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Cassiopée R

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  • Cassiopée R 11 septembre 2012 19:36

    La société capitaliste a modifié l’être humain dans ses habitudes de vie. Le capital se nourrit du capital, cette course aux profits a créée les conditions d’une marchandisation de la société et du Vivant.


    Auparavant (et encore dans de faibles régions du monde), le temps de travail était moins important sur une semaine, moins de 20% du temps libre, c’est à dire en dessous de 20 heures de travail par semaine.


    La situation de vie était plus ou moins proche de l’auto-suffisance. Les prix étaient bas, et étaient marginal sur l’ensemble de la société. Un conflit ou un autre événement (ex : climatique) aurait à terme les mêmes répercussions  : rationnement ou pas, selon les époques anciennes ou d’aujourd’hui.


    Pour que le capitalisme puisse fonctionner à l’état d’une société, il lui fallait non suelement des lois, la capacité de créer de la monnaie, mais pour être productif et très présent, changer le temps de travail.


    Ainsi le temps de travail a occupé la semaine entière, de manière obligatoire pour avoir un revenu. Car cette abondance productive va inonder les marchés, et obliger l’individu à respecter le temps de travail choisi, n’ayant que peu ou pas d’alternative. Ce temps de travail va être étendu dans tous les secteurs d’activités de la société.


    Cette hausse du temps de travail va être (parfois) suivi d’une promesse d’une augmentation de ses revenus, par rapport à une société non capitaliste. La société va passer d’un mode de vie à bas prix, à une hausse des prix pour expliquer l’augmentation de revenu souhaité, tout en exigeant des rendements de plus en plus élevés même s’ils deviennent insoutenable, à la fois en quantité et fiancièrement.


    Après une législation du temps de travail (élevée) sur tous les secteurs d’activités, la hausse des prix et l’abondance des produits créent une marchandisation de la société (produits fabriqués,ect...) et du Vivant (agriculture,ect...).


    Il y alors une dépendance individuel et collective au fonctionnement de l’économie financière (monétaire). Par l’ouverture des frontières et un afflux massif d’importation, la dépendance n’est plus locale, et ne permets plus d’être plus ou moins proche de l’auto-suffisance.


    Une autre dépendance est celle de la hausse des prix, qui ne peut plus permettre à l’individu de survivre
    - financièrement- (hyperinflation). L’endettement individuel ou des pouvoirs publics profitent de nouveau au capital. C’est pourquoi certains comme les Indignés aux Etats-Unis ont parlé des 1% qui concentrent les richesses.



  • Cassiopée R 7 septembre 2012 16:18

    « Être payé, et pas pillé, c’est sympa, non ? »

     

    C’est encore plus sympa quand des travailleurs chinois se pointent en Afrique, en Jordanie et dans d’autres pays pour exploiter les richesses sans contribuer aux travails locals.

     

    C’est sympa aussi de pas avoir de droits de travail, pas de protection sociale ou de droits de revendications individuels ou collectives pour les libertés ou les droits du travail.

     

    C’est tellement sympa que quand ce modèle s’implantera en Europe (grâce au commerce préférentiel), que vous allez devenir moins sympa, sauf si vous lisez les chiffres sympas.



  • Cassiopée R 4 septembre 2012 20:38

    L’endettement des Etats, des régions, des collectivités locales et des ménages sont très élevés, et si on les additionne ensemble, le taux d’endettement général est encore plus important : plus de 500 % du PIB parfois. Ceci est en contradiction avec l’augmentation constante du volume des richesses mondiales.

    La doctrine depuis plusieurs années est une baisse massive des impôts pour les plus fortunés et les grandes entreprises, donc de favoriser la concentration des richesses. Dans le même temps, les banques connaissent des injections massives de liqudités, dépassant plus de mille milliards de dollars ou d’euros facilement, rien que sur une année.

    Le phénomène de l’endettement des Etats, régions, collectivités locales et ménages va des pays importateurs de produits ou de services, aux pays qui relocalisent les entreprises ( Chine, Inde,…), dans les 2 cas les dettes ont explosés.

    Les plans d’austérité ne concerne que les services publics, la dérégulation du marché du travail ou la socialisation des dettes (des banques). Tandis que les populations sont confrontés à des hausses généralisées des prix, qui ne sont jamais suivis par les salaires ou des départs vers des pays sans droits (travail, social,…) alors qu’ils ont participés à l’implantation de l’entreprise sur le marché, et à la participation de ses bénéfices. De plus, les richesses mondiales sont en constante augmentation, dans de nombreux domaines, financiers, industriels, productions et services divers, diversification des types de revenus ou accès à plus de richesses qui sont créées, et qui ne sont plus répartis mais au contraire dont l’accès diminue.

    Les rigueurs comme celle du FMI ou que l’ Union Européenne compte réaliser à l’échelle européenne par le TSCG, n’ont jamais permis aux populations de maintenir leur niveau de vie (au contraire), et par ses dérégulations : travail, ouverture des frontières, baisse des droits sociaux,ect…,ont encore plus contribués à augmenter les dettes des Etats, des régions, des collectivités locales ou des ménages.



  • Cassiopée R 31 août 2012 16:52

    La comptabilité concernant le dépassant des capacités de renouvellement de la biosphère représente uniquement l’année en cours.

     

    Il faut en plus rajouter les années précédentes, et dont les calculs précédents montraient que les capacités renouvelables naturelles ont été dépasser, à peu près vers les moments de l’année. Ce qui singifie que la biocapacité totale n’a probablement même pas commencer durant cette année.

     

    Le réchauffement climatique crée un phénomène d’emballement, une alteration chimique entre l’océan et l’atmosphère, qui modifie la biologie méloculaire, comme ce fût lors du Permien. Le méthane a quasiment fait disparaître toutes vies sur Terre.

     

    La productivité humaine est responsable des problèmes de pollutions terrestres, ce qui provoque un dérèglement de la biosphère, comme pour l’alimentation avec la culture intensive sur les sols. 



  • Cassiopée R 31 août 2012 14:59

    L’économie de l’importation est le mécanisme que la finance utilise actuellement pour réaliser beaucoup plus de profits. Les industries sont délocalisés en Asie du Sud-Est principalement, en Chine, en Thaïlande et en Inde, concernant la fabrication des produits. Les services sont eux-aussi concernés, par le nearshoring, le territoire linguistique le plus proche et le plus rentable.


    La vision nouvelle du travail par l’usine de fabrication de produits ou de services, se fait selon des critères : pas de droits, pas de protection sociale, pas de revendications individuelles ou collectives autorisées et des salaires de misères avec à peine de quoi survivre. Le travail des enfants fait partie de la vie économique industrielle moderne, ce qui de nouveau va vers des salaires de plus en plus faibles, dérisoires.


    A partir de cette application de fabrication industrielle rentable financièrement, il y a une perte d’emploi massive pour les pays importateurs, avec dans le même temps, aucune alternative d’accès à l’emploi pour les classes moyennes et populaires. Cette absence de transition de l’économie industrielle et des services, a provoqué un chômage de masse et un mode de vie précaire en société. Les difficultés financières sont dans tous les domaines, subissant par là même une hausse des prix généralisée, ne compensant pas cette transition, mais pour réaliser encore plus de profits.


    Cette hausse des prix généralisée concerne aussi les secteurs de fabrication industrielle, qui ont pourtant vu leurs marges augmentées de manière spectaculaires, mais les prix des produits fabriqués ont eux-aussi augmentés tout comme les services délocalisés à l’étranger. La hausse généralisée va de l’immobilier, hors de prix dans certains quartiers qui ne justifient pas de telles hausses, et dont les résidants ne peuvent suivre financièrement pour s’y installer durablement ou pour les primo-accédants. Le coût de l’alimentation a augmenté, comme l’eau ou l’énergie qui deviennent de plus en plus cher, qui sont des phénomènes globaux, aucune région du monde (sauf protectionniste ou régulatrice) ne sont épargnés par ses hausses.


    L’économie de l’importation réalise à la fois, d’importantes marges bénéficaires pour les multinationales ou les grandes entreprises, sans aucune redistribution des revenus pour les populations qui importent et une faible (voire marginale) redistribution de revenus pour les populations qui fabriquent les produits industriels ou les services, donc qui créent une forte concentration des richesses. Il y a une acceptation médiatique et politique qui est en conflit d’intérêts avec la finance.


    Le circuit des revenus par l’emploi est alors cassés, donc plus de possibilité de circuit de consommation, à la fois en Asie comme en Occident. Le rythme du coût de l’inflation qui n’a jamais été suivi de celui des salaires, devient de plus en plus difficile à soutenir financièrement.

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