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Cassiopée R

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  • Cassiopée R 7 décembre 2012 14:52

    Plus les investissements des multinationales sont importants plus il y a d’avantages fiscaux pour la multinationale, et ceci va jusqu’à des avantages fiscaux spécifiques fait sur mesure pour les multinationales, et qui sont très coûteux pour le contribuable. La mise ne oeuvre passe par créer les conditions d’un cadre législatif (par la loi) pour permettre à une multinationale d’investir le plus possible, a contrario des PMI/PME, TPE ou auto-entrepreneur(euse) qui ne bénéficient pas de ses avantages législatifs qui permettent de s’implanter de façon permanente et stable sur le commerce.

    Les investissements des multinationales concernent tous les secteurs d’activités : immobilier, industrie, alimentaire, tourisme,ect...ce qui permets aux multinationales de créer des fonds d’investissements dans de nombreux entreprises qu’ils participent, et d’influencer de nouveau la loi afin d’augmenter leurs profits. Ce lobbying va jusqu’à détruire les services publics pour en faire des marchés privés pour développer encore plus de marges financières. Un exemple du poids des multinatinales est, qu’ Exxon Mobil entreprise pétrolière a plus de rentabilité que le budget social américain, et ce n’est qu’une multinationale parmi de nombreuses autres, l’écart se creuse plus les mois passent.

    L’ouverture des frontières, dont les activités des agents d’influences des banques et des multinationales sont agressives pour augmenter leurs avantages, va de l’ Union Européenne, l’ Amérique du Nord, l’ Asie et toutes régions qui ont vus leurs politiques s’ouvrir à la mondialisation financière. Il n’y a eu aucune contrepartie dans l’amélioration des services publics (la tendance est inverse voir fin paragraphe précédent), de la redistribution des revenus et d’un cadre législatif environnemental des pays concernés par l’ouverture des marchés pour la mondialisation financière tandis que les profits des grands groupes ont vus leurs exigeances de rentabilité passer à 2 chiffres en % très rapidemment et dans la durée.

    De nombreux forums économiques internationaux sont crées, pour permettre d’avoir de nouveaux marchés, d’ouvrir de nouveaux forums pour les nombreux secteurs d’activités et augmenter la capacité des échanges, avec un vision purement comptable et financière (le reste n’est que variable d’ajustement).

    La publicité des mutlinationales est importante puisqu’elle diminue ou finit par dispraître l’influence des produits locaux, pour ainsi se rendre indispensable pour consommer, au détriment du tissu local. La culture fait exception dans certains pays par un financement d’aide publique pour la publicité, qui ne s’est pas généraliser pour les petits producteurs (ou que très sporadiquement).

    Le marketing publicitaire des multinationales joue sur se préparer à l’après, pour montrer une anticipation des problèmes futurs, ceci en contradiction avec la hausse régulière des investissements pour faire plus de profits qui sont en contradiction avec l’anticipation des problèmes futurs.



  • Cassiopée R 4 décembre 2012 21:10

    Félicitations.



  • Cassiopée R 4 décembre 2012 20:28

    Les salariés du service public,des multinationales, des banques et des entreprises privées sont confrontés aux même problèmes qui viennent de leur direction ou des fonds d’investissements qui exigent plus de rendements et plus de résultats avec une diminution des moyens pour y parvenir. Les problèmes de stress, de santé et les suicides font partie de cette dégradation sociale qui finit par changer les mentalités, et va rendre les relations sociales plus dures et plus méchantes.

    Les restrictions des budgets qui sont devenus la norme accepter par les divers services publics et privés en contradiction avec la hausse des profits pour les actionnaires et leurs dividendes, les propriétaires de grandes entreprises et les hyper-riches.

    Ses baisses de bugdets ont pour conséquence de rendre le climat social plus tendu, et dans le même temps d’exiger une hausse régulière des rendements et une hausse des résultats qui ne seront de toute façon pas redistribuer. Par le biais de la précarisation des contrats de travail ont peu facilement mettre la pression sur les salariés et délocaliser l’entreprise même si les bénéfices sont importants. Ce qui permets de poser de plus en plus d’exigences sur la masse salariale, qui de toute façon n’aura aucun contre-pouvoir pour tenter de sauvegarder leurs situations de vie en entreprise.

    Les restrictions qui ont pour but une hausse des résultats et des rendements, ne sont pas accompagnés d’une augmentation des salaires, ce qui devrait se passer à la suite de meilleurs résultats. Au contraire, les salaires publics comme privés sont gelés, et sont même baisser comme ce fût le cas dans de nombreux pays ou entreprises. Il y a moins de salariés par service, moins d’heures de travail que les salariés essayent de combler par des heures supplémentaires qui ne seront pas payés, ceci avec obligation de rendements/résultats sous peine de subir des pressions permanentes ou de faire du chantage pour délocaliser l’entreprise, qui de toute façon peut se voir confronter à une administration ou un conseil d’administration cupide pour ensuite fermer malgré les résultats exigés ou de bons résultats pour permettre de continuer l’activité.

    Celà continue avec une baisse des droits sociaux pour des couvertures diverses, c’est la sécurité et la qualité de l’emploi qui sont remis en cause, alors que les profits vont vers les riches qui profitent de la masse salariale.



  • Cassiopée R 4 décembre 2012 19:42

    La crise écologique que traverse la planète est si dangereuse que le cadre de vie biologique est mis en danger par le capitalisme, capitalisme qui va toujours vers plus de productivisme, avec une pression constante de vouloir faire de plus en plus de profits même si biologiquement l’espèce humaine ainsi que d’autres espèces vont vers une disparition massive ou une extinction de la vie sur Terre.

    Les projections en consommation d’énergie ou en produits dépendants des ressources naturelles sont vus sans cesse à la hausse, pas de vision autres qu’une surproduction par rapport au cadre planétaire biologique de vie (avec un temps de travail très élevé pour de faible redistribution de richesse en société). Le capitalisme se base sur un surproductivisme permanent et persistant, et sur une société énergivore (qu’il y est toujours plus d’énergies consommées), cette logique purement financière cause de lourds dégâts naturels qui deviennent irréversibles. Le problème en est arriver à un tel point, que le réchauffement climatique est en train de modifier la structure chimique de la vie sur la planète, qui alors devient incompatible pour les êtres vivants de pouvoir y vivre et de s’y épanouir.

    Aucun mouvement capitaliste ou productiviste si peu influent soit-il ne peut convaincre d’être sobre en énergie ou de mettre en place des économies d’énergies nécéssaire pour diminuer les projections et la circulation des différentes énergies sur les marchés. Ceci se heurteront aux intérêts financiers qui priment sur l’équilibre de vie dans une logique capitaliste de (sur)production.

    Les impacts du capitalisme qui poursuivra sa logique financière et productive va contribuer à une diminution progressive de la qualité de vie pour les enfants et les petits-enfants des futures générations, très clairement continuer droit dans le mur vers l’extinction de la vie avec un réchauffement climatique qui mets en péril la chimie terrestre, absence d’oxygène remplacer par du carbone et autres éléments qui ne permettent pas le développement de la vie (voir Permien notamment et les études abondantes sur le sujet). Le capitalisme avec sa vision de produire toujours plus et de faire toujours plus de profits ne mène qu’à la destruction de la vie.



  • Cassiopée R 30 novembre 2012 18:52

    à sam turlupine

    Cette citation de Jefferson parle de ce problème :

    « Je pense que les institutions bancaires sont plus dangereuses pour nos libertés que des armées entières prêtes au combat. Si le peuple américain permet un jour que des banques privées contrôlent leur monnaie, les banques et toutes les institutions qui fleuriront autour des banques priveront les gens de toute possession, d’abord par l’inflation, ensuite par la récession, jusqu’au jour où leurs enfants se réveilleront, sans maison et sans toit, sur la terre que leurs parents ont conquis »
     
    Thomas Jefferson (1802)

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