« Que comptez- vous faire concrètement, à part subir, pour que les contribuables français ne soient pas toujours les éternels pigeons face à la cupidité sans fond des requins de cette finance internationale ?” Marion Maréchal Le Pen - débat sur la loi de finances rectificative 2012.
Les dettes sont effectivement conçus pour que les pays ne puissent pas la rembourser, c’est pour ça qu’on parle de socialisation des dettes (à l’échelle nationale ou internationale) et une privatisation des profits pour les banques, que les contribuables ne peuvent pas rembourser.
Les budgets des services publics des citoyens sont tellement diminués qu’il devient impossible, comme l’exemple de l’article parle, de pouvoir créer les conditions de rentrée scolaire. Il est quand hallucinant de constater que les niveaux de richesses créer ses dernières décennies n’ont pas servis à entreprendre des investissements dans des secteurs clés comme l’éducation, tandis que les bénéfices des stocks options, des paradis fiscaux et des actionnaires et des spéculateurs ne cessaient d’augmenter en permanence.
La prochaine constitution européenne, sans l’avis des citoyens européens, visent à permettre à la commission européenne de choisir les choix de protection sociale des européens, c’est à dire à une institution non démocratiquement élu. Ceci accompagner d’une réduction à 0,5% du pacte de stabilité, au lieu de 3%, ce qui va de facto créer une baisse drastique des budgets des pays européens.
Dans une tendance boursière, que l’ Union Européenne accentue par une diminution des droits de douanes, à une délocalisation massive des produits fabriqués sur le sol européen (hors Pays-Bas et Allemagne) et une importation massive de produits sans aucune protection sociale comme la Chine ou l’Inde. Une destrution des tissus locaux se produit suite aux départs des grandes entreprises, dont les activités économiques dépendent.
Une hausse des revenus des citoyens seraient en effet une réponse à l’augmentation des prix de l’immobilier, des impôts locaux, des produits de consommation, comme pour les dettes qu’aucune communauté ne pourrait accepter de contracter sous peine de voir leur niveau de vie baisser drastiquement.
« Désormais, la commission européenne disposerait d’un droit de regard sur l’ensemble des dépenses publiques françaises dont celles de protection sociale et de santé, (41.4 % et 14.8 % des dépenses publiques françaises) et de fonctionnement de l’État (27 %). »
Ca se nomme la perte de souveraineté nationale concernant la protection sociale.
Les citoyens n’ont apparemment pas le droit civique, d’être consulter sur cette question.
C’est à dire que lorsqu’au niveau de l’ Europe des banques et des profits, l’ Union Européenne, on parlera de crise quelconque, de dettes, budgétaires ou autres. Il n’y aura pas de possibilités juridiques nationales, et ainsi on pourra expliquer le transfert (réaliser pendant l’été 2012) de ses compétences à la commission européenne (instance non démocratique) pour excuser la casse sociale qui peut avoir eu lieu en France.
L’absence de consultation des peuples est frappante dans l’ Union Européenne.
Il y a des dettes qui sont financières,
et qui ne sont pas citoyennes. Il est mathématiquement impossible de
rembourser ses dettes, la Grèce ne peut pas les rembourser pas plus
que l’ Angleterre ou le Japon qui sont surendettés.
Alors qu’en Islande, le peuple a pu
voter la fin des dettes sur son territoire car elles allaient
détruire leur niveau de vie sur des années avec après une
situation très difficile à remonter, dans l’Europe des banques,
c’est réduction des budgets, socialisation des dettes et nouveau
traité avec 0,5 % au lieu de 3% pour le pacte d’ (in)stabilibité.
Celà fait des années que les banques
sont renfloués avec 300 milliards en France, encore plus à
l’étranger, avec de nouveau plan encore en milliards d’euros ou
dollars qui ont réalisés, et cette privatisation des gains (dont
une partie de l’argent ne va pas dans l’économie) aboutit à une
socialisation des dettes et une hausse des prix par la spéculation.
C’est un enrichissement minoritaire, et un appauvrissement des
classes moyennes et populaires.
La dette des collectivités locales
sont très importantes dans de nombreux pays comme la Chine, les
Etats-Unis ou l’Inde, c’est un phénomène mondial. La hausse des
revenus des citoyens est économiquement ou financièrement,
théoriser ou libéraliser, comme un danger économique, ce qui est
faux. C’est une concentration des richesses qui génèrent un
mécontement populaire, lorsque les capacités de vivre en société
diminuent par le revenu obligatoire pour y vivre, et que les services
publics et le marché du travail sont cassés.
Il y a en plus la spéculation actuelle
pour l’augmentation des prix, c’est à dire que la TVA qui est une
hausse des prix, et accompagner aussi de la spéculation (la hausse
des prix). La cherté de la vie s’amplifie encore de nos jours, ce
qui créer un mécontement générale légitime (pacifique) puisque
les revenus ne peuvent suivre ce rythme.
Les revenus des citoyens sont dans les
mesures, avec une baisse des salaires, des fonctionnaires (publics),
et une dérégulation du marché du travail (privé), qui se poursuit
par un gel des salaires (public-privé). L’accessibilité pour
s’intégrer ou se stabiliser dans la société dépends de la
capacité des revenus, et ceci sont confrontés à une baisse des
revenus et à une hausse généralisée des prix (consommation,
immobilier,...).
Les services publics sont dans cette
doctrine (vu les revenus du commerce mondial) libéral, diminués,
donc les budgets des services de santé, d’éducation,
sociaux,...vont encore diminuer le niveau de vie des citoyens. C’est
une extension de la pauvreté avec une diminution progressive de
l’accès à l’emploi, par la délocalisation (désindustrialisation)
et une importation massive des produits venant de pays qui sont vide
de droits (social, travail, climatique ou environnemental).
La déflation est une baisse de la
production, elle ne concerne pas les territoires d’ Europe ou d’
Amérique du Nord, puisqu’ils ne peuvent rentrer des impôts et des
revenus industriels, qui sont en constante diminution.