Un boom spéculatif, ou une bulle
économique ou financière est une chute causée par une augmentation
rapide et brutale des prix, créant un krach boursier.
Il y a des mécanismes de crédits pour
que les spéculateurs puissent augmenter les prix sur les marchés.
Lorsque les prix chutent, ceci se reportent sur d’autres marchés,
permettant aux spéculateurs d’avoir des mécanismes de crédits
appropriés à ses nouveaux marchés. Seulement si le krach boursier
est général, par l’inter-dépendance des économies, c’est un
effondrement du commerce mondial qui est en place.
De nos jours, un boom spéculatif
provoquerait une hyperinflation, des prix en milliards de dollars,
d’euros, de yens, de yuans,ect...changeant en permanence.
Une chute brutale des marchés
financiers, avec la création de monnaie faites par les banques
centrales va créer une spirale hyperinflationniste. L’immédiateté
des échanges, non contrôlable par les autorités financières, en
très haute fréquence, peut en 1 seule soirée faire chuter les
bourses mondiales. De plus, le volume des transactions de la
spéculation actuelle va dans ce sens, conduisant à une
hyperinflation et au survivalisme.
La propagation de l’hyperinflation sera
mondiale, elle s’étendra à toutes les monnaies de la planète. Que
ce soient les monnaies américaines, européennes ou asiatiques, il
n’y aura pas de valeur refuge. Les économies sont reliées entre
elles, le krach économique sera mondial sous la forme d’une
hyperinflation. Ce qui signifie que les prix vont atteindre des
milliards en dollars, en yens ou en euros, comme lors :
Les bas salaires et les contrats précaires deviennent la norme en société, un nivellement vers le bas qui s’est accentué depuis la mise en concurrence des pays entre les salaires et le système fiscal.
Même si le niveau de diplôme et de qualification s’est élevé, cette tendance ne s’est pas accompagné d’une sécurisation du niveau de vie, dans l’emploi même dans le logement ou dans le coût de la vie de plus en plus chère.
Au lieu de baisser le temps de travail et augmenter la redistribution des richesses pour s’adapter à des normes de populations élevés et baisser le surproductivisme actuel qui détruit peu à peu la vie sur la planète.
La logique capitaliste marchande est purement financière, maximiser les profits qui impliquent une précarisation des sociétés et une destruction progressive de l’environnement.
Le capitalisme transfert les revenus salariaux et fiscaux au profit des actionnaires et des banquiers. Cette logique financière, dont les chiffres additionnés de mille milliards en mille milliards à partir des nombreux transferts réalisés, privilégie le bénéfice du capital à celui des populations.
Les baisses d’impôts, cotisations sociales de toutes sortes, vont vers les dividendes des actionnaires. Dans le même temps, l’augmentation des prix et les faibles coûts salariaux et fiscaux de la mondialisation, pays où la pauvreté est exploitée (Chine,ect...) augmente de nouveau les dividendes des actionnaires des mutinationales et des banques. Le partage des richesses ne bénéficie qu’à une minorité de capitaliste.
Le marché très rentable des dettes, avec des taux d’intérêts qui rapportent plus aux riches créanciers qu’à la population, accentue la pression capitaliste pour faire plus de profits. En gelant les salaires public comme privé, les dividendes de cette baisse des revenus des travailleurs vont de nouveau aux actionnaires et aux banques Pour accroître ses profits, le marché du travail est déréglementé, pour encore faire plus d’argent, comme pour la mise en pièce des services publics avec la sécurité sociale.
Cette concentration des richesses d’ordres multiples, avec des intérêts qui tombent quotidiennement, profitent aux actionnaires, aux banques et aux hyper-riches, au détriment de l’intérêt général, avec des populations qui s’appauvrissent par une inégale et faible répartition des richesses.
Un krach économique provoque rapidemment une baisse des activités
commerciales et industrielles, ce qui va de facto créer un chômage de masse. Le
choix de fermer ses frontières, comme ce fût le cas en 1929, ne peut se réveler
que tragique, puisqu’en temps de krach, il faut permettre de faire circuler les
produits le mieux possible.
La masse de monnaie créée dernièrement (et depuis de longues années) va
engendrer une hyperinflation, c’est à dire des prix en milliards d’euros, de
dollars, de yuans, de yens,ect…Les économies qui sont inter-dépendantes de nos
jours, va amener rapidemment ce type de prix changeant constamment en plus, voir
la République de Weimar ou l’hyperinflation du Zimbabwe.
La bourse fait face de nos jours à des transactions à haute voire à très
haute fréquence, qui ne permets plus aux autorités de régulation financière de
tracer toutes les flux financiers. Il y a déjà eu plusieurs baisses
significatives dans les bourses les plus influentes de la planète, comme le Dow
Jones, le NYSE-Euronext et beaucoup d’autres, qui ont vu leur cours chuter de
20% en très peu de temps. La dépendance à ce type d’échanges boursiers est un
risque pour l’économie, qui dépends de la finance.
Les baisses d’importations (la dépendance de l’extérieur), des exportations
et des flux financiers sont des conséquences de krach économique, ce qui va
faire chuter les capacités de consommation nationales. Nos sociétés fonctionnent
autour de l’énergie, dont les prix deviendront inaccessible comme pour les
autres produits, la redistribution de produits de consommation permets de
maintenir la cohésion sociale.
La mondialisation poursuit un processus du nivellement vers le bas, après
l’ouverture des frontières (baisse des droits de douanes) et l’exploitation de
la pauvreté pour baisser les coûts des travailleurs, tout en augmentant les
marges bénéficiaires des grandes entreprises privées ou des multinationales qui
sont les seules capables de réaliser des importations et exportations massives
entre des territoires très éloignés géographiquement.
La diminution des coûts (investissements plutôt) du travail comme la CSG en
France et sociaux sont devenus les enjeux du capitalisme pour accroître ses
profits, par la compétitivité comme slogan, la concurrence par les inégalités
concernant le droit du travail, les coûts ou les investissements des protections
sociales et les revendications des citoyens, vont dans la direction vers un
nivellement vers le bas du niveau de vie.
La mise en concurrence des salariés, qui subissent les délocalisations, et se
retrouvent au chômage, et suivit par celles des salariés qui voient leurs droits
de la sécurité sociale et du travail baissés progressivement alors qu’il est
irréalisable de concurrencer des secteurs géographiques comme en Asie. Pourtant
toute concurrence avec des pays comme la Chine ou l’ Inde relève de capitalisme
du 19ème siècle, qui ne permets pas de créer des conditions de revenus
suffisantes par des salaires de misère.
La rigueur budgétaire qui frappe l’ Union Européenne, par la spéculation du
logement comme en Espagne, appauvrit de nouveau les populations, qui ne pourront
pas de toute manière avec une réduction de leurs revenus améliorer la situation
économique nationale. Une diminution du circuit de revenus/consommation, comme
l’austérité ou la baisse (parfois drastique) du niveau de vie le fait, par le
gel des salaires (public et privé) ou une absence de service public, ne va que
dégrader la situtation économique et social du pays.