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Cazab

Homme, avec quelque intérêt pour l’histoire des idées et les domaines interdisciplinaires.

Tableau de bord

  • Premier article le 23/11/2010
  • Modérateur depuis le 13/12/2011
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Derniers commentaires



  • Cazab 12 février 2011 21:59

    Oui, vous avez raison, je me suis aperçu de cette erreur juste après avoir soumis l’article et c’était trop tard pour le modifier !



  • Cazab 30 décembre 2010 18:46

    Pour ceux qui voudraient entrer beaucoup plus dans le détail de l’article de Jull que je n’ai pu le faire, ils trouveront ici une remise en question par Mark Oxley, publiée aujourd’hui sur un blog américain spécialisé.



  • Cazab 24 novembre 2010 01:01

    Cet article ne s’adresse pas (qu’) aux croyants. D’ailleurs vous seriez étonné du nombre d’agnostiques et de juifs qui sont passionnés par le suaire de Turin (Barrie Schwortz qui tient le meilleur site sur le suaire est juif par exemple). Confidence : stricto sensu, je ne suis même pas chrétien.

    Concertant la réfutabilité du dogme, vous faites fausse route je pense. Le suaire ne peut pas remettre en cause le dogme (puisque c’est un dogme...), il ne peut qu’apporter de l’eau au moulin. Par ailleurs, je pense que la foi a toujours besoin de la preuve. Il existe un jeu de correspondance entre le doute dans la foi (les apôtres doutent très souvent) et le degré de certitude que permet la recherche scientifique (qui comme la religion n’est que la tentative sans cesse recommencée d’écarter le doute...)

    Bref je pense, et c’est la position de l’Eglise catholique romaine, que la démarche scientifique (que le monde moderne confond souvent avec la raison) n’est en rien contradictoire avec la foi, jamais. C’était d’ailleurs la position de Jean Paul II qui, pour le suaire, a encouragé les scientifiques à poursuivre leurs recherches et leur a permis d’accéder à l’objet à deux reprises. Benoît XVI est naturellement dans le même état d’esprit. Il était préfet pour la congrégation de la doctrine de la foi lors de la datation C14 et a suivi de très près la question. Aujourd’hui il est très engagé sur la question des images acheiropoïètes (notamment le suaire de Turin et voile de Manoppello).



  • Cazab 23 novembre 2010 19:36

    « Et l’auteur de revendiquer des »arguments scientifiques« , alors qu’il est incapable d’en fournir l’esquisse d’un »
    Très amusant...

    Par exemple, permettez-moi de vous poser deux petites questions scientifiques pour vérifier ce que vous savez du suaire de Turin :
    *comment expliquez-vous la double superficialité de l’image du suaire dans le cadre d’un processus de formation naturel ou artificiel (G. Fanti, R.Maggiolo, « The Double superficiality of the Turin Shroud », Journal of Applied Optics A, 6, 491, 2004) ?

    *Comment expliquez-vous les caractéristiques tri-dimensionnelles de l’image dans le cadre d’un processus de formation naturel ou artificiel (John P. Jackson, Eric J. Jumper, William R. Ercoline, ’’Correlation of image intensity on the Turin Shroud with the 3-D structure of a human body shape’’, Applied Optics, 23(14), 2244, 1984) ?

    *Question bonus : quelle processus de formation de l’image est compatible avec l’extrême superficialité du tissu ( G. Fanti, J. A Botella, P. di Lazzaro, T. Heimburger, R. Schneider, N. Svensson, ’’Microscopic and Macroscopic Characteristics of the Shroud of Turin Image Superficiality’’, Journal of Imaging Science and Technology—July/August 2010—Volume 54, Issue 4, pp. pp. 040201-8 ) ?



  • Cazab 23 novembre 2010 17:20

    Que le suaire soit ou non celui de Jésus, cela change tout, c’est évident.

    Dans la mesure où la science du XXIème siècle avec des centaines de milliers de recherche, des dizaines de publications dans les meilleures revues internationales, est incapable d’expliquer le mécanisme de formation d’un objet prétendument médiéval ou même du Ier siècle, le fardeau de la preuve ne change-t-il pas de camp ? Il appartient aux « sceptiques » que je soutiens dans leur démarche (mais oui...) de trouver un moyen d’expliquer l’apparition de l’image. D’avance, on leur souhaite bon courage.

    Quant à dire que le débat sur l’authenticité du suaire est dépourvu de toute signification religieuse, ce n’est pas manifestement pas l’avis des plus hautes autorités chrétiennes, de Clément VII à Benoît XVI en passant par Jules II.

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