obligatoirement dans la
discussion, pour juger l’autre par "vous êtes un être en
difficulté car vous n’avez pas de travail".
C’est déjà faire semblant d’accepter
que l’accès au travail est facilement réalisable, ce qui est faux.
De plus les contrats à titre gratuit ou faiblement rémunérés ne
sont pas des tremplins, mais la masse d’emplois la plus proposés :
contrat à durée déterminée, à temps partiel ou stages gratuit.
Les revenus sont devenus si faible,
qu’ils ne permettent plus de faire face aux dépenses pour vivre en
société. La hausse des prix généralisée par la spéculation et
l’augmentation constante du prix de l’inflation ne sont pas suivis
par celui des salaires, avec des contrats de plus en plus précaire.
Malgré l’immobilier hors de prix
(location et achat) et la cherté de la vie, la pression des êtres
humains entre eux, des médias, des psychologues, de tous types de
relation sociale comme professionnelle, amical et familial, vient à
faire croire que le travail résouds tous les problèmes divers et
variés, sans prise en compte d’autres facteurs de la société
actuelle.
La durée du temps de travail dans les
sociétés capitalistes ne permets pas à une masse démographique
aussi énorme d’accéder à l’emploi. Surtout que les revenus sont
faibles par rapport aux richesses créées, et l’on ne peut même pas
avec ce productivisme à durée de temps de travail élevée (il y a
moins de 20 heures par semaine dans les sociétés traditionnelles)
se protéger sur une période de temps même minime.
Ce qui surexploitent par le temps de
travil et les ressources disponibles locales ou autres régions du
monde, ne sont pas des travailleurs mais des exploiteurs. Ils ne font
pas travailler mais exploitent des humains à leurs comptes.