• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Corinne Colas

Corinne Colas

 
Sans désirs coûteux,sans envie, vivre tout simplement sa vie,
mais la garder inasservie... (E.Guillaumin)
Ne vivons plus comme des esclaves !

Tableau de bord

  • Premier article le 13/04/2012
  • Modérateur depuis le 09/03/2013
Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 7 790 139
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0
Modération Depuis Articles modérés Positivement Négativement
L'inscription 20 16 4
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0

Ses articles classés par : ordre chronologique










Derniers commentaires



  • Corinne Colas Corinne Colas 5 mai 2015 11:14

    @Corinne Colas

    « aux caresses policières ... de ceux qui sont chargés de gérer le bordel ambiant. »


  • Corinne Colas Corinne Colas 5 mai 2015 10:59

    @gaijin


    son boulot est de minimiser le mécontentement... faut laisser courir smiley

    @ à tous les auteurs de ce genre de phrases :

    "De grandes idées creuses pour écrire des slogans simplets sur des banderoles dans des manifestations de quelques dizaines de personnes.« 

    Si vous voulez discréditer en fait les vrais mouvements citoyens spontanés qui ne trouvent pas grâce à vos yeux, il manque la définition des "idées creuses" ! La vôtre n’est peut être pas celle de votre voisin... 

    Plus problématique pour nous tous cette fois avec le texte qui ne fait pas l’objet d’un débat véritable, manquent aussi des précisions à propos des idées inquiétantes pouvant porter atteinte à la sécurité de l’Etat.

    Soyez rassuré si vous préférez la défense des causes autorisées par nos ploutocrates... Largement encouragées, celles-ci ne disparaîtront pas avec la loi sécuritaire concoctée par nos nouveaux franquistes car elles accréditent le sentiment naïf de vivre en démocratie. Les « antifa », les Femen, les « charlie »,les « touche pas à mon pote » etc. ont de beaux jours devant eux. Quant aux faux journalistes (à l’image d’une « Ornella Guyet », pseudo interchangeable dont on fait la propagande), ils sont comme par le passé, assurés d’avoir les coudées franches toutefois c’est moins sûr pour un Denis Robert par ex. 


    Concernant l’article ci-dessus :

    Si l’auteur au lieu de s’inquiéter des dérives actuelles, préfère jouer à se faire peur avec l’improbable arrivée au pouvoir des vilains végétaliens qui l’empêcheraient de manger de la bidoche, qu’il soit rassuré lui aussi car nourrir la planète sans la dévaster n’est pas une préoccupation en vogue. Dans le futur. ses petits-enfants n’auront eux, pas d’autre choix que de juger sur pièce les conséquences de sa position.

    Rappelons que les défenseurs des animaux sont considérés comme des terroristes, et que les militants écologistes sont assassinés partout dans le monde sans que personne ne bronche. De même, il ne devrait pas avoir peur de l’utilisation de cette loi par un gouvernement FN car de ce parti qu’il nous agite sous le nez, Valls tel Don Quichotte en a fait sa marotte, son idée fixe. Si le FN n’existait pas, il faudrait l’inventer tant il est utile dès qu’on est à court d’ennemis providentiels... Ah mais tiens justement c’est ce qui a été fait par Mitterrand en son temps... depuis il pousse bien grâce à l’engrais déversé par les uns et les autres ! 

     

    Résumons : 

    Si la liberté de penser n’est pas entravée par ce texte de loi (déjà faudrait s’en servir et certains s’en passent de mieux en mieux avec l’aide des médias et quelques interventions bien pesées sur les réseaux sociaux), en revanche la liberté d’exprimer ce que l’on pense, est susceptible d’être criminalisée quand elle ne correspond pas aux désiderata du grand ordonnateur, déjà compétent dans l’art du rire et de l’assermentation des comiques (professionnels, j’entends). 

     

    Cependant ce gouvernement de marionnettes n’est pas pire qu’un autre : les lois scélérates ne datent pas d’aujourd’hui.

    "Quand les riches deviennent plus riches tandis que les pauvres deviennent plus pauvres, historiquement cela finit toujours de la même façon : dictature ou révolution", je me souviens plus de l’auteur de cette phrase pertinente mais nous y sommes... Par l’empilement de diverses lois, nous voici donc à la phase dictature où le « citoyen » devient ennemi intérieur par définition.

    Dans « l’ennemi intérieur », j’exclus néanmoins les perroquets qui répètent à l’envi qu’il faut sortir de l’U.E, ceux-là ne sont pas dangereux tant qu’ils défendent la FNSA plutôt que la Confédération paysanne, s’insurgent contre les zadistes soi-disant chevelus ou réclament le vote obligatoire sous peine de sanction, on sait ce qu’il en de ces râleurs lobotomisés confortablement assis dans leur fauteuil ! A côté de ces « penseurs », toujours prompts à pinailler sur « ce qu’il faut faire » face à ceux qui font réellement (je pense à la façon magistrale dont le mouvement des indignés a été court-circuité en France, en particulier sur Agoravox), il y a la catégorie cette fois inconsciente de tous les frustrés qui appellent à la phase de la révolution brute en oubliant que le chaos n’engendre que sang et larmes... Que ce soit au nom d’un Dieu, d’une théorie ou d’une idéologie en « isme » ou « iste », depuis toujours la manipulation de certains profite à qui en fait ? Que le pouvoir prétende nous en défendre quand il l’utilise à fond en réalité pour nous couper les ailes, pour nous rendre si peu autonomes, devrait nous interpeller...

    Il serait vain de débattre sur la nécessité de l’espionnite, elle ne date pas d’hier et a son utilité, ne le nions pas (personne est pour le terrorisme ou les mafieux de divers sortes) mais le texte officialise l’omniscience du premier ministre en ce qui concerne sa faculté à décider de ce qui porte « atteinte » aux « intérêts économiques ou industriels essentiels de la France », ce qui n’a rien à voir avec la prétention affichée de lutter contre le terrorisme. Pas de séparation des pouvoirs, idée du « pré-délit » d’opinion entérinéeet avec l’ordinateur permettant de débusquer un « comportement anormal », c’est l’asservissement à l’arbitraire, c’est la consécration de la technique informatique aveugle... On sait que le résultat sera : « peanuts » concernant le terrorisme (d’autant que de l’autre main, on fournit gratuitement des armes à tous « les combattants de la liberté »- les exemples tragiques abondent).

     

    Par contre, il ne fait déjà pas bon de s’insurger contre TAFTA, grands projets inutiles, OGM, nucléaire, politique sioniste ou européenne, terrorisme d’Etat, augmentation des impôts et autres joyeusetés diverses. Tant que vous gardez tout ça chez vous pour des discussions à l’heure de l’apéro, cela ne pose pas de problèmes. Quand vous l’écrivez sur internet ou dans un bouquin, vous avez droit à votre petite surveillance, quand concrètement vous allez dans la rue pour le dire au gouvernement, vous avez droit aux caresses policières chargées de gérer le bordel ambiant. En ces temps troublés de fin du monde tel qu’on l’a connu, les réalistes savent que l’aggravation des problèmes environnements concomitants avec la hausse des inégalités sociales, cela n’annonce pas des lendemains qui chantent. La prise en main de l’internet est en fait un des véritables enjeux, l’important étant de pouvoir utiliser tous les nouveaux joujoux à disposition en matière de surveillance et d’anticipation de contrôle de l’opinion. C’est de l’auto-destruction car on ne mobilise pas sur les défis à relever, cela n’empêchera pas la fin inéluctable d’une organisation basée sur la concurrence entre les uns et les autres et l’exploitation de ressources qui s’épuisent. 




  • Corinne Colas Corinne Colas 23 avril 2015 19:50

    Les députés qui mouillent leur chemise pour le bien commun ne sont pas les plus nombreux malheureusement... mais ils existent.. Alors sans se préoccuper des étiquettes des uns et des autres, soyons à l’affût et n’hésitons pas à soutenir leur travail lorsque c’est nécessaire !


    Pour les Agoravoxiens du Sud, rendez-vous à la 20 ème Fête Ecobiologique « Naturavignon » 
    les 09/10 mai sur le domaine de la Souvine -route de Bel Air (cycle de conférences et reste du programme sur le site « avenir84.org ») :

    « la politique du médicament en France : en finir avec les conflits d’intérêts et la surconsommation »

    conférence de Michèle Rivasi le samedi 09 mai 2015 18h-20h 

    Ne pas rater non plus celle du professeur Gilles-Eric Séralini, et d’autres encore...

    On entend trop souvent : « ça j’y crois pas » mais il ne s’agit pas de croire ou de ne pas croire, à nous de nous informer et de poser des questions à la source, ne soyons pas des veaux !

    « L’obligation de subir nous donne le droit de savoir » comme le dit Annie Thébaud-Mony, autre conférencière...
     smiley


  • Corinne Colas Corinne Colas 23 avril 2015 19:13
    Des sous encore des sous toujours une affaire de gros sous !Ci-dessous un extrait de « La Lettre Santé Nature Innovation par Jean-Marc Dupuis » :« le vaccin DTP Mérieux (sans aluminium), aujourd’hui retiré du marché, coûtait 6,54 EUR contre 40 EUR pour le vaccin hexavalent avec aluminium INFANRIX Hexa de GlaxoSmithKline ! Le Revavix (avec aluminium) coûte, lui, 50 % plus cher que l’ancien vaccin sans alu, et cela sans aucun avantage thérapeutique. 

    Ce prix ne serait pas un problème en soi s’il n’y avait pas, par derrière, des pratiques assimilables à de la »vente forcée », selon la députée européenne Michèle Rivasi. 

    « Nous sommes ni plus ni moins dans un schéma de vente forcée et de désinformation du consommateur, avec la complicité du HSCP. Et quand on sait que le Pr Daniel Floret, président du Comité technique des vaccinations (CTV), n’est pas exempt de conflits d’intérêts avec les fabricants de vaccins, on est en droit de se poser des questions. A qui profite le crime ? Aux laboratoires pharmaceutiques bien évidemment », a-t-elle déclarée lors d’une conférence de presse le 24 mars 2015. 

    Dilemme insurmontable
    Au-delà d’un débat scientifique nécessaire et légitime sur l’utilité et les dangers de cette vaccination, mais qui est interdit de fait par les Autorités de santé françaises, parents et médecins sont confrontés à un dilemme insurmontable dans l’état actuel des choses : 

    1. le seul vaccin DTP sans aluminium a été retiré du marché en juin 2008. Les laboratoires Mérieux, qui disposent toujours aujourd’hui d’une autorisation de mise sur le marché (AMM) pour ce vaccin, en ont cessé la production. Cela veut dire que, depuis 7 ans maintenant, les parents n’ont pas d’autre choix que de faire injecter à leurs enfants un vaccin contenant un des pires poisons qui soient. Pour rappel, l’aluminium est un dangereux neurotoxique (toxique pour les nerfs et le cerveau). Il est soupçonné de provoquer la maladie de Parkinson. 
    2. Depuis le mois de septembre 2014, la situation est devenue plus absurde et dangereuse encore. Même les vaccins DTP avec aluminium sont devenus introuvables en pharmacie. Les représentants des deux labos qui produisent ces vaccins (GlaxoSmithKline et Sanofi) viennent d’informer les pharmacies qu’ils ne les commercialiseront pas en 2015 et sans doute pas non plus en 2016. 
    3. Pour respecter leur obligation vaccinale, les parents sont désormais censés faire injecter à leurs enfants un vaccin dit « hexavalent », le seul qui contienne encore le DTP, mais qui a l’immense avantage de contenir en plus un cocktail de 3 vaccins avec aluminium (coqueluche, Haemophilus influenzae et hépatite B), dont les conséquences sur le système immunitaire immature des enfants ne sont ni mesurées, ni maitrisées
    Dangers du vaccin hexavalentIl existe un débat sur les « simples » vaccins, qui ne concernent qu’une maladie, avec encore récemment le scandale des décès en Italie et la mort de deux enfants en France officiellement reconnus comme causés par le vaccin contre la gastro. L’un des nourrissons avait reçu une injection de Rotarix, du laboratoire GSK, et l’€™autre s’était vu administrer le vaccin Rotateq de Sanofi Pasteur MSD. 

    Mais les vaccins « hexavalents », qui prétendent immuniser contre 6 maladies graves d’un coup, sont plus controversés encore. 

    Les travaux du Pr Gherardi (Inserm) et du Pr Authier (Institut de Recherche médicale Henri Mondor) ainsi que ceux d’€™autres chercheurs étrangers ont montré que ces vaccins seraient neurotoxiques. Ils entraîneraient des maladies dégénératives et auto-immunes par la quantité de vaccins injectés au cours de la première année de vie alors que le système immunitaire du nourrisson est fragile. 

    Pratiqués sur des petits de quelques semaines seulement, ils fonctionnent en déclenchant une tempête du système immunitaire dont il est tout à fait normal de redouter les conséquences, aussi bien sur le long terme, avec les maladies auto-immunes, que sur le cours terme, avec un choc anaphylactique. (Un choc anaphylactique est un accident potentiellement mortel provoqué par un emballement de nos défenses naturelles qui inondent l’organisme de cellules et messagers immunitaires). 

    A noter que le calendrier vaccinal recommande en effet de réaliser le même jour le vaccin Prevenar, qui comporte pas moins de 13 valences de pneumocoques (nombre de maladies contre lesquelles le vaccin est censé protéger). Or, les réactions neurologiques peuvent augmenter lorsque l’on combine ces différents vaccins. 

    De plus, à deux mois, la barrière hémato-encéphalique des enfants n’est pas achevée. Il s’agit de la barrière naturelle qui protège le cerveau des toxines pouvant être présentes dans le flux sanguin. C’est la raison pour laquelle injecter à un nourrisson un produit chargé en aluminium serait bien plus problématique encore que chez l’adulte, avec un risque important de déchets d’aluminium dans le cerveau. 

    L’ombre menaçante de la sclérose en plaquesComme si cela ne suffisait pas, le vaccin contre 6 maladies (dit « hexavalent ») contient le redoutable vaccin contre l’hépatite B, dont on n’a jamais vraiment su s’il pouvait déclencher ou non la sclérose en plaques. 

    Rappelons que l’hépatite B est une maladie que vous n’attrapez pas comme la grippe ou les oreillons. Il n’est raisonnable d’envisager la vaccination que pour les personnes ayant des comportements à risque ou travaillant en étroite relation avec ce type de public (infirmières, éventuellement travailleurs sociaux). 

    Un petit bébé élevé dans des conditions normales n’a aucune raison d’attraper l’hépatite B, et donc de courir les risques liés à la vaccination. 

    Les parents mis dans une situation intenable par les autoritésCe dossier accablant oblige les parents à choisir entre fermer les yeux et se boucher les oreilles (une option choisie par l’écrasante majorité), ou s’informer et, dans la mesure du possible, agir avec les moyens légaux qui leur restent. 

    Et malheureusement, dans ce domaine, l’horizon semble plutôt bouché. Le Conseil constitutionnel, dans une décision du 20 mars 2015, a donné tort à deux parents, les époux Laresre, qui justement avaient signalé la situation absurde dans laquelle ils se trouvaient vis-à -vis de leur obligation vaccinale DTP et avaient renoncé à faire vacciner leurs deux enfants. 

    Cette décision, qui paraît contraire à la Loi Kouchner du 4 mars 2002 sur la liberté de choix thérapeutique, semble d’autant plus anachronique que le vaccin DTP n’est plus obligatoire dans aucun pays d’Europe en dehors de la France [1] ! 

    Au lieu de faire pression sur les laboratoires pour qu’ils fournissent un vaccin sans adjuvants dangereux et sans souches de maladies superflues, les autorités choisissent donc de sanctionner les parents, tout en les obligeant à faire courir des risques inutiles à leurs enfants. "


  • Corinne Colas Corinne Colas 15 avril 2015 20:36

    @alinea
    « c’est fou ce qu’on voit les choses différemment quand on se met dans l’autre sens »


    ... justement !
     smiley
Voir tous ses commentaires (20 par page)


Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité


Agoravox.tv