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Coldwind

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  • Coldwind 2 juin 2012 15:12

    D’une part, lorsque ces poissons « reproducteurs » meurent, sur une logique industrielle, leur chair est recyclée en nourriture pour poissons.


    D’autre part, les « résidus » hormonaux (qui ne sont pas assimilés par l’organisme) sont soit : 
    - Evacués par les voies naturelles (et se retrouver en traces non négligeables dans les milieux naturels qui influencent le cycle sexuel d’autres poissons, les hormones ayant la caractéristique de mettre un certain temps à se désagréger).
    - Soit assimilés en partie par les oeufs eux mêmes...

    En gros, utiliser des hormones dans un élevage aquacole revient à les disséminer non seulement dans l’élevage mais aussi dans les cours d’eau qui y sont liés parce qu’ils les alimentent.

    Du reste, pour réagir aux huitres et autres éponges à pollution, sachez que consommer des produits issus de la mer quel qu’il soient ne sont pas forcément meilleurs que ceux issus d’élevage. 

    En fait, le seul problème dans notre alimentation, ironiquement... c’est nous ! smiley
    Non seulement nos techniques d’élevage extrémistes nous amènent à produire des denrées susceptibles de nous poser des problèmes d’ordre sanitaire mais en plus, nos industries, notre mode de consommation, notre désinvolture et notre stupidité nous amène à contaminer par la même occasion, les milieux naturels, jusqu’à les rendre aussi impropres à la consommation ou nocifs que nos produits d’élevage ! ! !

    C’est fort, non ?



  • Coldwind 2 juin 2012 14:17

    Mmmmh. Méfiance avec les truites, ombles chevalier et autres saumons de fontaine...


    De nos jours, les salmonidés dit « sauvages », en France, cela n’existe presque plus.
    Beaucoup d’entre eux sont introduits dans les eaux de 1ère catégorie par le biais d’élevages qui tentent de maintenir leur population dans leur milieu naturel pour les amateurs de pêche ou bien simplement de commercialiser leurs filets de manière intensive.

    En fait, il existe des élevages pour les deux variétés de truites que l’on peut pêcher en France, c’est à dire la truite « fario » (commune) et la truite « arc en ciel »

    Les autres salmonidés ne sont pas en reste et peuvent être élevés aussi.

    Les truites sont réputées pour leur méfiance et leur intelligence en matière de pêche (est ce un insecte que je vois là ? ou bien le leurre d’un pêcheur ?) et si elles sont sensibles à la pollution et capables d’en détecter des quantités infimes dissoutes dans des millions de mètres cubes (on utilise certains salmonidés pour tester la qualité de l’eau à la sortie des stations d’épuration par exemple), ça n’en fait pas moins des poissons voraces, capables de cannibalisme et au régime omnivore qui mangeront tout ce qui pourra se présenter ou ce qu’on pourra leur donner s’ils sont en appètit. 

    Ainsi, il est possible de les élever (et j’en parle en connaissance de cause) et de les nourir de la même manière que les pangas (farines animales, granulés composés de poissons morts déshydratés, etc...)

    Une des meilleurs manières de dissocier un salmonidé d’élevage d’un sauvage, simplement à partir de ses filets, c’est son aspect « marketing » sur les étales.

    Je m’explique : peut de gens le savent mais la couleur de la chair des salmonidés n’est pas « d’origine ». Cette teinte rosée est due à un colorant naturel (la Canthaxanthine) produit par une algue marine. Cette algue est ingérée par des crevettes minuscules qui sont elles mêmes mangées par les salmonidés. Au cours de ce cycle alimentaire, le colorant n’est pas détruit par les digestions successives mais assimilé dans les fibres musculaires des poissons.

    En élevage, les poissons ne sont pas nourris par ces crevettes, on leur donne des granulés composés de farines animales* et végétales (*généralement des composés recyclés et stérilisés de poissons morts, surplus de pêche, épizooties ou morts par asphyxies). 

    Les producteurs ont été confronté au problème marketing de la couleur de la chair : les premiers filets des poissons d’élevages n’abordaient pas cette couleur rosée propre à leur alimentation naturelle. Ainsi, les filets étaient blanchâtres et inspiraient méfiance auprès du consommateur ce qui entraînait mévente. 
    Par la suite, les éleveurs reproduisirent le colorant naturel de manière artificielle et l’ajoutèrent à la composition des granulés. Pour booster les ventes, ils misèrent sur un dosage plus élevé de colorant que ce que le poisson pouvait assimiler dans son milieu naturel, donnant à leur chair une couleur rosée bien plus saturée et donc plus attractive pour le consommateur.
    De cette manière, les filets de poisson sauvages devenaient plus pâles comparés à ceux issus d’élevages, sur l’étal. 
    Les consommateurs ont reportés paradoxalement leur instinct de méfiance sur les filets plus clairs (issus de pêche), préférant instinctivement ceux plus colorés.

    Ainsi, mieux vaut acheter les filets à aspect rose assez clairs, ceci augmente les chances (sans garantie, l’ajout de canthaxanthine à un coût et certains éleveurs lésinent à l’utiliser
    pour des raisons économiques...) d’avoir un poisson qui a été pêché et qui s’est nourrit dans un milieu naturel.

    (PS : pardon s’il y a des fautes mais j’ai pas le temps de corriger)



  • Coldwind 8 juin 2011 16:43
    Bonjour

    Bien que ne connaissant trop les travers causés par la cupidité humaine, je me dois tout de même vous réfréner sur votre hypothèse.

    Personnellement, je pense que si cette superbactérie a été crée sciemment par technologie humaine :
    - Elle est PEUT ETRE la manoeuvre d’un labo soit pour effrayer les adeptes du bio afin de reconquérir un marché industriel (mais j’en doute), 
    - Soit, PEUT ETRE à la manière d’un hacker informatique, une démonstration de force mondiale pour vendre un savoir faire qui pourrait être mis à profit dans des stratégies militaires et/ou économiques (mais j’en doute encore plus)

    On le sait, les guerres en cours et à venir sont et seront principalement axées autours des ressources alimentaires, en eau potables et en matières première. Savoir les saboter, c’est s’assurer un affaiblissement ou une dépendance de l’ennemi/concurrent.

    D’autre part, on sait que depuis bien longtemps déjà, l’homme est capable de s’approprier des souches virales ou bactérienne dans certains buts militaires ou autre comme par exemple la mixomatose.

    Toutefois, cette explication ne me satisfait pas et il me semble qu’une autre, encore moins rassurante tienne bien plus la route même si de prime abord elle parait plus incroyable.

    Un mensonge en cache souvent un autre plus gros et je n’exclue pas que certains soit disant « scientifiques » souhaitent soulever une sorte de théorie du complot pour mieux se vendre par ce biais dans une mouvance d’indignation en vogue. Outre cet intérêt, c’est bien le fait de désinformer qui prime dans cette stratégie parce que la vérité vraie pourrait gêner des profits considérables.

    Je ne dis pas que cette piste est fausse et forcément à exclure, je n’en sais fichtrement rien.
    Mais je pense qu’elle me parait moins vraisemblable que celle que je vais vous donner.


    Il ne s’agit pas exactement de hasard car le hasard n’arrive jamais par hasard et c’est là que se trouve l’enjeu véritable de la piste à explorer.

    La bactérie incriminée, vous l’avez tous en vous, par millions (du moins, des cousines plus ou moins proches). Mieux, on peut même admettre que c’est également le cas pour l’ensemble des êtres vivant pourvus d’un système digestif. De plus, chaque fois que l’un de ces êtres vivants fera la grosse commission, il en évacuera une énorme quantité dans la nature.

    A l’instar d’un virus, Une bactérie vit et se multiplie aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur d’un hôte.

    Pour faire simple, un virus n’est vivant qu’à l’intérieur de l’être qu’il infecte. A l’extérieur, il est en dormance et on dit qu’il cristalise ce qui lui permet d’attendre indéfiniment d’être absorbé par celui qui lui permettra de se reproduire. Ce qui le rend pathogène, c’est le fait qu’il se sert de certaines cellules de votre corps pour se multiplier. La cellule infectée, poussée à l’extrème de ses ressources finit par mourrir pendant que les millions de virus nouvellement créés partent à l’assaut d’autres cellules à infecter. A terme, effet boule de neige, la perte trop importante de cellules entraine la mort de l’organe infecté (cellules cible) ou un affaiblissement trop important de l’organisme et il finit par mourir.

    La bactérie, elle, se nourrit de certains éléments. Comme un petit animal, elle va absorber de la nourriture et rejeter des dechets. A côté de ça, elle en profite pour se reproduire par division cellulaire et de manière asexuée. Si elle se trouve dans un milieu propice (pas de concurrence, pas de prédateurs, abondance de nourriture, température optimale, etc...) elle peut se reproduire de manière exponentielle de telle manière que sa population peut doubler toutes les vingts minutes !
    Souvent, les bactéries vivent en symbiose avec leur hôte. C’est à dire qu’elles vivent avec lui dans un processus « gagnant-gagnant » : l’hôte lui apporte les conditions nécessaires à sa nutrition et à sa survie, en contrepartie, (le plus souvent) les déchets de la bactérie apportent un bénéfice à l’hôte (vitamines, protéines, digestion, nettoyages...).
    Dans d’autres cas, la bactérie nuit à l’hôte : ses rejets s’avèrent nocifs pour celui ci et l’accroissement de la population finit par empoisoner l’organisme ou pire, la bactérie se nourrit carrément des cellules de l’organisme et finit par le tuer si celui ci n’a pas les ressources nécessaires pour l’éliminer.

    Les médecins légistes vous le diront, rien que dans l’appareil digestif, si on recueil les bactéries qu’il contient, on en remplit un bol. Je vous laisse imaginer la quantité de ces petits êtres qui grouillent sur et dans vous ! Non, vous n’êtes pas seul : sans tenir compte des acariens qui grouillent sur votre peau, vous êtes en vous même un véritable écosystème dont la population microbienne se chiffre plus ou moins en tranches de milliards.


    Escherichia coli est très connue chez les humains. C’est elle qui est, le plus souvent, responsable de nos bonnes vieilles gastros.
    Buvez un verre d’eau, même potable, dans un pays où vous n’êtes jamais allé et vous ferez connaissance avec elle à la selle.
    Buvez la tasse dans une piscine mal désinfectée, dans une rivière, dans la mer et hop ! c’est le rendez vous assuré par devant ou par derrière...
    En hiver, les gastro sont souvent le fruit de mains mal lavées (et non du froid) après une grosse commission qui vont aller piocher dans le bol de cacahuètes desquelles vous allez vous substenter en buvant l’apéro. Votre cousin, votre beauf, vos neveux (oh ! les malpropres !) que vous ne voyez pas souvent parce qu’ils habitent à 900 km de chez vous, vont par ce biais vous refiler une bactérie à laquelle eux sont résistants, mais pas vous ! et là, c’est le drame de la course à la porcelaine pour bon nombre de vos convives dés que la bactérie fait suffisament de petits.


    Tout ça pour dire quoi ?
    Eh bien que cette variété de bactérie est très connue, diversifiée et répandue. Vous êtes actuellement porteur sain de bon nombre d’entre elles et vous avez parfois été confronté à certaines autres qui vous en ont fait baver. En réaction, votre organisme en a évacué une bonne partie dans les égoûts et vous vous êtes débarrassé du reste par médication.

    C’est bien là qu’est le hic, (mais on ne peut pas vous le reprocher).
    On sait depuis plusieurs années que « les antibiotiques, c’est pas automatique » parce qu’on a constaté que les souches bactériennes devenaient de plus en plus résistantes aux molécules actives utilisées pour les tuer ou les affaiblir. La grande arme de la bactérie, c’est sa capacité à se reproduire. Sur le nombre important de descendant qu’elle va engendrer, certains de ses « petits » ne seront pas conformes à l’original. Dans le plupart des cas, ces différences n’apporteront rien de significatif si ce n’est que si « l’erreur » transmise ne s’avère pas fatale, elle sera sans effet notable ni remarquable. Pourtant, d’erreurs transmises à erreurs accumulées, il arrive parfois que le rejeton bactérien se pare fortuitement d’un nouvel outil qui va lui permettre de modifier son comportement. Tantôt armée d’une épée, elle pourra redoubler d’agressivité, tantôt accompagnée d’un bouclier, elle n’aura que faire de nos gélules et comprimés, tantôt équipée de « pitons et de cordages » elle sera à même de mieux s’agripper aux villosités intestinales et aux tsunamis qui les nettoient.

    Je vous laisse méditer sur la portée cynique de cette tirade à l’encontre des écrivains, je voulais juste me permettre un parallèle avec la génétique de la bactérie :
    Si des milliards de milliards de bactéries, 
    dans des milliards d’êtres vivants 
    et/ou dans des millions de milieux différents 
    étaient confrontées des milliers de fois 
    sur des milliards de générations 
    à une dizaine de molécules nocives différentes 
    sur des dizaines d’années, 
    au bout de combien de temps l’une d’entre elle deviendrait résistante à tous ces poisons ?

    Oui, parce que j’ai oublié de vous dire, les « antibiotiques » ne sont pas métabolisés en totalité par votre organisme. Une grande partie est rejetée par vos urines et vos selles et ces molécules ultra robustes, même à travers un recyclage et un traitement efficace des eaux usées, finit par revenir intacte dans votre robinet ou demeurer un long moment dans les cours d’eau, les égoûts, les nappes phréatiques etc... LIEN 

    Pour preuve, une anecdote personnelle : la fosse septique d’un ami qui cessait de fonctionner systématiquement, du moment qu’une personne de la maison prennait un antibiotique pour quelque maladie. La flore microbienne qui s’y trouvait était décimée par la molécule active, empêchant tout recyclage des eaux usées pour un certain temps, les matières finissaient par obstruer l’évacuation vers le tout à l’égout.

    Autre preuve, ces études plus sérieuses de scientifiques s’inquiétants de la profusion de traces médicamenteuses dans des milieux naturels où il n’étaient pas censés en trouver. Vous trouverez des centaines d’exemple sur internet.


    Il faut savoir que les antibiotiques sont massivement utilisés dans l’agriculture industrielle. Pour éviter les épizooties, on « soigne » systématiquement de manière préventive dans les stabulations et dans les champs. Toutes les traces médicamenteuses de ces traitements sont largement diffusés dans là nature (les fumiers sont épandus sur les champs, les lisiers sont évacués dans les mers, les rivières, sans parler des eaux de pluies qui lessivent tout ça vers les nappes phréatiques). 

    Tout est connecté sur notre petite planète bleu. C’est ce qui finit par rendre possible l’impossible. La bactérie incriminée vivant aussi bien en nous, en beaucoup d’animaux, ainsi que dans la plupart des milieux aquatiques finit par rencontrer très souvent nos antibiotiques un peu partout. A force, elle a finit par, comme disait le Pr Malcolm dans Jurassique Park, « trouver son chemin ».

    N’allez pas croire qu’elle soit exception dans la nature. On trouve énormément de choses incroyables pour des êtres plus évolués et complexes que des bactéries alors que pourtant, l’évolution bactérienne n’a rien de comparable car infiniment plus rapide.
    Ex N°1, l’existence impossible du Colza, Hybride exceptionnellement fertile de deux plantes différentes. Lisez son histoire
    Ex N°2, les différentes découvertes d’organismes extrêmophiles que l’on à de cesse de déceler depuis l’exploration des rifts abyssaux et autres cavernes aux conditions de vie réputées impossibles
    Ex N°3, la profusion de vie à la proximité des zones contaminées de Tchernobyl, malgré des teneurs radioactives mortelles (qui démontre au demeurant à quel point l’homme est nocif pour son environnement vu que son départ de cette zone à relancé la biodiversité malgré des doses de radiations mortelles et mutagènes).
    Ex N°4, la petite douve du foie et son incroyable shéma de reproduction
    Ex N°5, les crustacés de l’eau de New York

    Pour conclure, il me semble que ce qu’essaie de cacher l’industrie agro alimentaire en essayant au passage de décrédibiliser le bio, c’est la conséquence de la dissémination dans l’environnement de toutes les molécules pathogènes et mutagènes qu’elle utilise. Si jamais il s’avère que la contamination provient effectivement de ladite exploitation bio, je pense qu’il est vraisemblable de penser que les bactéries qui la contamineraient seraient en fait originaires des méthodes de production ou de médication de masse et viendrait à juste titre encore mieux s’épanouire dans un environnement dénué de tous les poisons qui pourraient l’affaiblire d’ordinaire. 

    Les intérêts pharmaceutiques et chimiques sont considérables car c’est ce qui est d’usage courant depuis des décennies au niveau mondial et c’est bien dans cette intention que certains répandent l’idée d’une souche fabriquée de toute pièce. A la fois pour continuer de vendre leurs produits toujours plus nocifs et dans l’idée de faire croire que, d’une certaine manière, si souche nocive artificielle il y a, « contrôle » en amont il y a.

    Malheureusement, l’homme s’est affaibli avec le temps. Les apparences sont trompeuses !
    Si notre médecine d’aujourd’hui nous parait performante, notre organisme en est fortement dépendant et ne s’est pas adapté par sélection naturelle.
    Notre espérance de vie est plus longue grace à la médication, pas parce que notre organisme est plus résistant.
    L’exemple du sida nous montre que le chemin est très long pour trouver une solution de guérison et l’actualité nous a rappelé de manière récurrente les conséquence de l’agriculture industrielle et de notre chaine alimentaire mondialisée (fievre aphteuse, vache folle, grippes aviaires,...) ou même, bien avant, des conséquences de nos rejets massifs et du traitement de nos détritus (je pense à la grande peste noire par exemple apportée par les puces de rats et liée au manque d’hygiene dans les rues).

    L’homme fait de son environnement un tel laboratoire, un bouillon de culture si inimaginable que de manière perverse cela finit par se retourner contre lui.


    Je ne veux pas être alarmiste mais de nombreux scientifiques ont tiré la sonnette bien avant moi vis à vis des antibiotiques et même des médicaments. Il n’est pas inimaginable que La conséquence de leur utilisation systématique entraine l’apparition de souches antibiorésistantes comme celle ci. Sur une echelle de temps suffisament longue, il pourrait en résulter des pandémies d’une envergure inimaginables, une sorte de Tchernobyl organique. 

    Le problème d’un cercle vicieux est posé : plus on utilise de remède, plus il en faut de nouveaux. Certaines souches évoluant très vite, il serait peu commode que notre imagination scientifique ne soit pas réactive et que notre sagesse ne nous aspire pas à plus de raisonnement pour des soins appropriés.

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