Un krach économique provoque rapidemment une baisse des activités commerciales et industrielles, ce qui va de facto créer un chômage de masse. Le choix de fermer ses frontières, comme ce fût le cas en 1929, ne peut se réveler que tragique, puisqu’en temps de krach, il faut permettre de faire circuler les produits le mieux possible.
La masse de monnaie créée dernièrement (et depuis de longues années) va engendrer une hyperinflation, c’est à dire des prix en milliards d’euros, de dollars, de yuans, de yens,ect...Les économies qui sont inter-dépendantes de nos jours, va amener rapidemment ce type de prix changeant constamment en plus, voir la République de Weimar ou l’hyperinflation du Zimbabwe.
La bourse fait face de nos jours à des transactions à haute voire à très haute fréquence, qui ne permets plus aux autorités de régulation financière de tracer toutes les flux financiers. Il y a déjà eu plusieurs baisses significatives dans les bourses les plus influentes de la planète, comme le Dow Jones, le NYSE-Euronext et beaucoup d’autres, qui ont vu leur cours chuter de 20% en très peu de temps. La dépendance à ce type d’échanges boursiers est un risque pour l’économie, qui dépends de la finance.
Les baisses d’importations (la dépendance de l’extérieur), des exportations et des flux financiers sont des conséquences de krach économique, ce qui va faire chuter les capacités de consommation nationales. Nos sociétés fonctionnent autour de l’énergie, dont les prix deviendront inaccessible comme pour les autres produits, la redistribution de produits de consommation permets de maintenir la cohésion sociale.
La surexploitation des ressources naturelles mets en danger l’autosuffisance des populations sur les divers territoires de la planète. Les industries font de la surproduction permanente, subventionner par les instances politiques, ce qui est en train de détruire toutes les chaînes alimentaires des écosystèmes (même en exploitant une seule espèce), et ceci de manière irréversible.
Les industries ne recherchent que les profits et son augmentation constante, pour y arriver, les capacités de captures (d’espèces) ou d’extractions (énergies ou minerais) sont revus à la hausse, par la fabrication ou la restauration des machines, et subventionner par l’ Etat ou une Fédération (comme l’ Union Européenne). Tout en exigeant que la surface d’exploitation aboutisse à une privatisation progressive et complète des lieux d’exploitation.
C’est une destruction de l’artisanat local et un danger pour les ressources de secours (alimentaires,eau,...).
La surexploitation des ressources, les pollutions autour de ce productivisme et la destruction de biotopes causent de si lourds dégâts que l’ensemble du réseau des organismes sont détruits de manière irréversible. De plus, la pression du réchauffement climatique ne fait qu’accroïtre ses tensions, provenant de nouveau des activités humaines, émettrices de taux de Co2 par une utilisation massive de pétrole et de charbon. La culture intensive des industries de l’agroalimentaire agrandit la surface de l’épuisement des sols, qui ne deviennent plus exploitable.
Il suffit pour une (ou des) multinationale (souvent associer à l’ Etat) de verser une somme dérisoire (par rapport aux réels profits), et par un contrat de pouvoir faire venir un nombre non limité d’activités de production, d’avoir accès aux ressources territoriales d’un pays. Même si cette concurrence (déloyale) va être en compétition avec le tissu local, des discours sur la compétitivité masqueront cet état de fait, d’une concurrence à de nombreux niveaux complètement déloyale.
L’exemple de la surpêche montre la mécanisation hyperproductiviste des industries. Le chalut, un navire de pêche, subventionner et exploiter sur le marché de l’industrie de la pêche, est responsable de 72% des rejets. Ainsi, l’estimation est qu’ 1 poisson va à quai, sur 3 poissons pêchés, donc 2 sont rejetés sans vie à la mer. Ses gaspillages qui sont parfois très élevés (comme dans l’exemple), se retrouvent dans d’autres industries, sans volonté de diversification de l’exploitation ou de coopérations diverses.
Le capitalisme continue dans sa logique de faire plus de profits, améliorant ses capacités de production et pratique des horaires de temps de travail élevés avec une faible redistribution des revenus. Ceci alors qu’il y a des seuils biologiques à respecter, pour permettre le renouvellement du cycle naturel.
Le rapport entre chômage et inflation
permets de créer un maximum de profits, même si c’est au détriment
de l’intérêt général comme de nos jours.
Par la baisse du chômage,
protectionnisme de ses secteurs d’activités et créations d’emploi,
on augmente l’inflation, la hausse des prix de consommation. Puis on
indexe l’inflation avec sa hausse des prix sur les salaires. Comme
ça, on augmente et on conserve son pouvoir d’achat par le travail
tout en combattant le chômage, de manière à étendre ce mécanisme
sur la société.
Mais les banques centrales comme la
BCE, qui créent de la monnaie (auparavant national) par des choix
économiques, ont fait le choix de lutter contre l’inflation, pour
baisser les prix uniquement.
La lutte contre l’inflation va
augmenter le chômage, car ce ne sont pas les marges bénéficiares
des multinationales qui vont baisser mais les droits ou coûts
sociaux des travailleurs nationaux, ce qui va inciter les entreprises
à délocaliser pour garder leurs profits.
Cependant les prix augmentent et les
salaires ne sont pas indexés sur l’inflation les prix de
consommation, ce qui accroît de nouveau les profits des riches et
des actionnaires des banques et des multinationales.
L’austérité ou la baisse du niveau de vie, ne se produit que lorsque les taux d’intérêts ne sont plus limités, à cause de choix financier monétaire pour augmenter les profits à court-terme des banques et des gros emprunteurs.
Les restrictions budgétaires sont contre-productives aux sociétés, elles conduisent vers la récéssion économique et la hausse du poids de la dette. Ceci est dû au fait, que les taux d’intérêts sont élevés.
Seule une limitation des taux d’intérêts permets de réduire la dette publique. Dans la situation actuelle, les profits de la dette peuvent être encore plus important, avec une destruction des services publics remplaçés par des grandes entreprises privées ou multinationales sur divers marchés ou secteurs d’activités (anciennement service public).
De plus, la pression de la rigueur budgétaire s’étends au privé. Il y a une mise en place, d’une généralisation de la précarisation de la société, avec dérèglement du marché du travail avec plus de contrats précaires, écrasement ou baisse des salaires du privé, baisse des droits sociaux (ex : baisse du salaire par la CSG en France), discours sur la compétitivité pour justifier plus de productivisme,ect...Les profits pour les banques et les multinationales augmentent de nouveau, alors que l’austérité ou la baisse du niveau de vie se fait dans des conditions de taux d’intérêts non limités, qui ne peut qu’accentuer le poids de la dette (publique comme privé ex : les ménages).
Le krach économique ou l’hyperinflation mondiale, qui provient du fait que les économies sont inter-dépendantes comme pour la bourse, posent le problème des droits des citoyens en situation de krach, comme pour le logement.
En France, après le 15 novembre, il est interdit d’expulser pendant la trève hivernal.
Il y a de nombreux sites qui informent sur les droits juridiques imprimables pour les citoyens, ce qui peut être utile après un krach économique.
Comme des baisses d’activités, commerciales, industrielles,ect...feront surface, et que le chômage explosera. Des droits concernant la circulation de l’alimentation et de l’eau seront nécéssaires pour la cohésion sociale.