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Cassiopée R

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  • Cassiopée R 30 novembre 2012 16:00

    La mondialisation connaît une nouvelle pression par le bas, la remise en question d’une exploitation de la pauvreté dans d’autres pays du monde (comme la Chine avec ses industries) et du vide législatif environnemental en pleine crise écologique mondiale n’est pas au centre des débats, ce qui montre que le progrès social et écologique ne sont pas des données du capitalisme moderne. Le coût du travail et la compétitivité se sont imposés comme les « solutions » économiques futures pour résoudre la crise de redistribution des revenus actuelle.

    Cependant malgré les débats constants sur le coût du travail, il est impossible pour un pays quelconque de faire compétition avec un rapport de 1 salarié sur 20 ou plus, et comme il est de facto exclu économiquement de parler d’un renforcement de l’industrie nationale ou locale pour protéger ses salariés et ses entreprises face au dumping social, salarial et fiscal des pays qui exploitent cette pauvreté. On réduit le champ au coût du travail, qui même s’il était baisser, ne pourrait de toute façon concurrencer ses types de dumpings.

    Ses baisses successives qui se sont passés sur des années, avec de multiples baisses des droits, à transférer ses sommes colossales (qui se chiffre à plus de mille milliards parfois) vers les dividendes des hyper-riches, des actionnaires et des banques. Ses derniers profitent déjà de la manne de la mondialisation, c’est avantager ceux qui le sont déjà, et réduire le niveau de vie de ceux qui ne pourront de toute façon espérer une quelconque possibilité de concurrence pour entrevoir une possibilité de conserver à l’avenir des centaines de milliers d’emplois (les chiffres de l’industrie sont très parlant sur les pertes subies).

    Outre le fait que les possibilités (ou les volontés) politiques sont quasi-inexistantes dans ce rapport, le système des élections (la démocratie participative) ne mutent pas aussi rapidemment que celui des lois économiques, de plus il n’y a pas de réel changement puisque la souveraineté nationale et locale n’ont aucune influence sur les institutions financières comme le FMI ou la Banque Mondiale.

    Le coût du travail dans les pays qui subissent une délocalisation de pans (parfois) entiers de leurs industries ou de leurs services, devient le seul débat puisque toutes les autres possibilités sont exclus ou ne seront pas mise en oeuvre pour diverses raisons. La compétitivité devient alors le discours pour faire oublier que les capacités de concurrence ne sont pas réalisables, et que de toute façon les lois économiques ne vont pas dans ce sens, puisqu’il s’agit de compétitivité financière avec des lois qui avantagent, ceux qui peuvent en bénéficier avec comme outil de rentabilité la mondialisation par le nivellement vers le bas des populations, et avec pour objectif une plus forte concentration des richesses, sans que les frontières ou les problèmes nationaux n’interfèrent pour faire plus de profits. 



  • Cassiopée R 30 novembre 2012 14:33

    Les phases d’un krach économique moderne se déroulent plus rapidemment car il y a une inter-dépendance économique et financière. L’immédiateté des échanges des flux financiers se fait de plus à très haute fréquence à la bourse, qui a un impact direct sur l’économie mondiale.

    La bourse plonge brutalemment, provoquant la faillite des plus grandes banques sur les marchés mondiaux. Ce qui entraîne la faillite de toutes les banques petites ou moyennes, et une chute boursière des grandes entreprises côtées, par là même les petites et moyennes.

    Comme la finance actuelle domine l’économie mondiale, celà crée des baisses massives des importations, des flux financiers et des exportations. C’est un impact direct sur le niveau de vie des citoyens, dépendants d’une économie mondialisée : importations, exportations, échanges à carte bancaire (grandes surfaces et internet).

    Cet effondrement monétaire va créer une hyperinflation, causant un survivalisme (voir lien internet) dans la société. Les prix se chiffrent en milliards d’euros ou de dollars, pour l’achat d’un simple timbre, comme lors de la République de Weimar. Ce qui posera des problèmes pour s’alimenter nourriture hors de prix, travailler pour avoir des revenus rareté du travail et chômage de masse,ect...

    L’ Etat de résidence se verra de toute façon contraint d’arrêter les paiements pour les fonctionnaires ou personnes travaillant ou dépendant de l’ Etat.

    Toutes les caisses comme les allocations sociales ou les services publics ne seront plus finançable. Ce sont les sans-emploi, les allocataires sociaux, la médecine, les travailleurs sociaux, les transports en commun et autres activités reliés à l’ Etat qui n’auront plus d’argent. Juste un « on n’était pas préparer en cas de krack ou de risque économique, il va falloir passer par vos propres moyens pendant une période (sans réellement dire nettement la dernière phrase) », faire comme si ça n’existait pas, alors que la cohésion sociale et étatique va être ruiner financièrement.

    Il y aura de nouvelles crises plus fortes que de nos jours, après le krach économique, ceci provenant d’une non préparation et d’une cupidité du modèle financier et des échanges. Crise alimentaire (les réseaux agricoles vers la surpopulation urbaine notamment), crise sociale avec un chômage de masse au plus haut, crises des réseaux de communications par son mode purement financier pour les populations : téléphones, réseaux sociaux, courriers par la poste,...crise du logement (il est interdit d’expulser entre le 15 novembre et le 15 mars en France par exemple), et crise monétaire, avec des prix en milliards changeant en permanence sans valeur de refuge quelconque, instabilité financière.

    Lien survivalisme
    https://www.google.fr/#hl=fr&gs_nf=3&gs_rn=0&gs_ri=hp&tok=SFxUB8WMh-Z4kp5WNi_KWw&cp=9&gs_id=y&xhr=t&q=survivalisme&pf=p&tbo=d&output=search&sclient=psy-ab&oq=survivali&gs_l=&pbx=1&bav=on.2,or.r_gc.r_pw.r_qf.&fp=726bad85e67ebe3b&bpcl=39314241&biw=1093&bih=514



  • Cassiopée R 30 novembre 2012 14:06

    Le volume du commerce mondial est en règulière augmentation, avec des bénéfices et des achats de ressources diverses par la propriété privée qui se sont concentrés vers une minorité de la classe capitaliste, de nos jours mondialisée.

    Pourtant la masse écrasante des populations se sont vus redistribuer une part, en réalité, infime de ses richesses, qui par le circuit de dépenses en société, de leurs revenus (ou propriétés,etc...) ira de nouveau vers les hyper-riches. Ce que l’on donne d’une main on la reprends de l’autre.

    Alors que les peuples se voient imposer un niveau de vie vers le bas, les techniques pour accroître ses profits sont nombreuses :

    banque des dépôts, utiliser l’argent déposés des citoyens dans les banques, et le mettre en bourse pour faire plus de profits, sans le redistribuer ou laisser les clients-citoyens sans argent en cas de perte (ce qui n’empêche pas aux gérants des banques et autres spéculateurs d’avoir mis de côté).

    une banque ou une multinationale peut parier sur elle-même en bourse, quitte à donner de faux chiffres pour en tirer un maximum de bénéfices, avec la complaisance des autorités financières.

    augmenter constamment le minimum de son seuil de rentabilité, même s’il y a des dégâts sociaux et écologiques (souvent irréversibles).

    baisser massivement les impôts des riches et des multinationales, sans les payer tout en se faisant reverser des sommes très élevées d’argent.

    développer les emplois précaires, à faible rémunération et même gratuit, geler les salaires, pour verser ses profits vers les actionnaires (sous forme de restriction bugétaire ou d’austérité pour les faire accepter).

    spéculer (la hausse des prix) sur le logement, la nourriture, l’eau et tous ce qui peut augmenter un prix, pour faire plus de profits.

    ne pas transférer la hausse du coût de la vie sur les salaires (l’indexation de l’inflation) afin de les verser aux hyper-riches, actionnaires et aux banques.

    faire des montages financiers, sur les petits acheteurs, salariés et même sur des plans sociaux, pour en tirer un maximum de bénéfices financiers.

    augmenter ses capacités de captures (d’espèces) ou d’extractions (énergies, minerais,ect...), même si l’écosystème local ou global est en danger. Pour réaliser plus de profits.

    créer des zones pour les mutinationales, à faible fiscalité et à faible coût, de plus financer par les contribuables, et qui détruit ou va détruire le tissu local.

    autoriser des taux d’intérêts très élevés, avec des emprunts, qui ne sont pas mathématiquement remboursable, et qui ne profite qu’à une minorité capitaliste (sans oublier les futures servitudes pour dettes).

    les sociétés écrans qui rapportent des sommes très élevées, et qui sont en collusion permanente avec la finance. La corruption du commerce mondial parallèle.

    la destruction de l’argent, ce gaspillage qui se chiffre quotidiennement, à partir de la bourse et qui provient des ressources naturelles et du travail des humains.

    le business des dettes très rentable, qui appauvrit de nombreuses populations sur la planète.

    les pressions salariales et fiscales par l’ouverture des frontières, pour réaliser un maximum de profits et continuer à augmenter les prix pour en avoir encore plus.

    les croissances successives qui ont rapporté énormément de masse d’argent, avec des intérêts (sur les croissances, et aussi les intérêts des croissances) qui tombent quotidiennement, et qui sont souvent dans les paradis fiscaux.

    liste non exhaustive, ect...



  • Cassiopée R 27 novembre 2012 19:18

    La corruption de la justice fait partie des problèmes de société, qui permettent d’amplifier les situations difficiles ou urgentes au lieu de tenter de les résoudre.

    Les conflits d’intérêts judiciaire sont monnaie courante, depuis de nombreuses années on assiste à plus de bureaucratie pour moins de peine et de sanctions contre les personnes hors-la-loi. Entre le multi-récidivisme qui augmente de plus en plus, et le business en col-blanc avec des peines rares et inutile pour décourager à l’avenir d’escroqueries à grande échelle.

    La justice, corrompu par les gros porte-feuilles, les banques et les multinationales, n’est même pas un recours face aux impacts sur la santé publique et l’environnement, d’une institution judiciaire en conflits d’intérêts avec les marchés financiers.

    Les études scientifiques qui réussissent à démontrer la nocivité d’un élément sont oubliés au profit de contre-expertises volontairement faussées ou de vice de forme n’ayant rien avoir avec les souffrances subies. Une justice au service du clientèlisme et de l’argent, et dont les impacts s’en font ressentir dans les sociétés.



  • Cassiopée R 23 novembre 2012 15:27

    Le capitalisme fonctionne par l’augmentation constante du minimum de son seuil de rentabilité, par la surproduction et la baisse des salaires (divers) vers les profits.

     

    Une classe capitaliste mondialisée économique et financière concentre les richesses qui se créent, tout en exigeant une hausse régulière des profits à réaliser. Pour y aboutir, les règlementations nationales comme internationale sont constamment assouplies, quitte à appauvrir les populations, surexploiter les ressources naturelles ou amplifier le réchauffement climatique dans un discours de croissance permanente.

     

    Pour faire plus de profits, le minimum du seuil de rentabilité (valeur fictive) est sans cesse augmenter, même si des normes biologiques sont dépassés ou que celà affecte la cohésion sociale par la baisse du niveau de vie. Par des moyens de pression, comme les lobbys, la corruption, les conflits d’intérêts,ect...l’intérêt général est mis de côté pour faire plus de chiffres avec des dégâts parfois irréversible.

     

    L’augmentation du minimum du seuil de rentabilité (valeur fictive) passe du stade de la production autonome et auto-suffisante à une production dépendante de nombreux et lointain pays vide de droits et en salaire de misère, vers une surproduction qui mets en danger les écosystèmes et la sécurité alimentaire même de secours.

     

    Cette expansion financière finit par une marchandisation de l’ensemble du vivant. Les secteurs traditionnelles de l’ Etat, comme l’éducation, la santé, la sécurité (police, militaire,ect...), l’eau, les transports, la monnaie, les lois,...deviennent de la marchandise.

     

    L’influence citoyenne n’existe plus et les marchés financiers orientés par la classe capitaliste mondialisés font les décisions, les Etats sont alors chargés de faire payer les crises (économiques et écologiques) aux populations. La situation en est arriver là.

     

    Le retour à la souveraineté, dont les politiques corrompus ont peu à peu sur plusieurs décénnies transférés leurs capacités de gestion pour ne plus en avoir vers des instances dirigés par la classe capitaliste, est devenue un enjeu de société comme pour les exemples des référendums européens, du référendum bancaire en Islande, du mouvement des indignés, des manifestations à répétition contre la rigueur budgétaire au profit des riches ou les nombreuses et diverses manifestations à travers le monde.

     

    L’augmentation constante du minimum de son seuil de rentabilité provoque à terme une surexploitation des ressources naturelles dont l’emballement du réchauffement climatique, du fait de la finitude de la planète. Cette volonté de faire plus en plus de profits, créer les conditions d’une répartition très inégale des richesses, avec une population de plus en pauvre et une minorité capitaliste qui concentre les richesses des sociétés.

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