décurion

@ Abu Lahab,

Il y a profusion de sites qui mentionnent notre filiation simiesque. Il y a également des tas de reportages sur le sujet. Je n’y crois pas, ett vous voudriez, que sur la foi d’une ébauche d’article, j’accepte le phosphathérium, comme ancêtre commun de l’éléphant et du mammouth.
Georges Cuvier, attribuait au mammouth la paternité de l’éléphant, ce qui compte tenu de la taille et de la ressemblance était crédible. Prétendre qu’une espèce de mini Hyppo de la taille d’un chien puisse se muer en un éléphant même en 60 millions d’années, n’est pas crédible.
Cela supposerait que l’environnement à évolué au même rythme,hors l’environnement se transforme généralement de façon plus brutale, et les animaux pour la plupart ne peuvent s’adapter au changement.
Je crois que l’évolution passe par un cahier des charges, dont on ignore le contenu, mais que l’on peut deviner.

Ceux que l’on nomme « sans papiers » sont des clandestins illégaux.
Vous dites, non il y en a en attente de renouvellement. Cela consiste à admettre qu’il y des illégaux, de bonne foi non clandestins, et des illégaux de mauvaise foi.
Si vous êtes honnêtes, vous devez développer, démontrer les différences, et conclure les traitements adaptés a chaque cas.
Si vous êtes malhonnête, c’est une excuse, pour appliquer le même traitement à tous, en leur donnant un aspect acceptable.
Mais il y a le fait que tous, humaniste compris, avouent que l’on ne peux accueillir toute la misère du monde, mais consensus et peur de l’insulte oblige, personne n’ose dire qui et combien on accueille.
Moi, je dis stop. On rejette les illégaux sans exception. On intègre décemment ceux que l’on a, et si nécessaire, aprés cela, on refait le point, en fonction des résultats acquis et des difficultés, et on le fait maintenant, pendant que l’on maîtrise les évènements.
Si je suis un raciste, dans cas, je pose la question, combien de milliers, millions, milliards d’individus faut il accepter pour ne pas être raciste, sachant qu’une limite éxiste qui tient plus du sentiment que de la science.
En se cantonnant à un chiffre raisonnable, on sera toujours le raciste de quelqu’un. En dépassant le raisonnable, les occidentaux pauvres feront figures de riches insolents, et finiront plus surement comme cadavres à dépecer, que comme humanistes.
D’un point de vue, juste logique, si entrer illégallement sur le territoire Français, donne droit à une régularisation, et à un ticket pour la naturalisation, il n’y aucune raison, pour empêcher que l’on s’empare des biens d’autrui en cassant les portes d’appartements.
Puisque nous avons tous droit au même traitement devant la loi, pourquoi se gener !

Les républicains espagnols n’étaient pas des civils apeurés, mais des combatants aguerris. A leurs yeux, la « Retirada » n’était pas une fin, mais une étape, avant un retour victorieux, qui balayerait la dictature de Franco. De ce fait ils ne pouvaient etre que source de problèmes, dans un pays ou les relations Franco/Espagnoles, n’étaient pas rompues, ou une partie de la population se trouvait des affinités avec le « Duce »
Il faut toutefois constater que les espagnols n’étaient pas considérés comme des illégaux, mais bien comme des réfugiés politiques, et à ce titre, pris en charge par les autorités dés le passage de la frontière.
Les centres de rétention administrative, acueillent des personnes entrées illégalement en France, ce qui constituent un délit punissable. Ces personnes n’ont aucune des particularités, qui permettraient qu’ils puissent se soustraire à la loi commune.
Toutes les comparaisons, ne sont pas bonnes à faire.

Alois,

Qui est cet ancetre commun à l’éléphant er au mammouth ?
Que je puisse admettre mon erreur.

Les réfugiés politiques espagnols, pour la plupart, furent mal accueillis, et pour certains, au seuil de l’hiver, on leur a donné marteau, clous et planches, accompagné d’un démerdez vous.Mais en remettant les choses dans leurs contextes, on s’aperçoit que les Français étaient souvent moins que rien pour leur administration, et donc déclaré antonio, francesco, ou Malik, à l’état civil, c’était niet.
Les Anom (Archives nationales d’outre mer), ont mis en ligne une partie de l’état civil d’algérie, un simple coup d’oeil sur les registres de naissance vous permettra de constater ce qui était la règle, et ce qui était l’exception.
En fait l’état civil à résisté plus ou moins jusqu’à l’époque Yé Yé, malgré les « sylvie », et s’est effondré avec l’arrivée des « Sue Ellen » et autres « Pamela »