Le gouvernement prétextera la baisse conjoncturelle du brut pour appliquer sa hausse de taxe en janvier, mais il aura des gilets jaunes puissance 10 lorsque le prix du brut remontera, car l’éventuelle baisse de taxe à la marge sera invisible. C’est donc une mesure dilatoire mais qui peut lui revenir en boomerang.
Et on est l’un des rares pays où le gazole est DEJA plus cher que l’essence, alors que les taxes n’ont augmenté que de 4 centimes de plus que l’essence, le prix total du gazole a augmenté de 15 centimes de plus que l’essence. OU EST L’ARNAQUE ?
Comme si la « fin du monde » ou même le dérèglement climatique dépendait des automobilistes français qui ne représentent 2 pour 1000 du total des rejets de polluants. A quoi sert de mettre des contraintes rédhibitoires et aller vers le prix des carburants les plus élevés d’Europe au détriment de l’économie et du pouvoir d’achat, alors que de nombreux pays utilisent de plus en plus de charbon et prospectent du pétrole et du gaz à tout va. La dramatisation écolo-macronienne sonne faux quand on importe à tour de bras des denrées venues de l’autre bout du monde produit par des pays qui se fichent bien de la pollution et transportés par des navires brulant un carburant 1000 fois plus chargé en souffre et détaxé.
@Hervé Hum Vous citez le « loyer » en tant qu’impôt individuel, mais 95% du loyer représente des frais d’acquisition, d’entretien et des taxes foncières, et seulement 5% un revenu pour le bailleur (on ne parle pas des marchands de sommeil), qui sera lui-même soumis à impôt et taxe sociale. En fait, tout service rémunéré est de même nature, et le bénéfice du commerçant également.
Intéressant travail de synthèse, mais la plupart des points mentionnés étaient déjà connus, je n’ai pas vu d’élément absolument nouveau conduisant à changer la vision des choses. Un point que l’on peut relever c’est que le sionisme a suivi l’évolution des mentalités occidentales, le colonialisme était considéré comme naturel au début du 20è siècle, mais entre les années 20 et 40, les considérations sur les droits des peuples se sont développées, d’où le passage d’une vision coloniale (imperium) à une vision nationale (partage de la Palestine en deux états nationaux).